La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode 306)

Suite de l'épisode 305 - La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans -

Walter prend la parole d’un timbre de voix très audible.

- Monsieur le Marquis d’Evans, Mesdames et Messieurs les Maîtresses et les Maîtres ici présents, si Vous voulez bien Vous approchez, car Votre hôte va pouvoir souffler les bougies de son anniversaire…. (puis se retournant, il ajoute) …. Monsieur le Marquis, si Vous voulez bien me permettre…

Tout en disant cela, le Majordome s’est permis de tendre la main vers le Châtelain pour Lui faire signe et Lui faire comprendre qu’IL doit avancer jusqu’à cette petite console qui est au centre de la table, recouverte d’un grand tissu de velours brodé aux Armoiries du Château, et qui plonge jusqu’au sol. Sur cette desserte, deux grands bouquets de fleurs lumineux et au centre un paquet recouvert d’un papier scintillant bleu avec un grand nœud doré, et une inscription dessinée à la main en relief sur lequel on peut lire distinctement « A mon Amour de Maître » signé « Marquise Aurore ». Mais pas la moindre bougie en vue ni allumée, ni éteinte. Le Châtelain, un peu intrigué par cette nouvelle mise en scène, regarde Walter qui s’affaire autour de tous ceux qui se sont regroupés autour du Marquis d’Evans pour assister à ce moment fatidique qui marque vraiment la fin d’une année et le début d’une nouvelle, avec à chaque fois une bougie de plus à souffler… Il fait en sorte de pouvoir élargir un peu le cercle afin que chacun puis se positionner en arc de cercle aux côtés du Marquis d’Evans, de manière à pouvoir tous voir la scène et surtout de laisser le champ libre derrière la console, que chacun observe sans vraiment savoir pourquoi. Le Châtelain très impatient de savoir ce qu’il en est, se tourne vers Sa belle Marquise Aurore :

- Ma belle, il me semble que j’aperçois sur cette table ce qui pourrait être le cadeau dont tu m’as parlé. Mais je ne vois aucune bougie à souffler, sont-elles donc cachées à l’intérieur de ce paquet cadeau ? Et est-ce à moi de l’ouvrir et de les allumer ?
- Patience, mon Amour de Maître, tout viendra en son temps, les bougies et le cadeau.



Avant même qu’il ait terminé sa phrase, deux esclaves nus au corps peint en argent, att la petite table la soulevant légèrement pour la reculer en ayant pris soin de relever au préalable les pans qui tombent sur les côtés et le devant et qui masquaient la surprise qui se trouvait juste sous la table. Apparaissent alors sur une petite estrade trois esclaves, à quatre pattes, croupe tournée vers le Châtelain et l’assistance, entièrement nus mais à la peau argentée à l’instar de tous les esclaves mâles participants à la soirée anniversaire, qui avaient été placés là avant l’arrivée du Marquis dans la pièce. La seule différence que ne manque pas de relever le Marquis en les voyant, c’est qu’ils ne sont plus plugués comme tous ceux qu’IL avait aperçus depuis le début de la soirée et que leur orifice déjà bien ouvert par le port du plug pendant de longues heures est un appel plus que tentant à une pénétration sodomite. Ils ont la croupe relevée très haute et leur front est posé directement sur le sol de l’estrade entre leurs mains posées à plat aussi. Mais le plus intéressant, c’est que leurs fesses ont été utilisées comme support pour les bougies qui sont posées sur des embouts qui ressemblent à ceux des aiguilles dont se servent les infirmières, mais volontairement très fines et plus courtes pour ne pas pénétrer profondément dans les chairs, mais juste assez longues pour pouvoir tenir sans se courber.

Des vraies fesses de hérisson, aux piques d’aiguilles et de bougies, avec pour certaines des formes de lettres et pour d’autres de simples petites bougies rondes torsadées à souffler comme pour un gâteau d’anniversaire des plus traditionnels. Sur la croupe du mâle de gauche, 18 aiguilles sur lesquelles on peut lire « Joyeux Anniversaire » et sur la croupe du mâle de droite, un peu plus d’aiguilles pour un texte plus long qui permet de lire « Monsieur le Marquis d’Evans ». Sur le mâle qui est au centre, se trouve la masse de petites bougies disposées en ronds concentriques, autant de bougies que d’années, pas besoin de les compter, il ne doit pas en manquer une.
L’honneur de pouvoir se voir ainsi percé et exposé est revenu à Philippe, celui qui seconde si bien dans ses affaires depuis des années, le Marquis d’Evans, qui a toute confiance en lui et qui est même gérant de certaines sociétés ou filiales appartenant au Châtelain lorsque ce dernier ne peut en assumer la charge en son nom personnel. Le Marquis d’Evans le reconnaît immédiatement à la tâche de naissance qu’il a au sommet de la cuisse droite et aussi à la marque de ses Armoiries et les Initiales qu’il portent fièrement sur la fesse gauche, marque qui a été faite au fer rouge en signe d’appartenance à vie, il y a déjà quelques années, mais dont il n’est pas le seul à avoir eu l’honneur de cette empreinte suprême, signe d’une soumission ayant atteint un degré maximum et qui doit amplement se mériter avant tout chose.

En se glissant à l’arrière du trio de hérissons, Walter s’approche, ainsi que les deux esclaves, tenant chacun à la main un allume-gaz pour pouvoir enflammer le plus vite possible l’ensemble des bougies. Ils font cependant attention, d’une part à les allumer toutes et d’autres part à ne pas brûler néanmoins avec la flamme le corps des trois soumis. Le Châtelain est ravi du spectacle qui est immortalisé comme ce fut le cas pour bon nombre d’autres moments du banquet par le photographe, cet ancien soumis, qui officie maintenant dans les soirées D/s plus privées ou dans les donjons ouverts à l’ensemble de la communauté BDSM, préférant de loin les soirées intimes car elles sont souvent plus affriolantes et donc plus intéressantes pour celui qui aime à capter l’instantané, dans un regard qui mêle parfois souffrance et jouissance, dans la vue d’un dominé prostré en adoration totale devant son Dominant. Ce photographe est respecté pour son professionnalisme et aussi pour sa délicatesse car les Maîtresses et les Maîtres ne sont jamais photographiés à leur insu ou contre leur gré, de façon visible ou identifiable, même pour des photos qui dans tous les cas restent à l’usage personnel et intime du Maître des lieux et de ses Invités s’ils sont concernés par les clichés.
Le Marquis a pris le temps de savourer le spectacle laissant les bougies commencer à couler sur la croupe des chiens-esclaves toujours d’une immobilité implacable. Mais s’agissant de petites bougies anniversaire, IL finit par se pencher pour s’approcher des multiples petites flammes qui marquent le nombre de Ses années et prenant une très grande respiration, IL souffle enfin de toute son âme tachant dans un même souffle d’éteindre toutes, absolument toutes les bougies. Presque fier de la puissance de sa cage thoracique, IL se redresse sous les applaudissements de tous les Invités, mais est surpris de voir que les bougies se sont toutes remises à brûler. Une voix féminine mais au ton lourd et grave car il s’agit d’une Domina sévère, s’élève dans la salle :

- Très cher Marquis, je crois bien qu’il va Vous falloir recommencer. Vous avez sûrement une Maîtrise parfaite sur les esclaves de Votre cheptel et en particulier ces trois ci qui nous offrent leur croupe et dont il me plairait bien de remplir le cul sans attendre, mais je pense que Vous n’avez pas encore su dresser ces bougies insolentes qui Vous narguent de leur flamme toujours allumée…

Il n’en faut pas plus à toute la salle pour y aller de plus fort …

« Soufflez Vos bougies, Monsieur le Marquis » ou « Je pense que Vous serez bien Maîtriser ces quelques flammes car Vos esclaves ont visiblement le feu au cul » et « un peu plus de souffle, Monsieur le Marquis, que diable, ces postérieurs sont trop tentants, nos queues sauront bien les enflammer autrement, à moins qu’il ne faille éteindre ces feux de nos foutres mêlés »…

On sent que la soirée a pris une tournure plus sulfureuse, car les mots sont crus sans plus aucune retenue, et l’aisance verbale va de pair avec une aisance physique visible. Les vestes des complets et autres smokings sont souvent restées sur les chaises de la salle à manger (rangés aussi sec par quelques esclaves sous les ordres du Majordome dans le vestiaire de l’entrée pour qu’ils ne soient pas abimés ou froissés).
Les nœuds des cravates se sont défaits, pour laisser les chemises s’entrouvrir. Les Dominas ont commencé elles aussi à se dévêtir pour adopter des tenues plus sensuelles, adaptées à la nuit qui s’avance, laissant apparaître tout ou partie de leur corps de femme, recouvert parfois de cuir ou de latex. Les désirs lubriques des uns et des autres font monter dans la salle le ton des commentaires.

Par deux nouvelles fois, le Châtelain s’est baissé pour souffler toutes ses bougies, et par deux fois à nouveau comme par magie, elles se sont rallumées aussi sec, sous les applaudissements d’encouragement du public se demandant bien s’il y aura moyen d’arriver à bout de ces bougies bien peu soumises au souffle du Marquis, qui a quand même réussi à éteindre les autres bougies lettres qui avaient presque fini par se consumer et dont la cire avait goutté sur les fesses des deux mâles concernés. Trois fois ! Trois tentatives infructueuses ! C’en est presque trop pour le Marquis d’Evans qui n’aime pas « l’indiscipline » de ces bougies d’anniversaire, même s’IL trouve la plaisanterie fort amusante, qui se dit qu’IL doit trouver le moyen d’avoir le dernier mot, s’IL ne veut pas perdre la face en Sa demeure… Alors, IL s’approche assez près de Philippe, toujours immobile, dont les fesses sont éteintes et rallumées sans qu’il ne comprenne vraiment ce qui se passe, à part d’entendre les multiples brouhahas et applaudissements de l’assistance. Le Noble, qui est autant son Patron que son Maître, lui murmure près de l’oreille d’un air coquin.

- Content de te voir ici ! Moi qui croyais que tu étais en train de travailler pour faire fructifier Mes affaires. Tu as le feu aux fesses, mon cher Philippe, mais tu ne perds rien pour attendre, cela va te rappeler quelques bons souvenirs de tes débuts de soumis sous Mon joug.

Le Marquis d’Evans se redresse, ouvre sa braguette, en sort sa Queue qu’IL att entre ses mains pour la diriger et l’incliner vers le bon endroit. Et de sa « lance à incendie » qui ne demandait rien de plus qu’à laisser la vessie se vider à travers, IL inonde les bougies sous un flot d’urine doré continu sans aucun égard pour le gâteau d’anniversaire, bien au contraire puisqu’il s’agit du fessier de son si fidèle esclave, Philippe, qu’IL est heureux de pouvoir en ce jour marquer de son odeur, comme un chien qui marque son territoire et sa propriété pleine et entière.

Il n’en faut pas plus pour que plusieurs Maîtres, mâles phalliques ayant des envies tout aussi pressantes après l’absorption de tant de champagne et de vin ne viennent à leur tour éteindre le feu récalcitrant sur les fesses de Philippe, noyant presque les bougies qui ont enfin cédées sous les nombreux jets qui aspergent la croupe dressée de l’esclave docile. Un grand applaudissement général de toute l’assemblée salue la maitrise de « l’incendie » récalcitrant menée de Queue de Maîtres. Une autre Domina prend la parole. :

- Messieurs les pompiers, nous ne pouvons que saluer Votre Maîtrise à tous, en présence ici même du Capitaine des pompiers qui aurait fort bien pu diriger les opérations commencées par Notre cher Hôte que je salue respectueusement. Mais Vous n’avez pas pensé que Nous ne pouvions se joindre à Vous dans cette lutte acharnée, malgré nos réservoirs qui ne demandent qu’à se vider eux aussi. Qu’à cela ne tienne, Nous saurons bien régaler à notre tour quelques gosiers. J’ai pour ma part aussi une envie pressante qu’il me tarde de soulager ne pouvant la différer d’un seul instant.

La Maîtresse relève les pans de sa jupe, sur ses parties intimes qu’elle dévoile à toute l’assemblée, ne portant aucun sous-vêtement et laissant visibles une petite toison brune finement taillée en pointe au niveau du pubis. Elle tire sur la laisse de sa propre soumise qui l’a accompagnée à la soirée ainsi que sur celle numérotée que le sort lui a attribué, les forçant à se coucher à terre, lorsque de son pied muni d’escarpins à talons pointus, elle appuie sur la poitrine de chacune des deux chiennes femelles, presque apeurées, mais également toutes excitées de se savoir maintenant au centre de la pièce, dont elles sont devenues le nouveau spectacle. Asservies et dociles, les deux chiennes attendent que la Maitresse enjambe leurs deux corps allongés par terre, tenant fermement les deux laisses d’une main, et se servant de l’autre pour tenir ses grandes lèvres intimes afin de diriger le jet de sa fontaine dorée sur les visages des deux femelles à terre entre ses pieds, qui ne bronchent pas et qui ont ouvert la bouche, sans même qu’on leur demande, toutes les deux habituées à servir de réceptacle au liquide à gout de champagne qui coule souvent en fin de soirée chez le Marquis d’Evans. C’est donc l’occasion d’une nouvelle salve d’applaudissements de la part des invités…

Le Marquis d’Evans a fait signe à Walter pendant ce temps là, pour lui demander de faire tout nettoyer sans tarder car le sol est trempé de tant d’urine. Mais aussi et surtout pour lui demander de s’occuper des trois chiens-esclaves hérissons, afin qu’ils soient conduit à l’infirmerie, pour que les aiguilles soient retirées avec précaution et que leurs corps soit lavés, voire aseptisés et soignés en cas de saignements au moment où les bougies seront ôtées, insistant sur le fait qu’il faut penser à laver les corps souillés pour éviter tout risque d’infection s’il y a des plaies et bien retirer toutes les traces de bougies fondues. IL lui demande aussi de replacer trois nouveaux esclaves « neufs » sur l’estrade dès qu’elle aura été nettoyée, à la place précise des précédents, dans la même position et le même état, à l’exception des bougies bien sûr, se souciant peu que tout le monde sache fort bien que les nouvelles croupes levées et les anus ouverts qui seront offerts aux queues ou godes ne sont pas les mêmes, car les esclaves ne sont pour cette partie là de la nuit que des objets de plaisirs anonymes interchangeables, des trous à remplir, des corps à marquer et à faire vibrer, pour les plaisirs de tous ces Dominants réunis en ce sublime lieu de Domination et de Perversité, mais aussi pour les plaisirs indirects des dominés qui se sont mis sous leur joug respectif, prêts à assouvir les désirs les plus pervers de leur Maître ou Maîtresse.

- Chers amis, si vous le voulez bien, pendant que mon Majordome et mes soumises vont s’occuper de remettre un peu de propreté après notre rude combat contre le feu de mes bougies d’anniversaire, Je vais en profiter pour ouvrir le cadeau qui m’attend ici, celui de Ma belle et tendre Marquise Aurore. Et pour rappel, n’hésitez pas à utiliser tout ce qui se trouve dans cette salle, à user et à r de tous mes esclaves, mâles et femelles, si Vous le souhaitez, car ils sont tous à Votre entière disposition pour toute la nuit. Je suis sûr qu’ils ne demanderont pas mieux que de Vous satisfaire en tous points et j’aimerai bien entendre quelques coups de cravache et de fouet, accompagnés par des gémissements jouissifs de toutes sortes pour le restant de la soirée qui va vite devenir orgiaque.

Le Marquis Edouard d’Evans s’est retourné vers sa belle Aurore et lui demande d’un œil pétillant de désir et de curiosité.

- Alors Ma toute belle, ce paquet est donc bien le cadeau que tu m’as préparé. Approchons-nous pour aller voir ce qu’il contient, car il me tarde de savoir ce que tu m’as choisi et comment tu as eu envie de faire plaisir à ton Maître, en ce jour anniversaire. Je te trouve ravissante ce soir, je pense que ton cadeau le sera aussi, car cela se lit dans tes yeux qui sont emplis de bonheur et de dévotion...

(A suivre …)

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!