Une Rencontre À La Piscine.

La température de l’air commence doucement à monter et les mœurs de certains changent du tout au tout. Alors que l’été pointe le bout de son nez, je crève lentement sous le poids de cette chaleur tandis que les gouttes de sueur s’écoulent sur la totalité de mon corps, je réfléchis. Que pourrais-je bien faire pour vaincre ce climat le temps de quelques minutes histoire de soulager ma peine ? Je pourrais bien faire un saut à la piscine du quartier mais elle doit être bondée à l’heure qu’il est. Levant le nez vers ma pendule murale, je constate qu’il est quatorze heures.
Allez, qui ne tente rien n’a rien. Ni une ni deux, je me lève de ma chaise pour traverser mon salon et j’att le premier sac à dos rangé dans mon armoire. La besace est rouge et bleue marine et je m’empresse d’y glisser un caleçon propre, une serviette dans le même état et une seconde, bien plus petite. Dès que mes affaires sont préparées, je me dois d’enfiler un maillot de bains et devant le choix proposé, j’hésite. Je n’ai pas très envie qu’on devine ce que j’ai dans le sous-vêtement car j’y vais vraiment pour me décontracter et non pour chasser le moindre petit minet qui aura le malheur de croiser mon chemin.
Je vais prendre celui qui est en noir, je pense que cela le fera très bien pour aujourd’hui. Maintenant que le choix est fait, je ferme la porte de mon armoire, retire mon pantalon et troque mon caleçon par mon maillot de bain. Une fois que je suis entièrement habillé, je glisse mon sac sur mon dos et me dirige tranquillement vers la porte d’entrée de mon appartement pour en sortir. Une fois dehors, je veille à bien fermer celle-ci à clef avant de prendre le chemin de la piscine du quartier. Le trajet dure un petit quart d’heure et cette petite marche engendre une nouvelle vague de sueur chez moi, c’est vraiment problématique à force.
Dès que j’arrive devant la piscine, j’entre dans cette dernière et m’arrête à l’accueil pour y régler l’accès aux vestiaires.

Là, derrière le comptoir, une petite dame grassouillette vêtue d’une robe fleurie encaisse la somme que je lui ai versé et me tend la clef d’un vestiaire. Tranquillement, j’abandonne cette employée pour me glisser dans le couloir de droite et avance d’un pas sûr entre deux rangés de casier totalement immaculé. Leur couleur s’accorde avec celle des murs et du sol de l’endroit et il faut croire que les piscines préfèrent les teintes innocentes plutôt que d’innover dans une autre qui sort vraiment du lot. Arrivé à l’intersection qu’offrent les cabines de gauche avec une énième série de casiers qui poursuit son chemin sur ma droite, je décide de prendre cette direction afin de me mettre en maillot de bains.
Lorsque je suis dans une tenue légère, je range mes affaires dans mon sac à dos et glisse le tout dans la boîte en ferraille qui m’a été attribué. Une fois que celle-ci est fermée, je quitte l’endroit où je m’étais isolé pour me changer pour confier la dame de l’accueil. Au retour, cette dernière m’adresse un merci et je vais pouvoir me glisser sous les douches afin de préparer mon corps à l’eau dans laquelle il s’apprête à entrer dans quelques minutes. Tandis que je me lave, je vois une silhouette se glisser à son tour parmi les casiers et je décide de traîner un peu plus sur les jeux afin de savoir à quoi ressemble celui qui est venu s’offrir du bon temps. Quelques minutes plus tard, le voilà à mes côtés et je dois avouer que le résultat était bien loin de ce à quoi je m’attendais.
Tout d’abord, c’est un garçon et je suis bien content de le constater. Ensuite, il fait à peu près la même taille que moi, a les cheveux noirs et courts tandis que sa peau est extrêmement blanche. Ses yeux sont marrons et je dois bien reconnaître qu’il me plaît beaucoup. Néanmoins, comme j’ai su le dire quelques lignes au-dessus, je ne suis pas là pour m’amuser avec le premier minet qui se présentera à mes yeux mais avec l’eau qui m’attend dans le bassin. Toutefois, comment trouver la force de résister quand un tel exemplaire masculin juge audacieux de venir vous narguer ainsi, par sa simple présence ?
Alors que mes yeux continuent de trainer sur son corps, le jeune homme le remarque et se met à rougir avant de me tourner le dos.
Donc, il ne déteste pas qu’un autre garçon le regarde, voilà un détail que je ne suis pas prêt d’oublier si je suis amené à le recroiser dans l’après-midi. Afin de n’éveiller aucun soupçon sur mes préférences sexuelles, je décide d’agir avec un minimum de normalité en appuyant sur le bouton de la douche sous laquelle je me trouve. Comme son écoulement était en train de perdre en intensité, je me devais de lui redonner un peu de force pour parfaire mon brin de toilette. Continuant à me passer les mains sur le torse et les bras, j’en profite pour mater le petit cul de mon camarade et constate que celui-ci est plutôt plaisant.
Soudain, le jeune homme regarde derrière lui et rougit une nouvelle fois lorsqu’il remarque que je continue de l’observer. Mieux encore, il pose ses mains sur ses fesses comme si leur propriétaire voulait les mettre clairement en évidence. ment, je poursuis ma séance de matage et je le reconnais désormais sans la moindre gêne : il se pourrait bien que mes projets initiaux changent très vite si celui qui se tient à quelques centimètres de moi continue d’agir de la façon dont il le fait. Je veux en avoir le cœur net et c’est pour cette raison que je décide de me montrer courtois.
- Bonjour, tu vas bien ?
- Oui et toi ? Me répond-il en se tournant vers moi.
- Ca va. Tu t’appelles comment ?
- Michaël, et toi ?

Décidément… J’ai l’art et la manière de tomber sur des mecs ayant le même prénom. Pour zapper les précédents, ce n’est pas facile.
- Jason.
- C’est mignon.

Alors que je souris suite à ce qu’il vient de me dire, je constate qu’une belle bosse déforme son maillot de bains et sincèrement, je me retiens d’y passer ma main à l’intérieur afin de lui caresser. Cependant, si mon interprétation est mauvaise, il pourrait très bien trouver des personnes compétentes pour que je quitte les lieux. Je dois me la jouer tout en douceur mais je me connais, le garçon amoureux des minets risque de prendre le dessus tôt ou tard.
D’ailleurs, voilà que cette facette de ma personnalité s’exprime alors que je sens mon sang me battre les tempes.
- Tu es très craquant tu sais.

Voilà. Adieu jolie piscine, je pense que ce rendez-vous sera le dernier et que les rares fois où je pourrais te dire bonjour c’est lorsque je passerais devant toi.
- Merci et tu l’es toi aussi. J’ai remarqué que tu regardais dans ma direction depuis tout à l’heure.

Je suis rassuré. Premièrement, je pourrais toujours revenir dans cette piscine lorsque j’en ressentirais le besoin et deuxièmement, le garçon semble ouvert à ce type de conversation. Pas de soucis, continuons pour savoir jusqu’où il veut aller. Motivé et empli d’espoir, je poursuis notre conversation commencée quelques secondes plus tôt.
- Oui et j’espère ne pas t’avoir mis mal à l’aise. Je me disais juste que si j’avais un mec avec le même postérieur que le tien, je deviendrais dingue. De plus, tu as vraiment une bonne bouille et je me demande si c’est un délice de t’embrasser.
- Tu veux essayer ? Me propose-t-il en me souriant timidement et en rougissant encore.
- Oui, si tu es open.

Là, Michaël garde ses distances mais lève la tête tout en fermant les yeux. Sur le coup, je me demande ce qu’il est en train de faire mais ensuite, je me dis que peut-être, c’est sa façon à lui de recevoir un baiser. Amusé par ce comportement, je m’approche doucement de lui et sans perdre de temps, je dépose un premier contact tendre sur ses lèvres après avoir regardé autour de nous pour être sûr que nous sommes seuls. Quand mon jeune ami ouvre les yeux, il me quitte pour retourner dans le secteur des cabines et glisse à l’intérieur de l’une d’elle. Malin, ce dernier veille à laisser la porte ouverte, espérant probablement jouer avec ma curiosité.
ment, je quitte à mon tour les douches pour m’approcher de l’endroit dans lequel il s’est isolé et hésite à entrer. Le jeune homme possède toujours son maillot de bains est autour de la taille et mes doutes sont dissipés une fois qu’il m’invite à venir le rejoindre.
Dès que j’ai franchis le seuil de la cabine, mon camarade glisse à mes côtés pour verrouiller la porte avant de m’attr par le cou pour déposer ses lèvres contre les miennes. Une certaine chaleur agréable se libère dans mon corps et aussitôt, je sens ma verge s’allonger à l’intérieur de mon sous-vêtement. Alors que sa langue s’ouvre un passage entre mes lèvres, le voilà qu’il m’att par les fesses, ce qui me fait sursauter par la même occasion.
Je ne m’attendais pas à ce qu’il adopte une telle initiative mais bon, venant de sa part, je trouve cela plutôt amusant. Voulant lui offrir une séance de détente complète, je juge nécessaire de lui démontrer toute ma tendresse en lui passant le bout de mes doigts contre sa peau. Je débute par ses bras et mes gestes lents et précis le font frissonner très rapidement. C’était le but souhaité et maintenant que je sais qu’il est réceptif à ce genre d’attention, je vais pouvoir poursuivre mes caresses sur d’autres endroits de son corps. Tendrement, je glisse mes mains jusqu’à son ventre que je frôle pendant plusieurs secondes avant de poursuivre la descente jusqu’à son maillot de bains.
Avec mes doigts, je le fais descendre le long de ses cuisses avant de le libérer pour qu’il puisse s’écraser sur le sol carrelé de la cabine. Curieux, je me retire de ses lèvres pour porter mon regard un peu plus bas et je constate que mon ami commence à durcir. Aussitôt, je m’empare de son sexe de ma main droite pour la masturber lentement et lui glisse un doigt entre ses fesses pour lui caresser l’entrée de son intimité. Bien sûr, je veille à continuer mes baisers langoureux avec mon partenaire et j’espère que mes intentions ne sont pas trop rapides car je ne tiens pas à l’effrayer. En guise de réponse, le minet plonge sa main à son tour dans mon maillot de bains pour me la caresser également.
Visiblement, je n’étais pas aussi pressé que je le pensais et c’est vraiment une bonne chose. Je sais que désormais, je vais pouvoir lui offrir un maximum de plaisirs tout en veillant à satisfaire le mien et généralement, celui-ci est vite rassasié lorsque je parviens à exprimer ma faim sexuelle avec un adulte plus jeune que moi. Alors qu’on se branle mutuellement, ma langue joue toujours avec la sienne tandis que je décide de pousser certaines de mes caresses un peu plus loin. Rapidement, j’enfonce mon index qui titillait l’entrée de son intimité et retire mon visage pour regarder mon amant droit dans les yeux. Celui-ci ferme les yeux et pousse un premier gémissement pas très fort, accentuant mon excitation par la même occasion.
Pendant ce temps, le minet entoure mon sexe avec ses deux mains et me masturbe ainsi. Mon gland s’en retrouve décalotté à de nombreuses reprises et cette caresse ne m’aide pas à me calmer. Dans un sens, ce n’est pas le but non plus. Très rapidement, je frisonne sous ses caresses et tandis que mon doigt le masse de l’intérieur, je l’embrasse une dernière fois avant de lui poser une question.
- Je peux te lécher ton joli postérieur ?
- Oui, me répond-il en souriant.

A ce moment, je me place derrière Michaël, dépose un baiser sur sa nuque avant de tracer un chemin sur son dos, à l’aide de ma langue. Dès que j’arrive à son fessier, je prends soin de caresser chacune de ses fesses avant d’approcher mon visage de ces dernières. De son côté, mon partenaire pose ses mains sur chaque partie de son postérieur afin de les écarter et maintenant que j’ai l’accès libre, je peux me faire plaisir. Très vite, je donne le premier coup de langue sur l’entrée de son intimité et déjà là, je savoure ce que je suis en train de lui faire. Comme pour me faire connaître le résultat de ces faveurs, le garçon tourne sa tête sur le côté droit pour me regarder et se mord les lèvres.
Il aime les prémices que je lui offre et j’ai hâte de savoir dans quel état il va se mettre quand je pousserais tout ces gestes à leur paroxysme. Gourmand, je glisse ma langue dans son petit trou et je veille à bien la remuer l’intérieur afin de lui caresser les parois internes. De plus, je m’empare une nouvelle fois de son sexe pour reprendre la masturbation là où je l’avais laissé et attend de savoir si mon ami apprécie ce que je lui fais. Lorsque je vois ses yeux monter avant de s’enfermer sous ses paupières alors qu’un joli sourire s’affiche sur ses lèvres, je sais que son corps est actuellement troublé par des vagues de plaisirs. Si je le pouvais, je ferais mon nécessaire pour le faire gémir à fond mais comme nous sommes dans un endroit public, la discrétion est malheureusement de mise.
C’est dommage car entendre mon partenaire dans ces moments-là est une mélodie qui sait plaire à mes oreilles et ment, cela joue sur mon bas-ventre. Néanmoins, le jeune homme respire plutôt bruyamment et cette forme d’expression saura me satisfaire le temps que durera ce moment. Voulant savourer son corps du mieux que je le pouvais le faire, je retire ma langue et lui pénètre une nouvelle fois l’anus avec mon index droit avant de lui masturber l’intérieur. Là, j’ai besoin de lui poser une question.
- Tu crois qu’une autre partie de mon corps peut s’y promener à l’intérieur au lieu de mes doigts et ma langue ?
- Il n’y a qu’une façon de le savoir, se contente-t-il de me dire.

Alors que Michaël maintient ses fesses écartées grâce à ses mains, je me lève pour vérifier ses propos. Dès que je me tiens debout, je lui fais comprendre de se pencher un peu en avant en exerçant une petite pression sur son dos, à l’aide de l’une de mes mains. Le garçon se montre docile et une fois qu’il est dans la position désirée, je frotte mon gland le long du chemin dessiné entre ses fesses avant de lui poser l’extrémité de ma verge à l’entrée de son fondement. Comme pour rendre sa position un peu plus confortable, mon ami pose ses coudes contre la paroi de la cabine et croise ses bras sous lesquels il positionne sa tête. Celui-ci semble attendre de connaître la suite du programme et c’est pour cette raison que je décide de ne pas m’attarder.
Là, j’entre mon gland doucement pour ne pas lui faire du mal et quand je me rends compte que mon partenaire sourit encore, je glisse les autres centimètres pour que mon sexe y soit entièrement. A ce moment, mon compagnon pousse un grand gémissement et pour la discrétion, ben on y repassera. Si celle qui se tient à l’accueil n’a rien entendu, je serais en mesure de me poser des questions sur l’efficacité de son ouïe car là, impossible de passer à côté. Toutefois, j’évite de trop m’attarder sur ces réflexions et je donne déjà les premiers coups de reins. Mon gland se plait dans ce couloir sombre mais doux et chaud dans lequel je l’ai plongé et je sais très bien que ce n’est pas encore maintenant qu’il va le quitter.
Alors que je me remue en lui, mon partenaire retire l’un de ses bras et le glisse sous ses jambes pour m’attr les couilles. Une fois dans sa paume, l’adorable s’amuse à me les caresser doucement pour que je puisse ressentir davantage de plaisir. Sous ces flatteries, j’aurais tendance à perdre un peu la tête et oublier où je me trouve. Des gémissements sortent de la bouche mais je parviens à me ressaisir lorsque ces expressions commencent à prendre de l’intensité.
- Cogne plus fort, entendis-je.

Je suis un peu surpris parce que je viens d’entendre mais le petit majeur semble bien plus gourmand et beaucoup moins sage que je le pensais. Faut que j’arrête de voir les minets comme d’adorables petits anges tombés du ciel et qui sont là juste pour qu’on puisse les pervertir de notre présence. Me montrant docile à mon tour, je décide d’y aller un peu plus franchement dans mes coups de reins et voilà que je le lime sans le moindre ménagement. Alors que je m’attendais à l’entendre gémir, Michaël se redresse subitement et me passe un bras derrière la tête pour l’attirer contre la sienne. Encore une fois, je me laisse faire et dès que ses lèvres sont à la hauteur des miennes, sa langue se faufile entre ces dernières pour se glisser dans ma bouche, pour jouer avec celle que je possède.
Il m’offre exactement la tendresse dont j’ai besoin dans ce genre de rapprochement et ment, je souhaite lui rendre à ma façon. Je ralentis un peu ma cadence et le branle d’une main tout en faisant rouler l’un de ses tétons sous les doigts de la seconde. Je sens son corps trembler sous le mien suite à ces actes mais ce n’est pas pour autant que je vais mettre un terme à ce que je suis en train de lui faire. Pourtant…
- Si tu continues comme ça, je ne vais pas tarder à cracher.
- Ha ouais ? Répondis-je en souriant.

Nos langues continuent de s’aimer et mes intentions sont toujours là, ne changent en rien dans leur cadence. Lorsque Michaël me dit qu’il va jouir, je continue de le branler et je parviens à voir ses jets jaillir de son urètre et achever leur course contre la paroi de la cabine qui nous fait face. Des gouttes s’écraser sur le sol mais comme tout est blanc, personne ne se doutera de ce qui s’est passé dans cet endroit isolé. Si cela se trouve, nous ne sommes pas les premiers à le faire et nous ne serons jamais les derniers. En revenant à la réalité, j’aide mon amant à évacuer les dernières gouttes de sa semence tandis que je sens mon éjaculation à mon tour.
Aussitôt, je retire ma verge de son cul et recule un peu afin de réaliser ma propre masturbation. A cet instant, le garçon qui s’est amusé avec moi fait demi-tour, s’agenouille et ouvre sa bouche sous mon gland, comme pour me faire comprendre qu’il souhaite se repaître de mon foutre. Si c’est ce qu’il veut, pourquoi ne lui ferais-je pas ce plaisir ? Je continue à me branler et dès que ses doigts me frôlent les mamelons à leur tour, je ne peux résister davantage.
- Je viens Mika.

Celui-ci glisse mon gland dans ma bouche et je sens avec délice sa langue rouler autour d’elle, tandis que mon sperme s’échoie. Pour conclure notre ébat, Michaël me fait une dernière fellation avant de la libérer, se lever et m’embrasser.
- Merci.
- De rien petit chat.

Ouais, mon côté affectif ressort bien que je ne me berce pas d’illusions. Je suis célibataire depuis plus de deux mois et j’ai été assez con pour tomber amoureux d’un vulgaire plan cul. Avec lui, je ne referais pas cette erreur. Toutefois, si on est amené à se croiser dans le quartier dans les jours à venir et qu’il me sollicite une seconde fois, je le conduirais jusqu’à mon appartement et je veillerais à le satisfaire bien mieux qu’ici. Lorsque nos maillots sont de retour autour de nos tailles, on est heureux de constater que personne ne se trouvait derrière la porte, à nous attendre pour de quelconques représailles.
Très vite, on se glisse dans le couloir des casiers lorsque le souci des clefs se manifeste. Gentil, Michaël se dévoue et reviens quelques secondes plus tard, me filant la mienne. On ouvre nos casiers, récupérons nos affaires afin de s’essuyer notre sueur et au bout d’une dizaine de minutes, on apparait à l’accueil ensemble.
Aucun regard de la part de l’hôtesse, tant mieux et c’est après un vulgaire salut adressé à l’extérieur que nous nous quittons.

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