La Féria De Bayonne
-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --
Marie-Hélène est désormais saoule un soir sur 2
Elle vient d'avoir 45 ans et elle a pris le pli de l'alcool depuis quelques années, comme une drogue. Avant de lépouser, il y a 15 ans j'ai été longtemps son amant. Elle ne buvait pas comme ça
Tout a commencé il y a 4 ou 5 ans lorsque nous sortions chez des amis à des dîners ou pendant les congés d'été. Vers cette époque, jai remarqué que durant ces dîners, Marie-Hélène buvait sec, surtout des apéritifs et des alcools forts. Bien souvent lorsque nous rentrions elle était "paf", pour ne pas dire carrément ivre. Plusieurs fois, j'ai dû la ramener et l'asseoir dans la voiture, puis la porter littéralement pour la descendre, tant elle était saoule
Je sais : " femme qui boit na pas son content de choses ! " dit le proverbe, mais je demeure très désarmé pour régler ce problème. Mon hypothèse cest quelle a un certain refoulement, notamment relativement aux choses du sexe et que boire est pour elle, non seulement une compensation, mais une façon de se déculpabiliser des fantasmes qui sont le siens Cest une façon de saffranchir des frasques quelle se laisse aller à commettre quand elle est ivre
Et il faut dire, que les soirs où elle est comme ça, plutôt grise et même carrément bourrée, c'est un festival de débauches et denvies les plus folles, tant lalcool la rend amoureuse et sexuellement libérée
Je dirais même très libérée. Quand elle a bu elle se permet des choses osées voire obscènes, qu'elle ne se permettrait jamais dans son état normal. Je me souviens d'une fois, lors dune soirée chez des amis, soirée qu'elle avait tout particulièrement arrosée. Revenue à la maison, elle sest mise devant le miroir de la chambre, à moitié dévêtue, et là, les jambes très écartée face à la glace, les seins sortis du soutien-gorge, la culotte à mi cuisses, elle s'est branlée avec une frénésie que je ne lui connaissais pas.
Pendant la période qui a suivi notre séparation et maintenant encore davantage, elle a complètement sombré dans l'alcool. Marie-Hélène est très consciente de son problème dalcoolisme. Elle m'a toujours raconté ses frasques, ses aventures et ses déboires (si j'ose dire!!), ses états d'âme et de corps pendant sa longue descente aux enfers. Parce que je suis le seul, me dit-elle dans ses moments de lucidité, qui puisse la comprendre et en qui elle a confiance. J'ai eu aussi bien trop souvent l'occasion de voir directement, de mes yeux, surtout sur la fin de notre relation, les niveaux de débauche inouïe que lui fait atteindre l'alcool.
Si j'ai mis un terme à notre relation, c'est qu'après avoir tout fait, tout tenté que ce soit sur le plan de la raison ou du sentiment ou encore de l'attention que je lui porte, il me devenait impossible de gérer ce problème, au risque d'être entraîné moi aussi dans le gouffre
Une situation a été particulièrement difficile et qui a servi de déclencheur au fait que jai décidé de prendre le large.
C'était en août il y a maintenant quelques années. Marie-Hélène venait juste d'avoir 40 ans et nous étions allés en vacances dans le Pays Basque. Nous revenions par Bayonne un soir de début août. Cétait justement un soir où la "Féria" battait son plein. Déjà sur les 10 jours de vacances, il n'y avait eu que deux soulographies notoires dont l'une à Biarritz 3 jours avant avait bien failli nous amener au poste de police. Nous sommes donc arrivés dans l'après-midi et le soir nous sommes allés manger au restaurant sur les bords de lAdour.
A la fin du dîner, alors que nous mangeons en terrasse, sur les bords de lAdour, Marie-Hélène quitte la table pour aller aux toilettes. Un long moment se passe ; 10 minutes, peut-être un quart d'heure, elle ne revient toujours pas
Je commence à trouver le temps long et me demande ce qui a bien pu lui arriver. Le temps de demander l'addition et de régler, c'est à dire encore 10 minutes au moins et comme elle n'est toujours pas revenue, j'entre dans le restaurant pour aller vers les toilettes. La salle est très vaste et je ne vois rien d'abord. Je descends aux toilettes, jattends un peu. Elle ny est pas. Je remonte à la salle, je la cherche, en vain. Je la vois enfin, assise à une table devant un verre avec une bonne demi-douzaine de jeunes gars de 20 à 30 ans, le foulard rouge traditionnel au cou et qui font la fête à grand train
Au ton de sa voix et à son il allumé je vois tout de suite qu'elle n'en est pas à son premier verre, et que dans la demi-heure qui a précédé, elle a rattrapé une bonne partie du déficit de ces derniers jours. Elle tient des propos égrillards sur ses capacités à soutenir les assauts de jeunes hommes. Bien qu'elle ait le double de leur âge à chacun, elle les défie en leur disant quelle pourrait encore tenir le choc, à plusieurs mecs à la fois
Comme d'habitude, l'alcool la libère. Je remarque qu'un des garçons a une main engagée sous sa robe d'été au niveau de la cuisse. En revanche elle, a sa main droite sur le pantalon de son voisin de droite, au niveau de la braguette. Je ne sais pas comment elle s'y est prise pour se retrouver là, assise à une table avec ces jeunes types, en train de se faire servir à boire
Je lui fais signe que je l'attends depuis un moment et je lui demande fermement de m'accompagner
Cette invitation soulève, on s'en doute, un tôlée général, et chacun en profite pour lui servir encore un verre.
- " Oh toi, t'es mignon
T'es un bon caresseur, toi
J'aimerais bien t'avoir dans mon lit ce soir !!" Et pour le remercier elle lui roule une pelle, ostensiblement comme si je n'étais pas là. Puis, toujours debout à côté de lui, elle frotte son pubis sur son bras avec un balancement obscène qui soulève à laronde un tonnerre d'applaudissements. La situation commence grandement à me déplaire. De force et sans ménagement, je l'entraîne à l'extérieur.
Elle titube déjà beaucoup. Je suis très en colère, d'autant qu'elle fait les yeux doux à tous les hommes que nous croisons
Je me dis que l'air frais du soir va lui faire du bien et je lemmène faire un tour sur les quais de lAdour. J'essaie d'alimenter la conversation en parlant de tout et de rien
Elle ne mécoute pas et ramène toujours la conversation à ces gaillards, me soufflant avec son haleine avinée qu'elle " s'en ferait bien quelques-uns pour vérifier qu'elle était encore bonne à quelque chose "... Je suis, on sen doute, un peu saturé de ces situations de beuverie et de frustrations sexuelles, écuré et excédé de ce comportement d'après boire, que j'ai déjà vécu maintes et maintes fois avec elle !
La foule est maintenant très dense et l'on se fait bousculer à chaque pas. Surtout que Marie-Hélène, n'a pas une démarche très assurée.
Soudain, je reçois une grande bourrade dans le dos qui faillit me jeter à genoux. Une farandole s'abat sur nous et je m'écarte promptement pour ne pas être piétiné
Dans une fraction de seconde, le tourbillon me sépare de Marie-Hélène
Je reconnais au passage dans la farandole, de façon très fugitive, un des garçons de tout à lheure, attablés au restaurant. Quand la tourmente est passée, Marie-Hélène a disparue. Ni devant, ni derrière, j'ai beau chercher, appeler, sillonner la rue et la zone en tous sens. Je dois me rendre à l'évidence, Marie-Hélène n'est plus là
Je refais la même rue pendant au moins deux heures d'affilé, je repasse au même endroit au moins 20 à 30 fois
Je me dis quelle sest affalée derrière une porte cochère ou une entrée de maison
Je visite tout, la hargne au ventre. En vain. Je suis inquiet et en colère, de m'être ainsi fait berner par ces jeunes blancs-becs
Je ne suis pas dupe de ce qui peut se passer ; je limagine très bien
Je sais que les femmes ivres peuvent attirer des hommes. Il y a des hommes qui aiment ça, et qui les recherchent, ça les excite terriblement ! Je ne sais plus que faire ni où chercher. Il n'y a plus qu'à attendre. Je rentre à lhôtel, il est 2 heures du matin, déçu et la rage au ventre.
Elle est revenue à l'hôtel le lendemain vers 11h, elle est descendue dun taxi sous l'il goguenard et ironique du chauffeur qui la ramenait
Elle était sale, encore à moitié ivre, la robe déchirée derrière et sur le côté, maculée de terre et de vinasse, une bretelle d'épaule de la robe cassée, les jambes sales, le visage sali par des coulures de fards défaits, les cheveux poisseux collés par divers liquides et sécrétions séchés.
Je l'aide à se déshabiller, je remarque qu'elle n'a plus de slip ni de soutien-gorge. Maintenant quelle est nue, je maperçois que ses seins sales gardent des rougeurs d'avoir été trop pressés, trop pelotés. Son corps présente des tâches de vin rouge séchées et des coulures de vinasses zèbrent son buste, son dos, ses fesses et l'intérieur de ses jambes, jusqu'aux chevilles
Sa chatte suinte encore dune sécrétion blanchâtre, sans doute du foutre ; les poils de sa fente sont tout collés de croûtes formant des amas jaunâtres qui doivent sûrement être des restes de sperme séché mêlé à la vinasse.
Pendant plus dune heure, elle ne dit pas un mot et moi non plus. Je la lave avec tendresse et précautions, comme pour effacer les stigmates de cette débauche dont je sais que maintenant elle la regrette, après l'avoir tant souhaitée
Puis elle s'endort pour trois bonnes heures durant. Nous sommes repartis dans laprès-midi et nous n'avons pas échangé une seule parole jusqu'au nord de Bordeaux.
Enfin, alors que la nuit tombe, je marrête car je sens qu'elle a besoin de parler.
Et là, pendant plus d'une heure elle me raconte, intarissable, mais marquant de longs silences qu'elle rompt en s'excusant parce qu'elle ne se souvient pas de tous les instants, surtout des premières heures, parce qu'elle était trop bourrée pour s'en souvenir parfaitement
Les choses lui reviennent par bribes et elle les reprend en flash-back pour les réorganiser dans le temps et dans l'espace de ce qui s'est passé
.
La farandole l'a entraînée et l'a fait courir dans la rue sans qu'elle puisse résister
Au bout de quelques minutes de cette course folle, elle s'est sentie soulevée par des bras forts et emportée loin de la foule
Là, elle se souvient avoir reconnu ses cavaliers de boisson de l'épisode du restaurant. Trois ou quatre gaillards la portent maintenant en faisant la chaise. Elle prend conscience que leur petite troupe repasse devant le restaurant et que tout de suite après ils s'engouffrent sous une large porte cochère.
Très vite elle se retrouve sur un palier sombre dans un demi-étage. On la remet debout et on la fait avancer vers une grande salle sombre. Il lui revient que la salle était jonchée de matelas, cousins et autres paillasses à même le sol. Les garçons samusent à la peloter sur tout le corps
Confusément elle sent que cette pièce, vaste est en relation avec le restaurant, peut-être une arrière salle ou une réserve quelconque, car elle se rappelle nettement avoir entendu des bruits de vaisselle et de cuisine ainsi qu'une certaine agitation dans les pièces attenantes
Cette pièce doit servir de lieu d'accueil à quelques jeunes hommes des environs pendant les fêtes, pour quils y séjournent et à loccasion, y accomplissent leurs libations et partouses.
Au début, elle s'amuse elle aussi de ces lutineries que lui prodiguent les 4 ou 5 jeunes gars qui l'entourent
Ils la pelotent sans vergogne, lui mettant les mains partout : dans la culotte, le soutien-gorge, lui caressent les seins, l'entrejambes, la croupe
Elle rit beaucoup de ces jeux très osés qui l'excitent au plus haut point. Pensez, des jeunes gaillards de 20 25 ans ! D'ailleurs elle sent qu'elle mouille beaucoup.
- "Je men souviens bien, me dit-elle car javais très peur quils sen aperçoivent et en profitent
". Tu parles, me dis-je comment vas-tu me faire croire que cétait là ta préoccupation principale !!
Ensuite, selon elle, les gars la prennent en main chacun leur tour en se la refilant l'un à l'autre. Tantôt l'un la prend dans ses bras, la colle contre lui et frotte son jeune sexe bandé sur son ventre en lui roulant une pelle. L'autre la reçoit à son tour, la tient devant lui pour lui frotter les fesses de sa bite, tout en lui pelotant les seins
Un autre s'accroupit devant elle, lui relève sa robe légère puis il lui fait écarter les jambes pour voir son bel entrejambes. Il va jusquà lui donner quelques coups de langues à travers le slip jaune. Un autre encore la fait se pencher sur la table, les coudes en appui et lui relevant sa robe par derrière, lui baisse sa culotte jusqu'à mi-cuisses pour lui caresser les fesses, al raie, le petit trou, puis lui langotter le postérieur
Un autre enfin la prend sur ses genoux et l'ayant calée entre ses jambes lui met en main son sexe imposant tandis quil lui suce les pointes des seins qu'il a fait jaillir de son soutien-gorge. Là, elle en a joui, reconnait-elle en faisant son récit comme en s'excusant du fait
Elle ajoute même :
- " Il faut que tu me pardonnes, je ne savais pas ce que je faisais, j'étais saoule
Ce n'était pas moi là, qui palpait la bite dressée et énorme que le gars mavait fourré dans la main... Parce qu'il l'avait sortie le salaud !! Non, ce nétait pas moi chéri, cétait une autre femme. Une salope !"
Puis après un long silence, elle reprend son récit :
- " Puis, tous les mecs se sont rapprochés et mont entouré. Je sentais beaucoup de mains sur moi, sur mon corps, mes seins, ma chatte. J'ai dû jouir à plusieurs reprises car pendant un temps que je ne peux mesurer, je ne sais plus ce que j'ai fait !
"
Je comprends bien à ce qu'elle me raconte ! Que les gars l'ont pris sur leurs genoux, l'ont pelotée encore et caressée et branlée aussi sans doute et surtout l'on fait boire encore de nombreux verres. Je sais : lorsquelle est saoule, elle est très libérée, déchaînée même, appelant les bites à son secours, comme je l'ai déjà vue faire à plusieurs reprises
Ensuite, ils la font monter sur la table et lui font prendre des positions obscènes. Un moment, il faut qu'elle danse le slow avec un cavalier imaginaire qui se frotterait à elle. Eux, tout autour de la table tirent sur la robe légère afin qu'elle s'en aille en lambeaux. C'est durant ces morceaux choisis de danse et dexhibition que la robe a souffert et sest déchirée
Tandis quelle danse, ils lui enlèvent son soutien-gorge et son petit slip jaune, pièces de lingerie sans lesquelles elle est rentrée ce matin
Mais à danser et à tourner, cela léchauffe et la saoule encore davantage, au point quelle manque de tomber plusieurs fois. Enfin ils la descendent pour lallonger sur la table... Là, alors que l'un d'eux lui tient les jambes dans le plus grand écartement possible, ils passent à tour de rôle lui lécher et lui sucer la fente. Un autre lui suce les seins
En même temps, que dautres encore à sa tête lui mettent en bouche leur dard bandé. Elle a le souvenir quun des jeunes types la suce si bien entre les jambes quil lui fait bander à mort le clitoris. Sucée, branlée, pelotée et pompant elle-même des bites, elle narrête pas de décharger. Elle sent sa cyprine couler de sa fente. L'un d'eux lui essuie l'entrejambes avec sa petite culotte jaune et se branle dedans.
- " Chéri, pardonnes-moi, mais comme tu le sais, dans ces moments où je suis sucée et branlée, je ne me contrôle plus vraiment et jai très envie de me faire prendre
tu le sais chéri
"
Oh oui, que je connais bien cette situation où la dépravation la conduit à blasphémer et à appeler les mecs à la baiser avec un vocabulaire ordurier ! Je sais quelle na pas eu beaucoup à attendre pour que le festival commence ! Dailleurs cest ce quelle me confirme par son récit.
Chacun vient à tour de rôle la prendre au con bien profond et bien la limer avec de longs moments
Elle ne sait même plus si tous avait le temps de mettre un préservatif, mavoue-t-elle
Parfois quand elle est baissée ainsi, l'un des 4 autres lui met un doigt dans le cul qu'elle a très étroit pour parachever son plaisir. Elle a la chatte en feu et décharge comme une gueuse. Les jeunes hommes déchargent à la queue leu-leu : qui sur son ventre, qui sur ses seins, qui dans sa bouche
Un autre qui la prend en levrette sur le bord de la table et il finit par lui décharger abondamment dans la raie des fesses, ce quelle apprécie énormément
Puis, histoire de reprendre des forces, ils se remettent à boire et à manger, et surtout ils la font boire encore et encore
Elle est maintenant complètement ivre de jouissance, de foutre et dalcool. Ils lui versent le vin dans la bouche à même les bouteilles. Comme elle ne peut tout avaler d'un coup, elle en rejette les trois quart. Le pinard lui dégouline le long du cou, du corps, de la poitrine. Le vin descend jusqu'à la chatte où il se mêle au foutre ; coule à l'intérieur des cuisses, maculant toute sa peau de traînées violacées et poisseuses.
Là, sans doute parce que tout ce vin bu depuis 2 heures lui travaille l'intestin, elle se met à péter à grands bruits ce qui lui donne le fou-rire. Plus elle pète, plus elle rit et donc pète encore davantage
A tel point qu'ils entreprennent de lui boucher le trou du cul avec un bouchon de bouteille. Ils la couchent sur la table à plat ventre et lui écartent les cuisses le plus possible, afin d'avoir accès au mieux à sa rosette. Ils la regardent péter un moment et s'en amusent, puis ils la fessent de cette familiarité
L'un d'eux lui lèche longuement le trou du cul, dardant sa langue fort avant dans le trou, pendant qu'un autre lui branle le clitoris par dessous
Quand elle est bien humectée et dilatée, on lui enfonce le bouchon que son cul avale d'un coup comme un suppositoire tant désiré
Pour plus de sûreté, on lui en met un deuxième puis un troisième. L'un d'eux propose même de les repousser bien profond à coups de bite. Ce qui est fait encouragé par tous
Elle est maintenant très saoule de vin et de luxure. Ses gestes deviennent très approximatifs, au point qu'elle a du mal à tenir sur la table. Deux des gaillards s'en saisissent en la prenant chacun sous une cuisse et sous un bras et la dégagent de la table, de sorte qu'elle a les fesses ouvertes au-dessus du vide
Elle rit de façon complètement mécanique et profère des mots orduriers ainsi que quelques extraits de chansons paillardes qui lui reviennent. Je sais quà ce stade la soulographie est telle, que lon a peine à comprendre ce quelle dit tant sa prononciation est empâtée
Un type passe sous elle alors que les 2 autres lui tiennent les fesses sur le bord de la table. Il lui lèche le con et toute la fente depuis son petit cul jusqu'au pubis. Non seulement la langue parcours la chatte en de longs allers et retours, mais la pointe du nez et le menton caressent aussi toute la vulve et le cul. Tout ce qu'elle a bu commence à faire effet sur sa vessie ; si on ajoute le titillement de la langue et le léchage du clitoris et du con, la voilà qui commence à pisser doucement dabord, puis en longs jets quelle envoie loin devant elle.
Ce dont elle se souvient, cest qu'elle n'a pas pu se retenir ou plutôt elle sest retenue trop longtemps et maintenant, tenue ainsi la position d'un jeune que l'on fait uriner, elle ne peut tenir davantage
Un des types qui la tient s'empare d'un verre sur la table, et le présente sous son cul. Elle remplit le verre sans problème en peu de temps, puis un autre et encore un autre
Elle pisse de façon intarissable. Je sais parfaitement cela, pour l'avoir vue pas mal de fois dans ces situations où elle ne maîtrise plus sa miction
Après le 3ème verre, un des types qui la regarde uriner de si bon cur, apporte carrément une casserole où elle finit de se soulager avec le bruit caractéristique de la pisse qui tombe dans un récipient métallique. Là dans cette position, les jambes ouvertes au-dessus de la casserole, les bouchons sortent un à un du trou de son cul
Ils sont très vite remplacés par la bite, longue et nerveuse d'un des mecs. Il est venu se mettre derrière elle et le dos prenant appui sur le bord de la table, s'arc-boutant ainsi il encule Marie-Hélène qui sent une douleur vive et fugitive, suivie d'une grande chaleur qui lui envahit les entrailles
Elle sent encore, me dit-elle, la bite énorme aller et venir dans son cul, puis elle sombre complètement et ne se souvient plus de rien
Elle refait surface un court instant, beaucoup tard. Elle entend des femmes jouir autour delle. Cest une souffrance aiguë qui la sort de son coma éthylique : elle sent quelle est prise devant et derrière simultanément par deux jeunes mecs, tandis quun 3ème lui fait pomper son braquemart. En même temps elle prend conscience quelle branle de sa main gauche la bite énorme dun autre garçon. La douleur passée, à peine a-t-elle le temps de sentir le foutre chaud du type qui lui décharge une bordée dans son cul, quelle replonge de nouveau dans les bras de Bacchus
Beaucoup plus tard, cest le patron du restaurant et sa femme qui la réveillent le lendemain en lui apportant le café. Elle me raconte quelle entend à travers le peu de lucidité que lui laisse sa gueule de bois, la femme dire à son homme :
- " Regarde chéri, cest la salope dhier soir qui était complètement saoule
Elle est belle, non ?... Elle ne te fait pas envie ?
"
- "Si, elle est bien foutue
Mais tu sais bien que cette nuit tous les mecs lui sont passés dessus
"
- " Et alors ?!... Justement, profites-en, un de plus ou de moins
Je sais tu en as envie ! Les salopes ivres ça texcite ! Tu ne vas pas passer à côté de ça ? Après la nuit de travail que nous avons passé, cela te fera du bien
Et moi ça mexcite de savoir que tu bandes pour elle !"
- " Tu crois ?... Cest vrai quelle me fait bander la garce, avec sa chatte ouverte et ses beaux seins
"
- " Oui, chéri, défais-toi le pantalon, je vais te branler comme tu aimes en te passant ta belle bite dans la fente de la jolie putain
"
- " Tu crois quelle va être daccord ?
"
- " Mais chéri, tu vois bien quelle est encore bourrée !... Elle ne sen apercevra même pas ! Et puis même, ça lui fera du bien, ça va la branler aussi en même temps
Aller chéri, je te sors la bite
"
Marie-Hélène séveille peu à peu. La tête lui cogne comme un tambour. Elle a du mal à entrouvrir les yeux. Elle distingue un type très costaud qui se tient dace à la table où elle est allongée. Puis elle voit la patronne qui sort du slip du gars, un vit énorme, très long et dun diamètre hors du commun. Dabord, elle suce le gland pour lhumecter. Elle a du mal à le rentrer dans sa bouche tant le membre est démesuré. Puis elle lamène entre les jambes écartées de Marie-Hélène. Elle commence à passer le gland sur toute la longueur de la fente, du clito à la rosette, en un lent va et vient. Marie-Hélène sent la tête de la bite lui frotter le clitoris puis lui écarter complètement les petites lèvres du con, se présenter au trou sans y pénétrer, puis aller dessous caresser lillet quil distant au passage, avant de remonter de nouveau vers le haut de la fente. La vulve lui fait mal après les turpitudes de la nuit et cette caresse faite par lénorme engin du patron lui fait beaucoup de bien et calme sa douleur. Elle en retire du plaisir
La patronne intensifie le manège et appuie davantage le bout du vit dans toute la fente, forçant la caresse
Marie-Hélène sent quen même temps la femme le branle. Elle sent le gland devenir se durcir et déchauffer. Elle perçoit aussi que la patronne branle son propre entrejambe de lautre main.
Là, Marie-Hélène suspend son récit un instant, comme si elle revivait la scène et ressentait toutes les caresses et toutes les émotions. Je ne questionne pas, jattends quelle poursuive delle-même. Je sais quil faut la laisser dire sans questionner. Après un temps elle dit comme si elle sexcusait :
- " Tu sais chéri, tu sais ce que ça me fait cette caresse : une bite qui passe et repasse dans ma fente surtout lorsquelle est énorme comme ça !
Eh bien ça me branle au plus haut point et je ne peux jamais résister, tu le sais, hein
" Bien sûr que je le sais ce que ça lui fait !... Je lui ai ça fait tant de fois ! Et puis, je lai vue dans les situations dont je parlais se faire branler comme ça
Et je sais que cela la fait décharger comme une putain sans nom ! Et là, bien sûr, elle a inondé la bite du type. Dailleurs, me dit-elle sa femme sen est aperçu :
- " Oh chéri tu vois, ça la fais jouir la coquine ! Tu vois que tu lui fais du bien ! La garce tarrose la pine ! Attends que je te suce pour récupérer sa liqueur ?
"
Elle embouche le gland du vit et le suce. Elle remplace dans la fente la bite du type par sa main quelle enfile au trou distendu du vagin de Marie-Hélène, qui décharge de plus belle
Le type part à son tour :
- " Oh putain, cest bon, tu branles bien et la cochonne ma eu le foutre !
". La femme renchérit le moment :
- " Oui chéri, vas-y arrose lui bien le ventre à cette salope
Décharge bien à fond sur elle
Moi aussi tu me fais jouir et là, ouiiiii, je décharge aussi !!..." Le patron arrose le ventre de Marie-Hélène, les seins, jusquau visage, en longues bordées dun sperme chaud qui linonde sur tout le corps
La femme elle, saffaisse aux genoux du patron, tétanisée par sa propre jouissance, tout en continuant de diriger les jets de foutre que lance le braquemart de son homme,.
Puis après un retour au calme, la femme se relève et dit ;
- " Tu vois chéri, tout le monde en a bien profité. Elle aussi
Donne-lui son café, elle la bien mérité. Je lui appelle un taxi. " Elle embrasse son mari et sort de la pièce. Lhomme se rajuste donne son café à Marie-Hélène qui revient peu à peu à la réalité et lui dit plutôt sèchement, sans une once de reconnaissance :
- " Le taxi est là dans 5 minutes
Bois ton café et sort par derrière
Pas la peine de traverser le bar dans cet état
Salut
" Et il sort.
En apprenant cela de la bouche de ma femme, mon sang ne fait quun tour. Je suis sur le point de faire demi-tour et daller demander des comptes à ces restaurateurs maquereaux et proxénètes qui se sont servis de ma femme comme dun vide-couilles ! Cependant je me calme je me dis que cela ne servira à rien désormais
Cet épisode de la Féria de Bayonne fut le dernier que nous ayons partagé. Je lai quitté deux mois après ne pouvant plus accepter ses soulographies et ses frasques. Depuis elle boit plus que jamais et je me sens coupable de ne pas avoir su la sortir de là, de lavoir laissée senfoncer dans la déchéance
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