Cinq À Sept

CINQ A SEPT

CITATION : "Dans la vie courante, le travail se termine souvent à dix-sept heures et le repas est servi à dix-neuf heures. Ce laps de temps de deux heures est souvent destiné à la détente : réunions entre amis, discussions de café... "

Marie, mon épouse de vingt-huit ans, a décidé en septembre de s'inscrire à un cours de perfectionnement en anglais. Aurore sa soeur de vingt-cinq ans a trouvé l'idée formidable et s'est inscrite au même cours, le vendredi soir de dix-sept heures trente à dix-neuf heures. Toutes deux ont fait valoir que cet effort pourrait améliorer leur situation professionnelle. J'ai applaudi leur engagement. Donc chaque vendredi à mon retour du travail, je me retrouve seul à la maison pendant que ma chérie remplit studieusement son temps libre. J'admire son courage.

Nous demeurons dans une résidence tranquille. Les fenêtre sur façade donnent sur un parkimg où une soixantaine de voitures stationnent en permanence les jours de semaine, en deux rangées et le long des trottoirs.Lorsqu'un véhicule libère une place il est remplacé dans les minutes qui suivent. J'ai installé mon ordinateur près d'une fenêtre et il m'arrive d'observer le ballet des conducteurs en recherche d'une place libre.

En octobre les jours raccourcissent. J'ai l'intention de préparer le repas du soir pour soulager Marie en ce vendredi soir. Son assiduité au cours d'anglais mérite quelques égards. Mais il est trop tôt. Je m'assieds à mon ordinateur près de la fenêtre et je pense avec attendrissement à ma chère épouse qui consacre sa soirée à l'étude des langues étrangères.

Dehors comme tous les vendredis, les conducteurs démarrent et le remplacement des voitures est plus lent. La semaine de travail se termine, les salariés venus de l'extérieur s'en vont. Dans un quart d'heure les habitants de la résidence, leur journée de travail achevée, gareront en bas leur auto pour la nuit. C'est l'intervalle de temps mis à profit pour des échanges curieux.

Deux voitures prennent place, le conducteur de l'une rejoint l'autre véhicule, s'y engouffre et celle-ci redémarre. Depuis que Marie la studieuse me laisse seul le vendredi de cinq à sept je m'amuse de ce manège et de ses variantes. Plus souvent c'est une femme qui quitte sa voiture et va embrasser le chauffeur galant, debout, sorti pour l'accueillir. Plus rarement l'homme quitte son siège et va s'asseoir à la droite d'une conductrice restée à son volant. Le temps de quelques bisous ils quittent les lieux. Peu avant dix-neuf heures les mêmes déposeront un passager ou une passagère à proximité du véhicule abandonné, les occupants échangeront un dernier baiser et deux voitures s'en iront. Selon moi, il y a de l'adultère dans l'air.

De mon observatoire j'attends le spectacle des amoureux qui se donnent rendez-vous sur ce parking discret. Quel mari viendrait ici constater la présence de la voiture de sa femme ? Une première place se libère à dix-sept heures cinq, aussitôt occupée. Une twingo rouge tourne en boucle autour du parking, semblable à celle d'Aurore. Evidemment ce n'est pas celle de ma belle-soeur, puisque la cadette est dans une classe à l'autre bout de la ville avec Marie. Par chance pour la conductrice une auto démarre juste en face de ma fenêtre. La twingo se jette sur cet emplacement. Personne n'en sort. Dans les minutes suivantes d'autres places sont échangées. Un homme se tient debout et adresse un signe de main. La portière de la twingo laisse sortir une blonde aux cheveux longs dénoués. La jeune femme trottine sur ses hauts talons, embrasse son galant longuement, va prendre place dans l'habitacle. Mais avant de disparaître elle observe attentivement mes fenêtres. C'est étrange. Je descends pour relever le numéro d'immatriculation de la twingo.

A dix-huit heures cinquante, la blonde reprend possession de la twingo, mais ne bouge pas. Peu après Marie sort de sa C3, se dirige vers la twingo d'où jaillit une brune à cheveux courts.
Elles s'embrassent gentiment comme deux soeurs et ensemble traversent la rue. Marie entre et se réjouit de la visite de sa soeur.
-Tu as oublié la préparation du repas? Ah! quand tu regardes tes matches de ligue 2 ! Ce n'est pas grave, Aurore et moi allons en cuisine. Tu peux regarder la télé.

Elles discutent, entrecoupent les phrases de mots anglais, rient , chuchotent parfois. Ce sont deux soeurs très complices. Le mobile d'Aurore sonne. Elle accourt au salon, décroche

-C'est toi, Paul, mon amour. Tu t'inquiètes ? Mais je t'ai dit que je passais la soirée avec Jean et Marie après le cours d'anglais. Tu avais oublié ? ... Oui, mais tu avais du travail, sinon je serais venue te chercher...Non, je ne m'attarderai pas trop.... Gros bisous, mon amour. A plus tard.

Bien sûr, l'homme de dix-sept heures dix n'était pas Paul, le mari d'Aurore. Mais la fille prudente rentrée blonde dans la Twingo et ressortie brune, montée au deuxième étage avec ma femme et qui prétend avoir suivi son cours d'anglais, c'est bien ma belle soeur. Hélas pour elle, le coup de la perruque est manqué. Je me garde d'en parler.

Deux soeurs complices à la cuisine mettent au point leur tactique. Si la plus jeune se paie la tête de Paul, que peut bien me cacher son aînée ? Soudain je me souviens d'une convocation à une réunion du comité de l'association sportive, et je prie femme et belle-soeur de bien vouloir m'excuser. Elles pourront discuter librement, je mènerai mon enquête.

Le vendredi suivant à dix-sept heures je monte en taxi devant les bureaux où travaille Marie. Je la suis. Le scénario est ressemblant à celui d'Aurore. Marie dépose sa C3 sur un parking, va embrasser un jeune homme de bel aspect, monte dans sa voiture. Ils s'arrêtent devant un hôtel. Je peux rentrer chez moi. Je pianote sur internet et découvre que ledit hôtel pratique le " day use", c''est-àdire le cinq à sept, : avec le temps, cette expression a pris une connotation péjorative puisque ce moment de détente peut également être celui des rencontres adultères.
. Voilà comment Marie se perfectionne en anglais, chaque vendredi soir. Je suppose que la jeune Aurore façonne également des cornes à son mari, à la même heure, peut-être dans le même hôtel à environ soixante-dix euros la chambre. Paul est cocu, moi, Jean, je suis aussi cocu.

Avant d'avertir mon beau-frère, je dois réunir des preuves de la double trahison. Après nous agirons peut-être ensemble. Le vendredi suivant avant dix-sept heures je suis en place sur le parking de l'hôtel de passes pour femmes mariées, muni de mon téléphone. Première arrivée, Marie entraîne son amant vers le hall d'entrée. Je filme les câlins sur le parking. Aurore suit avec son amant et mon téléphone enregistre leurs embrassades avant leur entrée dans l'hôtel. Je n'attends pas leur sortie. Je ne prépare pas le repas du soir commandé par Marie. Fatiguée ou pas, elle se débrouillera en rentrant, moi, je sors seul au moment où elle retrouve notre appartement. Mon comportement nouveau devrait lui mettre la puce à l'oreille. Huit jours plus tard, de ma fenêtre j'assiste à l'arriveé de la twingo d'Aurore, à l'embrassade de la blonde aux cheveux longs avec son amant, et à leur disparition en Mercedes puis à leur retour quatre-vingt -dix minutes plus tard.

Ils font l'amour en consultant leur montre pour être "dans les temps". En 90 minutes il faut accomplir deux fois le trajet, régler l'hôtel, se déshabiller, se câliner, s'unir et monter en température jusqu'à atteindre l'objectif, connaître l'orgasme, retrouver son calme, se doucher sans doute pour effacer les odeurs de transpiration et de foutre, se rhabiller. Ils sont jeunes, sportifs, mais n'ont guère le temps de savourer leur jouissance. Cela me laisse perplexe. Je crois donner à ma femme plus d'attention, plus de temps et d'amour. Que peut-elle trouver mieux dans une relation bâclée avec un autre?

La nuit est tombée, les lampadaires répandent une lumière parcimonieuse. Les deux soeurs arrivent à ma porte alors que je me rends à "un rendez-vous avec un ami.
" sans autre explication. Elles peuvent discuter librement de leurs aventures amoureuses de fin de semaine. Marie devrait commencer à réfléchir et à se poser des questions sur mes rencontres du soir. Ne serais-je pas en train de la tromper comme elle me trompe ? Mais sa passion pour un autre homme doit la rendre aveugle. Tant pis pour elle.

Il est temps de revenir rapidement sur le passé. J'étais amoureux d'Aurore. Aurore était amoureuse de Paul. Paul était amoureux de Marie. Marie était amoureuse de moi, Jean. Cette situation s'est dénouée de façon inattendue, Marie la fille aînée a eu le dernier mot, a encouragé le mariage d'Aurore et de Paul. La plus jeune triomphait et épousa Paul qui renonçait à Marie. Celle-ci sut me conquérir et briser mon rêve de devenir l'époux de sa jeune soeur. Du coup mes rapports avec Aurore, ma belle-soeur ne furent jamais très aimables. J'en voulais à Aurore d' avoir préféré Paul. Mon mariage de raison avec Marie nous rapprocha et nous formions un couple uni aux yeux des autres et pour moi. Advint cette histoire de changements d'automobile. sous mes fenêtres. Mariage d'amour ou mariage de raison aboutissent au même résultat, deux femmes trompent leur mari de la même façon et sont complices. Paul s'inquiète d'un retard d'Aurore, elle lui répond de chez sa soeur. Je pourrais chercher ma femme, elle serait chez Paul avec Aurore.

Ce vendredi à dix-sept heures je frappe à la vitre de la twingo dans laquelle Aurore ajuste sa perruque de blonde et attend le conducteur de la Mercedes. Est-ce cette voiture de luxe qui lui a tourné la tête et délié les cuisses ? Je lui souris. Elle tire sur les faux cheveux, fait disparaître son front et ses yeux. J'éclate de rire, elle rejette la perruque, me fixe toute rouge de confusion. Je frappe encore contre la vitre, elle la baisse. J'ordonne :

-Tu as intérêt à venir immédiatement chez moi si tu ne veux pas que j'alerte Paul.

Je tourne les talons, j'entends claquer une portière et des pas précipités dans mon dos. Nous entrons dans l'immeuble. De ma fenêtre je montre à Aurore l'arrivée de la Mercedes, puis l'amant déçu qui tourne autour de la twingo vide..

- Tu sais qui t'attend ? Veux-tu que je te rafraichisse la mémoire avec des videos?

-Non, ça va ? Tu veux me dénoncer à mon mari ? Vas-y. Tu lui feras de la peine, qu'y gagneras-tu ? Bon, je n'aurais pas dû stationner en bas. Jérôme trouvait que c'était un coin discret. Tu veux briser mon ménage à cause d'une liaison, ce serait méchant. Admets qu'on essaie de briser le tien, cela te ferait-il plaisir ? Tu aimes ma soeur, elle t'aime...

-Mais en ce moment elle s'envoie en l'air dans l'hôtel où tu devrais te trouver avec Jérôme. Faut-il le faire monter, je vous prêterais mon lit pour vos galipettes ?

-Et tu nous filmerais ! Ah ! non ! Je ne vais pas encourager tes talents de voyeur. Bon, j'ai compris la leçon, je ne cède jamais au chantage et mes galipettes du vendredi me rassurent sur mon pouvoir de séduction ; Paul profite de l'énergie renouvelée avec Jérôme. Plus je baise, plus j'en ai envie et plus Paul est heureux en amour. Puis-je rejoindre Jérôme maintenant?

Elle voudrait crâner, mais la pâleur de son visage trahit ses craintes réelles.

- D'accord, rejoins ton amant, mais auparavant appelle Paul pour lui raconter ce que Jérôme et toi allez faire dans cet hôtel où il est possible de louer une chambre à l'heure. Paul sera tout émoustillé par tes aveux et te réserveras certainement un accueil chaleureux à ton retour. Je te propose une autre solution. Tu peux gagner mon silence.

-Je t'écoute. Tu sais, j'aime Paul , contrairement à ce que tu peux penser. Le type en bas est très généreux, alors une fois par semaine, je lui fais plaisir et il sait récompenser ma bonne volonté et compléter la dose de sperme nécessaire à mon épanouissement. Ce n'est pas une relation durable et elle ne nuit pas à mon attachement à mon mari. Paul n'a pas à se plaindre de mon petit écart, il l'ignore,, ne la soupçonnera jamais. Je l'aimerai toujours, jusqu'à ce que la mort nous sépare, comme on dit et comme je l'ai juré. Nous faisons normalement l'amour, je ne lui refuse rien. C'est un bon mari, ne détruis pas notre couple. Il n'y a pas de cours d'anglais de notre niveau cette année parce que nous n'étions que deuxcandidates; mais l'année prochaine nous rejoindrons le groupe actuel. L'occasion s'est présentée, je l'ai saisie. Ce n'est pas la fin du monde.

- Ce qui doit m'expliquer que toi et ta soeur avez opté pour un cours de langue fourrée ? Marie ne me refuse rien, mais, contrairement à Paul, moi je sais que vous êtes deux soeurs salopes qui allez vous faire tamponner le bijou au moins une fois par semaine à l'hôtel. Vous méritez assurément la médaille du mérite et de la fidélité conjugale. Si j'ai compris ton discours, le vendredi vous suivez un entraînement avec un coach sexuel pour mieux aimer vos maris! Je tiens à tirer parti de mes observations. Alors passons à l'acte. Jérôme ne peut pas augmenter aujourd'hui ton envie de mieux aimer Paul. Je me dévouerai donc en le remplaçant, ce soir d'abord.

-C'est-à-dire? Qu'attends-tu de moi?

- Désormais le vendredi après le travail tu viendras prendre ton cours de langue ici. Tu renverras Jérôme à sa femme, car il est marié, n'est-ce pas, puisqu'il se cache à l'hôtel pour te baiser ? Oui ? Je m'en doutais.

-Mais ton niveau d'anglais n'est pas meilleur que le mien.

-Fais l'innocente. Raconte-moi comment Jérôme fait pénétrer dans ton cerveau des notions d'anglais avec sa baguette magique. D'ailleurs cette baguette n'arrose pas ton cerveau quand elle te pénètre le ventre. Tu sais très bien en quoi consistera le cours de langue.

-Oh ! Non ! Que va penser ma soeur ? Je ne peux pas lui faire ça. Toi le chantre de la fidélité, tu voudrais me pénétrer. Tu oublies nos liens de famille ? Tu es marié avec ma soeur, tu n'as pas le droit de me convoiter aux dépens de Marie.

- Mais comme elle sera occupée avec son amant, il suffira de ne rien lui dire pour qu'elle ignore tes visites à ton beau-frère. Comme Paul ignore Jérôme, Marie ignorera que je contribue à l'augmentation de ta libido et au bonheur sexuel de son beau-frère. Trève de discussion. Tu emmenais ta chatte au fromage, je vais te le servir ici, en famille. Ni Paul ni Marie n'en sauront rien. Accompagne-moi dans ma chambre.

- Jean, cette relation n'est pas permise. Tu n'as pas le droit de coucher avec la soeur de ta femme. Je résiste depuis toujours au désir de faire l'amour avec toi parce que cela ne se fait pas.

- Je prends le gauche. Cesse de résister, l'occasion se présente, saisis-la.Tu es belle, désirable. Je te désire, l'occasion est trop belle pour la manquer. Enfin, choisis, dis-moi que je te déplais ?

- Bon, puisqu'il le faut... Mais jure-moi de n'en parler à personne.

-Sois tranquille. Approche, embrasse-moi... Est-ce plus désagréable qu'avec Jérôme ? Non ? Alors je le remplacerai et nous gagnerons le temps perdu entre ici et votre hôtel. Enlève ta robe. Tourne sur toi. Bon sang, que tu es belle ma cocotte! Ton petit cul est à croquer. Et cette poitrine me donne des envies. Allez, à poil.

-Complètement ? Avec Jérôme je garde...

-Oublie Jérôme, définitivement. Laisse-moi faire. Tu as déjà mouillé ta culotte, le gousset colle à la vulve. Lève un pied, l'autre. Oh! tu as parfumé ton minou. ouvre les cuisses. Quelle belle chatte. Non, ne rougis pas, tu es très belle, chère belle-soeur. De plus je retire un plaisir infini de notre situation, elle a un arrière goût d'e qui m'excite au plus haut point. Tu permets ?

Avec ou sans permission je caresse le poil de la chatte, je titille le clitoris encore peureux, je l'excite de l'index. Aurore se soumet à mes fantaisies. Elle allait au lard, j'ai une lance en parfait état de fonctionnement, elle va le constater bientôt. Pour le moment je baise le mont de Vénus, je croque le berlingot, je sépare à deux mains les tranches de son abricot et en suce le nectar divin. Elle gémit et gigote un peu mais ne se dérobe pas. Quand mes mâchoires sont lasses de mâchouiller son entrejambe, je lui propose un changement :

-Saurais-tu me tailler une pipe ? On essaie.

Aurore à genoux devant ma virilité, échauffée par mes attouchements, ne rechigne pas. Dans une main largement ouverte elle soulève mes bourses en ébullition, les masse et les tritures comme pour me traire; dans l'autre elle tient mon sexe raide et sur la pointe de mon gland, décaloté par le mouvement en aller-retour de sa main autour de ma verge, elle crache un jet de salive avant de l'entourer de ses lèvres.

-Dis, belle-soeur, l'exercice semble te convenir. Va, tu es adorable. J'aime quand tes yeux me fixent. Oh ! Que tu es bonne. Et si on concluait. As-tu une position favorite?

Sans répondre elle va se coucher sur le dos, écarte les cuisses, me livre ce qui fut une forteresse imprenable quand jadis je la courtisais. Sa soumission m'étonne, je monte entre ses jambes, elle facilite mon approche en tirant sur ses grandes lèvres. Les nymphes alors se décollent, le vagin bâille à peine, son entrée cède sous la poussée de mon sexe. Aurore fait "Oui!", me regarde amoureusement. Nous pouvons engager l'affrontement de nos natures. C'est délicieux pour moi. J'en oublie mes soucis de mari cocu. je bombarde de coups de reins vigoureux le ventre accueillant.. Louve Aurore gémit, se tord lascivement, ponctue chaque pénétration d'un petit cri de plaisir. Elle referme ses jambes dans mon dos ou lève le croupion pour favoriser l'intromission, m'exhorte à frapper plus fort en con, se déchaine. Je lime longuement avant de lui demander de se mettre à quatre pattes. Elle obtempère, conquise et me remercie d'avoir enfin osé.

-Tu es merveilleux mon Jean. Oh ! Oui ! Chaque vendredi je viendrai me faire labourer le paradis par ton soc. Si je m'attendais à un tel bonheur. Encore... oui, je sens, eh! ah ! ouiiii.

Elle prend une douche rapide, se rhabille, m'embrasse et descend attendre sa soeur dans sa twingo. Marie descend de sa C3, va embrasser sa soeur coiffée de sa perruque blonde. Elles échangent quelques mots. Aurore s'en va, Marie revient et se plaint : les cours d'anglais lui font mal à la tête, elle a envie d'abandonner. Je m'étonne :

-Ah! Non! Marie. C'est un découragement passager. Tu ne peux pas arrêter aussi vite. Fais preuve de persévérance. Que va penser ta soeur, tu ne peux pas lui donner le mauvais exemple et l'entraîner dans le même abandon. Non, tu dois continuer.

-C'est ce que tu penses. Tu as sans doute raison, c'est une fatigue passagère. Je vais me reprendre. Merci de tes encouragements, ils me remontent le moral.

En réalité, l'abandon des supposés cours viendrait casser ma relation toute neuve et si plaisante avec Aurore. Je viens de mettre notre liaison au point, je ne veux pas laisser à Marie l'occasion de détruire mes plans.

C'est vendredi, Aurore m'apprend que sa soeur a été larguée par son amant.
" Marie, dit-elle, rôde en ville en attendant 19 heures,l'heure du retour. La nouvelle me laisse froid. Aurore est là, c'est l'essentiel. J'adore sa façon de se donner, de m'accueillir en elle et de proclamer l'arrivée de son orgasme. J'apprécie aussi sa souplesse et son ardeur dans toutes les positions. Je découvre avec satisfaction son goût pour mon sperme, sa manière gourmande de l'avaler quand je me retire de sa fente pour éviter un . C'est elle que j'aurais dû épouser. Chaque nouveau vendredi me renforce dans cette conviction. Dehors, le soir, il fait de plus en plus froid. Aurore conseillera à Marie de courir les grandes surfaces pour le temps pendant que nous prenons du bon temps. Ainsi chacun ment, trompe, est trompé mais personne ne souffre.

Je rends visite à Paul, mon beau-frère. Je lui montre les videos anciennes de sa femme et de Jérôme. Le brave garçon s'effondre. Il ne comprend pas, le ciel lui tombe sur la tête. Il regrette d'avoir épousé la cadette, sa mère lui avait dit de marier l'aînée beaucoup plus mûre et plus sérieuse. C'est une aubaine et j'exploite sur le champ cette confidence :

-Ta mère avait raison. D'ailleurs Marie est trop sérieuse pour moi. Nous sommes en train de rompre. Tu faciliterais ma tâche si tu tentais de la séduire. Tu me rendrais un grand service et tu remplacerais l'infidèle Aurore par une Marie tout heureuse de retrouver un mari moins agité que moi. Tu ferais d'une pierre deux coups..

Je lui indique où rencontrer Marie le vendredi à la sortie du bureau vers 17 heures. Je lui conseille de la conduire à l'hôtel dont je lui donne l'adresse. Il pourra à la fois conquérir Marie et se libérer de la femme qui le trompe. J'ajoute prudemment :

-Commence par la conquête de Marie. Ne reproche rien à Aurore avant d'avoir gagné le coeur de Marie. Après chasse la .femme adultère.

- Ce n'est pas une farce ? Tu es sérieux, je peux emmener Marie à l'hôtel ? Tu ne m'en voudras pas ? Mais c'est ma belle-soeur, ça ne se fait pas.

- Fais comme je te dis. Contente toi de la trouver belle et à ton goût et oublie le mot soeur. L'essentiel est de l'aimer, de la désirer et de la consoler de notre séparation programmée.

Ce vendredi, Aurore et moi faisonsl'amour comme des fous. Quand j'ai ramoné le sphinter de la belle elle déclare que je suis le meilleur. Au retour de Marie, sa soeur remise de ses émotions l'attend au salon. Elle veut avoir de ses nouvelles. Marie semble transformée et la conduit à la cuisine pour discuter. Soudain Aurore fait irruption au salon et me crie :

-Jean, tu es cocu. Tu te rends compte, ma salope de soeur vient de se faire sauter par mon mari. Je vais divorcer.

Je ne peux pas faire moins bien, j'interroge :

-Qu'est-ce que j'apprends, Marie ? Après ton amant de l'hôtel des vendredis de cinq à sept, tu as perverti le mari de ta soeur ? Mais tu as le feu au cul. Moi aussi je veux divorcer. Je croyais à une passade avec l'autre jeune homme, je vous avais filmés devant l'hôtel en train de vous bouffer le museau. Et maintenant tu pourris Paul. Va donc vivre chez lui. Comme Aurore désire aussi divorcer je lui offre le gîte pour ce soir. Prends le nécessaire pour la nuit et reviens demain emballer tes affaires.

Le lendemain Paul et Marie viennent récupérer ce qui appartenait à Marie. Paul me prend à part:

-Il faut que je te dise, Marie au lit, c'est un sacré coup. C'est une affamée de bite, une suceuse hors pair. Tu ne m'en veux vraiment pas? A ton tour de me rendre service, pourrais-tu encore loger Aurore chez toi en attendant notre divorce. Elle accepterait plus facilement notre séparation ?Je lui ferai livrer vêtements et autres biens chez toi . Après elle devra se trouver un autre idiot à tromper. Merci pour tout,.
-C'est un service que je te dois pour m'avoir débarrassé de la femme qui me barbait. D'accord, Aurore pourra vivre chez moi si c'est ce qu'elle veut. et ce que tu souhaites. Entre beaux-frères la réciprocité est naturelle.

L'échange de femme s'est déroulé de façon exemplaire, sans larmes et sans pleurs. Chacune et chacun y trouve son compte, trouve un nouvel amant ou une nouvelle maîtresse. Le tribunal met de l'ordre en prononçant le divorce. Pour moi la solution est parfaite. Paul, au bout d'un certain temps devient nostalgique. Au cours d'un repas de famille il annonce son intention de nous proposer une amélioration. C'est surprenant de sa part, je l'écoute avec un intérêt mitigé.

- Nous quatre nous connaissons bien. Ne pourrions-nous pas organiser entre nous, chaque vendredi une soirée "amour libre". Je m'explique. Réunis, dénudés, au gré de nos envies nous pourrions nous unir librement avec l'une ou l'autre. Jean tu coucherais avec Marie, Aurore avec moi, Marie avec Aurore. Enfin nous obéirions à nos pulsions du moment sous les yeux de tous.

Aurore applaudit, Marie avoue avoir conçu le projet avec Paul. Seul contre trois, je m'incline. La rencontre hebdomadaire nous rapproche de nos ex ou nous fournit un moyen de mieux nous apprécier. Les deux soeurs se lâchent et s'aiment ouvertement devant nous, compagnons médusés de voir jusqu'où peut allerla complicité de deux soeurs amoureuses l'une de l'autre. Nous épuisons vite les possibilités d'échanges. A son tour Aurore propose un élargissement du cercle. Je renâcle mais mis en minorité, heureux de ne pas devoir m'unir à Paul, je finis par accepter.

Dès le vendredi suivant Aurore présente une recrue : J'ai demandé à Jérôme de venir enrichir notre équipe. Cette fois je me révolte :

-Jérôme ? Ton ex amant ? Tu as renoué avec lui ? depuis quand ?

Aurore est scandalisée:

-Pourquoi protestes-tu aujourd'hui ? Il y a huit jours tu étais d'accord. Par ailleurs, il s'agit bien de l'homme à la Mercedes. N'est-il pas splendide ? je n'ai pas eu à renouer avec lui, nous n'avons jamais rompu. Jérôme est mon chef de service, nous travaillons ensemble et plusieurs fois par semaine, dans son bureau, Jérôme recharge mes batteries sur une chaise ou sur une table. Remercie-le de me garder sexuellement au maximum de mes capacités dont tu profites tous les jours. Console-toi, le vendredi il soignera particulièrement Marie.

Merde!

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