La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode 301)
Cet épisode N°301 est la suite de la 5 ème partie du SPECIAL 300 ème -
Le Marquis Edouard dEvans venait de lever sa flute de champagne en remerciant tout le monde avant de se rasseoir pour savourer son dessert, ouvrant, de par là même, le début des festivités plus orgiaques qui laisseraient couler pendant toute la nuit de nombreux liquides tout aussi plaisants les uns que les autres, depuis les 18 litres (25 bouteilles) de champagne à bulles qui pleuvraient sans retenue de la géante bouteille « Salomon » pour atterrir dans quelques gosiers à peine asséchés mais qui finirait bien par se transformer peu à peu en vraie douche dorée champagnisée qui giclerait sans retenue, sans parler des nectars de jouissance plus onctueux du sperme et de la cyprine, aux saveurs corporelles plus fortes, qui risquaient fort de jaillir également abondamment, surtout que lexcitation luxurieuse commençait à monter tout autour de la table, sans parler de tous les esclaves mâles et femelles qui espéraient bien également pouvoir profiter des moments forts « ré-jouissants » de la soirée festive et des pervers plaisirs auxquels ils allaient être soumis.
Mais à cet instant, chaque Invité dévore encore bien sagement son petit morceau de gâteau-Château. Lorchestre desclaves nus sapprête à jouer pour tout le restant de la nuit, près à varier les moments plus intenses et les moments plus sensuels, mais pour lheure, il a entonné différents airs dOffenbach tous plus enjoués les uns que les autres pour meubler ce temps de fin de repas. Les esclaves et les domestiques se sont tous retirés sans tarder, car il faut préparer la suite de la soirée et sans tarder transformer la pièce du Grand Hall, dans lequel lapéritif avait été dressé, en un véritable donjon D/s mis à la disposition de tous pour la nuit orgiaque qui permettra de clôturer en beauté cette soirée anniversaire qui se veut mémorable une fois de plus comme toutes les soirées organisées au Château.
Sur lassiette du Marquis dEvans, cest la grande porte en bois de chêne verni multi centenaire à double battants du Château, reproduite et réalisée en nougatine, qui a été déposée avec dessus Ses Armoiries faites en sucre blanc filé, détail qui lui avait échappé quand il avait aperçu le gâteau, dassez loin en fait, sous les feux des bougies étincelantes. Très symboliquement, il y a aussi juste à côté, un chou à la crème nettement plus gros que les autres qui représente la pierre dangle, première pierre apparente posée lors de la construction du mur de la façade principale du Château, qui sert de pierre maîtresse de lédifice, soutenant lensemble du bâtiment construit de part et dautre. La pierre réelle est dune blancheur et dune dureté qui la fait plus ressembler à une pierre de cathédrale, édifice souvent doté de cet élément architectural en référence métaphorique aux différents passages de la bible. Elle tranche avec les autres pierres de la façade et a été gravée par le tailleur de pierre, comme cela se fait souvent pour les pierres angulaires, avec les Armoiries de la famille Evans, les noms et titres du Marquis qui a fait édifier en 1625 le château et bien sûr lannée de la construction dorigine du bâtiment principal, réhabilité et entretenu depuis par les Nobles descendants, tous Marquis de père en fils.
La lumière à nouveau se tamise tandis que lorchestre se met à jouer un air des « contes dHoffman » dOffenbach (lopéra le plus joué au monde après Carmen) et que lesclave-chanteur qui a une vraie voix de castra très aigue (dont la tessiture se rapproche assez sensiblement de celle des sopranos femmes), sapproche et salue lassemblée. En même temps, un esclave entre et avance au centre des tables portant sous le bras ce qui ressemble à une poupée à taille humaine inanimée. Il la penche pour la redresser et la dépose sur ses pieds aux côtés du chanteur. La figurine a un corps entièrement peint, qui laisse apparaitre les articulations de ses membres disloqués, dune couleur imitant celle de la peau rosacée très claire, mais aussi de faux habits de poupée dessinés à même le corps, une petite jupe rose vif à dentelle blanche, des socquettes blanches, des ballerines noires avec une bretelle sur le devant, de petits bracelets et un tour cou fait de dentelle blanche peinte. Tranchant, sur cette statue de porcelaine peinte, les cheveux dune perruque blonde, attachés en deux couettes très hautes, retombent sur les épaules dénudées du bel objet. Le corps dun rose pâle et le visage dun blanc opale proche de la porcelaine si translucide lui donne un air de fragilité manifeste, ren par un maquillage puéril fait de deux grands ronds rouges vifs sur chaque joue et dune mini bouche en cur du même rouge (comme celles des geishas). On dirait vraiment un géant « biscuit » à taille humaine (un biscuit est un sujet en porcelaine de très haute qualité car cuit sans émaillage à de grandes températures). Le soliste se met à tourner le mécanisme constitué dune énorme clef en forme de 8 plein qui se trouve dans le dos de la poupée de porcelaine et chacun sattend à un spectacle dautomate animé comme on pouvait en voir plus souvent dans les boudoirs au XVIII° et XIX° siècle, car ils sont maintenant souvent hors dusage et conservé dans des musées, bien que peu ait eu une taille humaine, mais plus rien ne surprend plus personne dans les réceptions au Château de la famille Evans, tant on sait depuis fort longtemps que les Marquis successifs ont eu lart de savoir dénicher de part le monde les objets les plus insolites et de grandes valeurs.
Alors que le soliste dune voix parfaite entonne impeccablement la chanson de la poupée « Olympia », avec les premières notes « Voilà la chanson mignonne dOlympia », une poursuite éclaire les deux artistes de manière encore estompée au début, et la poupée commence à sanimer. Ressemblant certes à un automate à remontoir articulé, elle nen est pas moins vivante, recouverte dun vrai body-painting très figuratif, ouvrant la bouche comme si elle chantait en play-back mais en ne faisant que des mouvements douverture et de fermeture de ses lèvres, se déplaçant à pas cadencée en se balançant dun pied sur lautre, les pieds conservés à 90° et les membres raides, tandis que seuls les avant-bras sont animés et que les mains sont plates, droites, avec tous les doigts ouverts en éventail. Pendant plusieurs secondes, la pénombre qui a permis de jouer sur leffet de surprise avant que la lumière ne soit totale, a été telle que plusieurs personnes, le Marquis dEvans en personne, se sont vraiment posé la question de savoir si la poupée était faite de porcelaine fine ou de chair humaine. Mais plus elle sapproche, plus le Châtelain reconnait les traits de Sa soumise Emeline MDE, ainsi déguisée et transformée en poupée-automate de service. Arrivée aux pieds de la table, Emeline sagenouille avec des gestes toujours aussi saccadés en balancier, ne bougeant que les avant-bras et gardant le buste droit. Elle sincline et puis se redresse en tendant les mains à lhorizontale devant elle en direction de son Maître, sur lesquels est posé un paquet cadeau quelle vient de ramasser à même le sol et que personne navait vu jusque là, sauf David, le compagnon du Marquis dEvans qui vient de le faire glisser subrepticement du pied car il sagit de son propre cadeau danniversaire.
Le Marquis se redresse, salue la prestation par quelques applaudissements, repris en chur par toute la salle, et att le cadeau qui lui est destiné sur lequel est écrit en lettres dor sur le papier demballage « Bon anniversaire » signé « David ».
Le Marquis dEvans prend lobjet en mains, le tournant dans tous les sens, et sur le ton de la plaisanterie réplique en direction de son compagnon, David, dun petit air malicieux.
- Cest parce que tu penses quavec un an de plus, ma Queue va finir par se ratatiner et se ramollir que tu mas offert un substitut datant de la préhistoire. Je saurais bien te prouver le contraire sous peu, tu men diras des nouvelles !
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Puis reprenant dun ton plus naturel, mais pas mécontent davoir su, dans la répartie, taquiner son compagnon comme IL aime tant à le faire.
- Mon cher David, laisse-moi quand même te remercier du fond du cur pour ce cadeau que japprécie, avec une petite pensée pour celle qui me la apporté. Dailleurs, je pense que ma soumise Emeline MDE, si belle en poupée automate a bien mérité une petite récompense jouissive. Je te la confie pour la soirée et la nuit, elle est à toi. Tâche de la remercier comme il se doit, et surtout ne me la casse pas, si elle est fragile et en porcelaine, car jy tiens beaucoup, comme je tiens dailleurs à chacun des esclaves qui sont MA propriété.
Depuis quelle avait présenté au Châtelain son cadeau, déposé au creux de ses deux mains en offrande, Emeline MDE était restée pendant tout ce temps à genoux attendant un signe de son Maître pour être autorisé à se lever et à relever la tête.
- Ma belle Emeline, tu peux te relever maintenant. Jai beaucoup aimé ton spectacle et je ten remercie. Pour ce soir, je te remets entre les mains de mon compagnon, David, qui soccupera bien de toi. Il te doit bien cela après tavoir débauché de ton poste dans lentreprise et embauché en cachette comme habile automate. Tu devras te soumettre à lui comme si cétait ton Maître en personne, mais avant, je voudrai également remercier celui qui ta prêté sa voix, et vérifier quelque chose.
Le Marquis fait signe au chanteur-esclave pour quil savance tout prêt de lui. Ce dernier sexécute et sincline profondément faisant dans un premier temps son salut dartiste, avant de se mettre à genoux devant le Châtelain, attestant ainsi de son désir de soumission. Il porte une tenue de scène qui semble sortir dun théâtre du siècle des Lumières. Son visage est poudré de blanc, rehaussé dune coiffe à large plumes virant du pourpre au vermillon, ses lèvres sont fardées de rouge finement comme celles dune femme et il a de longs cheveux bouclés qui encadrent son visage. Il porte, sur un collant moulant blanc qui ressemble à ceux des danseurs classiques, une chemise blanche à large jabot de dentelles assorties à celles de ses larges manches à froufrous resserrées aux poignets, et par-dessus il est vêtu dune grande redingote cintrée, assez courte faite de velours grenat brodée de fil dor qui masque juste le haut des cuisses et les fesses. Son allure générale, sa voix si féminine, son apparence androgyne ou plutôt indéterminée, en font un personnage intéressant qui intrigue le Marquis dEvans.
- Approche et relève toi, seuls Mes soumis et Mes esclaves sagenouillent devant moi. Tu as une voix extraordinairement belle et si aigue pour un homme. Je ne tai jamais vu auparavant. Es-tu soumis ou esclave ? As-tu un Maître et si oui, qui est-il ? Est-ce lun des Invités de la soirée que je puisse mempresser de le remercier de tavoir laissé venir animer cette réception ? Sache avant tout que jai beaucoup apprécié ta prestation vocale de qualité qui ma séduit et touché.
- Monsieur le Marquis Edouard dEvans, je Vous remercie très humblement davoir apprécié mon chant qui se veut encore modeste et imparfait, car il me faudrait pouvoir travailler ma voix avec des professeurs plus expérimentés. Je ne suis pour linstant ni le soumis, ni lesclave de qui que ce soit, mais je suis depuis lenfance fasciné par la soumission, Il ma fallu longtemps pour franchir le pas et maccepter comme je suis. Jai appartenu à un Maître de renom, il y a quelques années qui ma fait découvrir ce monde et ma vrai nature, mais il est décédé dans un accident de voiture et depuis ce jour, jerre comme une âme en peine, nayant pas encore réussi à loublier totalement et à faire le deuil de la relation que N/nous avions su créer. Il mavait à lépoque parlé de Vous car il avait eu la chance de pouvoir Vous rencontrer au Château dans une soirée D/s où il avait été invité, à lépoque où je nétais pas encore son esclave docile et dressé. Il y a un mois de cela, je me suis décidé à venir frapper à la porte de Votre merveilleux Château, dont le nom résonnait encore dans mes oreilles pour en avoir entendu parler avec tant de fascination, avec lespoir que je pourrai un jour Vous implorer de me permettre de Vous servir, Vous que mon ancien Maître appréciait profondément. La coïncidence a voulu que Votre majordome, Monsieur Walter, soit là et quil me propose de participer à cet anniversaire.
- Je sais de qui tu veux parler, du défunt Monsieur De la Chartedière, mon vieil ami, décédé en effet si tragiquement, hélas
Lidée de Water de te solliciter est aussi un curieux hasard qui a permis dagrémenter ma soirée. Mais jai une question qui mintrigue. Es-tu homme en fait ? Ou un véritable castrat des temps modernes ? Jai entendu dire que les anciens castrats qui étaient nombreux aux XVII° et XVIII° avaient parfois une sexualité très développée, car ils ne pouvaient pas éjaculer et étaient donc capable de rester des heures à bander, pouvant copuler sans sarrêter, tout en épuisant de nombreuses partenaires.
- Je suis par la force des choses un castrat involontaire. Un accident de vélo quand jétais , renversé par une voiture. Jen suis sortie indemne sauf une toute petite partie de mon anatomie qui ne fonctionne plus, le cordon spermatique ayant été sectionné et mes testicules en partie écrasées, je nai plus de capacité de produire de spermatozoïdes, donc de procréer, et il marrive assez rarement de pouvoir éjaculer faiblement. Ma voix est donc restée celle que javais car je nai jamais mué, elle sest même développé en grandissant profitant dune capacité thoracique dadulte. Pour ce qui est de mes attributs masculins, sachez queffectivement je suis toujours en possession de ma verge qui a été épargnée lors de laccident et qui est en parfaitement état de fonctionnement. Jai la chance davoir gardé une libido intacte, et toute la sensibilité sur mes organes génitaux, ce qui nétait pas le cas de la plupart des vrais castrats des temps anciens qui le plus souvent avaient tendance à voir se développer un embonpoint et des seins comme cétait le cas chez les eunuques des harems orientaux. Ai-je pu répondre ainsi, Monsieur le Marquis dEvans, à ce qui semblait vous intriguer ? Sachez que au fond de moi, je me sens homme, et non femme, ni efféminé, ni bisexuel, ni même avec lenvie dêtre un transsexuel, mais que je me sens avant tout soumis dans lâme à la recherche dun autre Grand Maître à qui je pourrais appartenir à nouveau, me remettant totalement entre Ses mains avec docilité et servilité absolue.
- Nous verrons cela en temps voulu
. Je ne me précipite jamais car devenir lun de mes esclaves se mérite et ta voix seule ne sera pas un passe-droit de quelque nature que ce soit. Mais puisque la soirée commence, nous allons tous pouvoir mesurer la portée de tes propos, ton degré dobéissance et les capacités de ta queue. Déshabille-toi maintenant, tout de suite !
Le Marquis dun signe de la main appelle son Majordome, Walter, pour quil sapproche et à loreille, IL lui demande :
- Va me chercher sans tarder mes deux chiennes Holly MDE et Thaïs MDE, car je tiens aussi à les remercier lune et lautre de leurs prestations et puisquelles ont commencés à nous offrir le spectacle, il serait bien quelles continuent. Cela manque un peu de sexe dans cette soirée, il serait temps de séchauffer un peu les sens, après les plaisirs du palais pensons aux plaisirs plus sensuels et charnels
(A suivre
)
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