La Vidéo 1

Le carillon de la porte résonna.
- Richard ! va ouvrir s'il te plait ! Ce doit être Valérie qui vient garder les filles.
- J'y vais, mais dépêches toi, nous allons être en retard.
Richard ouvrit largement la lourde porte de l'entrée. Une jolie jeune femme très blonde, vêtue d'une mini robe bleu canard lui sourit et le salua joyeusement.
- Bonjour Monsieur Brooker ! Comment allez vous ?
- Bonsoir Valérie, ravi de te voir.
Il s'effaça pour la laisser entrer et apprécia le léger parfum fruité qu'elle laissait sur son passage.
- Dis moi, ça fait combien de temps qu'on ne t'as pas vue ?
- A peu près deux ans. La dernière fois que je suis venue vous voir c'est quand je suis partie faire mon année en Californie. Quand je suis passée voir mes parents l'an dernier, vous étiez tous partis à un mariage en Savoie et vous êtes revenus le lendemain de mon départ. Ca fait donc exactement vingt six mois que vous ne m'avez pas vue.
- Et bien félicitations, tu as beaucoup changé, tu es devenue une jeune femme ravissante.
- Merci Monsieur Brooker, vous êtres très gentil.
- Non non, c'est vrai, tu avais encore un physique d'adolescente et on voit que ces deux années t'on fait mûrir.
Jacqueline Brooker arriva dans le hall, son sac à main sur le bras quand son mari l'interpella.
- Dis donc Jacquie, tu ne m'avais pas dit que Valérie avait autant changé !
- Je craignais que tu ne tentes de la séduire, dit elle en riant, mais c'est fichu maintenant que tu l'as vue.
Tous trois rirent de bon cœur, puis Jacqueline prenant la jeune fille par le bras la fit entrer plus avant dans la maison.
- Les filles sont couchées et elles dorment. Tu fais ici comme chez toi. Tu connais la maison, il y a des livres, des cassettes vidéo, de quoi boire et manger, tout ce dont tu peux avoir besoin. J'ai prévenu les jumelles que tu serais là pour veiller sur leur sommeil et elles sont ravies.

Prenant la jeune fille par la taille elle l'entraîna vers la chambre des s. Elle ouvrit silencieusement la porte et se plaça derrière Valérie en disant à voix basse :
- Regarde s'ils dorment bien mes petits anges.
Dans la lueur de la veilleuse, la jeune fille put voir les deux fillettes profondément endormies. En voulant reculer pour quitter la pièce elle se retrouva collée au ventre de Jacqueline. Elle sentait la poitrine ferme sur son dos et en était un peu troublée.
La femme posa ses mains sur les hanches de Valérie puis les faisant glisser sur son ventre sur son ventre, elle lui souffla à l'oreille :
- Il a raison Richard, tu es devenue une femme très attirante, tu devrais venir me voir plus souvent…
Valérie était de plus en plus troublée, elle ne bougea pas lorsqu'elle sentit la main droite de Jacquie descendre entre ses jambes et sa main gauche remonter pour caresser sa jeune poitrine.
Relevant la courte robe bleue la femme glissa ses doigts sur la petite culotte et caressa la fine toison qui recouvrait son pubis à travers le léger tissu. Très rapidement elle fit passer ses doigts sous l'élastique et écarta délicatement les lèvres intimes de sa cadette.
- C'est délicieusement doux ici et chaud, dit elle en insinuant délicatement son médius dans la vulve humide, tu aimes les caresses ?
Valérie ne répondit pas mais plaçant ses mains sur les fesses de sa partenaire, elle se colla encore plus fort contre son ventre et écarta légèrement les jambes pour faciliter la pénétration des doigts experts dans son intimité.
- Jacquie c'est l'heure !
Les deux femmes sursautèrent en entendant la voix de Richard qui appelait depuis le salon. Jacqueline desserra son étreinte puis faisant pivoter Valérie sur elle même, posa un léger baiser sur ses lèvres. L'entraînant dans le couloir elle referma doucement la porte de la chambre et regagna le salon en tenant la jeune fille par la main.
- Nos petits anges dorment profondément, dit elle d'un air détaché à son mari qui s'impatientait.
Lorsqu'ils franchirent la porte, la femme se retourna et dit à Valérie :
- A plus tard et sois bien sage…
Puis elle quitta la maison en suçant le doigt qui avait caressé la jeune fille…