Sam Et Moi
Petite châtaine d'un mètre soixante-huit, yeux bleu et rondelette, se qui ne me gêne d'aucune façon, âgée de 27 ans puis en couple depuis maintenant huit ans et demi. Ça va bien, nous nous aimons toujours, mais le sexe n'est plus ce qu'il était. Je dois souvent m'auto-satisfaire, car mon homme ne s'occupe pas bien de moi. En fait, il ne cherche qu'on sont plaisir. Il n'a aucune fantaisie, puis l'amour dur 3 minutes, un vrai petit lapin. Par contre, pour les préliminaires, ça y a pas à dire, il est doué. Avant nous baisions à peu près partout, quand nous le souhaitons. Aujourd'hui, c'est 1-2 fois par semaine. Bref, je m'ennuie de prendre mon pied avec une bonne queue, comme dans le bon vieux temps.
Depuis quelques années, je me suis mise à fantasmer sur les hommes de mon entourage. Je me fais des films trois X, ça m'excite énormément, alors je sors mon gode, en m'assurant d'être seule à la maison. Ma belle-sur est en couple depuis deux ans, maintenant et je ne cesse de fantasmer sur son copain. Nous parlons souvent sur les réseaux sociaux, souvent nos conversations s'égarent, en se taquinant un peu, mais sans plus.
Un bon jour, il propose de m'héberger, moi seule, un jour ou deux, pour quitter la monotonie de mon quotidien. Bien sûre, sans pour autant en parler avec ma belle-sur pour le moment, car elle est très... possessive. Je décline son offre, car je ne me sentais pas à l'aise d'être chez eux, sans raison valable. Mais il insista, jusqu'à en impliquer mes beaux-parents, me disant que ceux-ci (maintenant à la retraite), allaient passer quelques jours avec eux.
- Aller, accepte! Ça te fera des plus grand bien de changer l'air de la ville pour celui de la campagne. Me dit-il.
- Je suis d'accord sur ce point, mais de toute façon, il n'y a pas asser de place pour moi, si beau-papa et belle-maman, y vont eux aussi.
- Mais si! S'il a de la place pour deux, il en a pour trois! Aller, nous allons aller au lac se détendre.
- Je vais y penser!
Pourquoi voulait-il que j'y sois à se point. Cela mintriguait mais m'excitait aussi. Je m'imaginais entrer dans sa chambre, puis de profiter de son corps endormi. De glisser mes doigts sur son torse légèrement velu, puis descendre sur sa verge pour commencer à le masturber doucement, éloigner les couvertures pour que je puisse le sucer à fond, tout en me roulant la bille. Aaaah... Seigneur! Reprends tes esprits Mymy. J'avais l'entre-jambe tout humide et qui frétillait. Je ne pouvais accepter d'y aller, de peur que je succombe à mes folles envies.
- Mymy, j'ai trouver quelque chose pour toi. Tu ne sembles pas chaude à l'idée de dormir chez moi, alors je t'ai trouver un motel sympa. C'est à deux minutes à pied. Tu seras seule et libre de faire se qu'il te plait.
J'avais un réel besoin de m'évader, puis se d'étendre autour d'un lac, dans la nature, que demander de plus? Et une chambre pour moi seule, je ne pourrais pas me laisser tenter. De plus, je pourrais apporter mon gode et faire aller mon imagination. Je décida d'en parler avec Max (mon copain) et il était ravi pour moi, que quelqu'un s'occupe de moi, étant donner qu'il était déborder au boulot. Il me convainc donc d'y aller.
- Sam... c'est bon, je viens. Je vais prendre une chambre. J'en ai parler avec Max, j'espère que tu en as fais autant avec Judith?
- Si si, elle est au courant puis elle serait contente de t'avoir avec nous.
- Bon c'est parfait, alors c'est quand?
- Bah heu, mardi prochain!
- Quoi?! s'est dans deux jours, merde.
- Judith avait déjà tout planifié avec ses parents, du coup j'ai rien à dire...
- Ok, j'espère qu'il va avoir une chambre de libre au motel.
- Oui, t'inquiète, elle est déjà réserver!
- Je vois... je ne pouvais pas refuser, alors! On se voit mardi, à douze heures. Au revoir Sam.
Eh bien, je n'avais guère le choix, finalement. Je fis donc ma valise, en prenant soin d'apporter que l'essentiel; sous-vêtements en dentelle noir, maillot serviette, robe de plage et gode.
Comme je suis ronde, j'ai un maillot deux pièces long, mais qui met en valeur ma généreuse poitrine (38D). Il fait beau et chaud, je commence à me crémer, impossible de faire mon dos, je demande à Judith, mais elle ne répond pas. Elle s'est déjà endormi dans l'herbe avec son Ipod sur les oreilles. Sam s'est donc porter volontaire pour le faire. Il me dit de m'étendre sur le ventre et de relaxer. Il mis la crème dans le creux de ses paumes, puis commença à me masser timidement les épaules, descendit sur mes omoplates, pour finir sur ma colonne. Je pouvais sentir sa cuisse se frotter sur mes côtes et j'entendais sa respiration saccélérer, puis il s'éloigna,brusquement, sans dire un mot. La journée passa étonnamment vite puis on rentra pour dîner, il était dix-neuf heures. Je n'avais rien fait mais j'étais tout de même claquer, je décida de les abandonner pour aller retrouver ma chambre.
Je pris une douche, puis repensa à ma journée qui s'était bien dérouler. Je n'avais eu aucune mauvaises pensées, mise à part la crème, mais sans plus. J'alla m'étendre sur mon lit, nue et j'ouvra la T.V. quand on cogna à la porte. Il était près de vingt-et-une heure, qui ça pouvait bien être?
- Mymy, ouvre s'est Sam!
- Sam? Attend... heu attend. Je pris le peignoir du motel et alla lui ouvrir.
Qu'est-ce que tu fais ici? Il entra et je l'invita à sasseoir ou bout du lit.
- Tu nous a quitter tellement vite, je croyais que tu avais eu un malaise, alors ça va?
- Oui, seulement fatiguée. Lui dis-je en souriant. Et je m'assied près de la tête de lit.
- Puis comment t'as aimer ta journée en notre compagnie?
- Super! Être étendu au soleil, se baigner, ne rien faire, tout ça en bonne compagnie, que demander de plus?
- Bon je vais les rejoindre, t'es sûr de ne pas m'accompagner?
- Oui, je vais regarder quelques chaînes, merci.
- Alors dors bien! Il se leva puis vient m'embrasser.
Je n'ai pas eu le réflexe de le repousser, je lui est simplement rendu son baiser. Il appuya sa main gauche sur la tête du lit et je senti sa main droite se diriger le long de ma cuisse gauche, ses doigts se courba, m'égratigna de désir. J'avais l'impression qu'il cherchait à m'allonger. Je le repoussa légèrement en posa mes mains sur son torse.
- Sam... Sam, mais qu'est-ce tu fais? Lui dis-je en soupirant d'envie.
- Je sais que c'est mal, mais j'ai tellement envie de toi. Me répond-t-il tout en appuyant son front contre le mien.
Je pouvais entendre son désir dans sa respiration. Mes mains quitta son torse pour parcourir son ventre ferme, son dos, ses bras légèrement musclés puis sa nuque pour qu'il m'embrasse à nouveau. Sa main droite, remonta ma cuisse pour aller défaire le nud de mon peignoir et sempara de mes seins. J'étais tellement excitée, que mes seins étaient déjà dur et mon entre était tout trempé. Il mallongea sur le lit puis m'embrasse dans le cou, en descendant doucement vers ma poitrine, il me mordillait, me léchait les seins comme un affamé. Une de ses mains alla sur mon pubis vierge de poil, puis glissa un doigt dans ma fente humide, à la recherche de mon clitoris. Il commença à me masturber avec sensualité et douceur, c'était bon. Un doigt me pénétra lentement puis un autre. Il faisait des mouvements de va-et-vient très doux tout en m'embrassant amoureusement. Son pouce fesait de petits cercles sur mon clito, je n'allais pas tarder a jouir, ma respiration s'intensifiait et mes gémissement se faisait de plus en plus fort. Je n'en pouvait plus, j'avais joui comme jamais et seulement avec une main.
Je déboutonna sa chemise pour la lui retirer, ensuite je tira sur ses shorts pour le laisser en boxer. Je distinguait très bien la bosse qu'il avait, en dessous. Je lui demanda de s'allonger et j'embarqua à cheval sur lui. Je l'embrassa amoureusement, puis frotta mon bassin contre sa verge encore cacher. Je le sentais très dur, je descendais sur son torse en le léchant, en donnant de petits baisers et en le mordillant de temps à autre. Je glissa mes doigts dessous l'élastique du boxer sans le lui retirer. J'embrassa son pénis au travers le tissu, il était de bonne largeur et me donna de plus en plus envie de l'avaler tout rond. J'ôta se fâcheux tissu puis le pris dans ma main tout en le massant délicatement. Je le masturbais, sans le sucer, je léchais le bout de son gland rougit, en donnant de petits baisers et sans avertir je le pris entièrement en bouche. Je le suçais avec délectation, comme si s'était une sucette. Je faisais des va-et-vient jusque dans ma gorge, tout en passant ma langue autour de son gland. Je le sentais grossir dans ma bouche et senti son sperme couler dans ma gorge. J'avais pris soin de tout nettoyer, il ne resta plus une goutte.
- T'es trop douée, ma belle. Me dit-il essoufflé de plaisir, tout en se mordillant les lèvres.
- Merci, mais je manque de pratique. J'adore sucer et toi, mmm... j'aime le goût que tu as.
Je remonte vers lui pour l'embrasser, puis il me demande de m'allonger à mon tour. Il m'empoigne les seins et les malaxent sauvagement, mais j'adore ça. Il les bécotent et les mordillent, puis descend sur mon ventre en me léchant. Il m'écarte les jambes, puis vient trouver mon clitoris gorgé de plaisir. Il est très bon avec ça langue, elle est infatigable, j'ai l'impression que je vais exploser. Mon dos se cambre et mon bassin se lève automatiquement, à chaque coup de langue. J'ai l'impression de déchirer les draps, tellement que c'est bon. Encore un peu et aaaah oui je joui encore une fois.
- Putain t'es trop bon Sam! Aaaah seigneur. Lui dis-je en me massant les seins encore pointant d'excitation.
- Merci, moi aussi je manque de pratique, Judith déteste ça et moi j'adore bouffer de la chatte, surtout la tienne, t'es trop bonne. J'ai envie de toi, j'ai envie de te prendre et de venir en toi!
À ses mots je m'écartilla les jambes et lui offrait une vue complète de mon anatomie féminine. < Prend-moi alors! > Il se positionna par-dessus moi. Il était déjà en pleine érection. Il frotta son gland sur mon clitoris et poussa doucement vers l'entré de ma grotte. Je sentais chaque centimètres me pénétrer, il me remplissait bien. Une fois entré complètement, il se mis a m'embrasser amoureusement. Il commença ses mouvements de va-et-vient, chaque fois qu'il me pénétrait, je ne pouvais mempêcher de gémir. Je suivais la cadence avec mon bassin, mes mains parcouraient son dos et ses fesses et je l'entendait grogner de plaisir. Les mouvements s'intensifiaient de plus en plus, jusqu'à se qu'on jouissent ensemble, en s'embrassant passionnément. C'était merveilleux.
- Je n'ai jamais pris mon pied de cette façon, t'es trop bon. Judith est chanceuse de t'avoir pour elle. Dommage pour moi!
- Pourquoi dis-tu cela? Je ne peux plus me passer de toi, à présent. J'ai besoin de toi, de nous. Me dit-il en me fixant dans les yeux.
- Que proposes-tu alors? J'aime encore Max et je suis persuadée que tu aimes toujours Judith!
- Eh bien, nous pourrions continuer de se voir quand nous le désirons.
Depuis se temps nous faisons régulièrement l'amour et nous vivons dans le secret, l'interdit est bien plus excitant.
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