La Visite De Mon Correspondant En Amérique
Salut,
Ça fait plusieurs mois que nous correspondons ensemble. Je suis en Amérique, toi en Europe. Je tenvoie quotidiennement une photo de moi, de mon string ou de ma petite chatte. Je te raconte mon aventure avec le stagiaire où je travail et je tenvoie même quelques photos. Tu as tellement aimé que tu étais venus en lisant mon récit. Par contre, je te sens jaloux du petit stagiaire qui, aujourdhui, me suivait dans le couloir au travail et jai levé ma jupe écossaise pour lui montrer mon string. Je mamuse avec lui, mais en soft. Jattends quil prenne linitiative de venir me voir et me supplier de le sucer et daller baiser dans sa voiture ou quelque chose comme ça.
Aujourdhui, jétais coiffé avec les cheveux détaché et qui vient recouvrir un il. Je portais une camisole à bretelle mince noire et une jupe écossaise carotte rouge. Jai un soutient gorge rouge push-up, un string noir. Je porte des bas noirs qui montent jusquau genou avec des bottes à talons aiguille noirs et des attaches argentées qui monte au niveau de la cheville.
Aujourdhui jai un client particulier est entrée dans mon bureau. Il semblait me connaître. Il semblait mavoir déjà parlé. Il a sorti une enveloppe brune avec des photos. Il me les a mises sous le pif et ma demandé si je les reconnaissais. Cétait les photos prises par le stagiaire lors de notre aventure. Je regarde le client dans les yeux et je dis surpries « Antoine! ». Tu as refermé la porte de mon bureau et tu as tourné la serrure. Je me suis levé, vraiment sur le choc. « Comment as-tu fait pour trouver où je travaille », « Comment à tu traversé lAtlantique » « Pourquoi » tu sors une autre enveloppe avec des photos. Ce sont dautres photos de cette même aventure mais que je ne tavais pas envoyé. Je suis interrogatrice. « Comment les as-tu obtenus? » Tu me dis que tu as fait des recherches sur internet et que tu les as trouvés. En plus, le stagiaire les a mis sur son compte personnel sans discrétion.
Je te regarde avec un petit sourire et un regard insistant. « Tu ne dois pas avoir traversé lAtlantique pour rien » tu ris. Je descends mon regard sur ton entre jambes et je vois toutes tes raisons et ambitions. Je me mords la lèvre. Je me mets en mode « JEU ». Je mapproche dune démarche féline. Je mapproche de toi. Je te pousse vers la porte fermée, une main sur ton torse. Je te regarde dans les yeux et dune voix insistante, même roque, je te dis :
« Avoue que tu veux que je sorte ta queue ( je pose ma main sur le bosse), de ton jeans et que ( je caresse ta bosse) je la caresse de mes mains. Après, tu voudrais que je magenoue devant toi pour que je te suce et te laisser venir sur mon visage. »
Je te caresse au travers de ton jeans dune main, lautre te plaque contre cette porte. Je continue :
« Ensuite (je prends une voix plus douce et innocente) tu voudrais que je te laisse me caresser le minou, tu voudrais que je te laisse mettre ton gros objet en moi. »
Ma voix plus ine tallume, ton sexe est dur. Je continue à la caresser.
« Tu voudrais que je te supplie de prendre mon cul. Ouch, ça fait mal. Tu veux que lorsque tu seras en moi «
Jarrête de parler, je penche la tête par en arrière. Je fais un petit cri de jouissance.
« je cris ton nom et que je jouit de ta queue»
Je redresse la tête, je fais bouger mes cheveux. Je tourne la tête et je me retourne dun coup sec en arrêtant de te toucher et je fais un pas par en avant pour méloigner de toi. En me tournant je dis dune voix autoritaire
« Ha, tu rêves en couleur, mieux de retourner doù tu viens »
Avant de ne plus être à porter, tu matts une main et me tires vers toi. Je fais un tour sur moi-même avant datterrir contre ton torse. Tu menserres la taille dun bras et de lautre main tu viens me serrer la gorge.
« Je vais commencer par te caresser avec tes vêtements. Je vais faire dresser ces mamelons pour quils soient visibles. Je vais ensuite retirer ta camisole vraiment trop arrogante et ton soutient gorge magique pour aller les croquer. Ensuite, je vais te faire asseoir sur ton rocking-chair. Je vais magenouiller devant toi, remonter ta jupe, retirer ton string et enfouir ma tête entre tes jambes. Je vais manger ta chatte et sucer ton clito. Je vais entrer plusieurs doigts en toi jusquà ce que tu viennes et que ta cyprine me gicle au visage. »
Ton discours a fait de leffet. Je cale mes fesses et je colle à toi. Tu sens que tu nas plus besoin de me retenir. Alors, tu retires ma main de ma gorge. Celle-là va me caresser le ventre. Tu caresses mes seins et tu sens mes mamelons se raidir. Tu en serres un dans tes doigts. Tu le serres suffisamment fort pour que je lâche un petite « ouch ». Ma respiration est plus rapide. Je sens des papillons dans mon bas ventre. Ta main saffaire à faire dresser mon deuxième mamelon. Tu le roules entre tes doigts. Encore, tu le serres jusquà ce que jai mal. Tes deux mains viennent se poser sur mes hanches, à la jonction entre ma camisole et ma jupe. Je frotte mes fesses contre toi. Tu me guides un peu comme si nous danserions dans une boîte de nuit. Je passe mes bras par-dessus ma tête et je viens entourer ta tête. Je tourne ma tête, tu approches la tienne. Tu viens membrasser. Tu entres ta langue dans ma bouche et viens rencontrer la mienne. Nous nous embrassons tranquillement. Mes fesses sentent la bosse contre elles. Tes mains sur mes hanches saisissent ma camisole et tire vers le haut. Je lève les bras, brise le baiser et elle se retrouve au sol. Je me retourne et entoure ton coup de mes bras. En face à face, je retourne tembrasser. Je colle mes seins sur ton torse.
Je me relève, tu essuies un peu ma joue. Tes bras menlacent les épaules pour aller dégrafer mon soutient gorge. Tu libères mes seins. Tu te jettes à les embrasser. Tu me mords un mamelon. Tu me pousses à reculer vers ma rocking-chair. Tu me pousses à masseoir. Je serre les jambes en massoyant. Tu te mets à genou. Tu tavances vers mon entre jambes, mais tu te frappes à mes jambes. Tu entres tes deux mains au centre et force pour les ouvrir. Le passage souvre, mais difficilement. Cest mon côté joueuse qui sort. Tarrives à mon string. Il est tout mouillé. Tu lembrasses et passes ton nez dedans. Ce mouvement me caresse la chatte, mais te donne une bonne bouffe de mon odeur. Tu déplaces ma culotte et tu suces mon clito. Je passe ma main dans tes cheveux ébouriffés. Tu descends vers mon ouverture. Tu la lèches et entres à lintérieur avec ta langue. Tu me fais du bien. Je te dis dy mettre un doigt. Tu texécutes. Tu lentres bien droit et le sors comme un crayon. Je te demande de le courber, tu trouveras le bon spot. Je commence alors à me doigter en me grattant lintérieur. Tu me suces toujours le clito. Je dis pour la première fois ton nom. Mes jambes entourent ton coup. Elles bougent de droite à gauche. Jai chaud. Tu me suces bien et tes doigts vont me faire jaillir. Je te dis daller plus vite. Tu accélères le doigta, tu en ajoutes un. Je dis encore ton nom. Je tencourage. Ma tête est penchée par en arrière. Jai les yeux fermés et les jambes qui serrent ta tête comme dans un étau. Tu sens mes muscles se contracter et les spasmes menvahir. Je viens, je crie longuement. Ma cyprine téclabousse le visage. Ta tête est coincée. Tu lèches ma chatte pour la nettoyer alors que mon heure de gloire diminue. Je suis essoufflé, mais encore allumé. Je te libère, me lève, retire mon string. Dun coup de bras, je libère le bureau. Tu es debout derrière moi. Je me retourne. Je te regarde dans les yeux. Tu avances vers moi. Je massois sur le bureau, les jambes ouvertes. Tu viens te placer et entre ta verge en moi. Je souris de cette satisfaction. Je tentoure de mes bras et je vais tembrasser. Le mouvement est lent, mais très fluide. Mon sexe est très bien lubrifié. Dans ce liquide, tu me baises pendant au moins 10 minutes lorsque je me retire et me relève. Je te demande de venir te coucher sur le bureau. Ta verge est bien luisante et bien droite et se dresse vers le ciel. Je me penche et la reprends en bouche. Je la suce quelques minutes et je grimpe sur le bureau et tenjambe. Je prends ton sexe en main et lenligne vers mon petit trou. Je me redresse et mempale sur toi. La douleur est présente et se fait voir sur mon visage, mais celle-ci mexcite davantage. Je descends tranquillement jusquà la base. Je mhabitue à toi et je remonte. Cette fois, je mempale dun coup sec. Je recommence, comme une guillotine qui tombe. Je relève doucement et je redescends dun coup. Je commence à mettre un peu de rythme. Tu poses tes mains sur mes seins. Je te chevauche cavalièrement. Je dis encore ton nom. « Antoine, viens dans mon cul. Je sais que tu le veux. Jaime tellement sentir ta grosse queue mécarter, ça me fait jouir ». Je continue à mempaler. Je crie. Le bruit de mes fesses contre toi mexcite au plus haut point. Tu es sur le point de venir. Je te garde en moi. Je veux ta décharge inonde mon cul. Je veux sentir ce liquide chaud redescendre en moi et sortir de mon cul. Tu viens en moi. Tu jouis bruyamment. Je taccompagne. « Ah oui, cest chaud, cest bon » je te garde en moi encore quelques minutes et je me retire. Je sens mon cul dilater se refermer tranquillement. Cest vraiment jouissif. Tu te relèves. Nous nous rhabillons et tu tapprêtes à ouvrir la porte lorsque je te dis dattendre. Je prends un post-it et un crayon par terre. Jécris mon numéro de téléphone. Je ramasse mon string par terre. Je te donne le post-it et glisse mon string dans ta poche arrière. Je tembrasse une dernière fois et tu pars.
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