Fais Un Choix 4
Malgré que j'étais devenue, le trou d'un type pour qui je me faisais du mal, je continuais mes sorties avec mon amie.
En soirée, tout allait bien, je m'amusais bien, je ne me prenais plus la tête pour un mec... Jusqu'au jour où ce mec débarquait dans la même boite que moi !
Il vint vers mon amie et moi, lui dis bonjour, me regardais, hésitais et me dis tout bas à l'oreille :
- On se dit quand même bonjour ?
- Si tu veux.
On se fit la bise et je partis, le laissant avec mon amie et partant danser au milieu des mecs. Évidemment, ils parlèrent, de quoi, je ne sais pas !
On arrivait en fin de soirée, mon amie commençait à être fatiguée et me demandais pour rentrer, ou me second choix étant de rentrer avec mon ex-ami, avec qui je pourrais renouer des liens.
Lui ne dit rien, moi je réfléchissais, mon amie me pressait.
- Ok, je vais rentrer avec lui, on ne pourra pas dire que je suis de mauvaise foi !
Mon amie me sourit, nous fis la bise et partit, nous nous retournions danser, j'allais contre lui, je me frottais, lui souriait, il me le rendait, on but quelques verres ensembles, on ne parlait pas spécialement et on partit vers la voiture. Cette voiture où de nombreuses fois, lui et moi... Nous avions couché ensemble.
- Dit, je suis sincèrement désolé pour tout ce que je t'ai fait et dis.
- Vaux mieux tard que jamais. Dis-je.
- Tu me manques, vraiment... Me dit-il.
- Toi aussi, tu me manques... Mais je vais mieux depuis que l'on ne se parle et ne se voit plus.
- Tu as quelqu'un ?
- Non, je suppose que toi non plus ?
- Non, mais je ne couche plus avec toutes les filles comme je faisais avant...
- Je ne te crois pas !
- Ne me crois pas, je sais quen te perdant j'ai perdu une partie de moi.
C'était trop beau, ça me touchait, mais je ne comptais plus me laisser attendrir, on continuait à discuter sur le chemin, il avouait vraiment ses sentiments, de temps en temps il me regardait, il n'avait jamais paru aussi sincère.
- Si on allait chez toi ? On pourrait continuer de parler, non ?
- Si tu veux... Dit-il incertains.
- On fait ça !
Et on partit vers chez lui, une fois arrivés chez lui, il me proposa à boire, j'acceptais un chocolat chaud qu'il partit préparer, je me promenais dans le salon et vit qu'il avait gardé des photos de lui et moi, vite fait ainsi, j'en voyais trois, il avait l'air sincère dans ses paroles. Il m'apportait le chocolat chaud et s'assit, s'allumait une cigarette et m'en proposait une.
On se remit à discuter de la dispute, je lui expliquais qu'il m'avait fait beaucoup de mal et que je lui en voulais, lui me disait qu'il me prouverait qu'il est sincère... Sur ce temps-là, je croisais les jambes pour un peu relever ma robe et le lui montrer.
- J'ai pleuré pendant des mois après toi, tu sais ça ?
- Je suis désolé, aujourd'hui, je suis là devant toi, et je ne demande qu'une chose, me mettre avec toi en couple !
- Qu'est-ce qui me le prouve ? Qu'est-ce qui me dit que tu ne veux pas juste me tirer ?
- Demande-moi ce que tu veux, laisse-moi le temps de te le prouver...
Je le fixais quelques secondes, tenant ma cigarette en main... Je ne savais pas quoi dire, ni quoi faire, je n'avais jamais imaginé cette situation en réalité.
Je mis mon pied sur le bord de son fauteuil et dit :
- Demande-moi pardon pour commencer...
Et il le fit, à mon grand étonnement, il se mit à embrasser mon pied et le lécher...
- Autre chose où est-ce assez ?
Cette situation m'excitait, j'écrasais ma cigarette et montait sur lui sur son divan et me mit à l'embrasser, il se retrouvait couché dessus et je sentis vite ses mains sur mes fesses, je les lui retirais, les mettant au dessus de sa tête et continuait à l'embrasser, frottant mon entre jambes contre le sien, à travers nos vêtements. Je le sentais qu'il bandait...
Alors que je ne cessais de l'embrasser, comme si j'avais toujours attendu ça, et c'était un peu le cas, je détachais son pantalon et me mis à le masturber, pencher vers lui, et ne le laissant pas me toucher, il ne pouvait que continuer à s'exciter en matant mon décolleté... Je le sentis arriver, je donnais un coup de langue le long de son sexe et le branlais encore plus fort tout en me remettant à l'embrasser et il finit par venir et cracher tout sur son tee-shirt...
Il fut surpris et ne dis rien...
- Oups... Dis-je.
- Je vais faire comme si ce nétait pas fait exprès... Dit-il d'un ton ironique et pas content.
Il retirait son tee-shirt, son pantalon, tout...
- Si on passait aux choses sérieuses ?
Je me retrouvais bête, assis sur le fauteuil, je regardais son sexe à demi dur... Et retendis mon pied, sans rien dire, il se mit à genou et l'embrassais et embrassais l'autre... J'étais aux anges.
- Tu ferais vraiment tout ? Dis-je pas habituée à ça...
- Je ne sais pas, mais je ferais mon possible pour te montrer que je suis sincère.
- Alors, je vais un peu r... Tu ne me prendrais pas dans tes bras, me monter dans ta chambre et me faire un massage ? Mais pas avec attouchement, un massage qui me relaxera...
- Ok, tes désirs sont des ordres. Me dit-il en rigolant.
Il me soulevait et m'amenait dans sa chambre, me couchait sur le lit, sur le ventre, je retirais le dessus, et le laissais me masser... Je m'assoupissais et finit par vraiment m'endormir, je me réveillais le lendemain, j'avais une petite couverture sur moi, je sortis de la chambre et vit qu'il dormait dans le divan, je fis couler du café, m'asseyais à la table de la cuisine, pris le cendrier et allumait une cigarette...
Alors que le café venait de finir de couler, il se réveillait, il arrivait dans la cuisine et vit le café et moi qui étais assise à la table, il me servit une tasse, s'en servit une et s'assit.
- Tu étais mieux hier tout nu. Lui dis-je.
Il se relevait, se mit à côté de moi et abaissait son boxer.
- Madame est contente ? Dit-il en rigolant.
- Oui, très !
- Et sinon, tu as pensé à ce que je t'ai dit ?
- Oui, mais je sais pas, j'ai peur que tu sois ainsi un moment...
- Non, je te promets !
- On verra, laisse moi le temps, je vais me laver...
Je partis me laver et revint juste avec la serviette autour de mon corps, cachant les zones intéressantes...
- Tu n'as pas de sèche-cheveux ?
- Je nen ai pas vraiment besoin ...
- Pfff, je vais faire comment moi ?
- Je ne pouvais pas prévoir que tu allais dormir ici ! Dit-il en rigolant encore une fois...
Je m'approchais de lui et l'embrassais une nouvelle fois, la serviette tombait, j'étais nue, j'empêchais ses mains de me toucher... Je m'abaissais, faisant mine de le sucer et repris ma serviette que je remis immédiatement...
- T'es violente quand même ?
- Comment ça ?
- C'est dur de résister !
- Désolée. Dis-je en faisant un clin d'oeil.
Je finis par m'apprêter et partir, pour aller ... Chez mon "Plan Q", j'appuyais sur la sonnette, pas de réponse, je pris donc le double de la clé qu'il m'avait laissée.
Je rentrais, et comme convenu quand il était pas là, j'allais dans la salle de bain, je retirais mes vêtements que je pliais et mettais dans l'armoire, parti boire un verre d'eau et allumait sa télévision, je lançais l'USB et regardait les vidéos des scènes de lui et moi ... Des scènes plus folles les unes que les autres... Qui avait le don de m'exciter, c'était son moyen de me "préparer" avant d'arriver.
Alors que j'étais en train de me toucher depuis un bon moment, que je mouillais assez fortement et que je devais être rouge comme un pivoine, il arrivait et sourit.
- Que tu es belle ainsi, mais j'ai un cadeau pour toi, tu va être encore plus belle !
- Ah oui, c'est quoi ? Dis-je contente.
- Il faut le mériter !
J'allais à 4 pattes vers lui et détachais son pantalon, lui abaissais en même temps que son boxer et prit sa bite dans ma main, me mis à le masturber tout en prenant soin de bien passer ma langue sur tout son sexe avant de finir par le sucer, alors qu'il allait venir, il retirait ma tête et éjaculais tout au sol... Je m'apprêtais à relécher, mais il me dit "non".
Il allait dans son sachet et sortit un collier, qu'il me mit au coup, il prit mes mains et les attachais des deux cotés du collier, limitant complètement mes mouvements, à celui-ci pendait une chaine, qu'il ajustait et amenait vers mes pieds, les attachants l'un et l'autre avec des menottes en cuirs et puis serrant le tout, je me retrouvais la tête au sol, les mains attachées au collier et les fesses à l'air les pieds attachés l'un à l'autre... Ceci, tenait le tout, mon cul lui était offert, mon visage était sol, et je ne pouvais me servir de mes mains...
- Que tu es belle ainsi, va nettoyer ce que tu as laissée tomber par terre !
Je me trainais comme je pouvais jusqu'à son sperme par terre et une fois arriver assez proche, un peu trop d'ailleurs, car j'en avais dans le visage, je sortis ma langue et la passais sur le sol, quand ce fut fini, il prit le vibromasseur qu'il m'avait fait acheter et le mis dans mon entre jambes, n'oubliant pas de l'activer.
Il me laissait ainsi, partant se laver, lorsqu'il revint, il me soulevait et s'assit sur le divan, m'enlevant le vibromasseur de la chatte et l'éteignant, il le mit dans ma bouche pour que je le nettoie. Lorsqu'il le retirait, il me dit :
- Je n'ai pas eu de nouvelles de toi, tu es une vilaine fille, tu mérites une punition !
- Désolée... Dis-je.
- T'étais où ?
- Chez moi...
- Menteuse, je ne te crois pas ! Allais compte !
Je me mis à compter les fessées qu'il me mettait, recommençant à 0 à chaque fois que je me trompais... Au total, je ne saurais dire combien de fessées j'ai reçues ! Il me fit me mettre sur le bord de la table du salon, les jambes écartées.
- Donne-toi 15 claques sur ta chatte, et je veux que ça claque ! Et en comptant !
Et je m'exécutais, 1...2...3 ... 13...14...15...
- Je te donne quoi comme dernière punition ?
- Je ne sais pas...
- Décide !
- Tu me sodomises ?
- Non, ça, tu aimes trop...
- Je ne sais pas ...
- Et si je t'offrais à plusieurs mecs ?
- Non, stp, tout ce que tu veux, mais pas ça ...
- Alors, décide ! Tu as 5 minutes, cherches ! Dit-il.
Je fis le tour de l'appartement, regardait partout, ouvrait les armoires... Et revint vers lui après quelques minutes.
- Alors ?
- Tu pourrais m'attacher aux 4 coins du lit et mettre tout ce que tu veux dans mon cul...
- Tu risquerais d'aimer et d'en vouloir encore.
- Me mettre un lange et me faire prendre des laxatifs et me laisser ainsi...
- Tu va y prendre goûts.
- ...
- Alors ? Sinon, j'appelle des mecs !
- Je pourrais aller dans le couloir en petite tenue...
- Avec mon gros voisin de palier qui m'a avoué se masturber sur toi ?
- Si, c'est une punition assez sévère à ton gout, je peux prendre le risque.
- Plus d'idée ?
- Tu peux me baiser et me mettre dans ta boite à jouet comme punition ?
- Avec tout mon foutre sur toi, attachée ?
- Oui...
- On va prendre la première idée, va mettre ta robe bleu turquoise et rien en dessous !
Je partis mettre la robe, qui me mettait assez bien en valeur et il me fit sortir de chez lui, dans le couloir...
- Tu te mets à côtés de sa porte, la tête contre le mur, les mains derrière la tête et tu écartes les jambes. Sil sort, il sera heureux ainsi.
Et je me mis en position. Après quelques minutes la porte s'ouvrit.
- Oh, tiens.
Le gros pervers mit le téléphone à côté de mon oreille et j'entendis :
- Tu vas rentrer, et le laisser se branler sur toi, si tu veux me rendre fier, tu te fou à poil, mais tu n'es pas obligée.
Et il raccrochait.
- Tu as entendu, allais viens, suis moi...
- Ok.
Je rentrais et c'était vraiment crade, il me fit s'asseoir sur sa table de salon (décidément) et sortit son sexe devant moi et se mit à se masturber, je regardais aux alentours, des canettes de bière, des assiettes qui trainais, des vêtements, le bordel complet, même une cage, assez grande pour abriter je ne sais pas quoi !
Et ça durait, je restais là, devant lui, figé...
- Tu as le temps, c'est la 3e fois aujourd'hui que je me branle ma belle.
- ...
J'étais hésitante, et finalement, je retirais ma robe, j'étais nue devant lui, je le vis s'activer, debout, les jambes écartées, les mains le long du corps, je fis même un tour sur moi même... Il finit par venir lâchant tout sur son ventre dégueulasse...
- Tu peux aller me chercher une serviette ?
Je partis lui chercher une serviette et lui tendis, il s'essuyait et je remis ma robe.
- Ah, merci ! Tu es encore mieux que ce que je pensais !
Il me fit sortir de chez lui et rentrait dans l'autre appartement, arriver dedans, je retirais ma robe et je du expliquer ce qu'il s'était passé, j'expliquais tout, ainsi que la crasse, surtout la crasse !
Son téléphone sonnait, c'était lui, qui le remerciait, évidemment, il parlait de la cage et demandait si il s'en servait toujours, car il aimerait prendre un animal... Le second heureux du spectacle lui dit que non, qu'il la lui amenait... On m'envoyait me laver, le voisin passait entre temps et repartait assez vite, lorsque je reviens, il nettoyait la cage...
- C'est génial non ?
- Tu veux quoi comme animal ?
- Un animal méchant ! Me dit-il.
- Je m'attends au pire... Un singe ?
Il ouvrit la porte de la cage et me dit :
- Rentre dedans !
Je rentrais dedans et en fait, j'avais même assez d'espace, c'était peut-être l'avantage d'être petite, ou le désavantage, enfin, il fallait que je sois à genou quand même dedans...
- Alors, tu en penses quoi ?
- Je ne sais pas... J'ai payée ma dette...
- Rien du tout ! Allais sort.
Je sortis de la cage et me fis signe de m'appuyer sur la table les jambes écartées et le cul bien en l'air, et puis se mit derrière moi, il appuyait sur mon anus et se mit à faire des va et viens dedans, prenant mes seins, les serrant assez fort pour m'arracher des cris, alors quil me laminait le cul, il finit par cracher dedans, il m'amena à nouveau dans la cage, à genoux, avec une paire de menottes il attachait mes mains à un barreau, jointe et mes pieds à deux barreaux opposés... Il me mit une saladière en dessous de moi, en ajoutant : "Je ne sais pas quand je ne serais plus fâché sur toi".
Il partit et revint avec des choses, mais était dos à moi, il revint et me bandais les yeux, il mit des pinces à linge ses les bouts de mes seins m'arrachant un cri et sur les lèvres de mon sexe... Il refermait la cage et me dit :
- Et ne te plains pas, sinon je te pisse à la gueule et j'appelle le voisin qu'il vienne te voir !
Je restais ainsi, sans rien dire, lui regardait la télévision, de temps en temps, il se levait et me donnaient des coups de cravache, oui, jeune, il faisait du cheval, sur mes fesses, mes seins... Et puis repartait, je l'entendais prendre des photos et rien, il revint me mettre le vibromasseur dans la chatte et me laissait ainsi. Après un long moment, je ne saurais dire combien, il me proposait à boire, je dis oui et il me fit un café, ce qui m'étonnait !
Il m'aidait à boire le café et me retirait le vibromasseur, les pinces à linge avec... Et refermait la cage et partit.
Il partit dormir, me laissant ainsi dans une cage de son voisin pervers.
Peu de temps après son départ, je criais après lui, j'avais mal au ventre, mais arrivais ce qui arrivait, j'avais rempli le saladier... Il avait surement mis des laxatifs dans le café, c'était dégueulasse, je me sentais humiliée ! Il revint et me regardait et rigolait.
- Stp détache-moi de là...
- D'accord, si tu mets ta tête dans le saladier !
- Non...
Il vint quand même me détacher et me fit prendre le saladier que je du aller vider et nettoyer, il me fit aller me laver le cul, quand je revins il me fit me coucher sur le dos, sur la table de salon et me mit un "lange" avec un drap. Il me ramenait dans la cache ou mes pieds étaient cette fois attachée au même barreau et mes mains dans le dos, il me mit un bol par terre et me dit :
- Cette fois, tu peux te faire dessus sans souci, bonne nuit.
Et les lumières s'éteignirent me laissant ainsi.
Je faisais des choses avec un mec que je n'aimais pas, et refusais le mec que j'aimais... Mais j'aimais les deux rôles que je jouais...
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