Série « Les Voisins » Épisode 7 : Élodie Est Une Salope Mais Ne Le Sais Pas Encore.
Mercredi 24 mars 10 heures
Je mappelle Élodie D, jhabitais depuis toujours dans une petite bourgade de 6500 habitants, se situant à une quinzaine de kilomètres, au nord de la préfecture de département, sur les bords dune grande rivière. Mes parents possédant une petite entreprise dans le bâtiment qui nous faisait vivre confortablement, ne faisaient pas parties des notables de cette ville, néanmoins ils étaient respectés et appréciés par les habitants et commerçants de la commune. Je suis venue au monde en 1985 après ma sur Magali de trois ans mon ainée.
Dans cette petite ville dortoir calme et paisible, trois garçons du même âge, nés en 1981, se connaissant depuis lécole maternelle, étaient devenus inséparables. Ils résidaient dans le même quartier que nous, en bas du village, David T, Guillaume M et Nicolas G avaient fait les quatre cent coups ensemble, ils étaient allés en primaire puis au collège, avant daller au lycée et prendre des voix différentes. Cela ne les avait nullement empêchés de poursuivre leur amitié. Dès leur adolescents, leur petite bande sagrandit avec larrivée de Jérôme B et des trois voisines et néanmoins amies, nées en 1982 : ma sur Magali, Sabrina et Audrey.
Depuis ma plus tendre enfance, javais toujours aimé mon voisin Guillaume M puis à mon adolescence, jen étais follement amoureuse, mais cétait le petit copain de sa sur. Malheureusement pour moi, celui-ci ne me regardait pas comme la jeune fille que jétais devenue mais me considérait toujours et encore comme une . En 2001, alors que je venais de fêter mes seize ans, jétais jalouse de Magali qui mempêchait de faire partie de la bande à Guillaume. Bien entendu, à cet âge, je ne restais pas inactive, javais de nombreux petits copains avec lesquels je flirtais aisément mais ce qui mimportait était de coucher avec un garçon et celui que javais choisi pour perdre ma virginité était mon voisin chéri.
Désirant me rapprocher de lui, je devais utiliser un autre moyen.
Le lundi matin nous prenions tous le train afin de nous rendre au lycée, javais décidé dagir. Cétait, très courant les matins et les soirs de voir les jeunes flirter sur les banquettes de la Micheline. Je métais précitée afin de me mettre assise à côté de lui : « Je peux massoir ici David ? » Avec un grand sourire, il me regarda et tapa de sa main sur le coussin voisin en disant : « Je tattendais. » Il mavait déjà vu flirter dans le train avec lun ou lautre des garçons de mon âge, il se disait de moi dans la commune que je nétais pas farouche. David avec ses quatre ans de plus était sûr de lui, je lavais laissé passer son bras autour de mes épaules, je navais pas hésité un instant à lui tendre mes lèvres pour quil membrasse et me pelote pendant la vingtaine de minutes de trajet.
Désirant aller beaucoup plus loin, David ne pensait pas que jétais encore vierge, dailleurs tous les membres de la bande le croyaient aussi. Il mavait invitée à la fête quil organisait au bord de la rivière avec tous ses copains et copines, pour son vingtième anniversaire. Ce jour-là, je navais pas lintention de perdre mon pucelage que je réservais à mon Guillaume. Néanmoins pour ne pas décevoir mon nouveau copain qui me permettait dincorporer leur bande, lors dune balade au bord de leau, nous nous étions allongés sur une plage à labri des regards et je métais laissée peloter et doigter en prenant du plaisir.
Après avoir joui, javais bien lintention de rendre la pareille à mon nouvel amant en lui faisant une magnifique fellation (daprès ses dires). Il avait éjaculé sur mon cou et ma poitrine. Un peu plus tard, il bandait encore sous mon petit massage lorsque japerçus au loin ma sur. Je me retournai contre lui et avais son pénis entre mes cuisses pour le plus grand bonheur de David qui fut à deux doigt de me pénétrer. Malheureusement, Magali ne me voyant pas revenir, était intervenue à temps nous empêchant de passer à lacte. (Enfin cétait ce quils croyaient tous les deux.)
Jétais enfin parvenue à mes fins, je faisais dorénavant partie du cercle damis et mes parents me laissaient sortir, sous la surveillance de sa grande sur Magali. En effet, des quatre filles, jétais la seule qui nhésitait pas à se faire bronzer seins nus, lorsque nous nous retrouvions au bord de leau. ment avec ma jolie poitrine et mes belles jambes, je montrais à mes copains et surtout à Guillaume que je nétais plus une . David était tombé sous mon charme, il avait eu le coup de foudre, après quil me fasse jouir avec ses doigts et sa langue, je lui offrais ma bouche, je le faisais éjaculer en le branlant entre mes seins ou entre mes cuisses sans quil ait loccasion de pénétrer ma petite chatte, à son grand regret.
Javais eu de la suite dans les idées, cependant à force de jouer avec le feu, je métais fait surprendre et il fallait sy attendre. David à 20 ans navait quune idée en tête, celle de me posséder. Ce fut au bal du 14 juillet que je métais rendu compte que je nétais plus vierge, mon hymen, je lavais sans doute perdu lors de mes nombreuses masturbations lorsque jutilisais le manche arrondi de ma brosse à cheveux car ce soir-là, David qui campait avec ses potes au bord de leau, mavait attirée dans sa tante. Je pensais une nouvelle fois y échapper, mais après lavoir sucé, je lui offrais ma poitrine mais il mécarta les cuisses avec force et détermination et me baisa sans que je puisse crier car ma sur était à côté et mon père ne voulait pas que je vienne ici avec eux la nuit.
Quand je ressentis sa queue bien dure, me remplir la chatte trempée de ma jouissance précédente, je navais ressenti que du bonheur. Javais joui aussitôt et après ses longs va et viens dans mon ventre, mon désir refaisait surface, je pris un autre orgasme lorsquil se retira pour envoyer ses longs jets de sperme sur mon pubis. Il mavait ramenée chez moi et lorsque nous nous embrassions en nous caressant, notre excitation était belle et bien revenu au galop. Nous nous avions une nouvelle fois fait lamour dans sa voiture avant que je me mette au lit.
Notre relation navait pas duré longtemps, trois jours plus tard, je nétais pas parvenue à convaincre mes parents de rester avec ma sur qui ne fit rien afin de mempêcher de partir en vacances avec eux. Cependant, je ne lavais pas regretté, javais rencontré là-bas un groupe de jeune de vingt-deux ans avec qui jai pris beaucoup de plaisir. Quand jétais revenue, après le 15 août. Étant toujours amoureuse de Guillaume, je voulais le prendre à ma sur, David fut très déçu lorsque javais rompu. À cette époque, Jérôme B vivait une véritable histoire damour avec Audrey L, pendant que Nicolas G et Sabrina L ne se quittait plus, tandis que Guillaume M et Magali D se fréquentaient sans vraiment saimer.
Ce samedi 18 août 2001, ce que jattendais avec impatience arriva cet après-midi-là. David faisait la tête et nétait pas venu, ma grande sur était à sa leçon de conduite, pendant que les deux couples damoureux, étaient partis main dans la main, faire une petite balade le long de la rivière. Jétais sur ma serviette seins nus avec mon petit bas échancré. Guillaume en short et torse nu, se retrouvant seul, me demanda sil pouvait sinstaller à mes côtés. Je voyais quil admirait mes formes avec envie. Jen profitai pour engager la conversation :
Tu sais Guillaume, je nai jamais osé te le dire mais tu me plais beaucoup. Je suis amoureuse de toi.
Toi, tu as bien changé, tu es canon maintenant.
Fais ce que tu veux, je ne suis plus une pucelle. Lui dis-je pour me vanter.
Je métais retournée et je vins mallongeai sur lui, nous nous étions embrassés un long moment. Ainsi sur lui, je ressentais sur mon pubis quil bandait déjà et sa verge ne me semblait pas petite, ma sur ne devait pas sennuyer « la salope » pensais-je. Immédiatement après, javais pris les devants, je navais pas attendu quil me fasse un cunnilingus, je lui retirai son short laissant apparaitre cette belle queue épaisse et bien raide puis lavalai comme une vraie gourmande. Je ne pouvais pas lui offrir ma virginité, mais je décidai de lui offrir ma première éjaculation buccale.
Après ma savante fellation, lorsquil voulut ressortir son engin, je lavais agrippé par les fesses afin quil éjacule dans ma bouche. Javais tout avalé et javoue que cela mavait bien plus :
Tes une sacrée salope en fait ! Cest la première fois quune gonzesse qui me fait ça. Me dit-il tout étonné.
Alors tu as aimé ! Cest vrai ? Lui répondis-je toute heureuse de lui avoir fait plaisir.
Ouais ! Magali naime pas faire des pipes, elle me fait mal avec ses dents et les autres ne veulent pas quune seule goutte de sperme vienne dans leur bouche.
Afin de reprendre le dessus et montrer sa domination, il me mit une claque ses les fesses et me demanda de me mettre à quatre pattes. À genoux derrière moi, une main sur ma poitrine, il mit sa tête entre mes cuisses et commença à me lécher et sucer le minou, sa langue était épaisse et longue, je mouillais fortement, plus il jouait avec mon clitoris et mon téton, plus je devenais folle, je sentais mon désir venir. Très vite jatteins un orgasme incroyable, ça coulait de partout. Là encore il navait jamais vu une fille jouir de la sorte, son majeur toujours planté dans ma vulve, en faisant des aller retours à toute vitesse, il me regardait me trémousser, ma jouissance sortait de mon vagin par grand jets :
Putain ! Tes incroyable ! Tu nes vraiment pas comme ta sur.
Cest la première fois que je mouille autant, cest grâce à toi.
En prenant un peu de mouille sur ses doigts et passant le bout dun de ceux-ci sur ma rondelle étoilée :
Par là aussi, tu las déjà fait ? Me demanda-t-il, en enfonçant une phalange dans mon anus. Je navais pas pensé, que cela en arriverait là, je navais pas très envie dessayer mais je voulais le conquérir et si je devais en passer par là, je lui donnerais ce privilège :
Non ! Mais je veux bien toffrir le droit dêtre le premier.
Quelle salope tu fais ! Tu me fais bander regarde ma bite elle est déjà au garde à vous.
Cette après-midi-là, je fus sauvée par le gong, ne désirant pas trop safficher avec moi devant ses amis, lorsque nous les avons vu arrivés au loin revenir de balade (Enfin cétait ce quils disaient), nous nous sommes sagement remis à lire pour Guillaume et à bronzer pour moi. Cependant, ce ne fut que partie remise, le soir même il mavait demandé de venir dans sa chambre cette nuit à partir de 23 heures. Son petit appartement, était au rez-de-chaussée, à larrière de la maison de sa mère. La fenêtre de ma chambre donnait sur la petite cour séparant les deux habitations, je navais jute quà passer par là pour ne pas me faire voir par mes parents.
Javais appréhendé toute la soirée, javais déjà lu un article sur la sodomie et javais compris limportance de la préparation. Après le diner, jétais passé à la salle de bain et avec le jet puissant de la pomme de douche, je métais nettoyée au mieux le rectum. Seule dans ma chambre, je fis le nécessaire pour me dilater au mieux lanus, heureusement javais pris dans le tiroir du chevet de ma mère le lubrifiant quelle utilisait. Lorsque jétais arrivé chez lui, Guillaume mattendait, jétais quen chemise de nuit. Il me prit dans ses bras et sans membrasser, il caressa ma poitrine avant de mattirer dans sa chambre, il navait jamais sodomisé une fille et avait hâte de connaitre cette fierté pour un garçon. Rien que dy penser, il bandait déjà comme un taureau.
Il me retira ma chemise de nuit et ma petite culotte et plongea sa tête entre mes jambes, de mon clito à ma rondelle. Il aspirait délicieusement mon bouton damour, suçait ma fente humide, jouait avec la peau tendre de mon anus quil força avec sa langue bien raide et pénétra légèrement le conduit. Il me fit mettre à genoux, fesses offertes, mécarta les cuisses, me lécha encore une fois la rondelle, avant de menduire de lubrifiant, ses doigts assouplirent le conduit, le liquide aida la pénétration de deux doigts, mon anus était bien dilaté, je mouillais comme une folle rien quà lidée de moffrir ainsi à lui.
Javais accepté quil ne mette pas de capote, je désirais vraiment, ne rien lui refuser. Lorsque quil posa son gland lubrifié sur ma rondelle, avant de lenfoncer, il vérifia si javais bien lintention quil continue. Me voyant écarter mes fesses de mes deux mains, il poussa sa verge à lintérieur, son gland nétait pas encore entré entièrement, je ressentais de la douleur, je serrais les dents ne voulant pas lui montrer que javais mal. Heureusement, il y était allé doucement par étapes, il entra son gland puis la hampe épaisse, il me sodomisait.
Lorsque javais senti son bas ventre contre mes fesses et ses couilles cogner sur mes cuisses, la douleur sétait déjà atténuée, je sentais en moi son chibre qui me ramonait, il menculait comme il me disait. Cétait pour moi un peu salissant mais très excitant, davoir sa bite au fond de mes entrailles. Je navais plus du tout mal, cependant je n'éprouvais pas non plus de jouissance comme lorsquun sexe me remplissait le vagin. Cétait une étrange sensation qui me faisait mouiller, cétait sans doute la situation qui mexcitait beaucoup. Guillaume, certainement très excité également, ne tarda pas, après quelques va et vient, il éjacula puissamment. Je sentis ces jets à lintérieur de mon rectum, les secousses de son bassin et la vibration de son sexe ancré dans mon cul, faillirent me faire jouir.
Enfin il pensa à moi, sapercevant que je navais pas encore joui, toujours profondément fiché dans mon ventre, il me caressa la vulve puis introduit ses doigts dans ma chatte. Je lavais sentis venir de très loin cet orgasme, je me cambrai en bandant tous mes muscles et lâcha prise. « Oh oui ! Vas-y, reste en moi ». Ma jouissance fut intense, par jets puissants, je nen finissais pas de me tordre de spasmes pendant que Guillaume avait repris ses vas et vient avec sa queue et ses doigts. Javais trempé son lit, il se retira, je métais relevée ruisselante, ma jouissance et son sperme coulait le long de mes cuisses. Je désirais à présent quil me prenne la chatte :
Quelle salope tu es toi ! Je dois rejoindre ta sur, tu ne vas pas me vider les couilles.
Je taime Guillaume, reste avec moi.
Je plains ton futur mari, cest un cocu assuré. Allez barre-toi, je dois me sauver.
Jétais partie de chez lui en pleurant et javais continué une bonne partie de la nuit. Pourtant, tellement amoureuse de lui, cela ne mempêchait pas de venir dans sa chambre à chaque fois quil me le demandait. Je lui servais de vide couilles et jen étais presque contente, je pensais que cela voulait dire quil tenait à moi. Jétais prête à tout pour lui faire plaisir, je fus même assez conne pour le laisser me baiser sans préservatif. Un soir jétais venue le retrouver chez lui et je fus très surprise de voir quil avait invité ses trois potes. Il mavait à le sucer devant les autres et lorsque javais tout avalé, il leur dit : « Alors suis-je un menteur ? Cette salope va vous pomper maintenant. Vas-y Élodie montre leur tes talents. »
Non seulement, je les avais sucés à fond tous les trois, mais après que Guillaume mait sodomisée sous leurs yeux, ils mavaient tous baisée tour à tour. Après quelques mois début 2002, alors que je navais pas encore dix-sept ans, jétais tombée enceinte. Je voulais absolument garder mon afin de pouvoir me marier à Guillaume. Néanmoins ce nétait pas son avis, ni celui de ses parents, ni celui des miens. Je fus contrainte davorter et de rompre avec mon voisin qui me quitta sur le champ.
Je continuerai Samedi à vous raconter la suite dans un prochain récit dans la série ladultère du même auteur.
Chères lectrices et chers lecteurs, merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si comme Élodie, vous avez envie de raconter vos histoires damour ou de sexe, contactez-moi par Email, avec votre collaboration, jécrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
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