Travesti En Soubrette Par Une Matrone Pour Le Banquet Du Rugby (2)

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Le regard qu’elle me jeta me fit immédiatement regretter mes paroles. Elle saisit à nouveau mon poignet pour le lever et me forcer à me maintenir sur la pointe des pieds. Le broyant presque, elle le tordit pour me forcer à lui exposer mes petites fesses. J’imaginais ce qui allait arriver mais je ne voulais pas y croire. Sa main libre s'abattit lourdement sur mon petit fessier. Elle était si large que je sentais la douleur sur mes deux fesses. Je crois que j’aurais pu m’y asseoir ! Sa main me frappa violemment par trois fois, après quoi elle lâcha mon poignet pour que je n'effondre en larme sur le carrelage. Je pleurais comme une fillette et jetant un coup d’oeil dans le miroir, je vis mon petit séant rouge cramoisi, avec les traces des larges mains de ma tortionnaire qui souriait sadiquement. Me laissant ainsi, elle se mit à fouiller dans une caisse d’où elle sortit une petite culotte en dentelle blanche, et un soutien-gorge avec les même motifs. Je regardais les sous-vêtements d’un air terrifié, sachant très bien où ils allaient finir. Ils paraissaient tellement fin et délicat dans les doigts larges et musclées de la matrone. elle cria alors:
“Debout petite trainée !”
Je me relevai alors rapidement, tout en sanglotant, de peur de subir à nouveau son courroux. Je tremblais de peur et de froid. Elle me présenta alors la culotte tendue dans ses gros doigts et m’ordonna d’y passer les jambes, ce que je fis, m’appuyant sur ses larges épaules pour ne pas perdre l’équilibre. Je fus surpris par leur fermeté ! Cette femme était une montagne de muscles. Une fois les deux jambes passées, elle remonta la culotte pour la faire coulisser au milieux de mes fesses. Elle m’allait parfaitement et mon petit sexe s’y trouvait à l’aise. Elle semblait contente:
“Mon dieu, ça te va parfaitement ! Tu passes dans un 34 ! J’hallucine à quel point tu es mince !”
Jetant un coup d’oeil dans le miroir, je vis mes petites fesses bien à l’aise et mise parfaitement en valeur par cette fine dentelle.

Elle me présenta ensuite le soutien-gorge de manière à ce que je n’ai que les bras à passer pour l’enfiler. La matrone passa derrière moi pour l'agrafer et ajuster les bretelles. Nous faisions alors face au miroir et je voyais son immense stature me dominer. Elle me dit alors :
“Tu n’as rien à soutenir mais un peu plus de dentelle mettra encore plus en avant ta féminité latente”.
Elle ne cachait plus son plaisir de me travestir. Je sentais chez elle une vraie excitation à me transformer en femme et à me dominer physiquement et psychologiquement.
“Tu es vraiment magnifique ! Tu as l’air d’une belle petite pute comme ça !”
Je ne pouvais qu’ acquiescer : La culotte en dentelle affinait ma taille, galbait parfaitement mes fesses et donnait belle allure à mes jambes si fines. Le soutien-gorge soulignait la finesse de mes épaules et de mes bras, et donnait l’impression que j’avais une poitrine, bien que menue. La géante semblait fasciner par la créature qu’elle était entrain de créer. Elle posa ses grosses mains sur mes épaules délicates, les glissa sur mes bras pour atteindre ma taille qu’elle enserra de ses longs doigts. S’adressant au miroir, elle dit:
“Mais que ta peau est douce, que tu es fine, j’enserre presque totalement ta taille. J’aurais voulu avoir un corps comme le tien, plutôt que cette carcasse d’ogresse”.
Elle serrait de plus en plus ma taille et je commençais à avoir mal. Je craignais qu’elle ne broie mes viscères sans même s’en rendre compte. Elle me décolla alors dur sol de manière à ce que l’os de son pubis soit contre mon anus. Elle se mit alors à donner de petit coups de boutoir, comme si elle me sodomisait. Je commençait à avoir vraiment peur. Elle m’avait clairement montré que je n’était pas de taille contre elle et qu’elle ferait de moi ce qu’elle voudrait. Je regardais dans la glace ce petit corps chétif dont cette géant se servait pour satisfaire sa sexualité refoulée. J’étais à la limite de m’évanouir quand elle lâcha son étreinte et me reposa délicatement sur mes pieds.
C’est là que je me rendis compte que j’étais excité au plus au point ! Mon petit sexe en érection tendait la toile de la culotte. La matrone s’en rendit compte :
“Tu as l’air d’aimer ça que l’on te sodomise ! Ton clito est dressé petite chienne. Va falloir que je corrige ça !”
Elle baissa alors ma culotte, passa sa large main gauche sous mon ventre et me souleva ainsi d’un seul bras. Mon visage regardait le sol et je gigotais espérant échapper à une sanction que je ne connaissais pas encore. Une lourde claque de sa main droite sur mes petites fesses me rappela qu’il valait mieux que je reste immobile. La douleur me fit sangloter à nouveau et mes grosses larmes s’écrasaient par terre.
“Tu vas avoir ce que tu mérites petite chienne !”
Elle enfonça son énorme index dans mon anus qu’elle n’avait même pas pris le temps de préparer. La douleur fut intense, j’avais l’impression d’être traversé de part en part. J’étais loin de me douter que ma première expérience sexuelle serait faite par une géante qui me mettrait un doigt dans le cul ! La matrone se mit alors à me sodomiser frénétiquement, si bien qu’au bout d’une minute ma prostate fut suffisamment stimuler pour cracher ma semence qui se mêla à mes larmes sur le sol. Tout en maintenant son doigt dans mon anus, elle me dit:
“Moins d’une minute pour jouir, c’est vraiment que tu aimes ça ma chérie”.
Elle me reposa alors sur mes pieds et sortit un mouchoir de sa poche avec lequel elle nettoya mon sexe. Je sentais ses gros doigts malaxer mon entrejambe avec force. Mon pénis même s’il était encore en érection paraissait minuscule à coté d’eux.
“C’est bon, ton clito est tout propre”
Elle remonta alors ma culotte prenant un grand plaisir à bien la faire pénétrer entre mes fesses. Je sentais le tissus doux contre mon anus encore dilaté et rendu douloureux par le doigt râpeux de la travailleuse.


Mon habilleuse sortit alors d’un tiroir une perruque brune coupée au carré et l’ajusta sur ma tête.
L’illusion était parfaite. J’étais absolument féminine. C’était la touche qui suffisait à mon visage très fin pour lui donner l’apparence d’une catin. Elle sortit alors une robe de soubrette de la penderie et me la présenta de manière à ce que je n’ai qu’à tendre les bras vers le haut pour l’enfiler. Elle m’allait très bien soulignant encore plus ma taille de guêpe. Elle était suffisamment décolleté pour laisser apparaître la dentelle de mon soutien gorge. Elle était vraiment très courte et je n’avais pas à me baisser beaucoup pour que ma culotte apparaisse. C’en était presque trop ! Je ressemblais plus à une strip-teaseuse qu’à une servante. La matrone me lança:
“Bon sang ! Mais tu es tellement sexy ! Ils ne vont faire qu’un bouchée de toi, sans parler des autres serveuses qui vont être jalouses de ta silhouette. Aucune n’est aussi mince que toi.
Elle me souleva à nouveau par la taille pour me poser sur la commode. La vision de mon petit corps féminisé soulevé par cette brute m’excita à nouveau. Heureusement, je n’étais plus culotte et elle ne s’en aperçut pas. Elle saisit une trousse à maquillage et donna la dernière touche à mon visage: rouge à lèvre, mascara, blush, la géante prenait autant de plaisirs que de soins à me travestir. Une fois terminé, elle me souleva à nouveau pour me poser face au miroir. C’était impressionnant. Mes lèvres rouges et mon teint de poupée était un véritable appelle au viol ! Je ressemblais définitivement à une tapineuse…


“C’est bon tu es prête. C’est la première fois que je réussis aussi bien un travestissement. Il faut dire que je n’avais pas beaucoup d’effort à faire. Ah non, je sais, on peut encore faire mieux !”


Elle sortit du tiroir une paire de bas blancs rehaussés de dentelle. Elle me présenta le bas droit dans laquelle j’enfilai ma fine jambe, tout en m’appuyant à nouveau sur ses musculeuses épaules, de même avec la jambe gauche. Ils m’arrivaient à mi cuisse, affinant encore plus ma silhouette et dévoilant suffisamment de chair pour susciter le désir.



“Tu es parfaite. ces bas te vont à ravir ! Enfile ces ballerines, c’est du 36. ça devrait aller à tes petits petons”


Effectivement, elles m’allaient juste. Je ne savais plus quoi dire. J’étais partagé entre le désir de fuir et le désir de m’exhiber encore plus. Je me reconnaissais parfaitement dans cette magnifique petite brune qui aurait eu toute sa place sur une scène de cabaret érotique. Mon anus encore dilaté frétillait de l’excitation provoquée par cette situation si humiliante. Moi, un jeune homme de 19 ans, abusé, travesti et dominé physiquement par une femme qui devait faire trois fois mon poids. Me regardant dans le miroir, je croisais mes bras devant ma poitrine pour poser mes mains sur mes épaules opposées. Je me mettais de profil pour admirer ma silhouette si fine par rapport à mon ogresse de patronne. Je me sentais...à ma place pour la première fois.


“Regarde moi là s’admirer dans le miroir. Je te rappelle que tu es venu pour bosser !!”


Sur ce, elle me saisit dans ses grandes mains au niveau de la cage thoracique, et me souleva pour me poser sur sa hanche droite. Mes jambes vinrent machinalement de part et d’autre de sa large carcasse, relevant suffisamment ma robe pour exposer ma culotte. Mes mains entourèrent son cou musculeux. Plaçant sa large main droite sous mon petit cul pour me soutenir, elle quitta alors la pièce me portant comme une fillette, en marchant à grand pas. Je jetai un dernier regard dans la glace pour prendre plaisir à admirer cette géante transporter mon petit corps comme s’il ne pesait rien.


A suivre …

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