Une Belle Rencontre Part 3
Bonjour,
Il a fallu attendre mes 63 ans pour que avoir ma première sodomie.
Ce moment tant désiré et tant refusé, je lai réalisé il y a quelques semaines.
Début mai alors que nous passions une semaine de repos avec Henri je me suis enfin décidé à franchir le pas.
Au petit matin dune nuit passée dans les bras de mon nouvel amant nous prenons notre petit déjeuné. Ayant terminé avant Henri je lui dis que je vais prendre une douche.
Leau chaude ruisselant sur ma peau me procure une sensation de bien être et de douceur.
Henri me rejoint rapidement et aussitôt ses mains me savonnent tout le corps.
Pas un cm2 de ma peau nest oublié ce que me procure une belle excitation, un rinçage plus tard les mains dHenri me pincent les tétons qui se durcissent aussitôt. Puis ses lèvres viennent les sucer et les mordiller. Ses mains glissent sur mon ventre et atteignent ma queue déjà bien raide. Une main me branle et lautre caresse mes couilles. Puis sa bouche vient remplacer sa main et me suce . Ma bite gonfle encore dans ce fourreau chaud et humide . Ses mains pétrissent mes fesses et me font pousser un gémissement de plaisir. Je sens sa main ma caresser la raie passer sur ma rondelle ce qui me mets dans un état second.
Après quelques minutes de ce massage Henri libère ma queue et mentraine dans la chambre.
Il me pousse sur le lit et me demande de me mettre à quatre pattes et de bien me cambrer.
Je me laisse faire malgré mon appréhension je suis près a me donner tant jai confiance.
Me voila offert les fesses bien cambrées. Henri se place derrière moi je sens un gel froid couler sur ma raie et il me létale bien sur ma rondelle. Il y glisse un doigt lenfonce puis en glisse en second et les enfonce lentement, une petite sensation de brûlure se fait sentir, Henri remet du gel et continu ma préparation. Me sentant suffisamment dilaté jentends le bruit dune pochette de préservatif que lon déchire, et je sens à nouveau du gel me lubrifier et enfin son gland bien se placer à lentrée de mon trou , jouvre du mieux que je peux laccès à cette partie de moi que javais jusqu'à présent refusé de donner.
Cette nouvelle sensation que je découvre me rempli de bonheur, Ses mouvements saccélèrent, ses couilles viennent heurter mes fesses, jai limpression de jouir du derrière tant cette sensation est forte. Je gémi de plaisir et au bout de quelque minutes je sens ce membre qui me perfore avoir ces soubresauts significatif dune éjaculation.
Lentement Henri se retire, me retourne, voyant mon sourire béat il membrasse langoureusement.
Inutile de vous dire que les deux derniers jours de notre séjour furent un vrai bonheur partagé.
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