Dévergondages 01 - La Taverne Du Chevalier D'Or
Cette série est le résultat dune rencontre lors dun récent voyage dun Français nommé B., venu en voyage daffaires dans le pays où je réside. Il ma confié lhistoire intime de son couple, notamment le dévergondage de son épouse dans la région bordelaise où demeure le couple.
En ce mois de septembre, le temps est très beau et un soleil éclatant, plombe de chaleur la ville de Bordeaux dite, la perle dAquitaine. Les petites rues de la vielle ville autour de la porte de la Grosse Cloche, sont un havre de fraicheur apprécié par les habitants. A treize heures trente, le service bat son plein à la « Taverne du chevalier dor », situé dans la rue Saint-James. Dans un environnement de meubles rustiques et sous un plafond de pierres voutées, le service est assuré par daccortes jeunes filles aux jupes noires et aux bas blancs qui laissent voir, pour la plupart, leur imposante poitrine débordant de leur blouse campagnarde au décolleté très lâche.
Les recoins sont nombreux, et dans lun deux, est attablé un homme bien mis, à la chevelure courte et blanche qui sentretient avec une femme à la chevelure châtain clair, ayant dépassé la quarantaine. Lhomme se prénomme Edmond, âgé de soixante-quatre ans, il porte beau pour son âge car il sentretient. Sport en chambre, massage, golf au quartier du Lac, il paraît avoir une forme éblouissante. Notaire ayant vendu son étude il y a deux ans et célibataire endurci, il chasse la gazelle en toutes occasions. Cela fait six mois quil fait une cour discrète et délicate à la femme élégante qui laccompagne.
Celle-ci se prénomme Odile. Elle vient davoir quarante-huit ans, mais on lui en donne dix de moins. Elle nest pas très grande, un mètre soixante, tout au plus, une cinquantaine de kg et une poitrine qui doit supporter tout juste, des soutiens-gorge dune talle avoisinants le 85b. Elle est bien faite avec de jolies jambes et de magnifiques yeux marron. Sa chevelure naturelle lui tombe sur les épaules, alors quune légère frange, coupée au carré barre son front.
Edmond qui déjeune avec elle tous les midis sait quelle est mariée depuis vingt-cinq ans avec Michel, le seul homme quelle ait connu, sétant mariée vierge et ne layant jamais trompé. Son mari qui a cinquante-trois ans, est un cadre supérieur dune entreprise de transports, la STVB, société de transport vinicole bordelaise, situé à Blaye à quarante-deux km de leur résidence à Lormont. Cette dernière est de lautre côté du pont de pierre qui enjambe la Garonne à quinze minutes de la société où elle travaille, cours Victor Hugo. Odile est responsable d'un département des ressources humaines, d'une compagnie de service et d'ingénierie informatique (la CSIIB), depuis plus de 20 ans.
En six mois, Edmond a eu le temps de tirer un tas de renseignements de la jolie femme, comptant bien la mettre dans son lit dans un premier temps, et aspirant, dans le futur, à lui faire connaître bien dautres facettes de lamour à deux et surtout à plusieurs. Car, il tend son filet patiemment, mais sûrement notre sacré coquin dEdmond. Cest ainsi quil apprend quOdile demeure dans une « Folie » ou gentilhommière du XVIIIe siècle, aux toits dardoises dans un environnement très arboré et disposant dune piscine à lorée du Parc de l'Ermitage Sainte-Catherine à Lormont. La Garonne est à quelques mètres et dispose de passerelles pour quelques canots et bateaux de plaisance. Elle confie quil fait bon se balader autour des chemins du parc avec les vélos de la famille. Elle lui vante aussi son intérieur qui est très moderne, ce qui surprend par rapport à la bâtisse ancienne ; des tableaux modernes et des meubles designs épousent agréablement la cheminée monumentale dun autre âge. La pièce principale de la famille est la cuisine, qui dispose dune grande table fermière, où le couple et sa fille, prennent plaisir à se retrouver pour échanger sur tout et sur rien .
Alors que cela fait des mois quEdmond supplie Odile de lui accorder un déjeuner intime dans son appartement situé dailleurs à deux pas, la femme mature qui a bu un peu plus que de raison du champagne offert par son suborneur, accepte enfin, pour le jeudi de la semaine suivante de se rendre au domicile dEdmond pour le repas fin quil lui promet depuis si longtemps. Elle na aucune intention de se mal conduire, aimant son mari et nétant pas préoccupée inconsidérément par le sexe. Elle sent pourtant son cur qui bat à lidée de ce repas en privé, mais, se rassurant elle-même, elle se dit que depuis six mois quelle connaît Edmond, il sest toujours conduit dune manière très courtoise et à toujours été dune correction parfaite. Puis, comme toute femme, elle est curieuse de découvrir lendroit où vit cet homme quelle a plaisir à fréquenter, bien que sans aucune arrière-pensée aucune.
Le jeudi suivant, elle revêt un pantalon dun blanc immaculé, en soie sauvage, légèrement transparent qui moule parfaitement ses fesses rebondies et laisse entrevoir ses jambes et ses cuisses lorsquelle marche. Pour loccasion, elle a mis comme haut, une blouse en soie elle aussi, assez ample et de couleur framboise. Des escarpins et un léger sac à main de la couleur de son corsage complètent sa tenue. En se contemplant dans la grande glace de la chambre à coucher, elle se demande si ce nest pas trop provoquant, mais elle se plait bien ainsi et que peut-il lui arriver avec ce vieil ami. Elle a pris sa journée et vers onze heures trente, elle monte dans sa Twingo bleu nui et prenant le quai Elisabeth Dupeyron, juste derrière la propriété familiale, elle rejoint le pont de pierre qui enjambe la Garonne et sengage dans le cours Victor Hugo où se trouve lappartement dEdmond. Heureusement très loin de la société où elle travaille ; car malgré tout, elle ne veut pas se faire surprendre par des collègues qui pourraient jaser, bien quelle se sente tranquille, nayant rien à se reprocher.
Il y a beaucoup de circulations ce jour-là, il est vrai que son parcours est effectué plus tard que dhabitude. Aussi, elle se gare dans le parking que lui a indiqué Edmond, sous son immeuble, à midi pile. Se recoiffant rapidement dans le rétroviseur de la voiture et appliquant un soupçon de rouge sur les lèvres. Elle sort du parking en prenant directement lascenseur qui la monte à létage de lappartement de son ami. Elle se sent étrangement fébrile, comme si elle allait commettre une faute ; ses mains sont glacées et elle a des frissons sur tout son corps. En sonnant à la porte, elle a soudain une bouffée de chaleur. La porte souvre et Edmond, très vieille France, tout en sinclinant, lui baise la main. Elle a toujours été très impressionnée par lélégance et le bon ton quil met à se conduire envers elle. Elle entre dans le vestibule, puis dans un immense salon où le mobilier et la décoration de bon goût représentent toute lépoque 1925/1930 de lArt déco. Installée confortablement dans un large fauteuil, elle savoure le champagne Cristal de Louis Roederer, versé dans une flute en argent que lui a servi son hôte. Le métal refroidi doù perlent des gouttes deau est très agréable dans la jolie main dOdile. Cest la première fois quelle savoure du champagne dans un récipient en argent, le métal glacé contre ses lèvres lui procurant un plaisir rare, charnel
Après avoir bu trois flutes de cet excellent breuvage, Edmond linvite à passer à table. Ils se rendent dans un petit boudoir de couleur rose où une table ronde est dressée avec deux chaises fauteuils de style art déco, elles aussi. La nappe blanche est recouverte dune dentelle de Lorraine, les couverts sont en vermeil ainsi que les assiettes. Un maître dhôtel apporte dabord le vin, un Riesling, lui aussi frappé et un immense plateau de fruits de mer. Odile, confie alors à Edmond quelle adore ce genre de mets quelle déguste peu souvent, car son mari ne supporte pas les produits trop iodés de la mer.
Il faut quEdmond la soutienne pour quil la fasse entrer dans un minuscule salon où se trouvent un écran plat de télévision et un canapé pour deux personnes. Elle se laisse choir sur les coussins moelleux, senfonçant délicieusement en se sentant comblée. Edmond sert le café dans de minuscules tasses en porcelaine de Chine, puis prenant la soucoupe et la tasse des mains dOdile lorsquelle a bu son café, il les repose sur le plateau tout en regardant attentivement sa proie qui cuve tranquillement lalcool quelle a absorbé. Odile qui somnole légèrement, se laisse légèrement glisser contre lépaule de lhomme qui en profite pour passer un bras derrière ses épaules. Elle ne réagit pas, blottie contre son hôte, ne songeant même pas à ce que sa position peut avoir dinconvenant. Son chemisier sest entrebâillé alors quEdmond peut admirer la naissance de ses seins qui se soulèvent spasmodiquement et cherchent à sortir du soutien-gorge à balconnet qui les retient prisonniers. Elle ne saperçoit pas que son hôte dégrafe délicatement un, puis un deuxième enfin un troisième bouton de son corsage. Celui-ci est désormais largement ouvert sur une gorge magnifique. Edmond a beaucoup de mal à ne pas violenter sa proie, mais il se retient, ne voulant pas tout gâcher. Il se penche vers le visage dOdile et lui applique très délicatement un baiser sur sa joue. Elle glousse en lui murmurant :
- Allons Edmond, ce nest pas convenable de membrasser ainsi.
Pourtant, Edmond qui ne dit mot, lui applique de petits baisers sur son nez, sur son front, sur son menton. Elle rit, proteste un peu mais ne se dérobe pas, aussi il effleure légèrement ses lèvres, puis de sa langue, il lèche les lèvres pleines de la belle mature. Celle-ci ne glousse plus, elle entrouvre les lèvres et laisse la langue explorer lintérieur de sa bouche. Un sein est sorti de son étui sans quelle sen rende compte alors que son téton pointe outrageusement, exprimant ainsi lexcitation qui est la sienne. Edmond embrasse à présent profondément Odile qui répond aux baisers avec fougue. Elle ne doit pas se rendre compte quune main de son suborneur malaxe avec vigueur le sein encore emprisonné et que bientôt, il le sort aussi de son écrin tout en titillant le téton durci lui aussi. Odile commence à gémir sous les baisers et les attouchements libidineux du vieux beau, ses sens étant sollicités au plus haut point. Pourtant, lorsque lautre main dEdmond sinsinue entre ses cuisses et atteint directement sa chatte au travers du tissu beaucoup trop mince de son shorty, elle se réveille dun seul coup, prenant conscience de ce qui lui arrive. Elle se redresse, rouge de honte de se voir dépoitraillée, les deux seins à lair, elle balbutie :
- Oh ! Je suis désolé ! Mon Dieu quai-je fais
.. Que mavez-vous fait. Oh ! Jai honte
. Pardonnez-moi
Je suis confuse. Il faut que je men aille
.. Sil vous plaît, laissez-moi partir.
La pauvre femme est affolée, elle senfuit de lappartement, ayant perdu toute notion du temps et doù elle se trouve. Elle est déjà dans la rue lorsquelle réalise quelle ne sait pas où est sa voiture. Elle se rappelle soudain et rentrant dans limmeuble, elle prend lascenseur pour descendre dans le parking. Elle saffale au volant et éclate en sanglots. Une bonne heure se passe avant quelle reprenne conscience. Vingt-cinq ans quelle sest mariée avec Michel et jamais au grand jamais elle na eu une velléité de le tromper. Elle sait bien que son époux a vécu des aventures très coquines avant quils ne se connaissent et, elle se doute quil a dû avoir quelques liaisons éphémères lors de ses nombreux déplacements. Cela lui a sans doute évité que son mari insiste pour lentraîner dans des clubs libertins comme il le lui avait proposé il y a déjà longtemps. Elle a sans doute fermé les yeux à cause de cela. Cela nempêche, elle se sent salie. Elle ne peut même pas en vouloir à Edmond, cest elle, qui apparemment sest conduite comme une gourgandine. Elle a accepté son baiser et elle a pris du plaisir à lembrasser, elle ne sait même pas comment ses seins se sont retrouvés hors de leurs remparts. À ce rappel, elle devient de nouveau, rouge pivoine, car elle se souvient très bien quelle sentait ses seins gonflés et la pointe de ses tétons excités et même
Que son ventre lui donnait des sensations, auxquelles elle ne veut même pas penser.
Elle se décide à rentrer chez elle, se demandant si elle doit avouer son inconduite à son mari. Pendant le trajet, heureusement court, elle rumine sa culpabilité. Elle arrive vers 17 heures chez elle, où, se déshabillant rapidement, elle fait couler un bain pour se débarrasser de sa « faute ». Elle frotte son corps en entier avec des éponges abrasives, faisant rougir presque jusquau sang ses seins, son ventre, ses cuisses, se fustigeant ainsi pour se punir de sêtre « oubliée »
À suivre
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