Les 12 Servitudes D'Hélène (Épisode 33)

Les 12 servitudes d'Hélène : Captive d’Amalthée, la Reine des Nymphes –

êta demeurait donc seule environnée de hauts et immenses saules denses et majestueux et qui bruissaient de ce qui semblait une sorte de vie intérieure. Les Nymphes et leurs prisonniers avaient disparu et la blonde esclave demeurait isolée, nue, plus curieuse maintenant qu'effrayée, car se disant qu'après avoir subi tant d'épreuves et découvertes dans les contraintes et les plaisirs, elle avait pourtant encore tant à apprendre. Et d'abord, qui elle était ! Puisque depuis son réveil sur une plage d'Asie Mineure, elle n'avait aucune mémoire de sa vie d'avant...

Comme un tremblement plus marqué dans les touffues branches des saules, comme un soudain courant d'air... Une femme déjà mûre mais d'une édifiante beauté rare s'avançait vers elle... à peine couverte d'une fine étole de soie transparente parsemée de fleurs et de quelques élégantes feuilles, son corps quasi nu aux formes marquées d’une silhouette de rêve dessinée parfaitement ondulait avec grâce en marchant vers êta... La Femme était coiffée d'une riche couronne de fleurs se terminant sur sa nuque en une cascade florale mêlée à des cheveux d'un noir de geai. Son visage avait un air angélique mais pouvait cacher derrière son idyllique beauté quelque chose de plus pervers. Elle s'approche d'êta, un fin sourire aux lèvres, lesquelles étaient d’une suave sensualité. Sans prononcer un mot, lui caressa le visage, passant un doigt sur les lèvres pulpeuses de la blonde esclave... Elle approcha son visage et, sans toujours prononcer le moindre mot, embrassa êta à pleine bouche sans aucun autre préambule... De son corps érotisé à merveille s'exhalait un étrange parfum, mélange de notes florales et d'une note plus salée d'algues. C'était très agréable, presque envoûtant. êta échangeait sans aucune gêne ce baiser avec L'Inconnue, leurs salives se mêlaient quand leurs langues s'unissaient longuement, passionnément, fougueusement.

.. Puis La Femme mit fin à cette brusque union de leurs lèvres et se recula d'un élégant pas, contemplant le corps d'êta dans ses moindres détails. Elle tournait doucement autour de la captive, admirant les courbes de l'esclave d'un regard rempli d'un appétit empli de désirs, aussi bien Dominants, sensuels que sexuels, désirs évidents et qui ne se cachaient pas :

- Ainsi on disait vrai à propos de ta beauté, dit-elle en s'approchant d'êta par derrière...

Elle se colla au dos de Sa prisonnière, passant une main sur les seins lourds et fermes, l'autre se posant sur la croupe callipyge.

- Mon nom est Amalthée, je suis La Reine des Nymphes de cette contrée... et j'ai eu vent de tes aventures, de tes talents aussi... C'est ici que s'achève ton voyage car désormais tu m'appartiens, comme tous les humains de cette région, qui sont la propriété de mes Nymphes et ces esclaves humains ne sont destinés qu'à assouvir nos inépuisables désirs et besoins jouissifs. Car nos insatiables pulsions sexuelles à jouir pleinement, à satisfaire notre libido excessive sont notre Unique Raison d’être. En effet, nous sommes destinées pour toute notre existence, à la jouissance éternelle et donc avons besoin constamment de mille plaisirs jouissifs, c’est vital pour nous, sinon nous sommes vouées à dépérir et mourir lentement… Nous avons été envoyées par les Dieux, il y a déjà fort longtemps sur cette terre, uniquement pour assouvir notre inépuisable appétit sexuel à jamais… Jouir plusieurs fois par jour ou s’éteindre de mort lente, tel est le destin des Nymphes… oui, simplement jouir pour ne pas mourir… Nous n’avons pas le choix … Nous ne nous sustentons pas, la jouissance est notre seule alimentation vitale nous procurant ainsi notre énergie nécessaire à la vie… Oui nos orgasmes sont notre source à cette vie… tu as bien compris… Jouir, c’est donc une question de survie …

êta avait renversé sa tête en arrière, s'abandonnant aux caresses de plus en plus insistantes et précises de La nymphomane Reine des Nymphes qui la fouillait avec douceur.
..

- Tant que tu seras docile, je te donnerai du plaisir, tant que tu sauras me combler, quoi que j'exige de toi tu vivras... mais déçoit-moi, refuses-toi à tout ce que je peux exiger de toi et mon châtiment sera impitoyable

La Reine Amalthée glissait ces derniers mots à l'oreille d'êta en lui mordillant le lobe, puis, descendant sur le cou, elle mordit plus fort, plus longuement, plantant ses dents pointues dans la peau fine et délicate, jusqu'à voir perler une goutte de sang. êta ne laissa échapper qu'un doux gémissement, nulle plainte, nul sanglot, nul geste de recul non plus, ce qui plut à Celle qui devenait sa Maîtresse... en réalité, êta était désormais parvenue à une telle maîtrise qu'elle savait retirer d'abord le plaisir de tout ce qui lui était imposé... à l'instant même, malgré son cou meurtri, elle sentait son plaisir s'écouler doucement à l'intérieur de ses cuisses. Elle avait atteint une dimension nouvelle, où le désir et le plaisir supplantaient tout... Amalthée recueillit la cyprine sur le bout de ses doigts et la goûta... puis la fit lécher par l'esclave.

- Parfaite, tu es parfaite, lui dit-elle

Puis l'entraînant avec elle vers le plus haut des saules lequel il était impossible de voir la cime, celui dont le tronc était si large que l'on pouvait douter que plus de dix hommes pussent en faire le tour...Un tronc ? Un palais en fait... ayant traversé le tronc comme par enchantement, comme si la matière du bois se laissait pénétrer sans qu’aucun obstacle ne parvienne à ce que l’on heurte la paroi du tronc d’arbre. êta entra, emmenée par Amalthée à l’intérieur de l’arbre dans une pièce immense au murs et plafond végétaux avec des énormes branches horizontales qui traversaient de part en part le plafond et qui faisait guise de solides poutres végétales. Entre chaque poutre, une végétation luxuriante garnissait l’ensemble ainsi que sur les murs Poutres dans lesquelles pendaient plusieurs cages suspendues par de solides lianes.
Dans chacune de ces cages gisaient des humains, femelles et mâles... Amalthée les désigna de la main :

- Ce sont Mes jouets, les humains que j'ai sélectionnés afin de me procurer du plaisir lequel j’ai tant besoin comme mes Congénères maintes fois dans une même journée, oui de ce plaisir dont j'ai une faim inextinguible, car je le répète encore, êta puisque c'est par cette seule lettre que l'on te nomme, mon appétit sexuel comme celui de mes Filles ne peut être rassasié. Nous épuisons toutes celles et ceux que nous plions à nos plaisirs, et tous n'y survivent pas... mais qu'importe, ce ne sont que de vulgaires humains, des créatures serviles que nous utilisons, usons et rejetons... ceux qui survivent sont autorisés à vivre dans les marécages et à nous servir... Toi, tu ne sortiras plus jamais d'ici, je vais user et r de toi, éternellement !

Cette fois, Amalthée poussa êta sans ménagement vers le fond de cette immense pièce verdoyante, là, une alcôve assez vaste avait été aménagée, où pendait une autre de ces cages, dorée, suspendue au plafond végétal par une chaîne d'or. Un garde portant casque et cuirasse d'or en ouvrit la porte également végétale et êta fut poussée à l'intérieur; après quoi la porte garnie de superbes petites fleurs inconnues fut à nouveau verrouillée.

- C'est ici que tu vivras désormais, lorsque mes sens n'exprimeront pas le besoin d'être comblés par tes œuvres c’est-à-dire juste seulement quelques heures par jours, lui lança Amalthée avant de s'éloigner...

Les jours passèrent ainsi et, en effet, les sens d'Amalthée étaient bien rarement repus ! êta était livrée des heures durant aux désirs de La Reine des Nymphes, dont elle apprit également qu'Elle avait été jadis la nourrice de Zeus ! Ce qui Lui donnait naturellement un pouvoir rare et puissant. L'un des jeux préférés d'Amalthée, quand elle voulait varier de la compagnie d’un esclave mâle, consistait se faire lécher longuement la chatte jusqu’à, à en jouir tandis qu’elle utilisait une corne de chèvre qui avait été lissée et couverte d'or fin, dont elle usait comme d'un énorme sexe mâle pour se faire pénétrer elle-même.
.. Mais aussi, cet objet servait pour pénétrer un ou une esclave selon Ses pulsions du moment. Elle manipulait donc ce phallus hors-normes de la main, en usant avec un grand savoir-faire dans l'un ou l'autre des orifices dont la généreuse Nature avait doté sa belle esclave, êta... mais parfois également, elle fixait cette corne à une sorte de harnais constitué de petites lianes qui Lui permettait d'en user comme un homme use de sa verge... (sans le savoir elle avait inventé le gode-ceinture). Cette corne demeurant bien sûr en permanence dure et longue, Amalthée pouvait s'en servir des heures durant, sans le moindre repos. Le traitement qu'elle faisait ainsi subir à ses jouets humains épuisait les pauvres créatures, dont certaines devaient être traînées hors de leur cage pour être livrées aux jeux lubriques de La Reine qui, parfois, préférait cependant se faire lécher tandis que ses jouets se livraient à des mêlées sexuelles multiples et variées.

Seule êta semblait aussi inépuisable que La fameuse Corne d'Amalthée... Et ce n'était pourtant pas faute de livrer la sublime et blonde esclave amnésique aux situations les plus scabreuses ! Ainsi, Amalthée fit un jour venir dix humains mâles fraîchement capturés, choisis parmi un groupe d’hommes vigoureux qui furent conduits nus devant Elle et dont La Reine ne conserva que ceux qui pouvaient exhiber à Ses Yeux Une Verge de très grande taille... Les dix choisis virent alors mener devant eux une êta lavée et parée, à la fois élégante et docile, dont le regard vert se dardait sur leurs queues soudainement dressées... Sur un simple claquement des mains d'Amalthée, êta vint à eux, allant de l'un à l'autre, caressant celui-ci, saisissant la verge d'un autre dans sa main, s'agenouillant pour sucer celui là, avant que d'en saisir un dans chaque main ! Afin de combler le plaisir qu'Amalthée prenait à contempler de tels ébats, tout en se faisant baiser puissamment par un vigoureux esclave qui devait contenter La Reine, aux risques d’être livré en pâture lors d’orgies à venir, la soumise êta avait fait le choix de déployer ses incroyables talents afin de faire jouir et jouir encore les dix jeunes mâles auxquels elle était livrée... Les uns après les autres, malgré leur vigueur, ils s'écroulaient épuisés, tandis que La Reine des Nymphes avait l'un d'eux à venir enfouir son visage entre Ses cuisses et l'abreuvait du flot abondant de Sa vitale jouissance, d'un plaisir qu'elle ne parvenait pas à contrôler quand le vigoureux mâle qui la pénétrait virilement se retira car il lui était interdit d’éjaculer, laissant la Souveraine jouir sur le visage de l’autre esclave positionné entre Ses cuisses…

Amalthée composait même des poèmes pour cette si belle esclave, qu’était êta, dont les capacités sexuelles dépassaient tous Ses plus fous espoirs et permettait ainsi à La Reine de se régénérer par des jouissances existentielles :

‘’Oh toi dont le corps nu excite tant mes sens, que j’en jouisse
Ma douce main baladeuse glissant jusqu'au creux de tes cuisses
Ta chair si douce m'enivre sans fin de mille délices nouveaux
A de nouvelles caresses offertes sans cesse, exalte ma libido
Je presse alors tout ton corps sensuel contre ma propre Chair
Pour une étreinte que même La Grande Sapho pourrait faire
Toi ma belle esclave si peu farouche qui parvient à me lécher
Jusqu'à mon plus intime plaisir, me donne la vie par nécessité "

Ce sont ces mots qu'Amalthée déclamait tandis qu'après avoir épuisé les dix mâles humains, êta encore agenouillée léchait avec délices la chatte dégoulinante de Sa Si Avide Maîtresse...

"Vois comme ma fleur sans cesse est arrosée lorsque tu y consacres des heures
Tu sais y mettre savoir, talent suave à me faire jouir mille fois de bonheurs"

… s'extasiait Amalthée qui jouissait et jouissait encore entre les lèvres de sa douce et belle esclave. Jamais Elle n’avait connu aussi experte esclave en êta à apporter autant de plaisirs. Mais La Reine des Nymphes fascinée par la beauté d'êta sentait aussi naître en elle un sentiment moins tendre… Au fil des jours, Elle jalousait cette esclave dont elle se sentait paradoxalement peu à peu devenir dépendante. Aussi lui réservait-elle parfois de bien plus cruels moments. Amalthée maniait le fouet avec un rare et cruel talent. Lorsque la rage provoquée par sa jalousie face à l’extrême beauté d’êta devenait trop forte, elle faisait mener devant elle l'esclave blonde et la longue lanière de cuir tressé, garnie au bout d'une pierre précieuse taillée, s'abattait sadiquement sur le beau corps nu qui se trouvait rapidement zébré de sanglantes entailles... êta pouvait souffrir, sentir la terrible morsure de ce fouet, mais le don Divin de guérison rapide faisait également partie de sa malédiction. Aussi cruellement qu'elle eut été battue, aussi brisé que soit son corps, quelques heures suffisaient pour que ses chairs retrouvent leur finesse et leur douce élasticité... Nulle trace ne pouvait marquer longuement ce corps parfait et cette miraculeuse capacité ne faisait qu'irriter plus encore La Reine des Nymphes qui au fil du temps, se mit à multiplier les sévices, prenant un plaisir extrême à voir êta se tordre sous les coups et les plus avilissants traitements.

L'imagination d'Amalthée n'avait plus de limites lorsqu'il s'agissait d'humilier et de traiter cruellement celle pour laquelle Elle avait ressenti une si dévorante passion. êta n'avait, quasiment plus droit au repos dans sa cage dorée, étant livrée durant des heures aux jeux pervers et sadiques de La Reine qui devenait un peu plus lubrique de jour en jour et Celle-ci en jouissait perversement encore d’avantage pour Sa survie. Amalthée faisait venir régulièrement de nouvelles fournées d'humains vigoureux et leur livrait êta durant des heures... La Reine exigeait d'eux qu'ils se soulagent sur le corps et dans la bouche de l'esclave qui n'était plus nourrie que de l'épaisse semence des mâles les plus barbares que Les Nymphes pouvaient capturer... Lorsqu'elle n'usait pas de Sa redoutable Corne d'Or pour labourer son fondement, Amalthée fouettait la blonde soumise avec une ardeur redoublée tandis qu’un pauvre mâle léchait La Souveraine jusqu’à des jouissances hors normes. Et pourtant, lorsque épuisée, brisée, chancelante, êta était parfois ramenée jusqu'à sa cage. Lorsqu'elle somnolait un instant et que son corps guérissait du terrible traitement subi, Amalthée ne pouvait s'empêcher d'aller la contempler... Et le regard attendri qu'elle posait alors sur sa belle victime la mettait à nouveau en rage causée par une jalousie de plus en plus excessive et imputée à la beauté de l’esclave, oui, cette jalousie qui augmentait de jour en jour, rendait Amalthée bouillante de rage. Rage qu’elle maîtrisait de moins en moins !

Pourtant, profitant du sommeil réparateur que Les Dieux accordaient à êta, Amalthée venait la caresser, suivant d'une main douce les courbes parfaites de ce corps qu'un instant plus tôt elle avait tant voulu briser. La Reine des Nymphes ne parvenait plus à libérer Son Esprit de la présence obsessionnelle d'êta... Même lorsqu'elle assouvissait ses appétits du jour avec d'autres esclaves, mâles ou femelles, c'est toujours êta qui l'habitait, suscitant en elle de brutales et précipitées jouissances... Amalthée se devait d'agir, de rompre cette insupportable dépendance car elle ne pouvait plus se passer de cette belle esclave blonde…

Alors, un beau matin, après avoir cogité toute une nuit, La Reine repensa à un objet magique dont Elle s'était emparée voici fort longtemps et qu'Elle n'avait jamais utilisé... Ce matin-là donc, êta fut donc menée devant La Reine... l'esclave était aussi fraîche qu'au réveil d'une profonde nuit... Sa peau était lisse et fine, débarrassée par l’enchantement Divin des zébrures du fouet de la veille, son abondante chevelure d'or cascadait en luisant sur ses épaules, son extrême beauté était pleinement exprimée naturellement et elle se tenait devant Amalthée dans une attitude aussi humble qu'élégante, tenant ses mains jointes dans le dos, offrant une vue sans obstacle sur ses seins d'albâtre aux tétons roses et charnus... Son pubis parfaitement lisse laissait deviner de fines lèvres aux chairs brunes et humides... Amalthée la contemplait en silence, sentait monter en Elle le désir de se jeter sur l'esclave, autant pour la battre que pour l'enlacer et partager avec elle une explosive jouissance…

Mais Amalthée exceptionnellement retint ses pulsions à la jouissance et prit une longue inspiration et se leva, brandissant une sorte de bracelet d'acier... Elle vint tout près d'êta :

- Vois-tu cette pièce de métal ? C'est un objet magique, un bracelet de cheville que je vais fixer à ta cheville et que tu ne pourras jamais enlever... Tant que tu le porteras, tu seras au regard de tous, qu’une vieille femme laide, ridée, édentée aux chairs flasques, aux cheveux gris et sales et tu seras ainsi répugnante aux yeux de tous et je t'enverrai errer dans les marécages pour y trouver un homme qui, s'il ne s'enfuit pas au premier regard, daignera accepter de te baiser ton sexe devenue aussi repoussant que le reste de ton corps... Car ce n'est qu'en parvenant à te faire prendre par un homme ... ET en le séduisant que ce bracelet, perdant son pouvoir magique, se défera et tombera de ta cheville, te rendant alors ton aspect naturel et donc ta beauté... Bien sûr, je ne perdrai pas une miette du doux spectacle de te voir ainsi aller et venir dans la boue et la vase, tentant de trouver le mâle improbable et assez stupide pour daigner te pénétrer et se laisser séduire, car il faudrait qu’un homme soit vraiment fou pour qu’il puisse être attiré par ton insupportable laideur... Maintenant va, franchit la porte de mon palais, personne ne te fera obstacle… je te rends ta liberté à ce prix, ta répugnante laideur pour une liberté retrouvée ! ha ! ha ! ha !

Et Amalthée éclata d'un rire dément, en voyant êta sous l'aspect d'une frêle et hideuse créature à la peau flétrie, quitter Son Palais et s'avancer dans les lugubres marécages...

(A suivre…)

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