Leslie Va15

Leslie VA15 – Vacances - Avec Laure, suite

« Ambre réveilla Laure avec de petits baisers dans le dos, le long de sa colonne vertébrale, partant de sa nuque et descendant petit à petit.
Rapidement au contact des caresses de son amante, Laure se réveilla mais ne bougea pas, trop heureuse de se laisser faire et de ressentir en elle les désirs naissants.
Laure la laissa glisser sa langue entre ses fesses et tressaillit en sentant la salive couler sur son petit trou. Puis Ambre revint vers la tête de Laure et l’embrassa.
- Il est l’heure de se réveiller, ma coquine.
- Quelle heure il est ?
- Bientôt midi, même si on est dimanche, tu devrais te dépêcher de t’habiller, ton amie va t’attendre. »
Laure se retourna et la regarda tristement.
- Ah, tu es au courant ?
- Bien sûr, cette nuit tu as parlé en rêvant et j’ai juste compris qu’elle s’appelait Leslie et que tu l’aimais.
Laure rougit et Ambre la trouva très craquante.
- Je suis désolée, je ne voudrais pas que…
- Ne t’inquiètes pas, Leslie est au courant, nous n’avons aucun secret l’une pour l’autre et vivons une relation dans la confiance et la liberté.
- C’est super, mais je ne te reverrais pas ?
- Je ne sais pas, j’adore vivre des aventures, mais j’aime aussi être avec Leslie.
- Elle aussi à des aventures en dehors de toi ?
- Oui bien sûr, mais c’est un peu plus compliqué pour elle.
- Compliqué, comment ça ?
- Disons que Leslie n’est pas une vraie femme.
- Pas une vraie femme, je ne comprends pas, dis Ambre.
- Leslie est une transexuelle.
- Tu me la présenteras un jour ?
- Peut-être, un jour…
- Ne t’en fais pas, je ne te la piquerais pas, mais peut-être qu’elle pourrait me faire aimer le sexe masculin. On ferait l’amour, elle saura que j’aime les femmes, surtout quand elles sont aussi belles que toi, et puis c’est tout, pour voir.

Ambre embrassa à nouveau Laure et la laissa s’habiller et au moment où Laure allait partir, Ambre la rattrapa er lui dit :
- Laure, j’ai envie de te revoir très vite…et pourquoi pas avec ton amie.

Laure hésita puis, se remémorant le plaisir qu’elle avait eu avec Ambre, hocha la tête et dit :
- Je veux bien, mais Leslie je ne sais pas si elle sera d’accord, tu vois ce que je veux dire ?
- Mais, si elle est d’accord, je peux vous rejoindre, tu me téléphones et j’arrive, j’aimerais tant essayer de me faire prendre par un vrai sexe.
- D’accord, je vais voir, j’essaierais, promis.
Elles s’embrassèrent longuement, puis Laure disparue, pour aller rejoindre Leslie. »


Un peu triste, Laure en chemin, fit le point et sentit en elle une grande joie à l’idée d’avoir passé une nuit avec cette jeune femme, puis, elle se demanda comment elle allait convaincre Leslie de se joindre à elles…
Mais pour le moment Laure allait rejoindre Leslie et ce n’était pas encore à l’ordre du jour, il fallait attendre le bon moment… »

C’était sans compter sur ma connaissance de ma divine amie et ce qui allait en découler en nous retrouvant.
Laure avec moi ne savait pas cacher ses secrets et c’était la base de notre relation, ne jamais rien se cacher et toujours dire la vérité ?
Dès que Laure est venue me rejoindre je l’ai prise à l’écart et lui ai murmuré :
- Alors, tu as pris du plaisir avec elle ?
- De quoi tu parles ? Me demanda Laure.
- Ne fais pas l’innocente, tu es pleine d’un parfum inconnu et tes yeux brillent comme deux phares dans la nuit, alors dis-moi ?
Laure préféra déposer les armes.
- Oui, c’est vrai, j’ai couché avec Ambre.
- Et tu as aimé ?
Laure avala sa salive et finit par avouer.
- Oui, j’ai beaucoup joui, et j’ai aimé ça.
- J’en suis heureuse, car moi aussi je ne me suis pas gênée pour prendre mon pied avec Nadja, tu vois tout est bien.
Nous nous sommes misent à rire et c’est le moment que choisi Laure pour me parler de son projet, car Laure avait plus d’un tour dans son sac.

- Tu sais, me dit Laure, avec mon amie, Ambre, nous avons parlé ce matin et elle serait heureuse de me revoir afin d’approfondir notre relation, mais elle voudrait que tu m’accompagnes car elle a le désir de te rencontrer, sachant qui tu es !
Ne voyant pas d’inconvénient et étant toujours partante pour les découvertes, je lui ai dit :
- Cela ne me pose pas de problème !
- Ok, répondit Laure, je téléphone à Ambre pour lui annoncer la nouvelle !

Laure est retournée dans sa chambre pendant que je préparais, elle laissa la porte de communication entrouverte et je l’entendis téléphoner à Ambre tandis que je préparais à passer sous la douche.

De son côté, après une douche elle aussi, Laure décida d’essayer sa nouvelle lingerie, elle se décida pour un ensemble string et soutien-gorge rouge en dentelle, elle l’enfila dans sa salle de bain, et s’arrangea pour affiner au maximum l’entrejambe, avant de venir devant ma chambre pour me demander mon avis.
- Il est superbe cet ensemble, comment me trouves-tu ?
- Il te va trop bien, dis-je, et ton entrejambe est bien mis en valeur !
Laure se tourna pour me montrer son joli fessier et comment son string épousait ses lèvres intimes.
- Le tissu est si fin, à son contact ça me donne des envies folles…
Elle me tournait toujours le dos lorsqu’elle glissa une main entre ses cuisses, lentement.
- Oui, des envies de me faire du bien, beaucoup de bien.

Laure caressa son entrecuisse sous mon nez, puis se retourna et fit glisser ses mains le long de son ventre, jusqu’à atteindre ses seins, gonflés de désirs dans son soutien-gorge. Puis, ses mains redescendirent et vinrent sculpter l’arrondi de ses hanches et le triangle de tissu du string, puis descendirent le long de ses jambes. Laure était assez souple pour atteindre sans mal le bout de ses pieds tout en m’offrant le beau spectacle de son décolleté. Puis, elle se redressa et les mains remontèrent le long des fesses, des côtes jusqu’aux seins, qu’elles massèrent lentement, je la regardais avec envie.
- Ce que c’est bon de se caresser !
- Si tu veux, je peux t’aider, dis-je.
Laure s’assit sur le lit et passa une main dans son cou, les yeux mi-clos, en soupirant.
- Non, tu occupes tellement mon corps que je l’ai oublié moi-même. Laisse-moi le redécouvrir seule.
Elle fit courir ses mains sur son ventre, longeant les coutures de son string, puis les fit remonter vers son soutien-gorge pour empaumer les bonnets. Du bout des doigts, elle en redessina les bretelles, et les fit ensuite glisser de ses épaules. Elle massa par la suite ses seins à travers le soutif qui cédait peu à peu du terrain, puis replia assez les bonnets pour laisser apparaître ses tétons dressés comme jamais. Elle les agaça, les toucha, les pinça, et décrocha le soutien-gorge pour mieux remuer sa poitrine si séduisante, en gémissant les yeux clos.

- Je ne me souvenais pas que c’est si bon de se caresser les seins, j’avais oublié que j’aimais me les caresser…
Mais elle ne tarda pas à les abandonner. Elle fit glisser une main sur son string, en frottant délibérément ses zones sensibles, puis dans le string, qui, par effet de transparence, laissait deviner un mouvement manuel de va et viens sur sa fente déjà humide.
Cela faisait comme une petite bosse qui montait et descendait dans son string, et Laure accompagnait cette première masturbation de soupirs sensuels, un doigt pervers glissé dans sa bouche de séductrice.
- J’ai, maintenant, tellement envie de caresser ma petite chatte.
Elle se leva et ma tourna à nouveau le dos en caressant ses fesses. Elle fit glisser un doigt le long de la raie de ses fesses, puis se mit à genou sur le lit, ses seins pointant indécemment, ses doigts caressant ses cuisses et son string.
Enfin, elle chassa le string de son bassin et le fit glisser le long de ses jambes, exposant à dessein le moins possible de son intimité à mon regard, puis Laure écarta les jambes, me montrant son sexe inondé de désir, et se caressa les seins, avant de revenir à son bassin. Elle jouait avec elle-même, laissant un doigt juste survoler sa fente, récolter un peu de son plaisir et repartir vers ses seins ou vers ses lèvres, qui s’abreuvaient de son liquide intime.
Elle tordait son corps en s’aguichant elle-même et couvrait ses seins de sa mouille.
- C’est si bon de se toucher, dit-elle.
- Tu es un véritable appel au viol, lui dis-je !
- Oui, je sais, et je veux que tu me violes, là, maintenant !


Il ne m’en fallut pas plus pour que je me jette sur elle, alors lascivement allongée sur le lit.
Je me mis à genoux, entre ses jambes, sur le lit et lui embrassais les cuisses et les hanches et, lorsque Laure fit passer sa jambe par-dessus ma tête, le sexe, ruisselant d’envies, je me mis à lui lécher sa fente inondée, puis y posais ses lèvres et bus son désir, elle était trempée comme jamais.
J’enfonçais ma langue en elle le plus profondément possible, et Laure accompagnait mes caresses en malaxant ses seins ou en glissant un doigt dans sa bouche avide et entrouverte en soupirant doucement.
Elle reçut mon baiser lorsque quittant sa vulve, je remontais vers elle pour l’embrasser. Ensuite, me redressant complètement mon sexe dur atterrit dans les mains de ma belle.
Laure donna un coup de langue sur mon membre dressé qui lui était offert, et se mit à le lécher avant de le glisser dans sa bouche.
Elle suça mon membre jusqu’à ce qu’elle me repousse doucement pour se reculer un peu en écartant les jambes et en prenant dans sa main mon sexe et le porter à la hauteur de sa fente.
Mon membre glissa en elle avec fermeté et rapidité, je la pénétrais durement alors qu’elle gémissait en massant ses seins luisant de sueur, je la retenais par les jambes et fixait mon regard avec le sien. Puis, continuant de la pénétrer, en m’enfonçant toujours plus profondément, je l’ai embrassé.
La jouissance nous saisit en même temps et nous avons hurlé notre plaisir en chœur.

Nous nous sommes séparées et Laure me dit :
- Tu m’as fait jouir comme une dingue.
- C’est que m’avais bien excitée.
- Allez préparons nous, Ambre va nous attendre !

A suivre…