La Féria De Bayonne

-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --


Marie-Hélène est désormais saoule un soir sur 2… Elle vient d'avoir 45 ans et elle a pris le pli de l'alcool depuis quelques années, comme une drogue. Avant de l’épouser, il y a 15 ans j'ai été longtemps son amant. Elle ne buvait pas comme ça…
Tout a commencé il y a 4 ou 5 ans lorsque nous sortions chez des amis à des dîners ou pendant les congés d'été. Vers cette époque, j’ai remarqué que durant ces dîners, Marie-Hélène buvait sec, surtout des apéritifs et des alcools forts. Bien souvent lorsque nous rentrions elle était "paf", pour ne pas dire carrément ivre. Plusieurs fois, j'ai dû la ramener et l'asseoir dans la voiture, puis la porter littéralement pour la descendre, tant elle était saoule…
Je sais : " femme qui boit n’a pas son content de choses ! " dit le proverbe, mais je demeure très désarmé pour régler ce problème. Mon hypothèse c’est qu’elle a un certain refoulement, notamment relativement aux choses du sexe et que boire est pour elle, non seulement une compensation, mais une façon de se déculpabiliser des fantasmes qui sont le siens C’est une façon de s’affranchir des frasques qu’elle se laisse aller à commettre quand elle est ivre…
Et il faut dire, que les soirs où elle est comme ça, plutôt grise et même carrément bourrée, c'est un festival de débauches et d’envies les plus folles, tant l’alcool la rend amoureuse et sexuellement libérée… Je dirais même très libérée. Quand elle a bu elle se permet des choses osées voire obscènes, qu'elle ne se permettrait jamais dans son état normal. Je me souviens d'une fois, lors d’une soirée chez des amis, soirée qu'elle avait tout particulièrement arrosée. Revenue à la maison, elle s’est mise devant le miroir de la chambre, à moitié dévêtue, et là, les jambes très écartée face à la glace, les seins sortis du soutien-gorge, la culotte à mi cuisses, elle s'est branlée avec une frénésie que je ne lui connaissais pas.

Puis elle m'a fait venir près d’elle pour me sucer en même temps. C’est vrai que ce soir-là, elle m'a sucé divinement comme jamais auparavant, et elle m'a fait jouir de façon royale. Quand elle a joui à son tour, je me souviens qu'elle n'a pu contrôler ses sphincters et qu'elle a pissé de magistrale façon sur la descente de lit et partout. Elle fut ensuite incapable de bouger. Je dû la coucher directement sans pouvoir la déshabiller complètement…

Pendant la période qui a suivi notre séparation et maintenant encore davantage, elle a complètement sombré dans l'alcool. Marie-Hélène est très consciente de son problème d’alcoolisme. Elle m'a toujours raconté ses frasques, ses aventures et ses déboires (si j'ose dire!!), ses états d'âme et de corps pendant sa longue descente aux enfers. Parce que je suis le seul, me dit-elle dans ses moments de lucidité, qui puisse la comprendre et en qui elle a confiance. J'ai eu aussi bien trop souvent l'occasion de voir directement, de mes yeux, surtout sur la fin de notre relation, les niveaux de débauche inouïe que lui fait atteindre l'alcool.
Si j'ai mis un terme à notre relation, c'est qu'après avoir tout fait, tout tenté que ce soit sur le plan de la raison ou du sentiment ou encore de l'attention que je lui porte, il me devenait impossible de gérer ce problème, au risque d'être entraîné moi aussi dans le gouffre… Une situation a été particulièrement difficile et qui a servi de déclencheur au fait que j’ai décidé de prendre le large.
C'était en août il y a maintenant quelques années. Marie-Hélène venait juste d'avoir 40 ans et nous étions allés en vacances dans le Pays Basque. Nous revenions par Bayonne un soir de début août. C’était justement un soir où la "Féria" battait son plein. Déjà sur les 10 jours de vacances, il n'y avait eu que deux soulographies notoires dont l'une à Biarritz 3 jours avant avait bien failli nous amener au poste de police. Nous sommes donc arrivés dans l'après-midi et le soir nous sommes allés manger au restaurant sur les bords de l’Adour.
Tout s’est bien passé jusque-là. Je surveille toujours qu'elle ne boive pas trop (quand je peux y veiller), y compris en mangeant. Mais pour ceux qui connaissent les fêtes de Bayonne, tout y est prétexte à boire et à la licence. Je redouble donc de vigilance.
A la fin du dîner, alors que nous mangeons en terrasse, sur les bords de l’Adour, Marie-Hélène quitte la table pour aller aux toilettes. Un long moment se passe ; 10 minutes, peut-être un quart d'heure, elle ne revient toujours pas… Je commence à trouver le temps long et me demande ce qui a bien pu lui arriver. Le temps de demander l'addition et de régler, c'est à dire encore 10 minutes au moins et comme elle n'est toujours pas revenue, j'entre dans le restaurant pour aller vers les toilettes. La salle est très vaste et je ne vois rien d'abord. Je descends aux toilettes, j’attends un peu. Elle n’y est pas. Je remonte à la salle, je la cherche, en vain. Je la vois enfin, assise à une table devant un verre avec une bonne demi-douzaine de jeunes gars de 20 à 30 ans, le foulard rouge traditionnel au cou et qui font la fête à grand train…
Au ton de sa voix et à son œil allumé je vois tout de suite qu'elle n'en est pas à son premier verre, et que dans la demi-heure qui a précédé, elle a rattrapé une bonne partie du déficit de ces derniers jours. Elle tient des propos égrillards sur ses capacités à soutenir les assauts de jeunes hommes. Bien qu'elle ait le double de leur âge à chacun, elle les défie en leur disant qu’elle pourrait encore tenir le choc, à plusieurs mecs à la fois… Comme d'habitude, l'alcool la libère. Je remarque qu'un des garçons a une main engagée sous sa robe d'été au niveau de la cuisse. En revanche elle, a sa main droite sur le pantalon de son voisin de droite, au niveau de la braguette. Je ne sais pas comment elle s'y est prise pour se retrouver là, assise à une table avec ces jeunes types, en train de se faire servir à boire…
Je lui fais signe que je l'attends depuis un moment et je lui demande fermement de m'accompagner… Cette invitation soulève, on s'en doute, un tôlée général, et chacun en profite pour lui servir encore un verre.
Elle en avale encore 2 ou 3, coup sur coup. Je lui répète pourtant que je la cherche depuis plus d'une demi-heure. Enfin, elle finit par se lever bruyamment de sa chaise. Et là, debout, les mains sur la table, elle remercie en bafouillant les jeunes gens de leur gentillesse et de leur accueil. Puis elle se met à embrasser à pleine bouche, goulûment son voisin de droite, qui au passage lui pelote les seins, alors que son voisin de gauche, lui passe sans vergogne sa main sous la jupe. Je devine qu’il doit déjà lui caresser l’entrejambes. Peut-être même passe-t-il ses doigts par côté du petit slip jaune que je connais bien. D'ailleurs sans se gêner alors qu'elle se retourne vers lui, elle lui dit :
- " Oh toi, t'es mignon… T'es un bon caresseur, toi… J'aimerais bien t'avoir dans mon lit ce soir !!" Et pour le remercier elle lui roule une pelle, ostensiblement comme si je n'étais pas là. Puis, toujours debout à côté de lui, elle frotte son pubis sur son bras avec un balancement obscène qui soulève à l’aronde un tonnerre d'applaudissements. La situation commence grandement à me déplaire. De force et sans ménagement, je l'entraîne à l'extérieur.
Elle titube déjà beaucoup. Je suis très en colère, d'autant qu'elle fait les yeux doux à tous les hommes que nous croisons… Je me dis que l'air frais du soir va lui faire du bien et je l’emmène faire un tour sur les quais de l’Adour. J'essaie d'alimenter la conversation en parlant de tout et de rien… Elle ne m’écoute pas et ramène toujours la conversation à ces gaillards, me soufflant avec son haleine avinée qu'elle " s'en ferait bien quelques-uns pour vérifier qu'elle était encore bonne à quelque chose "... Je suis, on s’en doute, un peu saturé de ces situations de beuverie et de frustrations sexuelles, écœuré et excédé de ce comportement d'après boire, que j'ai déjà vécu maintes et maintes fois avec elle !
La foule est maintenant très dense et l'on se fait bousculer à chaque pas. Surtout que Marie-Hélène, n'a pas une démarche très assurée.
Les verres de vin enfilés dans la demi-heure précédente commencent à faire effet. La voilà qui maintenant se met à chanter tout haut des chansons paillardes et vouloir prendre au passage les farandoles qui déferlent de ci et de là autour de nous… La foule est énorme et nous sommes portés sans le vouloir, avec le mouvement général en direction du feu d'artifice. Cernés de foulards rouges, c'est devenu étourdissant…
Soudain, je reçois une grande bourrade dans le dos qui faillit me jeter à genoux. Une farandole s'abat sur nous et je m'écarte promptement pour ne pas être piétiné… Dans une fraction de seconde, le tourbillon me sépare de Marie-Hélène… Je reconnais au passage dans la farandole, de façon très fugitive, un des garçons de tout à l’heure, attablés au restaurant. Quand la tourmente est passée, Marie-Hélène a disparue. Ni devant, ni derrière, j'ai beau chercher, appeler, sillonner la rue et la zone en tous sens. Je dois me rendre à l'évidence, Marie-Hélène n'est plus là… Je refais la même rue pendant au moins deux heures d'affilé, je repasse au même endroit au moins 20 à 30 fois… Je me dis qu’elle s’est affalée derrière une porte cochère ou une entrée de maison… Je visite tout, la hargne au ventre. En vain. Je suis inquiet et en colère, de m'être ainsi fait berner par ces jeunes blancs-becs… Je ne suis pas dupe de ce qui peut se passer ; je l’imagine très bien… Je sais que les femmes ivres peuvent attirer des hommes. Il y a des hommes qui aiment ça, et qui les recherchent, ça les excite terriblement ! Je ne sais plus que faire ni où chercher. Il n'y a plus qu'à attendre. Je rentre à l’hôtel, il est 2 heures du matin, déçu et la rage au ventre.

Elle est revenue à l'hôtel le lendemain vers 11h, elle est descendue d’un taxi sous l'œil goguenard et ironique du chauffeur qui la ramenait… Elle était sale, encore à moitié ivre, la robe déchirée derrière et sur le côté, maculée de terre et de vinasse, une bretelle d'épaule de la robe cassée, les jambes sales, le visage sali par des coulures de fards défaits, les cheveux poisseux collés par divers liquides et sécrétions séchés.
Je l'aide à se déshabiller, je remarque qu'elle n'a plus de slip ni de soutien-gorge. Maintenant qu’elle est nue, je m’aperçois que ses seins sales gardent des rougeurs d'avoir été trop pressés, trop pelotés. Son corps présente des tâches de vin rouge séchées et des coulures de vinasses zèbrent son buste, son dos, ses fesses et l'intérieur de ses jambes, jusqu'aux chevilles… Sa chatte suinte encore d’une sécrétion blanchâtre, sans doute du foutre ; les poils de sa fente sont tout collés de croûtes formant des amas jaunâtres qui doivent sûrement être des restes de sperme séché mêlé à la vinasse.
Pendant plus d’une heure, elle ne dit pas un mot et moi non plus. Je la lave avec tendresse et précautions, comme pour effacer les stigmates de cette débauche dont je sais que maintenant elle la regrette, après l'avoir tant souhaitée… Puis elle s'endort pour trois bonnes heures durant. Nous sommes repartis dans l’après-midi et nous n'avons pas échangé une seule parole jusqu'au nord de Bordeaux.
Enfin, alors que la nuit tombe, je m’arrête car je sens qu'elle a besoin de parler.
Et là, pendant plus d'une heure elle me raconte, intarissable, mais marquant de longs silences qu'elle rompt en s'excusant parce qu'elle ne se souvient pas de tous les instants, surtout des premières heures, parce qu'elle était trop bourrée pour s'en souvenir parfaitement… Les choses lui reviennent par bribes et elle les reprend en flash-back pour les réorganiser dans le temps et dans l'espace de ce qui s'est passé….
La farandole l'a entraînée et l'a fait courir dans la rue sans qu'elle puisse résister… Au bout de quelques minutes de cette course folle, elle s'est sentie soulevée par des bras forts et emportée loin de la foule… Là, elle se souvient avoir reconnu ses cavaliers de boisson de l'épisode du restaurant. Trois ou quatre gaillards la portent maintenant en faisant la chaise. Elle prend conscience que leur petite troupe repasse devant le restaurant et que tout de suite après ils s'engouffrent sous une large porte cochère.
Très vite elle se retrouve sur un palier sombre dans un demi-étage. On la remet debout et on la fait avancer vers une grande salle sombre. Il lui revient que la salle était jonchée de matelas, cousins et autres paillasses à même le sol. Les garçons s’amusent à la peloter sur tout le corps… Confusément elle sent que cette pièce, vaste est en relation avec le restaurant, peut-être une arrière salle ou une réserve quelconque, car elle se rappelle nettement avoir entendu des bruits de vaisselle et de cuisine ainsi qu'une certaine agitation dans les pièces attenantes… Cette pièce doit servir de lieu d'accueil à quelques jeunes hommes des environs pendant les fêtes, pour qu’ils y séjournent et à l’occasion, y accomplissent leurs libations et partouses.
Au début, elle s'amuse elle aussi de ces lutineries que lui prodiguent les 4 ou 5 jeunes gars qui l'entourent… Ils la pelotent sans vergogne, lui mettant les mains partout : dans la culotte, le soutien-gorge, lui caressent les seins, l'entrejambes, la croupe… Elle rit beaucoup de ces jeux très osés qui l'excitent au plus haut point. Pensez, des jeunes gaillards de 20 – 25 ans ! D'ailleurs elle sent qu'elle mouille beaucoup.
- "Je m’en souviens bien, me dit-elle car j’avais très peur qu’ils s’en aperçoivent et en profitent…". Tu parles, me dis-je comment vas-tu me faire croire que c’était là ta préoccupation principale !!
Ensuite, selon elle, les gars la prennent en main chacun leur tour en se la refilant l'un à l'autre. Tantôt l'un la prend dans ses bras, la colle contre lui et frotte son jeune sexe bandé sur son ventre en lui roulant une pelle. L'autre la reçoit à son tour, la tient devant lui pour lui frotter les fesses de sa bite, tout en lui pelotant les seins… Un autre s'accroupit devant elle, lui relève sa robe légère puis il lui fait écarter les jambes pour voir son bel entrejambes. Il va jusqu’à lui donner quelques coups de langues à travers le slip jaune. Un autre encore la fait se pencher sur la table, les coudes en appui et lui relevant sa robe par derrière, lui baisse sa culotte jusqu'à mi-cuisses pour lui caresser les fesses, al raie, le petit trou, puis lui langotter le postérieur… Un autre enfin la prend sur ses genoux et l'ayant calée entre ses jambes lui met en main son sexe imposant tandis qu’il lui suce les pointes des seins qu'il a fait jaillir de son soutien-gorge. Là, elle en a joui, reconnait-elle en faisant son récit comme en s'excusant du fait… Elle ajoute même :
- " Il faut que tu me pardonnes, je ne savais pas ce que je faisais, j'étais saoule… Ce n'était pas moi là, qui palpait la bite dressée et énorme que le gars m’avait fourré dans la main... Parce qu'il l'avait sortie le salaud !! Non, ce n’était pas moi chéri, c’était une autre femme. Une salope !"…
Puis après un long silence, elle reprend son récit :
- " Puis, tous les mecs se sont rapprochés et m’ont entouré. Je sentais beaucoup de mains sur moi, sur mon corps, mes seins, ma chatte. J'ai dû jouir à plusieurs reprises car pendant un temps que je ne peux mesurer, je ne sais plus ce que j'ai fait !…"
Je comprends bien à ce qu'elle me raconte ! Que les gars l'ont pris sur leurs genoux, l'ont pelotée encore et caressée et branlée aussi sans doute et surtout l'on fait boire encore de nombreux verres. Je sais : lorsqu’elle est saoule, elle est très libérée, déchaînée même, appelant les bites à son secours, comme je l'ai déjà vue faire à plusieurs reprises…
Ensuite, ils la font monter sur la table et lui font prendre des positions obscènes. Un moment, il faut qu'elle danse le slow avec un cavalier imaginaire qui se frotterait à elle. Eux, tout autour de la table tirent sur la robe légère afin qu'elle s'en aille en lambeaux. C'est durant ces morceaux choisis de danse et d’exhibition que la robe a souffert et s’est déchirée… Tandis qu’elle danse, ils lui enlèvent son soutien-gorge et son petit slip jaune, pièces de lingerie sans lesquelles elle est rentrée ce matin…
Mais à danser et à tourner, cela l’échauffe et la saoule encore davantage, au point qu’elle manque de tomber plusieurs fois. Enfin ils la descendent pour l’allonger sur la table... Là, alors que l'un d'eux lui tient les jambes dans le plus grand écartement possible, ils passent à tour de rôle lui lécher et lui sucer la fente. Un autre lui suce les seins… En même temps, que d’autres encore à sa tête lui mettent en bouche leur dard bandé. Elle a le souvenir qu’un des jeunes types la suce si bien entre les jambes qu’il lui fait bander à mort le clitoris. Sucée, branlée, pelotée et pompant elle-même des bites, elle n’arrête pas de décharger. Elle sent sa cyprine couler de sa fente. L'un d'eux lui essuie l'entrejambes avec sa petite culotte jaune et se branle dedans.
- " Chéri, pardonnes-moi, mais comme tu le sais, dans ces moments où je suis sucée et branlée, je ne me contrôle plus vraiment et j’ai très envie de me faire prendre… tu le sais chéri…"
Oh oui, que je connais bien cette situation où la dépravation la conduit à blasphémer et à appeler les mecs à la baiser avec un vocabulaire ordurier ! Je sais qu’elle n’a pas eu beaucoup à attendre pour que le festival commence ! D’ailleurs c’est ce qu’elle me confirme par son récit.
Chacun vient à tour de rôle la prendre au con bien profond et bien la limer avec de longs moments… Elle ne sait même plus si tous avait le temps de mettre un préservatif, m’avoue-t-elle… Parfois quand elle est baissée ainsi, l'un des 4 autres lui met un doigt dans le cul qu'elle a très étroit pour parachever son plaisir. Elle a la chatte en feu et décharge comme une gueuse. Les jeunes hommes déchargent à la queue leu-leu : qui sur son ventre, qui sur ses seins, qui dans sa bouche… Un autre qui la prend en levrette sur le bord de la table et il finit par lui décharger abondamment dans la raie des fesses, ce qu’elle apprécie énormément…
Puis, histoire de reprendre des forces, ils se remettent à boire et à manger, et surtout ils la font boire encore et encore… Elle est maintenant complètement ivre de jouissance, de foutre et d’alcool. Ils lui versent le vin dans la bouche à même les bouteilles. Comme elle ne peut tout avaler d'un coup, elle en rejette les trois quart. Le pinard lui dégouline le long du cou, du corps, de la poitrine. Le vin descend jusqu'à la chatte où il se mêle au foutre ; coule à l'intérieur des cuisses, maculant toute sa peau de traînées violacées et poisseuses.
Là, sans doute parce que tout ce vin bu depuis 2 heures lui travaille l'intestin, elle se met à péter à grands bruits ce qui lui donne le fou-rire. Plus elle pète, plus elle rit et donc pète encore davantage… A tel point qu'ils entreprennent de lui boucher le trou du cul avec un bouchon de bouteille. Ils la couchent sur la table à plat ventre et lui écartent les cuisses le plus possible, afin d'avoir accès au mieux à sa rosette. Ils la regardent péter un moment et s'en amusent, puis ils la fessent de cette familiarité… L'un d'eux lui lèche longuement le trou du cul, dardant sa langue fort avant dans le trou, pendant qu'un autre lui branle le clitoris par dessous… Quand elle est bien humectée et dilatée, on lui enfonce le bouchon que son cul avale d'un coup comme un suppositoire tant désiré… Pour plus de sûreté, on lui en met un deuxième puis un troisième. L'un d'eux propose même de les repousser bien profond à coups de bite. Ce qui est fait encouragé par tous…
Elle est maintenant très saoule de vin et de luxure. Ses gestes deviennent très approximatifs, au point qu'elle a du mal à tenir sur la table. Deux des gaillards s'en saisissent en la prenant chacun sous une cuisse et sous un bras et la dégagent de la table, de sorte qu'elle a les fesses ouvertes au-dessus du vide… Elle rit de façon complètement mécanique et profère des mots orduriers ainsi que quelques extraits de chansons paillardes qui lui reviennent. Je sais qu’à ce stade la soulographie est telle, que l’on a peine à comprendre ce qu’elle dit tant sa prononciation est empâtée…
Un type passe sous elle alors que les 2 autres lui tiennent les fesses sur le bord de la table. Il lui lèche le con et toute la fente depuis son petit cul jusqu'au pubis. Non seulement la langue parcours la chatte en de longs allers et retours, mais la pointe du nez et le menton caressent aussi toute la vulve et le cul. Tout ce qu'elle a bu commence à faire effet sur sa vessie ; si on ajoute le titillement de la langue et le léchage du clitoris et du con, la voilà qui commence à pisser doucement d’abord, puis en longs jets qu’elle envoie loin devant elle.
Ce dont elle se souvient, c’est qu'elle n'a pas pu se retenir ou plutôt elle s’est retenue trop longtemps et maintenant, tenue ainsi la position d'un jeune que l'on fait uriner, elle ne peut tenir davantage… Un des types qui la tient s'empare d'un verre sur la table, et le présente sous son cul. Elle remplit le verre sans problème en peu de temps, puis un autre et encore un autre… Elle pisse de façon intarissable. Je sais parfaitement cela, pour l'avoir vue pas mal de fois dans ces situations où elle ne maîtrise plus sa miction…
Après le 3ème verre, un des types qui la regarde uriner de si bon cœur, apporte carrément une casserole où elle finit de se soulager avec le bruit caractéristique de la pisse qui tombe dans un récipient métallique. Là dans cette position, les jambes ouvertes au-dessus de la casserole, les bouchons sortent un à un du trou de son cul… Ils sont très vite remplacés par la bite, longue et nerveuse d'un des mecs. Il est venu se mettre derrière elle et le dos prenant appui sur le bord de la table, s'arc-boutant ainsi il encule Marie-Hélène qui sent une douleur vive et fugitive, suivie d'une grande chaleur qui lui envahit les entrailles…
Elle sent encore, me dit-elle, la bite énorme aller et venir dans son cul, puis elle sombre complètement et ne se souvient plus de rien…
Elle refait surface un court instant, beaucoup tard. Elle entend des femmes jouir autour d’elle. C’est une souffrance aiguë qui la sort de son coma éthylique : elle sent qu’elle est prise devant et derrière simultanément par deux jeunes mecs, tandis qu’un 3ème lui fait pomper son braquemart. En même temps elle prend conscience qu’elle branle de sa main gauche la bite énorme d’un autre garçon. La douleur passée, à peine a-t-elle le temps de sentir le foutre chaud du type qui lui décharge une bordée dans son cul, qu’elle replonge de nouveau dans les bras de Bacchus…
Beaucoup plus tard, c’est le patron du restaurant et sa femme qui la réveillent le lendemain en lui apportant le café. Elle me raconte qu’elle entend à travers le peu de lucidité que lui laisse sa gueule de bois, la femme dire à son homme :
- " Regarde chéri, c’est la salope d’hier soir qui était complètement saoule… Elle est belle, non ?... Elle ne te fait pas envie ?…"
- "Si, elle est bien foutue… Mais tu sais bien que cette nuit tous les mecs lui sont passés dessus…"
- " Et alors ?!... Justement, profites-en, un de plus ou de moins… Je sais tu en as envie ! Les salopes ivres ça t’excite ! Tu ne vas pas passer à côté de ça ? Après la nuit de travail que nous avons passé, cela te fera du bien… Et moi ça m’excite de savoir que tu bandes pour elle !"
- " Tu crois ?... C’est vrai qu’elle me fait bander la garce, avec sa chatte ouverte et ses beaux seins…"
- " Oui, chéri, défais-toi le pantalon, je vais te branler comme tu aimes en te passant ta belle bite dans la fente de la jolie putain…"
- " Tu crois qu’elle va être d’accord ?…"
- " Mais chéri, tu vois bien qu’elle est encore bourrée !... Elle ne s’en apercevra même pas ! Et puis même, ça lui fera du bien, ça va la branler aussi en même temps… Aller chéri, je te sors la bite…"
Marie-Hélène s’éveille peu à peu. La tête lui cogne comme un tambour. Elle a du mal à entrouvrir les yeux. Elle distingue un type très costaud qui se tient dace à la table où elle est allongée. Puis elle voit la patronne qui sort du slip du gars, un vit énorme, très long et d’un diamètre hors du commun. D’abord, elle suce le gland pour l’humecter. Elle a du mal à le rentrer dans sa bouche tant le membre est démesuré. Puis elle l’amène entre les jambes écartées de Marie-Hélène. Elle commence à passer le gland sur toute la longueur de la fente, du clito à la rosette, en un lent va et vient. Marie-Hélène sent la tête de la bite lui frotter le clitoris puis lui écarter complètement les petites lèvres du con, se présenter au trou sans y pénétrer, puis aller dessous caresser l’œillet qu’il distant au passage, avant de remonter de nouveau vers le haut de la fente. La vulve lui fait mal après les turpitudes de la nuit et cette caresse faite par l’énorme engin du patron lui fait beaucoup de bien et calme sa douleur. Elle en retire du plaisir…
La patronne intensifie le manège et appuie davantage le bout du vit dans toute la fente, forçant la caresse… Marie-Hélène sent qu’en même temps la femme le branle. Elle sent le gland devenir se durcir et d’échauffer. Elle perçoit aussi que la patronne branle son propre entrejambe de l’autre main.
Là, Marie-Hélène suspend son récit un instant, comme si elle revivait la scène et ressentait toutes les caresses et toutes les émotions. Je ne questionne pas, j’attends qu’elle poursuive d’elle-même. Je sais qu’il faut la laisser dire sans questionner. Après un temps elle dit comme si elle s’excusait :
- " Tu sais chéri, tu sais ce que ça me fait cette caresse : une bite qui passe et repasse dans ma fente surtout lorsqu’elle est énorme comme ça !… Eh bien ça me branle au plus haut point et je ne peux jamais résister, tu le sais, hein…" Bien sûr que je le sais ce que ça lui fait !... Je lui ai ça fait tant de fois ! Et puis, je l’ai vue dans les situations dont je parlais se faire branler comme ça… Et je sais que cela la fait décharger comme une putain sans nom ! Et là, bien sûr, elle a inondé la bite du type. D’ailleurs, me dit-elle sa femme s’en est aperçu :
- " Oh chéri tu vois, ça la fais jouir la coquine ! Tu vois que tu lui fais du bien ! La garce t’arrose la pine ! Attends que je te suce pour récupérer sa liqueur ?…"
Elle embouche le gland du vit et le suce. Elle remplace dans la fente la bite du type par sa main qu’elle enfile au trou distendu du vagin de Marie-Hélène, qui décharge de plus belle… Le type part à son tour :
- " Oh putain, c’est bon, tu branles bien et la cochonne m’a eu le foutre !… ". La femme renchérit le moment :
- " Oui chéri, vas-y arrose lui bien le ventre à cette salope… Décharge bien à fond sur elle… Moi aussi tu me fais jouir et là, ouiiiii, je décharge aussi !!..." Le patron arrose le ventre de Marie-Hélène, les seins, jusqu’au visage, en longues bordées d’un sperme chaud qui l’inonde sur tout le corps… La femme elle, s’affaisse aux genoux du patron, tétanisée par sa propre jouissance, tout en continuant de diriger les jets de foutre que lance le braquemart de son homme,.
Puis après un retour au calme, la femme se relève et dit ;
- " Tu vois chéri, tout le monde en a bien profité. Elle aussi… Donne-lui son café, elle l’a bien mérité. Je lui appelle un taxi. " Elle embrasse son mari et sort de la pièce. L’homme se rajuste donne son café à Marie-Hélène qui revient peu à peu à la réalité et lui dit plutôt sèchement, sans une once de reconnaissance :
- " Le taxi est là dans 5 minutes… Bois ton café et sort par derrière… Pas la peine de traverser le bar dans cet état… Salut…" Et il sort.
En apprenant cela de la bouche de ma femme, mon sang ne fait qu’un tour. Je suis sur le point de faire demi-tour et d’aller demander des comptes à ces restaurateurs maquereaux et proxénètes qui se sont servis de ma femme comme d’un vide-couilles ! Cependant je me calme je me dis que cela ne servira à rien désormais…

Cet épisode de la Féria de Bayonne fut le dernier que nous ayons partagé. Je l’ai quitté deux mois après ne pouvant plus accepter ses soulographies et ses frasques. Depuis elle boit plus que jamais et je me sens coupable de ne pas avoir su la sortir de là, de l’avoir laissée s’enfoncer dans la déchéance…

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