Offerte À Un Vieux - Les Aventures De Fabienne Récit 03
OFFERTE À UN VIEUX - Les Aventures de Fabienne récit 03
Pour mémoire, ces aventures érotiques, concept et photographies, me sont confiés par Steph (stefalpin chez HDS), le mari de Fabienne qui me révèle l'histoire sulfureuse de son épouse ; il me communique également les photographies très explicites de celle-ci. Je ne fais que rédiger au mieux ses confidences.
« Il n'y a d'outrageant pour une femme qu'une chose... n'être pas désirée ! ». Sacha Guitry
Fabienne a dû céder à un surveillant de l'école de ses s qui en a surpris un, volant de l'argent dans le sac de son institutrice. À son corps défendant, elle a dû effec la première fellation de sa vie, et subir un coït sauvage, qui, à sa plus grande honte, lui a fait éprouver une grande jouissance. Un jeune beur qui a pris des photographies vient de la prendre et de la faire jouir, à sa plus grande honte, après un odieux chantage.
Fabienne se mortifie davoir autant joui après sêtre donnée à Hassan suite au chantage quil exerce sur elle. Il la prise et reprise de nombreuses fois pendant tout laprès-midi, la faisant hurler de plaisir, tout en langoissant de peur que les voisins entendent.
Après son départ, bien quayant joui comme une damnée, elle sécroule en pleurs sur le lit conjugal quelle a souillé malgré elle. La honte quelle éprouve à sêtre montrée nue à ce jeune homme qui a déversé son sperme au fond de sa gorge, qui a vu, en gros plan ses parties intimes lorsquil lui mangeait littéralement les lèvres de son vagin et son clitoris font monter le rouge à toute sa figure. Elle pleure sur la jouissance ressentie au sexe imposant qui a labouré ses chairs, alors quelle projetait son ventre vers le pubis de celui qui la besognait sans interruption, elle pleure, parce quelle a entouré le torse dHassan de ses jambes nouées pour le sentir encore plus profond en elle. Son mari ne la jamais contenté de la sorte ; il est vrai quelle est réticente à lui faire des fellations et quelle na jamais accepté quil contemple ses parties intimes, car elle exige de faire lamour dans le noir le plus complet.
À cette évocation, Fabienne, qui a une montée de désir dans tout son être, se révolte et se réfugie dans son missel, priant Dieu de lui ôter ses vilaines pensées. Elle envisage un moment de se confier à son frère aîné, Jérôme, qui est toujours fourré à lélise et enseigne le catéchisme aux petits de la paroisse, mais elle a peur de sa réaction et de son opprobre. Aussi, elle décide de se rendre à léglise de son quartier, où elle suit assidûment les offices du dimanche. Elle se rend au presbytère et demande à voir labbé Denis, le jeune curé de léglise paroissiale. Celui-ci est un grand et beau trentenaire, dorigine martiniquaise qui reçoit Fabienne avec un grand sourire. Elle se sent tout intimidée lorsquelle lui demande sil peut la confesser.
Labbé Denis accepte immédiatement, puis, la précédant, il lentraîne vers le confessionnal qui se trouve derrière une arche de léglise, dans un recoin sombre. Elle se confie alors, expliquant le larcin de son et le chantage qui en a suivi. Labbé lui demande des détails sur ce qui sest passé réellement, insistant sur ce quelle a ressentit. Avec beaucoup de mal, elle décrit ce quelle a été obligée de faire au surveillant de lécole et la volupté qui, sans quelle le veuille le moins du monde, a envahit tout son être. Mais, le curé veut en savoir plus. Alors, elle décrit le chantage éhonté auquel sest livré Hassan, que, dailleurs labbé Denis connaît bien, car cest une famille catholique, assez rare dans cette communauté. La pauvre femme est troublée par les questions indiscrètes, même parfois insidieuses du jeune curé. Elle ne peut que dire la vérité à ce serviteur de Dieu. Elle est ainsi obligée davouer quelle sest délecté des baisers échangés avec le jeune beur, quelle a ressenti avec bonheur ses seins embrassés et les tétons de ceux-ci sucés par la bouche dHassan.
Lorsque Fabienne sort du confessionnal, avec les pénitences quelle doit effec, elle est décontenancée et alarmée par les questions dérangeantes que labbé lui a posées. Elle se dit quelle va avouer sa faute à son mari. Que celui-ci comprendra quelle a accepté de coucher avec ces hommes pour sauver lhonneur de la famille. Alors quelle prend un raccourci par une ruelle sombre, derrière une usine désaffectée, elle se trouve nez à nez avec Hassan. Celui-ci ne lui laisse pas le temps de se reprendre. Lagrippant par le col de sa veste, il la fait sagenouiller, puis, dégrafant vite fait son jean, il en sort son pénis et le fourre, tout de go, dans la bouche de Fabienne qui, le mandrin au fond de sa gorge, na pas le loisir de protester. Hassan se sert de son sexe, enfoui dans le gosier de sa proie, comme sil la baisait dans sa chatte ou son cul, entrant et sortant dans un va-et-vient rapide et brutal. Des larmes jaillissent des jolis yeux bleus de Fabienne, qui a des hauts le cur en ingurgitant lépaisse pine qui déverse bientôt son foutre abondant, qui déborde des jolies lèvres et sécoule dans son et sur son corsage.
Hassan la relevant, un peu brutalement, lui fiche un gros sac en papier dans ses bras et lui lance.
- demain à 13 heures près du lac, où tu tes fait tringlé par Paulin lautre jour. Tu mets ces nippes, avec des bas et tavises pas dêtre en retard, sinon les photos à ton mari !
Fabienne est ahurie par la brutalité du garçon, qui pourtant, lui a fait lamour très gentiment la veille. Elle pleure à gros sanglots sur ce quelle vient de vivre, mais aussi sur lindignité qui est la sienne. Elle sait quelle na dautre choix que de lui obéir, car tout son entourage risque dêtre au courant.
Résignée à devoir encore une fois lui céder, elle regarde, comme toute femme curieuse le contenu du sac que Hassan lui a jeté.
Le lendemain, vers midi, elle sapprête pour aller encore une fois se faire « tringler » comme dirait Hassan. Elle prend un bain chaud parfumé, se lave de fond en comble, insistant sur son entrejambe, enfouissant même léponge tout au fond de son vagin, afin dêtre impeccable pour la langue qui, immanquablement va sintroduire à lintérieur. Tout en songeant à ce que Hassan va lui faire, elle éprouve une euphorie voluptueuse, resserrant les cuisses soudainement à la jouissance qui vient de la gagner. Ce peut-il quelle devienne une vraie salope ? Elle na même pas fait les neuvaines prescrites et récitées les vingt Pater que labbé lui a infligé.
Pour linstant, elle ne veut pas réfléchir, elle enfile les sous-vêtements sexy quon lui impose, enfile des Dim Up auto-fixants, puis elle ajuste la robe kimono et chausse une paire descarpins noirs. Elle se contemple dans la grande glace de la chambre à coucher, ne se reconnaissant pas dans cette tenue audacieuse.
Lorsquelle rejoint lendroit où Paulin lui avait donné rendez-vous, tout près du lac, elle est tout de même anxieuse. Hassan va-t-il vouloir lui faire lamour dans la clairière du bois où elle a connu son presque viol ? Où a-t-il lintention de lemmener ailleurs ? Justement celui arrive dans un van Volkswagen de couleur noir aux vitres teintées.
Fabienne est angoissée, son cur bat à toute vitesse ; elle sent lodeur dun parfum dhomme très connu qui a envahi lhabitacle. Ce ne peut être celui dHassan, car le jeune homme ne se parfume pas, elle la bien remarqué. Elle nose bouger et tient ses jambes bien serrées lune contre lautre, lorsque une main se pose sur son épaule. Elle pousse un cri de surprise, vite interrompu par Hassan.
- Tais-toi la bourgeoise ! Cest mon ami Arno à qui je tai prêté pour laprès-midi. Tu te laisses faire ou tu auras à faire à moi.
Fabienne est terrorisée. Encore un autre homme qui va profiter delle. Cela ne finira donc jamais.
Hassan reprend.
- Cest Arno qui ta acheté ta robe et tes dessous. Alors soit gentille avec lui.
En fait, cet Arno se nomme Aymeric de Langres, il a soixante-huit ans, conseiller général et maire de la commune de Ruffac, où sa famille possède un château depuis des siècles. Il a régularisé, en tant qu'ancien officier ayant servi au Maroc, les papiers de plusieurs membres de la famille de Hassan, lui-même « beur », né en France de parents marocains ; son père ayant été en outre lancienne ordonnance du commandant de Langres. Par reconnaissance, Hassan livre souvent des jeunes filles ou des femmes à Aymeric, pour qu'il en fasse ce qu'il veut. Ce dernier, grand coquin devant léternel, profite abusivement de sa situation pour trousser tout ce qui passe dans sa région.
Fabienne est tendue comme une peau de tambour. La main de cet Arno, caresse son épaule en descendant sur le bras lentement. Ses gestes sont très doux la faisant se détendre quelque peu. Soudain, la main saventure sur sa poitrine, quelle presse au travers du tissu soyeux. Fabienne ne peut retenir un gémissement de panique, craignant dêtre violée dans cette voiture qui roule vers linconnu. Lhomme lui caresse à présent les genoux découverts, car sa robe sans être trop courte, arrive à cette hauteur. Très doucement, sans la forcer, il les écarte et faufile sa main entre ses cuisses. Fabienne a un sursaut dinquiétude malgré la douceur de la caresse. Pourtant, la main ne cherche pas à atteindre son slip, elle se contente de toucher légèrement le haut de ses cuisses, là ou le haut du bas se termine. La tension quéprouvait Fabienne retombe, elle frémit sous les attouchements, sattendant tout de même au pire.
Le véhicule sengage sur lautoroute, et après une trentaine de kilomètres, il se dirige vers la sortie et le péage. Puis, sengageant sur une route secondaire, Hassan qui conduit le van sengage dans une grande allée qui, au bout de deux ou trois kilomètres fait place à un château du XVIe siècle, parfaitement entretenu. Arno/Aymeric, aide sa passagère à descendre, car celle-ci ne voit absolument rien au travers le bandeau qui couvre ses yeux. Hassan repart, promettant de revenir dans quatre heures.
Aymeric mène Fabienne à lintérieur de son château. Il la mène dans la grande salle où les tapisseries armoriées de sa famille témoignent de lancienneté de la noblesse de sa « maison ». Le vieil aristocrate contemple avec avidité la mère de famille quil va déguster très lentement, supputant déjà le plaisir quil va ressentir à la dévêtir petit à petit jusquà ce quelle soit entièrement nue. Fabienne est prise de tremblements ; elle panique soudain du silence présent dans cette immense salle quelle ne peur deviner. Que va-t-on exiger delle ? Cet homme, Arno, lami du beur qui la fait chanter, va-t-il la violenter ou être gentil. Elle se sent complètement désemparée lorsque lhomme lui prend une main et la fait se tourner sur elle-même. Certainement quil la contemple dans sa robe chamarrée. Comme le « petit chaperon rouge », va-t-il « la manger mon » ?
Soudain, lhomme la lâche et vient se poster derrière elle, mettant ses mains sur les épaules de Fabienne. Elle sent son ventre qui lui paraît grassouillet et son sexe bandé qui se presse entre ses deux fesses. Il se frotte contre son postérieur, tout en baissant les bretelles de sa robe, et enfin, il fait glisser la robe au sol. Fabienne se retrouve avec son caraco, son soutien-gorge et son slip, presque nue devant lhomme qui va profiter delle. Justement, le dénommé Arno lentraîne à sa suite dans un escalier, aux marches disjointes, qui descend dans une profondeur insoupçonnée. Elle ne peut le voir, heureusement, car lhomme vient dentrer dans une pièce voutée, toute de pierres brutes ; certainement, un ancien cachot des temps médiévaux.
Aymeric, puisquil sagit bien de lui, glisse sa main droite à lintérieur de son soutien-gorge, emprisonnant les globes de ses seins en les malaxant, puis de sa main gauche, il faufile ses doigts dans linterstice de la fine culotte, caressant la vulve de Fabienne qui ne peut se retenir de pousser un gémissement devant lattaque brutale de son intimité. Lhomme lui enlève les derniers remparts de sa vertu, et elle se retrouve nue devant lui, hors ses bas, alors que lui a enlevé sa chemise et baissé slip et pantalon. Elle sent son ventre bedonnant appliqué sur son derrière, ainsi que son gros sexe qui sest glissé entre ses cuisses, alors que lhomme, derrière elle, la maintenant cambrée, lui malaxe la poitrine et pince fortement ses tétons dune main, alors que de lautre, il masturbe avec habilité, vagin et clitoris à sa portée.
Fabienne, essaie bien de repousser avec sa main le ventre de lhomme qui est plaqué sur son postérieur, mais celui-ci a plongé ses doigts dans sa moule, qui devient plus quhumide, le clapotis de la mouille produite pas lexcitation, ne pouvant cacher le plaisir que la femme ressent. Elle est honteuse que ses sens ne puissent résister à la masturbation habile de lhomme quelle soupçonne dêtre dun certain âge, alors que son jeune amant, na certainement eu aucun état dâme à loffrir ainsi.
Aymeric, dirige sa victime vers une grande table en chêne, puis, il la bascule, lallongeant sur le dos sur le bois brut, et tout en embrassant sa poitrine largement étalée sous ses lèvres, il écarte ses cuisses de son autre main, et il continue à lui masturber sa chatte, titillant le clitoris gonflé, et arrachant à la jeune femme des gémissements inarticulés.
Enfin, se présentant devant les cuisses largement écartées, il enfouit sa langue entre les grandes lèvres du vagin, dégoulinant de la cyprine quil lèche et absorbe avec ce quil semble un certain délice. Puis, de sa langue, il écarte le capuchon du clitoris, à présent dressé comme une petite bite, et de ses lèvres serrées, il le suce délicatement. Fabienne essaie bien de se dégager, sa jouissance devenant insupportable, mais Edmond a encerclé ses cuisses de ses mains, la maintenant solidement sur la table, pour lamener au plaisir suprême.
Fabienne jouit sans interruption, comblée comme elle ne la jamais été, souriant enfin au plaisir intense quelle ressent
À suivre
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