Marthe
Depuis le matin nous travaillions avec Marthe à la rénovation de sa maison de campagne. En principe nous aurions du être quatre, mais mon épouse était au chevet de Léon, son père qui s'était fait une belle hernie sur le chantier deux jour plus tôt et devait être opéré.
Marthe a hérité cette maison il y a plusieurs années, mais l'idée de la restaurer lui est venue brusquement au début de cette année et comme c'est une grande impatiente, il a fallu tout mettre en route toute affaire cessante pour réaliser son projet. Mon épouse et moi avions donc rejoint mes beaux parents pour leur donner un coup de main à l'occasion de nos vacances d'été.
Le soir venu, lorsque nous avons décidé d'arrêter, je me suis précipité sous la douche car nous avions travaillé dans la poussière et nous ressemblions à des charbonniers. Pendant que je me douchais, Marthe commençait à préparer notre repas du soir. Soudain je la vis faire irruption dans la salle de bains :
- Richard, j'ai besoin de toi ! je viens de me couper le doigt et ça saigne, peux tu me mettre un pansement ?
- Ok ne bougez pas
Je suis sorti de sous le jet et me suis drapé dans une grande serviette puis je me suis approché du lavabo au dessus duquel le doigt entaillé saignait. Après un rapide coup d'il, j'ai sorti le nécessaire de l'armoire à pharmacie et jugulé rapidement le saignement puis j'ai fait un pansement et suis retourné sous la douche.
Marthe est restée là et me regarde me savonner puis elle m'a dit :
- Tu ferais un bon infirmier
Me tournant vers elle je réponds :
- Je suis secouriste, il faut bien que ça serve à quelque chose
Elle me détaille en souriant et quitte la salle de bains pour regagner la cuisine. Être nu devant elle ne me gêne pas, je fais du sport et ne suis pas pudique.
Une fois prêt je suis allé dans la cuisine et Marthe m'a demandé de surveiller le frichti qui mijotait doucement pendant qu'elle prenait sa douche.
J'étais assis dans la cuisine, le regard flânant sur le joli paysage visible de la fenêtre quand j'ai entendu ma belle mère m'appeler. Lorsque je suis arrivé dans la pièce elle était toujours nue sous la douche me tournant le dos et elle m'a demandé :
- Peux tu me frotter les dos s'il te plait, avec le pansement que tu as fait et le sac en plastique que tu as mis dessus pour le protéger je n'y parviens pas
Je me suis saisi du gant de toilette et je lui ai lavé le dos. Elle n'est plus de première jeunesse, la cinquantaine bien sonnées, cependant j'ai constaté qu'elle un beau cul.
Je lui frotte le dos les flancs et les hanches et ma main s'aventure un peu sur le haut de ses fesses.
- Utilises donc le gant de crin, c'est un peu rude, mais j'aime bien ça
Je prends donc le gant de crin et après l'avoir mouillé je frotte à nouveau son dos sans trop appuyer mais en étant ferme
- Passes bien sur les côtés, c'est super
Pour une fois que quelqu'un s'occupe de moi
- Et Léon, ils ne vous frotte pas le dos ?
- Non, on dirait qu'il a peur de me toucher
D'ailleurs, il ne me touches plus
pas plus pour ça que pour autre chose
Je m'applique à lui frotter le dos et les flancs comme elle me l'a demandé. Quand ma main remonte le long de son côté elle se tourne un peu et je peux voir son sein généreux. Sa poitrine tombe un peu, mais comme on dit, elle a de beaux restes
au bout d'un moment de ce traitement j'arrête et pose le gant et elle me dit :
- Ah non ! continue, c'est tellement agréable
- Attendez un instant, je vais arrêter la gazinière et je reviens
- D'accord mais dépêches toi.
Je vais rapidement jusqu'à la cuisine et m'assure que notre repas n'as pas cramé. Je pose un couvercle sur le faitout et retourne vers ma belle mère.
Lorsque je rentre dans la pièce Marthe me fait face, son pubis est orné d'une toison brune abondante et ses seins sont bien comme je les avais devinés. Elle me tend le gant et me dit :
- Allez jeune homme, il faut finir ce que tu as commencé
Je remet le gant et elle me tourne le dos prenant appui de ses deux mains sur le mur de la douche. Elle se cambre en écartant légèrement les jambes et me dit :
- Frotte aussi sur mes cuisses, ça fait circuler le sang
Je recommence à frotter son dos, puis ses fesses, puis ma main descend sur ses cuisses. À chaque fois que ma main gantée remonte entre ses cuisses, elle se cambre au maximum et fléchit légèrement les genoux espérant sans doute que je remonte jusqu'à son intimité. Au bout d'un moment, elle se retourne et me demande :
- Frotte moi le ventre et la poitrine, tu fais ça très bien
Aussitôt que ma main se pose sur son ventre , la pointe de ses seins se dresse ne laissant aucun doute sur ce qui lui traverse l'esprit. Lorsque ma main va jusque là, elle ferme les yeux et je comprends que je viens d'atteindre une limite sensible
, j'enlève le gant et le passe sur sa main valide en disant :
- Voilà
maintenant il faut aller dîner sinon ça sera froid
Elle ouvre les yeux et me remercie avec un sourire enjôleur
- C'est dommage, c'était si bien
- Une autre fois peut être
et je quitte la pièce pour aller mettre le couvert.
Quelques minutes plus tard, Marthe me rejoint vêtue d'une vielle robe de chambre et me dit en s'asseyant :
- C'était très agréable, tu es aussi un bon masseur, elle en a de la chance ma fille
- Elle aime bien les massages
- Heureusement que vous venez de temps en temps, comme ça on pourra te partager
Nous dînons tranquillement en parlant de travaux et de choses et d'autres puis nous montons dans le dortoir aménagé dans le grenier où nous ferons trois chambres un peu plus tard.
Lorsque je m'assois sur mon lit, mon téléphone mobile sonne, c'est mon épouse qui nous donnes des nouvelles. Marthe est venue s'assoir près de moi sur mon lit pour entendre sa fille. Elle a posé quelques questions et sa fille l'a rassurée quant à l'état de Léon. Il a bien supporté l'opération et sa constitution lui permettra de se remettre assez rapidement
Lorsque mon épouse a raccroché, je me suis allongé sur le lit et j'ai posé le téléphone sur la table de nuit. Marthe s'est levée puis s'est penchée sur moi laissant son peignoir s'ouvrir sur sa nudité pour me faire la bise puis elle a gagné son lit et comme moi s'est mise à lire. Après deux chapitre de lecture, j'ai reposé mon livre, éteint la lumière et me suis endormi rapidement.
Le lendemain matin de bonne heure, un léger bruit sur ma table de nuit et une bonne odeur de café m'ont réveillé. Lorsque j'ai ouvert les yeux, Marthe était penchée sur moi et s'apprêtait à me faire une bise pour me réveiller :
- Bonjour, c'est l'heure
Tu as du café là
- Bonjour Marthe, c'est gentil
J'aime bien être réveillé comme ça
Elle était toujours penchée sur moi attendant que je l'embrasse et je pouvais voir sa nudité dans l'échancrure de son peignoir. La prenant par les épaules j'ai voulu me redresser pour lui faire la bise, mais je l'ai déséquilibrée et elle est tombée allongée sur moi. Elle m'a attrapé par le cou et est remontée plus haut sur mon ventre. Elle a piqué un petit baiser sur mon nez et m'a dit :
- C'est agréable d'être dans les bras d'un beau jeune homme au réveil
- Ça peut aussi être dangereux
Passant sa main entre nous, elle prit en main ma verge qui commençait à grossir et dit :
- À cause de ça ?
- Ben oui, on peut se piquer ais je répondu en riant.
Elle a roulé sur le côté et d'un geste ample elle a rejeté le drap et à repris mon sexe tendu en main en disant :
- Je n'ai pas peur
Même si il y a longtemps que je n'ai pas vu ça au réveil
J'étais plutôt stupéfait.
- C'est agréable de sentir un corps nu contre le mien
- C'est chaud là ! C'est pas dans notre programme ça
- Baise moi, depuis l'infarctus de Léon je me fais jouir à la main
- Mais voue êtes ma belle mère, et que dirait votre fille ?
- Tu vas lui raconter ?
- Non évidemment
- Alors viens
Elle a roulé sur le côté m'entraînant sur son ventre et a écarté les cuisses au maximum. Je suis entré en elle sans difficultés et j'ai commencé à la besogner avec vigueur. Elle a passé ses mollets derrière mon dos et m'as talonné les fesses en geignant. Chacune de mes pénétrations lui arrachait une exclamation sonore. Au bout de quelques minutes elle s'est mise à crier des "oui" puis j'ai senti qu'elle se crispait et elle s'est agrippée à moi m'empêchant de me retirer. Les spasmes de son vagin ont eu raison de moi et j'ai éjaculé abondamment au fond de sa chatte. Lorsqu'elle a senti mon sperme l'envahir elle a dit entre ses dents :
- Oh putain que c'est bon ! il y a mille ans que j'ai pas pris un pied pareil
Elle a repris son souffle et en desserrant un peu ses jambes elle m'a dit :
- Prend moi en levrette maintenant, tu bandes toujours et j'ai encore envie que tu me défonces
Quand elle a détaché ses jambes de ma taille, je l'ai retournée et je l'ai pénétrée à nouveau. Elle s'était cambrée au maximum, posant sa poitrine sur le lit et écartant ses fesses de ses deux mains pour que je puisse mieux m'enfoncer en elle. J'avais une vue magnifique sur son beau cul et je me suis dit qu'à l'occasion, je lui prendrais bien la rondelle
ainsi la mère me donnerait ce que la fille me refuse
Marthe était encore très excité, aussi se mit elle rapidement à gémir très fort dans l'oreiller sur lequel sa tête reposait. Elle se tortillait, ondulant de la croupe et je n'eus pas de mal à croire qu'elle était sevrée de cul depuis déjà longtemps. Au bout d'un court instant, j'ai senti son sexe se resserrer sur mon membre et me suis mis à la besogner à toute vitesse. À l'instant ou j'éjaculais à nouveau elle cria son plaisir dans l'oreiller et glissa à plat ventre. Je me suis retiré et me suis allongé près d'elle, nous avons repris nos esprits lentement puis elle s'est tournée vers moi et m'a dit :
- Merci Richard. Voilà une éternité que je n'avais pas fait l'amour
Quel plaisir
je ne regrette pas de t'avoir accordé la main de ma fille, elle doit se régaler
- À mon goût e n'est pas assez portée sur la chose, mais à ma connaissance elle ne se plaint pas
- C'est dommage, je suis certaine qu'on peut bien s'amuser avec toi
- En attendant, me voilà en flagrant délit d'adultère
- Ne t'en fais pas, ça restera entre nous
si tu me promets de recommencer
- Bravo, vous ne manquez pas d'à propos
mais ceci dit, ça sera difficile
- Déjà, en rentrant de l'hôpital ce soir nous pourrions dormir ensemble
- Seriez vous un peu gourmande ?
- Tu verras ça ce soir
en attendant nous avons du boulot ce matin
après une partie de jambes en l'air comme ça, je me sens une pêche d'enfer
Nous nous sommes levés et après un petit déjeuner rapide bien que copieux et une petite toilette, nous sommes retournés sur le chantier. Le travail a bien avancé et vers treize heures, nous sommes partis nous doucher et nous restaurer. Marthe a voulu que nous prenions notre douche ensemble. À peine étions nous savonnés qu'elle s'est mise à genoux devant moi dans la baignoire pour me tailler une superbe pipe. Quand j'ai été bien raide, elle s'est appuyée des deux mains sur le carrelage de la douche et a guidé ma verge tendue entre ses jambes pour que je la prenne :
- Vas y, enfonce toi, il faut que j'en profite tant que je t'ai à moi toute seule
Je l'ai pénétrée sans hésitation et je l'ai besognée à grand coups de reins. Elle a appuyé son épaule contre le mur et a écarté ses fesses de ses deux mains ;
- Oui, bourre moi, c'est bon
Je me suis retiré et j'ai appuyé mon gland durci sur son anus. Immédiatement elle a stoppé mon geste de la main en me disant :
- Non, pas maintenant
Je te donnerai mon petit trou ce soir, j'aime bien ça mais il me faut de la préparation et nous n'avons plus le temps
Je me suis à nouveau enfoncé dans sa chatte ruisselante et j'ai accéléré le rythme, faisant claquer mon ventre contre ses fesses. Rapidement elle a émis une sorte de miaulement et je l'ai sentie se resserrer sur ma queue. Je l'ai accompagnée et me suis retiré au dernier moment pour crépir son dos de mon sperme chaud. Elle s'est retournée pour me faire face puis s'est baissée pour sucer ma queue et avaler la semence qui restait dessus.
- Tu sais, je préfère que tu décharges dans ma chatte, ça ne risque plus rien et j'adore sentir ton foutre tout au fond de moi.
Nous nous sommes nettoyés et nous avons revêtu des habits propres pour aller à l'hôpital voir Léon et mon épouse. Pendant le trajet, Marthe était toute gaie, elle était totalement différente de la Marthe que j'avais vue jusqu'à présent. Elle se tenait plus droite, plaisantait plus, faisait moins de critiques, elle souriait plus aussi
et de temps à autre, elle posait sa main sur ma bitte comme pour vérifier qu'elle était toujours là.
Je conduisais sans rien dire, mais je pensais que cet engouement soudain risquait de générer quelques problèmes. Pour l'instant j'étais assuré de sa discrétion, mais j'étais convaincu que les vacances allaient être un peu compliquées et qu'elle reviendrait à la charge quand les congés seraient finis
Après tout nous verrions bien le moment venu
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