La Folle Année Chap 1

Quelle folle année, cette année là, après cette rupture ....
Il faut reprendre confiance en soit et en son corps .... Il faut retrouver l'envie, se faire désirer, attendre, provoquer, attirer, se laisser aller ...
J'étais une autre, dévergondée, éffrontée même, face à cet gente masculine obsédé par le sexe, la pénétration, les fellations, la sodomie .....
J'étais devenue une sorte de "prostituée ", naviguant d'un homme à un autre mais aguichant mes "proies" pour les hypnotiser et les rendre dépendants de mon corps alors très attirant :
J'avais des seins joliment dessinés, tout mignons, fermes et pulpeux à la fois..., au milieu desquels des bites pouvaient venir se glisser,
Un ventre plat, musclé, doux, couleur caramel, reste du bronzage de l'été, que j'aimais que l'on me caresse et qu'on me lèche....et sur lequel le sperme chaud coulait,
Une petite chatte, très coquine mais si timide, si fragile, si effrayée qu'on puisse lui faire mal. Très excitée, elle était souvent, à cette époque ( et elle l'est toujours aujourd'hui ...), très chaude et humide, prête à accueillir ces verges en érection, ces éjaculations de plaisir....
Peut être étais je une salope, une pute mais les mecs adorent ça ..... Coucher avec plusieurs filles, les tromper, se taper des prostituées, ça ne les perturbent pas.., eux : pourvu qu'ils aient du plaisir, qu'ils réalisent leurs fantasmes ...
Je leur faisais croire et espérer qu'avec moi ce serait le Nirvana ..., et ça l'était .

Il y en aura eu des hommes, des pénis tendus de désirs, des bouches gourmandes d'embrasser, de lécher , de sucer, d'avaler ....
B, était devenu architecte. C'était un ancien ami du lycée, plus âgé que moi, je l'ai retrouvé à Nice. Romantique à souhait, il me dévorait des yeux, me couvrait de compliments, me disait de jolies phrases tout en me serrant fort la main... Des regards malicieux, admiratifs , langoureux ...
Pas le temps d'un resto ce soir là : l'envie, trop intense, nous a ramenés en taxi vers son appartement : ce fut très très chaud dans ce taxi.

...: sa main n'ayant pas quitté ma culotte sous ma jupe..., ni moi, la mienne, son sexe durci, prêt à me pénétrer comme un fou.
Les escaliers gravis en courant, la porte ouverte violemment , les vêtements arrachés, jetés tout le long du trajet pour aller dans la salle de bain .
Sous la douche..., que de la tendresse, des caresses pour arriver presque à la rupture, au lâcher prise .... Il m'a alors mis sur le bord de la baignoire, debout, m'a léchée toute l'eau ruisselant sur mon corps ... Il est remonté peu à peu vers mon sexe gonflée de désir espérant son sexe en moi ... Il m'a léché mon clitoris, mes deux lèvres, mes poils ..., m'a pénétrée avec sa langue .... Je gémissais : j'en voulais plus, encore plus .... Alors..., il s'est assis au bord de cette baignoire, je me suis mise à califourchon sur lui. Je me suis enfoncé sur son sexe et après plusieurs va et viens ..., l'explosion.., la jouissance , les cris....
Je me suis rhabillée, honteuse d'avoir fait ça avec lui .... Je perdais un ami... Je ne voulais plus jamais le revoir ... Il n'a pas compris, il voulais que je reste. Il m'aimait je crois .., mais moi non ... Il allait être malheureux. Il s'était donné à moi et je m'étais enfuit ....
J'etais une petite garce.... Il ne m'oublierais jamais m'a t'il criait avant que la porte de l'ascenseur ne se referme sur moi ..