Cocus, Mais Plus Tellement...

Pourquoi je me trouve ici? Je n’aurais pas dû. Mon mari, ce salaud, c’est sa faute à lui si je me trouve la’. Il aime me mettre les cornes, oui, et même devant mes propres yeux. Allez Monique, soit cool, c’est la mode. C’est le 1980, les années de la liberté sexuelle, on osa plus. Mais ce qui me révolte l’estomac ces fêtes la’ ! Et c’est lui qui m’y porte, il m’y oblige même, ce con…

La voila, sa petite chérie ! C’est Anne, la femme d’Yves. Le pauvre Yves, cocu comme moi, qui regarde sa femme et mon mari flirter ensemble, devant nous ! La main qui glisse sur le cul, les petits sourires, les chuchotis, et il va même plus à fond. Non, ça c’est trop ! Il lui tire de l’index le lycra du tee-shirt pour lui voir les nichons ? C’est bon, je vais lui tirer une belle raclée à ce connard. Mais c’est qui, qui me retient ? Je reconnais ses yeux. Les yeux d’un cocu comme moi : Yves.

Il secoue la tête, silencieusement, baissant le regard. Il déteste comme moi ces fêtes perverses. Tout les quatre on est amis depuis le lycée. Moi et lui nous avons eu même une petite relation, deux petits bisous et pas plus, avant que moi je me mari cet imbécile de Paul et lui la garce d’Anne. Mais on s’aimait, au fond, on s’est toujours aimé moi et Yves. On a peut-être fait une erreur, tous les deux ! Et peut-être il n’a pas tord. Si Paul me traine la’ et il fait ça devant moi, c’est pour que je fasse un scandale. C’est ce qu’il veut. Yves le sait bien, tout comme moi. Les autres s’amusent, à ces fêtes d’échangisme mais nous, on reste à siroter nos verres, complètement a l’écart.

Depuis longtemps je me dis que je devrais moi aussi me lancer à ces fêtes. Moi aussi je peux baiser avec qui je veux, qu’est ce qu’il pense Paul ? Je ne suis pas une blonde, haute, et femme fatale comme cette salope d’Anne ; mais je suis plaisante. Et depuis que ce connard de Paul me tire dans ces soirées, j’essaye d’être toujours au top, le plus sexy possible.

Mais pas évident avec trois fils de cinq a deux ans ! Je ne peux pas toujours être tirée aux quatre épingles, en guêpière et talons, ou comme il aimerait me trouver quand il rentre du travail : jambes écartées, sur le lit, prête a l’usage.

Pendant que je me décide si me lancer ou pas, ça chauffe un peu trop pour mon gout. Cette fois, je sais, c’est pire que la dernière fête. Je vois déjà deux jeter dans un côté. Ils font quoi ? Même si c’est sombre, ça se comprend : la garce tiens ses jupes relevées et le mec, le mari de Simone, est à genoux et fourre la tête entre ses cuisses. Mais elle est ou’ Simone, elle dirait quoi de… je retire aussitôt. Ce n’est pas trop difficile de voir le sexe de Laurent qui se coince entre les fesses de Simone. Il se branle carrément de ces fesses, qu’il presse contre son entrejambe en érection. Ça me révolte l’estomac. Il est ou’ ce salaud de mon mari ? Je veux partir. Mon œil vague sur les gens, mais il n’y est pas.

Je lance un petit regard a Yves, il ne me laisserait pas aller le chercher. Mais il est assis sur un fauteuil et cherche à résoudre un casse-tête qu’il a trouvé sur la table. Il ne me regarde pas et je pars à la recherche de mon mari. Pas évident, on s’en fou de moi. Ils sont trop pris a se touchés l’un a’ l’autre.

... Amuse-toi un peu, Jacky ! On dirait ma grand-mère....

Même Piper, l’australienne, a trouver celui qui lui donne du plaisir. Assis tout deux sur un canapé, un type lui a fourré la main sous ses slips et elle lui branle le sexe qui sort du pantalon, sans honte, devant tout le monde qui voit la bite du type qui se fait tripoter par la main de Piper. Mais c’est quoi ce délire ? Je dois retrouver Paul... je veux partir ! Et puis… Oh, ciel, non ! Je m’approche de la porte d’une chambre. C’est quoi ces bruits ?

…flop, flop, flop….
…hm, oui…
…flop, flop, flop…
…plus rapide, vas-y, plus vite…

Je reconnais sa voix. Non, c’est dégueulasse, je ne veux pas voir ! Mais puis… je pousse un peu la porte.
Bon sang! C’est clair, bien clair ce qu’ils font. Il est assis sur le lit et elle est à genoux entre ses jambes. Anne me donne le dos, mais d’après le mouvement de sa tête et le bruit… c’est clair ! Il se fait faire un pompier, comme ça, comme si je n’existe pas? C’est horrible. Elle arrête les mouvements de sa tête et j’entends d’autres bruits. Je le vois serrer dans les mains les couvertures, la regardant, le visage de qui se prend un bon plaisir… surtout à mettre les cornes a sa femme !

D’un coup de tête, Anne fait voler sa chevelure de son dos sur une épaule. Elle repose la tête sur la cuisse de mon mari et je vois son sexe bandant. Elle le branle tandis que de la langue elle lui… elle lui lèche les couilles! Pourquoi ne me suis-je pas jetée dans la chambre pour arrêter ceci ? Je me tiens la’, et je regarde le seul homme de ma vie, qui se fait lécher, sucer, et branler par une garce ! Qu’est ce qui me prend ? Je ne fais rien, ni même quand je vois son visage. Je connais ce qui lui arrive… j’ai connu ce visage un tas de fois, et surtout trois fois, presque trois fois de suite, avant que je ne tombe enceinte, et selon lui c’était de ma faute ! Il ne les a jamais aimé ses s. Il n’en voulait pas. Tandis qu’Yves les aimait comme si ce fut leur père. Je ferme les yeux, je ne veux pas voir.

… flop, flop, flop…
…oh, oui ! vite, vite…
… flop, flop, flop, flop…
… je vais…. Anne je vais jouir…
… flop, flop, flop…
… je joui !...

J’ouvre les yeux et je le vois, le visage contre le plafond, la bouche ouverte. Il a joui dans la gueule de cette putain et elle avale, en plus ! Il baisse les yeux sur elle, lui sourit, et il bande encore! Avec moi, il tire sa crampe, se jette de côté et après deux minutes ronfle déjà. Elle se met debout, s’enlève le tee-shirt et descend ses jupes. Elle ne porte même pas de sous-vêtement ! Ils vont faire quoi ? Elle le pousse d’une main, et il s’allonge. Elle le chevauche, prend d’une main le sexe de mon mari et elle… non, c’est terrible.
Elle retombe sur mon mari qui l’empale, et j’entends leurs cris de plaisir.

Je sens une main sur moi, et je sursaute en me tournant. Je crois qu’il voit mes yeux embués de larmes et il me prend aussitôt dans ses bras. Deux cocus qui se consolent l’un a l’autre ! Peu après je suis assise près de lui, dans une chambre, la tête sur sa poitrine. Je sanglote comme une petite fille a qui on lui a volé la sucette. Quel horrible exemple ! Il me serre dans ses bras, me caressant les cheveux, tandis que d’une main je serre sa cuisse et de l’autre sa chemise. Je me reprends un peu et je lui dis quelque chose que moi-même je ne comprends pas. Il sourit en essuyant mes larmes.

Mais pourquoi on n’a pas continué notre relation, moi et lui, et nous nous sommes mariés avec des connards qui nous mettent les cornes ? Mais surtout pourquoi je pleur comme ça ! Qu’est ce qu’elle a cette pétasse plus que moi ? Je fais de bonne pompe aussi, et je peux être sexy et dépravée a mon tour, faire l’amour avec audace. Non, ne pas faire l’amour… mais baiser ! Je sais niquer. Je sais foutre. Oui, je sais être une garce aussi. Paul ne m’en donne jamais l’occasion, moi je suis celle qui prépare à manger et avec qui on tire sa crampe ! On ne s’amuse pas avec elle, on ne joue pas dans le lit. D’accord, si ce n’est pas lui qui me veut, c’est quelqu’un d’autre qui le fera... et il ne dira pas non.

Je colle mes lèvres aux siennes et je l’embrasse sans préavis. Il reste ébahi. Je remonte une main sur sa nuque et je serre un peu plus l’autre main sur sa cuisse. Je sais bien faire l’amour, et je suis encore belle. Trois grossesses, et pas une seule vergeture, ni un kilo de plus. Cheveux noirs, la peau blanche, de belles lèvres charnues, et a trente-six ans j’ai encore le physique d’une jeune fille. Puis, après avoir allaité trois fils, j’ai deux gros seins aussi.

J’embrasse Yves un peu plus et comme quoi il ne dit rien, mais ne fait rien non plus, j’essaye à faire rentrer ma langue.
Je ne trouve pas de résistance ! Sa bouche est chaude, je trouve vite sa langue, et vite il fait entrer la sienne dans ma bouche. Il répond à mes baisers, avec la même envie que moi. Je le retiens par ma main sur sa nuque, et lui, me serre dans ses bras. On se désirait depuis longtemps, oui ! Et c’est incroyable, rien que ce baiser et je me sens si chaude... je mouille ! J’émets quelque petits sons de plaisir pendant qu’il m’embrasse. On joue longtemps avec nos langues, sa salive dans ma bouche et la mienne dans la sienne. Ma main serre plus sa cuisse, et, toute seule, semble remonter vers sa braguette. Je sens quelque chose. Je sais, il bande ! Et il bande pour moi.

Je décolle mes lèvres des siennes. Il tarde à ouvrir les yeux, haletant. Ma main sur son entrejambe, des doigts je le chatouille, je masse son engin que je trouve bien bandant. Je tâte sa bite dure comme du marbre, et je comprends vite son épaisseur, sa longueur, je peux même comprendre ou’ se trouve le gland… Et c’est celui-ci que je branle plus que le reste, tout en le regardant, me mordant les lèvres, lui qui regarde ma main. Remontant son regard vers le miens, il veut dire quelque chose…

... Jacky, on ne devrait…

Je l’arrête par un autre baiser. Cette fois, ce n’est que nos langues qui se rencontrent, sans nos lèvres. Il ne peut pas me dire non ! Il n’ouvre pas les yeux quand mes doigts lui déboutonnent le jeans. Il se mord les lèvres, il ressent du plaisir et moi aussi. C’est quelque chose de transgressif que je n’ai jamais essayé, et j’adore. Puis Yves je le connais, mais jamais de sous ses habits. Cependant, son pantalon ouvert sur ses slips blancs, je panique un peu.

Je vais toucher le sexe d’un homme, moi, qui n’avais connu aucune autre verge que celle de mon mari. Je regarde sa bosse, qui décolle l’élastique du slip, de son abdomen. Mais oui, c’est moi. Juste une nouvelle Jacky ! Ma main s’enfile dans les slips d’Yves qui retient le souffle, en fermant les yeux. Ma main se perd à l’intérieur de ses slips mais puis trouve ce qu’elle cherche. C’est chaud la’ dedans, et c’est même un beau paquet qu’il a. Je prends ce que j’ai trouvé. Je tire. Et la voila’ sa pine. Elle pointe de son pantalon. Le prépuce est descendu jusqu'à la base, elle se tire, se tord, a des spasmes, veux être apaisée, elle réclame de l’attention. Il n’ouvre toujours pas les yeux, rouge d’honte, haletant.

Ma main sur sa pine, je commence un lent va-et-vient sur toute sa longueur, faisant attention a ne pas trop serrer mon poing, mais ne pas aller trop légère non plus. Je relève les yeux vers lui. Il les tient toujours clos, bien serrés. Sa bouche est entrouverte, il halète toujours plus fortement maintenant que je le caresse. Il se lèche de temps à autre les lèvres et je continue, accélérant. Ses mains serrent les couvertures, il sent du plaisir et il n’a encore rien ressenti. Je me penche un peu vers son engin, et je vais faire sortir ma langue quand…

… Oui ! Oui ! Oui !...
… Ah, salope, oui ! T’es chaude...
…. Comme ça, bien au fond !...
… Tu aime bien ma bite, hein ?...
… Oh, oui ! Baise-moi, plus vite….

Je me bloque un peu. Ils sont justes dans la chambre d’à côté et je sens le lit battre contre le mur. Ça me fait venir des frissons de dégoût. Mais puis je sens une main se poser sur ma nuque, elle me caresse les cheveux. Une voix me parvient, basse, profonde, tendre…

... Ne t’inquiète pas…

Ça a l’air rassurant, et je ne sais même pas pourquoi. C’est comme une promesse à mes oreilles : ne t’inquiète pas, ils ne se prennent pas plus de plaisir de celui qu’on va prendre bientôt. Je baisse les yeux sur son gland qui frémit dans le creux de ma main. Il a bien développé Yves, car il a une belle bite. Son gland est rouge cramoisi, rond, bien dessiné. Sa verge est légèrement tordue vers le haut, longue et épaisse. La pine de mon mari n’est qu’un zizi de chat par rapport !

Je me penche vers lui et cette fois ma bouche englobe son gland. Je le sens gémir et je gémis aussi. Ça a une toute autre saveur et… je l’aime même plus ! Encore plus quand, en un petit soupir, il me décharge sur la langue son liquide pré-éjaculatoire, un peu âpres, un peu acide, un peu salé, mais que j’avale aussitôt. Je commence à lécher son gland, je le suce un peu et il gémit encore plus fortement. Son gland glisse rapidement un peu plus dans ma bouche, et il percute le fond de ma gorge. Je prends une belle partie de sa tige dans la bouche et je commence mon aller-retour. Ça émet les mêmes bruits que j’ai écoutés, même plus forts ! Et ça me fait mouiller.

Ses mains me caresses les cheveux, les retire de ma figure pendant que ma tête vas et vient, et sa tige disparait dans ma gorge pour réapparaitre. Je sens sa main qui glisse vers mes fesses, ses doigts s’insinuent sous mes pantalons et il caresse le début de la raie de mon cul. J’aime, oh, comme j’aime ! Il soupir plus fort, je gémis tout en suçant et puis je pompe. Oui, je pompe tout en mouillant. Mais qui suis-je devenue ? Car j’aime, j’adore la nouvelle Jacky. Je chatouille ses couilles, il lève le visage au ciel. Je crois qu’il va jouir. Je vais plus rapidement en forçant sur le gland. Il beugle légèrement, en serrant dans une main mes fesses et dans l’autre ma nuque. Sa tige frémit, il cri encore, se débat comme un poisson dans ma gorge… mais rien ! Je me retire. Ma salive a nappée tout sa tige, gluante, épaisse, car j’ai fait de mon mieux pour la prendre au plus fond. Peut-être je ne sais pas faire de pompier, comme mon mari me dit. Je suis un peu déçue. Je relève les yeux vers lui mais il m’essuie avec le pouce l’angle de la bouche, tendrement, en me souriant largement.

— Je peux jouir sans éjaculer; il dit en m’embrassant. Si tu étais ma femme, je ne te tromperais jamais. Anne est nulle par rapport à toi, et elle n’est même pas si belle que toi… Mais maintenant, c’est à ton tour de jouir.

Je me laisse prendre par lui. Il se relève et sa pine est tout autant bandante comme au début. Même plus. Je le regarde s’enlever les jeans et les slips, tout comme sa chemise. C’est encore un très bel homme, et il ne fait pas ses quarante ans. Il me sourit et m’enlève les pantalons et le chemisier que je porte. En sous-vêtement, je n’ai aucunement honte. Je me lève et je me colle à lui, sa tige qui se pose sur mon ventre. Nous nous embrassons encore, plus chaudement car ses mains vaguent sur moi, pelotent mes fesses, serrent mes cuisses. Une main remonte vers la fermeture de mon soutien, et il le fait éclater d’une seule main.

Mon soutien se relâche, je le fait glisser, mes seins généreux bondisse hors des coupes. Il reste un peu surpris, les regardant, mais puis les prends dans les mains. Il me les caresse, les malaxe. Le bout de sa langue joue avec mes mamelons, je le sens lécher mes auréoles. Il me dit qu’il aime les femmes qui ont accouché, il aime les seins qui ont allaité. Eux, ils n’on jamais eu d’ et Yves adore mes fils, comme si ce fut les siens. Puis… sa bouche… chaude… si humide. Il suce mes mamelons, englobe mes auréoles de ses lèvres pour les avaler. Il commence à mordre, et mes tétons se raidissent toujours plus. Je me laisse échapper un petit cri voluptueux. Je suis au bout de jouir !

Je me trouve allongé sur le lit, complètement nue, et on n’a même pas fermé la porte à clef. On s’en fou. Pour de tas de fêtes on n’as jamais prit de plaisir, on n’as fait que le mari et la femme cocus et imbéciles, même si on était toujours attirés l’un de l’autre et on n’a jamais trouvé le courage de nous rapprocher… Les mains sur mes genoux, il écarte mes jambes lentement. Ses lèvres sur mes chevilles, il remonte lentement, caressant et embrassant mes jambes. Il arrive sur mon entrecuisse et je frémis… je mouillais encore plus. Son baiser se repose sur la jonction de ma cuisse et mon bassin. Je me mords les lèvres et puis… il embrasse ma fente.

Je me sens mourir de plaisir. Je n’arrive pas à tenir les yeux ouverts et je laisse retomber ma tête sur les coussins. Il embrasse toute ma fente lentement de ses lèvres chaudes, mais puis je sens la pointe de sa langue qui glisse vers mon trou, et je sursaute… mais il s’est juste tromper. Il remonter vers mon bouton et, la’, je sursaute encore. Je gémis toujours plus fort, tout en me mordant les lèvres. Je sens sa langue me lécher le clitoris, y jouer. Ses doigts écartes mes lèvres, j’aime cette sensation, encore plus quand cette fois-ci de la langue il percute mon trou et il me pénètre de celle-ci.

Je me meurs, oui… je me meurs de plaisir. Mon mari, ce salaud, ne me l’as jamais fait. Il n’aimait pas. Je bouge mon bassin, pour suivre sa langue qui me pénètre, ses doigts qui me touche, et qui puis entre. A ce qui parait, il n’aurait sut dire si c’était le trou d’une femme qui avait eu trois fils ou celui d’une fillette. Je rougi et je glisse mes doigts dans ses cheveux. Il dévore toute ma fente et je sens même des fois ses dents. Il aspire, avale, suce, lèche, pénètre de ses doigts qu’il remue pour me donner du plaisir. Et quel plaisir ! Je cris. Je cris en frémissant. J’ai joui et j’ai joui fortement. Il embrasse mon antre, puis embrasse mes lèvres. Sa bouche a la saveur de mon con, âpres et un peu acide. Il me touche encore un peu, et je joue avec sa langue. Il va pour s’allonger sur moi et me pénétrer mais… non ! Il se pardonne, il a l’air consterné.

... Je vais trop vite, pardonne moi. Je ne veux pas te forcer. ...

Je le rassure par un sourire et les mains sur sa poitrine je le pousse doucement. Il me regarde ahuri, ne comprenant rien. Allongé, je le chevauche. Sans vouloir, ma fente va se poser sur sa tige qui se rabat sur son ventre. Il regard vers mon pubis, me regarde a moi, et il comprend. M’arborant un large sourire, il pose ses mains sur mes hanches, et me tire un peu en avant. Ses mains vont pétrir mes seins, pendant que je bouge lentement. Je sens la chaleur de sa tige qui glisse sous ma fente, mes lèvres qui l’englobe. Je me branle et je le branle ainsi, me glissant avant et arrière sur elle.

Ma fente sur sa tige, commence à faire des petits clapotis tellement je suis mouillée. Je force un peu sur le gland qui frotte contre mon clitoris. Je le sens respirer fortement et il sert mes nichons dans ses mains. Je glisse un peu vers l’avant, ainsi que mon trou se trouve sur son gland. Je bouge légèrement mon bassin, et ça y est, je sens son gland glisser dans mon trou, sans que j’ai à prendre sa bite dans les mains. Il sourit plus largement, il est presque surpris de cette prouesse. Je tiens son gland dans mes lèvres vaginales. Il est la’, a’ l’orée de mon vagin. D’un autre mouvement délicat, je le sens. Je ferme les yeux, je serre sa poitrine dans mes mains, et il fait de même. Ça glisse facilement mais, je sens… je sens si bien son gland qui se fait brèche en moi. Je ressens finalement la bite d’un homme qui percute les parois de mon vagin. La pine d’Yves est épaisse, tandis que celle de mon mari n’est qu’une fève par rapport, que je ne sentais que vaguement.

Je descends, lentement, et je cris de plaisir quand je sens son nœud au plus fond de moi. Je le regarde, il observe sa tige en moi en soupirant par le plaisir. Je me sens chaude, je me sens bien … je me retire et hop ! je me remet. Il geint même plus que moi. Je bouge mes fesses, sans que j’aie à me relever et me remettre. Sa bite glisse dans et hors mon vagin, et je frissonne de plaisir comme Yves. Il me tient des hanches et je me déchaine. Je bouge toujours plus vite et je cris, je geins, je l’appel. Yves me tire à lui et ma poitrine s’écrase contre la sienne. Sa langue pénètre ma bouche comme sa tige mon bassin. Ses mains écartent mes fesses pendant que je n’ai pas à bouger et il me baise par de bons coups de reins. Je n’ai jamais ressenti une sensation si bonne, je n’ai jamais baisé si bien. Je me relève un peu, mes seins se chahute, il s’en prend un dans la bouche qu’il suce tout en me baisant.

Je le trouve sur moi. Mes jambes sur ses épaules. Il me pénètre profondément et lentement, a jambes unies pour qu’il puisse bien plonger en moi. Il me regarde, soupir de plaisir et moi je geins fortement. Ses mains me caressent et serrent mes fesses, de temps à autre il embrasse mes jambes. Collant son bassin au mien, il me pénètre bien au fond sans se retirer, son pubis me chatouille le clitoris et je joui légèrement sous cette caresse. Mais ce n’est pas assez. Je le sens se remuer en moi, le gland qui percute fortement le fond de mon vagin, et il va toujours plus rapidement. Je gesticule par le plaisir car je sens quelque chose naitre en moi, venir du fond. Il me regarde, et je vais jouir.

Je l’incite et il ne se fait pas prier à aller plus rapidement, faisant sortir jusqu'à moitié sa pine pour la remettre. Je sens son gland qui frotte contre le haut de mon vagin et je commence à trembler par un plaisir qui m’inonde, comme un vague, depuis le plus profond de mon être. Il ne s’arrête pas, une jambe sur son bras, il écarte l’autre. Il regarde mon visage que j’imagine tout rouge, et regarde sa pine qui plonge dans mon puits bien mouillé qui commence à faire des pets qui semble l’excité toujours plus. Il suce de temps à autre mes nichons, et puis il comprend ce qui va se produire. Je suis si prise par le plaisir, et je cris si fort que je ne l’entends que vaguement me dire de l’attendre, pour jouir ensemble.

... Je vais venir aussi, Jacky. Dedans ou dehors? Jacky, dedans ou dehors ? ...

J’ai répondu quelque chose. Il a étreint ma cuisse dans sa main et a coller son bassin au mien. On a crié fort tous les deux. Et mon orgasme a redoublé de force quand j’ai senti ses jets de semence battre contre le fond de mon vagin. Il joui bien, de nombreux jets, très forts et épais qui m’inondent tandis que je suis à bout de souffle. Mon corps n’est plus qu’un frisson, et je n’arrête de battre la tête de côté à côté en criant, gémissant, serrant dans les mains les bras d’Yves qui me donne encore quelques coups, pour terminer de se vider en mon ventre. Il retombe sur moi, en m’embrassant, épuisés tous les deux

Quand nous sommes sortis, un dans les bras de l’autre, en s’embrassant et en riant, mon mari nous a lancé un regard de foudre. C’est incroyable, tant que c’était lui qui baisait avec Anne, tout allait bien, mais depuis que c’était moi qui prenais ma part de plaisir, ça n’allait plus. Notre mariage était foutu depuis longtemps, comme celui d’Yves qui a laissé Anne. Moi, je suis resté avec Paul pour les s, sans renoncer a Yves. Mais puis ce n’était pas évident et on s’aimait avec Yves ! Les s n’on pas trop souffert, puis ils adoraient Yves qui désirait depuis longtemps une famille. Pas pour ça, cependant, notre passion à faner. Ce fut un mari attentif, un père parfait, et aussi un amant fougueux ! Chose que Paul, n’a jamais été.

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