Là Dans Le Lit, À Côté Du Mari...
Dans mon lit, la lumière éteinte, les yeux fermés, je laisse mes souvenirs vagabonder. Jinvente même des scènes insolites entre Bernadette, ma voisine et moi, pour mémoustiller plus encore. Comme à chaque fois dans ses instants, ne pouvant plus résister, ma main droite glisse le long de mon corps nu, gagnant mon sexe raide et gonflé. Je referme ma main sur elle. Une goutte de rosée coule et vient humidifier lintérieur de mes doigts. Mais elle fond déjà sous la chaleur de ma paume.
Depuis notre dernière union, ma nostalgie ne me quitte pas pour elle. Jai toujours en mémoire, le souvenir de son corps dénudé. Mais particulièrement, celle de son anus. Fripé et brun. Il nest pas étranger, à mon trouble. Regrettant amèrement de ne pas my mettre occuper quand jen avais eu la possibilité. Depuis je me morfondre, attendant patiemment de donner une suite à notre premier chapitre.
Et lespoir est là, dy parvenir. Jai aussi en mémoire sa phrase quelle mavait lancé, alors que nous prenions le chemin de retour, dune voix encourageante :
« Ça mexciterais, que tu me baise un de ses jours dans mon lit ». Sur le coup, cela mavait fait sourire. Mais depuis, après réflexion, jai pris ces paroles pour une prochaine invite. Un défi peut-être, celui de me pousser de nouveau dans ses bras.
Et cest le même que je me lance cette nuit, daller lui rendre visite chez elle, et ça malgré la présence de son époux.
Toujours dans mon lit, dans le noir, jattends dévoré dimpatience, que tout le monde chez moi, se soit endormie, pour aller la retrouver, et cela sans me préoccuper des retombées qui pourraient en découdre de cette initiative de démence.
À linstant propice, je sors du lit. Jen tremble comme si javais de la fièvre. Toujours sans allumer, à laveugle, je déserte lappartement. Jai quun étage à monter pour arrivée devant la porte dentrée, toujours dans lobscurité. Ma main pèse sur la poignet.
Je me glisse dans le couloir. Malgré le noir complet, je me déplace sans difficulté. Les lieux étant la copie conforme à ceux où je demeure.
Dans le silence, je saisis des ronflements. Ils morientent jusquà la pièce, où est sensé dormir le couple. Mon cur semballe. Je pénètre dans la chambre. Il fait sombre, mais pas vraiment noir grâce à la pleine lune. très vite de repère Bernadette. Elle est étendue sur le lit, abandonnée sur le dos. Son mari lui tourne le dos, le visage dirigé vers le mur. Je devine sous sa chemise de nuit blanche, la douce masse de ses seins bombés aux tétons encore endormis. Plus bas le tissu épouse la courbure de ses cuisses, le creux de son ventre.
Je suis envahie dune stimulation, qui a pour effet de me donner une envie de faire des choses sales. Je me glisse dans la pénombre tout prêt delle, à la toucher. Elle est là, dans son sommeil, enfin je le pense. Jeffleure son épaule. Sa peau est chaude, mon ventre réclame des sensations douces et fortes. Ma main s'égare sur son épaule, descend sur sa poitrine si tentante. Je ne me refuse pas la tentation si grande. Elle ne bouge pas, mais je sais, je devine quelle est éveillé à cet instant. Elle attend, la suite. Ma bouche envoie un léger souffle sur son cou, ma main joue sur son ventre. Je m'en délecte de jouer avec ce corps qui s'offre à mes mains. Je retrousse délicatement le bas de sa chemise de nuit, y glisse ma main sur son sexe. Je lentrouvre de mes doigts chauds et tremblants. Elle gémit, je me délecte de son sexe ouvert à souhait. J'accélère le mouvement. Son sexe en demande, et attend la suite. Je joue de mes doigts, c'est un bonheur exquis.
Ce que je mapprête à faire est malsain. Avec fougue, je prends linitiative de faire glisser mes lèvres à la hauteur de son bas-ventre, goûtant son sexe.
Il faut que je résiste à son envie, à mon désir de la manger, là. Je picore son con de baisers même pas appuyés, jusquà ce elle me tende son bassin provocant, impérieux...
Un coulis tombe sur ma langue et je m'abreuve comme un assoiffé à la source de tous les plaisirs. Je lèche, m'attardant sur le bouton. Delle-même, elle se retourne, s'offre à moi sur toutes ses faces. Alors ma langue aiguisée, s'est faite lame pour la pénétrer, petite queue ridicule mais si agile. Je la lèche, encore et encore, la fouille au plus profond, frottant mon nez à son bouton.
Ses cuisses s'ouvrent et se serrent sur ma tête au rythme de son plaisir...elle froisse sa chemise de nuit en se malaxant les seins sans pudeur tandis que mes mains se sont saisi de ses fesses pour les pétrir, comme dans mes fantasmes. D'un coup plus violent encore elle écrase son bassin sur ma bouche et jouit dans un râle étouffé.
Quand je me redresse, avec en bouche le goût de son plaisir, elle a encore les yeux fermés, ses mains sur ses seins...
Elle respire par la bouche légèrement entrouverte. Debout près delle, je guide ma queue tendue, en direction de sa bouche. Elle me tète. Heureusement son mari ronfle toujours. Cest évident, cette femme me fait faire des choses dingue.
Sa langue s'agite autour de ma queue. Ses lèvres vont et viennent comme une bague chaude le long de la verge qui se crispe. Elle malaxe en même temps les couilles avec une sorte de rage froide comme si elle voulait les essorer. Ce mélange de douceur et de brutalité maffole.
La situation est incontrôlable. Chose incroyable, les ronflements cessent de lautre côté du lit.
- Que fais-tu à gesticulé sur le lit ? Interroge le mari.
- Oh
je narrive pas à dormir.
- Ah bon et pourquoi donc ?
- Je ne sais pas
Jentends au-dessus de moi un frottement de drap.
- Mais dis-moi, ma cochonne
tu mouilles ! Tu as peut-être envie dune grosse bite. Tient cela tombe bien, jen ai une à disposition.
Il y eu un chamboulement, et sen suivit des gémissements. Pas besoin dêtre devin, pour savoir ce quils font, là-haut.
Je me représente la scène. La devine en train de baiser avec ardeur, allant au-devant des désirs du mari qui la pénètre. Elle se met à pousser une série de cris stridents. Le mari la lime, le grincement des ressorts du sommier sont là pour lattester.
- Continu
bourre-moi encore
Le sommier grince. Jentends Bernadette qui halète de plus en plus fort. Chaque coups de reins provoquent un déplacement du lit. Qui rebondi fortement contre le mur. Puis le mari pousse un cri. Un cri dextase qui clôture le déchainement de force. Le calme revient aussi vite quil est parti.
Toujours allongé au sol, jattends patiemment un signe de Bernadette pour me relever. Celui-ci, vient quelques minutes plus tard, alors que le mari reprend la ronflette. Je me redresse. Bernadette me murmure à loreille.
- Il ma sauté le con. Il a joui, mais pas moi, me laissant sur ma faim. Alors je ten supplie, suce-moi, jai encore un besoin de jouir.
- Mais c'est dégueulasse, votre sexe est souillé de son foutre.
- Et alors ? Chuchote-telle.
- Mais c'est le sperme de votre mari !
Devant mon hésitation, elle dût droit de rajouter.
- Si tu ne le fais pas, tu peux partir. Et pas la peine de me relancer mon choux !
Je naurais jamais cru que les choses iraient aussi loin. Jai pris cette menace au sérieux.
Je plonge mon visage entre les cuisses de Bernadette et me mets à lécher la fente qui bâille. Le goût salé irrite ma langue et mon palais. J'ai eu un haut-le-cur en avalant ce que je crois être un filet de sperme. Pourtant, je continus à faire frétiller ma langue. Bernadette gémit, me saisit par les cheveux. Javale tout. Je me sens pire quune bête.
Je ne tarde pas à recevoir de nouvelles giclées dans la bouche. Tout son corps tendu, arc-boute. Elle pousse des gémissements étouffés. Je la bois jusqu'à la dernière goutte, me régalant.
Ma queue bande à mon faire mal. Je me dégage de dessous les jambes et la présente à sa bouche. Elle me suce sans retenue. Sous lintensité de mon excitation, je ne pus mempêcher de jouir.
- Maintenant tenez votre promesse, hein ?
- Oui, une promesse est une promesse.
Cest arrivée dans ma chambre, que je réalise ce que je viens de faire. Je me mets mis a tremblé, ne pouvant pas me contrôler. Je me couche, avec un goût de sperme dans la bouche.
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