Leslie Va18

Leslie VA18 – Vacances - Avec Laure, suite

Le lendemain, lorsque je me suis réveillée en trouvant Laure à mes côtés, endormie la bouche ouverte.
Elle était nue et je la trouvais belle, je la regardais avec plaisir et sentis les désirs envahirent mon corps, mon sexe se redressa et l’envie de lui glisser mon sexe entre ses lèvres me traversa l’esprit.

Je suis sorti du lit et j’ai été me réfugier dans la salle de bains pour prendre une douche et calmer mes ardeurs matinales.
Après avoir déposé mes affaires dans la salle de bain, et vérifié que Laure dormait toujours je me suis précipité sous la douche.
Après une bonne douche, j’ai passé un coup d’œil dans la chambre, pour découvrir Laure toujours endormie la bouche ouverte, qui avait changé de position et offrait indécemment à ma vue, son postérieur et ses petites fesses si attirantes.
Le désir est revenu en moi aussitôt, et m’approchant doucement du lit, j’ai présenté mon sexe aux bords des lèvres de Laure.
Je n’ai pas eu besoin de le faire entrer, Laure l’a aspiré sans un mot et a commencé à me sucer divinement, je n’ai pas été longue à jouir au fond de sa gorge et elle s’est délecté de ma jouissance.

Laure était heureuse de m’avoir fait jouir de sa bouche et, quand elle me caressa les fesses tout en l’embrassant, me laissant gouter la saveur de mon sperme, je la laissais faire et lui rendis ses baisers. Elle massait mes fesses en titillant mon anus, mais ne cherchait pas à y faire pénétrer son doigt.
- Ça m’a manqué, dit Laure.
- Moi aussi, ça m’as manqué, dis-je, il y a si longtemps, j’en avais bien trop envie.
- Tu as bien fait, ce n’est que du plaisir que de rendre heureuse.
- Dis, tu veux qu’on aille se baigner ce matin, j’ai repéré une petite plage où il n’y a jamais personne, je suis sûr que ça te plairait.
-
Aussitôt dit, aussitôt fait, nous sommes descendues déjeuner, puis nous sommes parties à la plage.


Après avoir garé la voiture, nous avons marchées sur un chemin le long des plages.
Bientôt, les dunes firent place à des falaises abruptes, et c’est en bas de l’une d’elles que Laure m’emmena. Le sable était doux, et quelques rochers formaient un paysage de bord de mer plaisant. La mer était d’un vert très pâle, mais la surface des vagues brillait d’une lueur dorée. C’était beau, et les baisers de laure dans mon cou, me faisaient tout oublier.
- On va se baigner ? Demanda Laure.
- D’accord.
Je n’avais pas pris de maillot de bain, pas plus que Laure d’ailleurs, nous nous sommes déshabillées complètement, sans la moindre gêne. Et complètement nues, nous sommes allées dans l’eau.
Nous fîmes quelques brasses, puis jouèrent comme des s en s’éclaboussant, puis Laure s’enfuit, pour rejoindre la plage, je la suivi en courant dans l’eau, puis sur le sable, pour nous retrouver sur le sable à la limite de la mer de notre petite anse, où nous avions laissé nos affaires.
Là, nous nous sommes à nouveau embrassées, nos corps luisant au soleil, et nos mains commencèrent à réclamer le contentement de la chair.
Nos baisers se transformèrent en morsures, nous nous sommes mordillées les lèvres en nous pressant l’une contre l’autre de plus en plus fort.
Laure sentait contre sa cuisse mon membre dur sentait également son propre sexe s’émouvoir et s’ouvrir comme une fleur.
Le désir nous enflamma brusquement. Les jambes de Laure se dérobèrent, et elle se retrouva bientôt à quatre pattes, tenant mon sexe entre ses mains, sa langue allant et venant sur la peau de mon membre turgescent.
Elle caressa de sa langue la moindre parcelle de mon sexe, le prit en bouche et le suça avec délicatesse.
Mes jambes se dérobèrent également et je finis par m’allonger sur le sable, les vagues revenant parfois caresser nos corps.
Laure était à moitié immergée, mais ne voulait bouger pour rien au monde, tant elle se passionnait pour sa fellation.
Elle se sentait récompensée à chaque fois que je poussais un râle de plaisir ou que je lui caressais ses cheveux mouillés par l’eau de mer.
Puis je la saisis par la nuque et l’amenais auprès de moi, contre moi, et l’embrassais.
Nous nous sommes relevées et sommes allées nous installer plus au sec, sans détacher nos lèvres.
Je m’assis sur un rocher, le sexe dressé et encore couvert de la salive de mon amante. Laure comprit ce que j’attendais d’elle et elle vint s’empaler en position assise sur mon membre tendu, pour se pénétrer profondément.

Je ne fis que la prendre par les seins, et lorsqu’elle s’enfonça sur mon sexe, elle poussa un intense gémissement. Ses muscles intimes et son instinct fit le reste, Laure resserrant ainsi son intimité autour de mon sexe, puis Laure exerça des va-et-vient continus en ne retenant plus ses cris.
Au début, je la retenais par les seins, les malaxant, les pinçant, les léchant, puis mes mains vinrent caresser la fente de Laure que je pénétrais, alors que Laure se raccrochait à moi en me griffant les reins.
Longtemps Laure s’est ainsi pénétrer, se donnant du plaisir en faisant ses mouvements, puis lorsqu’elle s’empara elle-même de ses seins, j’obligeais tendrement Laure à changer de position.

Là, à quatre pattes sur le sable, Laure sentit mon sexe la pénétrer, alors qu’elle était en levrette, lui tirant des cris de bête sauvage. J’entrais si profondément en elle que Laure, pourtant habituée, ne savait plus où elle en était.
Puis ce fut debout, Laure appuyée à un rocher, que je l’ai prise en faisant écarter les jambes au maximum. Debout derrière elle je l’ai pénétré avec violence, perforant son sexe de mon dard raide, jusqu’à ce qu’elle le sente jusqu’au plus profond de ses entrailles.
Laure tenta, de sa main posée sur mon pubis, de retenir mes coups de bassin en elle, mais s’abandonna bien vite à la jouissance en se caressant les seins au rythme de mes allers et venues.
Finalement, Laure jouit en poussant un râle profond en sentant mon sperme remplir son intimité.
Heureuses et exténuées, nous nous sommes allongées l’une sur l’autre sur la plage, laissant le flux des vagues glisser sur nos corps éreintées et couverts d’un plaisir à fleur de peau.

Nous avons refait l’amour encore une fois, entre la chaleur du soleil et la fraîcheur des vagues azurées. Jusqu’au moment ou un voyeur pointa son nez pour nous mater.
Laure voulut partir, afin d ne pas se laisser observer, mais mes jambes l’enserrèrent.
- Où tu vas ? Demandais-je à Laure.
- Laisse-moi partir, je ne veux pas le laisser nous mater !
- Reste, ce n’est pas la première fois qu’on nous regarde, laisses toi aller.
Laure me regarda un instant, puis sourit.
- Bon d’accord, tu sais bien que je ne peux rien te refuser.

Laure sursauta en sentant mes mains lui entourer le ventre, et en l’embrassant dans le haut du cou je l’obligeais à se mettre à quatre pattes et m’offrir sa croupe.
- Ainsi, tu es ravissante, indécente, notre voyeur va péter un plomb !
Je glissais une main sous son pubis et me mis à caresser son bouton d’amour, cela fit fondre mon amante, qui se cambra un peu plus, m’offrant son intimité.
Notre voyeur avait sorti son membre et commençait à se branler en nous regardant.
Laure comprit que dans sa position, les fesses bien en l’air, elle avait réussi à attirer l’attention de notre voyeur et elle me sentit embrasser et lécher sa raie, en s’arcboutant et en rugissant de plaisir.
Puis me relevant je lui ai glissé mon membre dans sa fente.
Je l’ai prise avec la même violence que quelques temps auparavant dans cette position, puis allongée derrière elle sur le côté, face à notre voyeur et en lui faisant écarter les jambes pour qu’il ne perde rien des mouvements de mon sexe dans la chatte de Laure.
Puis me reculant pour sortir mon sexe de sa vulve, je l’ai présenté à son œillet.
- Oh, oui, encule-moi Dis Laure suffisamment fort pour être entendue par notre voyeur.
Laure cria beaucoup, de plaisir et surtout pour attirer l’attention, et encore plus lorsqu’elle a jouit et qu’enfin vaincue, j’ai lâché mon sperme dans sa raie des fesses afin de bien montré ma jouissance à notre vicieux qui commençait à se rajuster.


Nous étions à peine rhabillées que notre voyeur était déjà loin alors avec Laure nous avons pris le chemin du retour pour retrouver notre voiture, en roulant dans l’arrière-pays à la recherche d’un petit restaurant sympa où nous pourrions manger, Laure en me regardant me dit :
- Tu sais ma chérie, ce que nous venons de faire sur la plage m’a bien émoustillé et je ne serais pas contre après manger de retourner à la plage et vivre une petite expérience du même style, enfin disons un peu plus concrète si tu vois ce que je veux dire.
- Je vois que surtout tu es une sacrée coquine, mais je vois bien ce que tu me dit par contre je n’arrive pas à m’imaginer si le concret dont tu me parle, est une femme ou un homme.
- Peu importe, me dit Laure le principal c’est la rencontre et le plaisir, et puis on verra bien…
C’est à cet instant que je garais la voiture devant une charmante auberge, dont l’apparence pouvait avoir toute notre confiance.

A suivre…

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