Vacances Chez Mado
La mer, ma montagne
. Jai préféré aller à la campagne, en pleine cambrousse. Ma tante, la sur de ma mère y habite, préférant sa tranquillité à lagitation des villes. Jai un examen à réviser, je serais bien mieux chez elle. Mado, ma tante vit à sa façon, seule ou presque, je sais simplement par le ouï dire quelle a un amant. Je crois que ma mère le connaît un peu. Alors cest en confiance que je suis chez Mado pour un bon mois. Il fait presque froid la nuit tombée. Nous dinons dehors, toutes les deux en attendant son chéri qui rentrera très tard à cause de son boulot. Le voyage ma affamée et fatiguée. Vite au lit, vite endormie. Réveillée en cours de nuit pas les bruits venant de sa chambre. Je comprends vite que lamour de Mao est là, ils font ce que font des amants, elle en gémit, presque trop fort. Je ne me retiens plus, je passe ma main entre les cuisses, vers le haut, mon bouton est enflé. Je sais comment le faire taire. Avec mes doigts réunis je caresse doucement. Ce plaisir indicible est dans mon ventre. Je ne tarde pas à me tordre dans un orgasme magnifique.
Le lendemain Mado mattend dans la cuisine pour le petit déjeuner. Son chéri est déjà parti. Je le verrais sans doute ce soir. Jaimerais bien le voir, savoir comment il est fait, sil est grand, petit, surtout je suis curieuse de voir si possible sa queue. Quoi, une fille de mon âge qui veut connaitre mintimité de lamant de sa tante ?
Mado me propose daller prendre un bain dans la piscine. Pourquoi pas, jenfile mon maillot deux pièces peut être un peu petit, mais nous ne sommes que deux femmes. Je me fatigue à nager. Mado fait doucement son ménage. Je laperçois à travers les vitres : elle ne porte pas grand chose sur elle. Ce que je vois me parait bien agréable. Nous déjeunons sur la terrasse, juste à coté de leau. Le soleil commence à taper, Mado me propose de passer une crème solaire. Jaccepte volontiers. Elle tint en main un grand flacon. Je dois me mettre sur un pliant pour quelle puisse ma masser.
Je suis sur le ventre, elle baisse le haut du slip, passe un peu de produit. Cest agréable, fort agréable. Elle ne se sen rend pas compte, je commence à avoir ma fente mouillée. Ce nest pas un massage ça devient des caresses. Sans trop le vouloir jécarte un peu les jambes. Sa main et sur mes cuisses descend en bas au chevilles, remonte sur les mollet pour atterrir encore sur les cuisses.
Mado comprend que je suis troublée. Elle arrête ce quelle fait. Heureusement sinon je me serais caresser devant elle. Après une traversée de la piscine, je me reprends. Toujours troublée je vais dans ma chambre, je me déshabille totalement : je me regarde dans la glace en me trouvant désirable. Ce sont mes mains qui me réclament. Je caresse rapidement les seins, la taille, un peu les fesses avant de me fixer. Je ne me couche pas, je reste assise au bord du lit. Jécarte les lèvres, trouve le pistil. Je le caresse doucement jusquà lexplosion finale. Je suis un peu abasourdie après lorgasme.
Mado que je retrouve plus tard ne dit rien, elle me regarde avec un petit sourire de complicité.
La journée continue. Le passage obligatoire à la piscine fait que Mado veut continuer à me tartiner lautre coté. Je me laisse faire. Je provoque chez elle un début de folie érotique. Elle fini de mettre la pommade sur une cuisse, arrive en haut, elle ségare volontairement entre mes jambes. Je sens sa main passer sous mon slip. Et moi, nigaude, je la laisse faire. Elle caresse à peine le bouton, entre un doigt dans le vagin le fait aller et venir. Je suis tendue, surprise du plaisir quelle me donne. Je jouis sous sa main. Elle sourit encore.
Elle attend la fin de la journée pour me prendre dans ses bras. Elle pose ses lèvres sur les miennes. Je ne résiste même pas à sa langue caressante. Quand elle défait le soutien gorge jai comme un moment de relâchement. Je pose même ma tête sur une épaule.
Je me laisse faire aussi quand elle mallonge sur le carrelage froid. Sa tête vient réchauffer mon pubis. Je lui tiens à peine le crane. Sa langue sinfiltre dans ma fente. Pour la première fois de ma courte vie une langue étrangère me fait des choses agréables. Je ne peux que me laisser faire. Je sens un plaisir continue où que sa langue aille. Elle passe la barrière den bas, là où, même moi je ne mets pas mes doigts.
Mon petit trou est sa victime. Je ne sais ce quelle trouve à mettre sa langue en entier, moi ça mexcite beaucoup tellement que je sens un autre orgasme. Je reste inerte, rompue de plaisir. Elle vient tout près de moi, reprend mes lèvres, guide ma main sur elle. Je trouve son sexe mouillée. Elle ne demande tien de particulier : je comprends quand même. Je fouille lentement toute sa chatte. Elle gémit, je continue, elle cri quand elle jouit. Jaurais bien recommencé, elle ne veut plus : son mari va venir.
Ainsi elle cache ses plaisirs singuliers à son tendre époux, à celui qui lui met sa queue là où javais la langue. Je ne comprends pas trop.
Nous sommes en fin de repas, Maso est calme, son époux lui fait des bises au bord des lèvres. Ils échangent un long baiser sur la bouche. Je regarde étonnée. Ils échangent des mots que je ne comprends pas en me regardant.
Nous retournons vers la piscine. Je suis assis sur un petit siège entre les deux. Je rêvasse en penssant à la journée fertile que jai eu. Je reçois une main sur une jambe. Et un autre sur lautre jambe. Ils me font des propositions muettes. Je suis daccord avec elle de Mado, mais quid de son époux ?
- Regarde la bite de mon mari, il bande en te regardant.
- Et alors ?
- Il voudrai te baiser.
- Mais tu es là.
- Et lors, cest bon à trois, surtout si tu es au centre.
- Au centre de quoi ?
Je fais limbécile, je comprends fort bien ce quelle, pardon ce quils désirent : me baiser tous les deux à la fois.
La première nouveauté est son baiser à lui. Il entre profondément dans ma bouche. Je ne lâcherais pas la langue tellement elle est agréable avec sa petite odeur de tabac et de salive mêlées. Mais jai rapidement les doigts de Mado sur mon sexe. Elle sy entend pour branler les filles. Je me laisse faire volontiers. Je cherche quand même la bite : il bande dur. Elle est immense, longue et large et dure comme jamais. Sil veut faire des entrées particulières je serais gênée.
Je suis poussée sur le sol comme cet après midi. Elle vient sur moi, en 69. Je sens son con odorant, liquide. Mon nez traine vers son anus. Je suis repoussée par la queue qui vient se loger dans sa niche normale. Il la baise à deux centimètres de moi. Je lèche ce que je peux de sa colonne énorme. Je caresse les couilles dures. Il va et vient sans cesse. Que jaimerais lavoir moi aussi. Il sort du vagin plein de cyprine. Je voudrais la lui nettoyer. Il ne men laisse pas le temps. Plein de mouille sa queue se précipite vers lanus. Quelle majestueuse entrée. Il la lui met en entier, cette queue sans fin que je voulais utiliser. Mado cri son plaisir, lui geint à peine. Elle jouit deux fois, lui pas une seule. Il est dur à la jouissance.. Tant mieux pour moi. Mado se relève, elle vient sassoir sur ma bouche. Sa pine de son mari/amant fini dans sa bouche. Et moi alors ?
Jy ai droit. Il est sur moi, il pose sa queue juste sur le pubis, en levant la tête je vois le monstre. Il glisse vers la fente. Que cette attente est bonne. Je sens son bout juste sur les lèvres. Il na quà pousser un peu et hop. Non pas de hop, il change dendroit. Il me semble que mon sexe rétrécit, sèche. Il passe le périnée. Non je ne le veux pas là. Il sen fiche, il pose sa queue à lentrée secrète. Il ne fait rien quattendre son heure.
Nous avons du baiser deux heures ou plus. Il nous oblige chaque soir à nous baiser les deux filles, juste avant de nous baiser lune après lautre. Je ne refuse jamais. Pas plus que je refuse les avances de Mado.
Jai trouvé le temps pour mon examen. Je lai réussi. Comme je suis cataloguée bonne biaiseuse par les deux sexes.
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