Ma Première Pipe

Bonjour, je m’appelle Wilson et j’ai 36 ans, je vais vous raconter la première fois où j’ai sucé un mec.
Bien que depuis longtemps attiré par les garçons, je m’étais toujours interdit de vivre ce désir. Dans la petite ville du sud ouest où j’ai grandi, on pouvait être beaucoup de choses du moment qu’on était un mec, un vrai, mais on ne pouvait pas être PD. Je fantasmais pourtant sur certains de mes camarades que j’observais à la dérobée, sous la douche après le sport, et je m’arrangeais pour toujours être le dernier à quitter les vestiaires, car une fois seul, je repartais sous la douche et je me faisais plaisir en solitaire en revoyant dans mes pensées les corps et les sexes de mes camarades… J’ai eu quelques flirts avec des filles sympas et pour certaines m’y suis même attaché, mais au fond de moi je rêvais d’autre chose. Ce n’est qu’une fois arrivé à la fac que je me suis décidé à vivre cet appel de plus en plus puissant en moi.
Pour autant hors de question de le vivre au grand jour, mais ça ne posait pas problèmes et je n’étais vraisemblablement pas le seul à vouloir vivre cette partie de ma vie en secret, les messages inscrit sur les murs des toilettes à la fac ne disaient pas autre choses. Vous connaissez tous ces propositions de plans cul en toute discrétion qui ont longtemps « décorés » les murs des WC. J’ai donc commencé à hanter certains WC de la fac, là où les propositions étaient les plus nombreuses. Sans grand succès d’ailleurs, n’osant pas vraiment aborder les garçons qui passaient. Je me suis tout de même régalé à voir toutes ces queues et j’y repensait la nuit en me branlant et me disant que j’arriverai bien à en aborder un, un jour.
Pourtant tout a changé un jour, où venu satisfaire un besoin naturel entre deux cours, je n’ai pu utiliser les urinoirs déjà tous occupés, et me suis dirigé vers une cabine. Occupé à me soulager je ne prête pas attention aux vas et viens qui m’entourent, au bruit caractéristique des portes des cabines à coté qu’on ouvre où qu’on ferme… mais soudain je sens, dans ces toilettes sans fenêtres et légèrement surchauffées , un courant d’air effleurer mon sexe.

Je suis un peu surpris et une fois fini d’uriner je cherche l’origine de ce courant d’air impromptu. Je découvre en me penchant sous le dévidoir à papier, un trou dans la cloison, pas énorme mais suffisant pour passer deux doigts, et qui offre une assez bonne vue sur la cabine d’à coté. A ce moment un garçon pousse la porte et rentre dans la cabine et le même mouvement d’air que tout à l’heure se reproduit. Je me retire prestement de devant le trou afin de na pas être surpris, sort de la cabine et après m’être lavé les mains, retourne en cours. Mais j’ai enregistré l’information. Quelques heures plus tard je suis de retour. Les toilettes semblent désertes et j’en profite donc pour vérifier une par une les cabines. Seule celle que j’ai utilisée le matin est aménagée de la sorte. Je m’y enferme, éteins la lumière pour ne pas être vu et après avoir baissé mes habits je m’assied sur la cuvette et guette par le trou l’arrivée d’un garçon. Mon prof nous a lâché plus tôt que prévu mais maintenant c’est l’intercours et il devrait y avoir du passage. En effet, bientôt, des garçons arrivent, et aux bruits, je peux presque « voir » leurs allées et venues devant les urinoirs ou dans les cabines mais personne dans la cabine d’à coté.
Enfin, un garçon pénètre dans la cabine et se positionne devant la cuvette. Le trou est décidément bien placé car il me permet de voir le garçon défaire sa braguette, sortir son sexe et uriner. Je suis à peine a plus de 40 cm de lui et il ignore que je l’observe dans ce moment si intime. Il se secoue pour évacuer la dernière goutte, se rhabille et quitte les toilettes qui se sont vidées entre temps.
Je commence à me caresser en repensant au spectacle auquel je viens d’assister quand j’entend quelqu’un entrer dans les toilettes, puis quelques secondes plus tard essayer d’ouvrir la porte de ma cabine, constatant qu’elle est occupée, il rentre dans la cabine d’a coté, je me réjouis de pouvoir mater un autre beau mâle en douce et je ne suis pas déçu, il baisse sa braguette sors son membre mais au lieu de pisser, il commence à se caresser.
Sa bite déjà jolie commence à prendre de l’ampleur sous sa branle et je commence à penser qu’il sait qu’il est observé car il est tourné vers la cloison et non vers la cuvette et se cambre doucement pour être bien en face du trou. Je suis de plus en plus excité et me dit que c’est peut être l’occasion que j’espérais. Je cherche fébrilement dans mon sac de cours un bout de papier et un stylo. Dans la pénombre faiblement éclairé par les raies de lumière qui passent autour de la porte et par le trou, j’écris à la hâte ces quelques mots : « belle bite, je te suce? ». J’enroule le papier et le glisse à travers le trou. Il arrête de se branler, hésite quelques secondes puis arrache le papier du mur et le lis. Il reste là un instant, la queue toujours bandée qui pointe sous mon nez puis jette le papier, se rhabille et sort de la cabine. Je suis déçu mais ça ne dure que quelques secondes car très vite on frappe à la porte de ma cabine, un peu nerveux je me lève et déverrouille la porte. Aussitôt elle pivote et un garçon blond cheveux ras, vêtu d’un jean et d’une veste de tweed entre dans ma cabine. Il est mince et la bosse qui déforme son entrejambe ne laisse place au doute, il referme la porte derrière lui et allume la lumière. Je pose mes mains sur ses hanches, il défait sa ceinture, sa braguette et dans un même mouvement descend son jean et son slip sur ses cuisses, libérant une belle bite raide d’environ 18cm et partiellement décalottée. Tout excité et hésitant j’empoigne son manche offert. Quelle sensation!! Hormis quelques branlettes « hétéros » avec un pote du lycée, jamais je n’avais tenu d’autres bites que la mienne, elle palpite sous mes doigts tandis que je commence à la branler doucement. Il pousse un soupir de plaisir et m’intime : « suce moi ! ». Je me rassied sur la cuvette et m’exécute. Je pose mes lèvres sur le gland toujours partiellement recouvert. Là encore quelle sensation enivrante! De son pubis très poilu et de sa queue émane une très légère odeur de transpiration et d’urine mélées, presque imperceptible et pourtant là, cette odeur si caractéristique de mâle que je vais apprendre à aimer.
Je gobe alors son gland. Celui-ci a un goût légèrement salé mais pas écoeurant pour autant, lui aussi à peine perceptible. Je referme mes lèvres autour de sa queue et commence à la faire coulisser dans ma bouche. Il soupire de plaisir et je m’enhardi alors a accélérer la cadence. Je repousse avec ma langue le dernier bout de prépuce qui recouvrait encore son gland et le décalotte complètement. Il gémit mais empoigne ma tête et commence à donner des coups de bassin, à aller et venir entre mes lèvres comme s’il me baisait la bouche. J’étais un peu surpris de cette façon de faire mais j’appréciais tout de même le moment et le laissait donc faire. Il m’exhorta à le caresser avec la langue, j’obtempérai et fis virevolter ma langue sur son gland tandis qu’il continuait à aller et venir entre mes lèvres. J’étais de plus en plus excité et lui me chuchotais des encouragements entre deux soupirs de plaisir, disant que c’était bon, que je suçais bien, me demandant si j’aimais ça, si j’aimais sa bite… oui j’aimais sa bite et j’aimais sucer, j’étais très chaud et j’ai commencé à me branler tout en le suçant. Je n’en revenais pas j’étais là entrain de sucer un mec et de me branler, dans les toilettes de la fac…il faisait de plus en plus chaud, donc j’ai déboutonné ma chemise et me suis retrouvé nu, la bite à la main, une autre dans la bouche et ma main libre sur ses fesses velues. Je commençait à monter en pression et je n’ai pas porté attention au soubresaut de son bas ventre, puis il a gémit : » je viens, je viens… ». Et il est venu, dans ma bouche, il m’a balancé 5 ou 6 grosse giclées de sperme chaud et légèrement amer. Il a relâché son étreinte et est ressorti de ma bouche me gratifiant d’un « putain c’était bon ». Avant d’essuyer son gland sur ma poitrine. J’avais un peu avalé de son sperme tant qu’il était en moi, mais une fois sorti, j’ai attrapé du papier toilette et j’ai recraché son jus. Il s’était déjà rhabillé, il me tapota l’épaule et me dit : « salut, à une prochaine » et il sorti de la cabine.

Je refermai derrière lui et ayant toujours l’odeur de sa queue dans les narines et le goût de son sperme dans la bouche, je finissais de me branler. Jamais je n’avais juté avec autant de plaisir, je ne pus réprimer un gémissement très fort alors que j’explosais, projetant mon jus sur la porte. Après une toilette sommaire et avoir nettoyé les traces de mon extase, je sorti à mon tour de la cabine. Un garçon se lavait les mains aux lavabos et dans la glace m’adressa un coup d’œil complice et un me dit : « alors ça fait du bien, hein ! ». Je rougis de honte en comprenant qu’il m’avait entendu jouir. Il le comprit et avec un nouveau clin d’œil me dit « t’inquiètes, y a pas a voir honte, j’étais là pour ça aussi » et il me désigna un urinoir encore maculé de sperme « allez salut » et il sorti me laissant seul, troublé d’avoir fais ma première pipe et d’avoir été surpris en pleine branle.

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