Travesti En Soubrette Par Une Matrone Pour Le Banquet Du Rugby (4)
Javais limpression de laver des assiettes et des plats depuis des heures. Mon dos me faisait souffrir et mes mains peu habituées aux travaux physiques était toutes fripées. Les plats en terre cuite me paraissaient de plus en plus lourds. Je prenais cependant grand soin à ne pas les échapper de peur de la sanction qui suivrait. La douleur sur mes fesses commençait à satténuer. Le repas était terminé et ceux qui ne cuvaient par leur vin tentaient de danser maladroitement. Soudain, la porte de la cuisine souvrit, et une dizaine dhommes entrèrent à la queue leu leu. Ils ne sattendaient pas à revoir dans la cuisine la petite brune sexy qui avait reçu une fessée cul nu en début de repas ! Ils foncèrent sur moi et sans que je ne puisse faire quoi que ce soit, je me retrouvais soulever en lair sur une forêt de bras, comme si jétais un ballon baudruche, ou une poupée gonflable. De larges mains ne se gênaient pas pour plotter mes petites fesses, ma poitrine, mon entrejambe et même mon anus. Je me retrouvais porter par ces brutes comme si je ne pesais pas plus lourd quun ballon de rugby. Leurs immenses mains étaient assez larges pour entourer totalement mes cuisses. Lalcool les empêchait de contrôler leur force colossale et javais peur que mes petits os peu habitués à ce genre de traitement ne se brisent. Je navais pas la résistance dun rugbyman. Jétais plutôt un rat de bibliothèque. Ma robe commençait à ne plus résister au traitement. Elle fut vite arrachée et je me retrouvais vêtu uniquement de ma culotte, de mon soutien gorge dont les bretelles pendaient sur mes épaules, et de mes bas. Jécoutais leur commentaires:
Mais putain quelle est bonne, jai jamais vu un petit cul aussi appétissant
Elle est tellement légère quelle pourrait tenir empalée sur ma grosse bite sans que je la tienne
Je me doutais bien de ce qui allait se passer. Il ne sétait pas encore rendu compte que jétais un homme, tant quil ne mavait pas arraché ma culotte, ce qui nallait pas tarder.
lâchez là ! Elle a du boulot
Les hommes obéirent sans broncher. Celui qui mavait en main à ce moment là me posa brutalement sur la table dans lun des immenses plateaux de charcuteries encore à moitié plein. Ils fuirent en riant dans la grande salle. Je tentais de reprendre mes esprits, à genoux dans le plateau, au milieu des tranches de saucissons, vêtu de sous-vêtement en dentelle et dune paire de bas. Javais limpression dêtre un petit cochon de lait que lon allait dévorer. Il ne me manquait plus quune pomme dans la bouche et une autre dans le fion. La géante me regardait fixement. Je ne lavais jamais vu avec un teint aussi rouge ! Jétais terrifié par la colère quelle dégageait !
Dans quel état as tu mis ta robe petit salope ! Tu es juste bonne à te faire plotter et à te mettre à poil !
Jattendais la sanction recroquevillé dans limmense plat. Je vis cependant une lueur de pitié dans ses yeux.
Cest vrai que tu es si petit et si faible, tu nas pas pu faire grand chose face à ces colosses. Et puis jai su te rendre tellement désirable que cest un peu de ma faute.
Elle passa alors un bras sous mes genoux et un autre sous mon dos pour me soulever délicatement et me serrer contre elle. Tout en me berçant avec facilité :
Tu es si léger, cest à peine si je sens ton poids
Je calai alors ma tête contre sa lourde poitrine et profitai de ce moment de répit. Elle me porta jusquà lévier et me posa à nouveau sur le marche pied.
Au boulot, ma puce
Jétais surpris et soulagé, mes fesses aussi ! Je pris un des plats en aluminium que javais astiqués pour jeter un coup doeil à mon visage : Je faisais vraiment pitié. Les larmes avaient étalé mon mascara sur mes joues. Jétais extrêmement pale et paraissait plus mince que jamais. Je continuais la vaisselle, toujours en petite tenue.
A suivre
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