Photos Compromettantes - Dévergondages 02
PHOTOS COMPROMETTANTES - Dévergondages 02
Lors dun récent voyage, un Français nommé Michel B., est venu en voyage daffaires dans le pays où je réside. Demeurant dans la région bordelaise, il ma confié les fantasmes quil a de voir Odile, son épouse depuis plus de vingt ans, se dévergonder et accepter le libertinage, comme il la connu avec une maîtresse durant une dizaine dannées.
« La femme infidèle a des remords ; la femme fidèle a des regrets » (citation anonyme)
Odile, est une jolie femme mariée de quarante-huit ans, responsable des ressources humaines dune société bordelaise. Depuis six mois, elle est courtisée par Edmond, un notaire retraité de soixante-quatre ans. Ils déjeunent presque tous les midis dans le même restaurant « la Taverne du Chevalier dOr ». Acceptant une invitation à déjeuner en tête à tête chez Edmond, Odile se laisse quelque peu aller en acceptant les baisers de son hôte.
Odile se réveille brusquement à huit heures trente le lendemain. Elle a passé une soirée et une nuit épouvantables, nayant pu se résoudre à confesser son écart à Michel, son époux depuis vingt-cinq ans. De plus, elle a des nausées, lalcool quelle a bu en trop grande quantité la veille chez Edmond, faisant à présent son effet. Comment a-t-elle pu se conduire comme une traînée, elle si prude, si sage, ne laissant jamais les hommes de leurs connaissances lui faire la moindre cour. Comment a-t-elle laissé cet homme âgé lembrasser et surtout, comment a-t-elle pu lui répondre, infiltrant sa langue dans sa bouche, alors quil avait fait la même la chose auparavant. Comment ses seins se sont retrouvés hors de son soutien-gorge, alors que son corsage était complètement déboutonné ? Toutes ces questions lobsèdent.
Odile sent ses joues devenir encore brulantes au souvenir des sentiments qui étaient les siens lors de ce déjeuner avec Edmond, et du plaisir quelle a ressentit lorsque ses tétons et son ventre ont frémi dexcitation.
Son mari est parti de bonne heure pour rejoindre Blayes, à 50 km de Bordeaux, en aval de la Garonne, où son entreprise de transports vinicoles est installée. Elle ne la pas vue ce matin, puisquelle dormait encore. Comment va-t-elle se comporter avec lui à présent, il va sapercevoir sans aucun doute, quelle nest pas dans son état normal.
Pourtant, Odile se prépare machinalement pour aller à son bureau. Après avoir mis son soutien-gorge et enfilé un shorty, comme à son habitude, mis une paire de collants noirs fumé, elle se revêt dun tailleur pantalon noir sous lequel elle a enfilé un chemisier rose ; puis, elle chausse des trotteurs à petits talons. Malgré sa vie de femme sage, elle est très élégante dans ses ensembles (pantalon, chemisier, veste), qui mettent surtout en valeur ses fesses rebondies, faisant se retourner tous les hommes sur son passage. Enfin, inconsciente de leffet quelle peut faire avec ses tenues si sexy, elle monte dans sa Clio et sen va travailler.
Au bureau, elle nest pas à son aise, aussi, lorsque ses collègues lui demandent de les accompagner comme dhabitude, à la taverne du chevalier dor, comme tous les midis, elle refuse, prétextant un travail urgent à terminer. Le soir, elle rentre chez elle, un peu apaisée. Hier, elle na rien dit à son époux, ce soir encore elle ne dira rien ; puis, les jours suivants, elle oublie peu à peu les débordements auxquels elle sest livrée ; le temps passant, il sera trop tard pour avouer son erreur. Elle se pardonnera de ce petit écart de conduite quelle se promet de ne jamais répéter.
Nous retrouvons Edmond dans son appartement cossu du cours Victor Hugo. Dans le boudoir où Odile, en léger état débriété sétait laissée à embrasser Edmond, qui en avait profité pour dégrafer son corsage, et dégager les deux seins de leur prison textile sans quelle sen rende compte.
Le maître de maison allume la télévision, puis, incorporant une des cartes dans le lecteur prévu à cet effet, il commence à visionner le contenu de la carte. Sur la première image qui apparaît, on découvre Odile, assise sur le canapé à côté dEdmond devisant avec lui. Sur les suivantes, on assiste à son abandon, sa tête posée sur lépaule de son compagnon, puis les baisers échangés, sa poitrine exposée nue, ses tétons dressés orgueilleusement, et enfin, laffolement de la femme mature, se découvrant soudainement dans une position aussi peu convenable.
Suite à cet événement, une dizaine de jours se passent, Odile se décide à retourner à la taverne où elle a ses habitudes. Elle sait quEdmond sera certainement présent, mais quimporte. Il na pas essayé de la forcer, il a juste profité de son abandon contre son épaule, et il la embrassé délicatement. Cest elle qui la embrassé avec fougue et qui lui a offert sa gorge dénudée. Son ami sest conduit en gentleman, aussi, elle ne peut lui en vouloir. Edmond, lorsquelle sassoit à sa table, ne fait aucune allusion à leur tête-à-tête et ce qui en a suivi. Elle est vraiment soulagée et les deux amis conversent courtoisement tout au long du repas. Au café, Edmond sort de sa poche un Smartphone et lallume, puis tout en montrant une image à sa convive qui pâlit brusquement, il lui annonce tranquillement.
- Ma chère amie, voici la photo que je viens de recevoir ce matin par message sur mon téléphone. Le correspondant qui me la envoyé, la fait dune façon anonyme, son numéro ne saffichant pas. Jai bien regardé ce cliché, qui na pu être pris quà travers la fenêtre du boudoir où nous nous tenions, depuis la courette qui se trouve à lintérieur de mon immeuble.
Odile, est atterrée en voyant cette photographie, où elle est parfaitement reconnaissable, ses deux seins hors de son corsage, et Edmond lembrassant et titillant ses mamelons. Sa réputation de femme vertueuse est irrémédiablement compromise. Surtout quEdmond reprenant la parole la terrifie à nouveau par ses propos.
- Naturellement, ce cliché était accompagné dun message. Voulez-vous que je vous le lise ?
Odile acquiesce silencieusement en hochant la tête de haut en bas.
- Monsieur, jai bien sûr beaucoup dautres clichés de ladultère que Madame Odile L. a consommé avec vous. Je men voudrais de faire du tort à cette très jolie personne, mais, si vous ne me versez pas la somme de cinquante mille euros, je me verrai contraint denvoyer ces clichés à la presse et à son mari. Je vous rappellerai dans trois jours pour vous signifier les modalités du versement.
Un grand silence sinstalle entre les deux protagonistes. Odile laisse sécouler des larmes sur son visage, alors quEdmond lui tend un mouchoir fin en baptiste pour sessuyer les yeux.
- Rassurez-vous ma chère, je ne vais pas vous abandonner. Avant de recevoir les instructions de cet infâme maître-chanteur, je désire mentretenir avec vous des suites que nous pourrons donner à cette menace et la façon dont je peux vous aider. Pouvez-vous vous rendre libre après-demain mercredi ?
Odile ne sait plus ce quelle doit dire, ni ce quelle doit faire ; elle est anéantie par ce quil lui arrive. Elle souffle à Edmond un timide : oui. Celui-ci reprend.
- Pour toute la journée ? Car nous risquons den avoir pour un certain temps ?
- Oui, mon mari sen va en Hollande demain pour trois jours, il ne rentrera que jeudi soir. Muriel, ma fille est de son côté, en stage de natation à Londres.
- Bien, disons mercredi, à 11 heures au Relais des Landes, sur laire du même nom sur lautoroute des « deux mers », en direction de Toulouse.
Odile regarde Edmond avec des yeux pleins de larmes, espérant quil va trouver une solution pour lui éviter la honte de sa vie de bonne épouse et de bonne mère.
Deux jours après, elle shabille traditionnellement dun ensemble pantalon veste de couleur bleu nuit et dun corsage saumon. Puis, elle part de chez elle à neuf heures trente, supputant sur une circulation importante en cette période de vacances ; elle prend la rocade est de Bordeaux, puis, elle rejoint lA62 se dirigeant vers laire des Landes quelle atteint en à peine une heure. Elle se gare face au pavillon dinformation, restant dans son véhicule, angoissée par ce quelle ne peut encore envisager comme suite à la catastrophe qui sest abattue sur elle. Edmond, en avance lui aussi, vient se garer peu après à côté delle. Il descend de sa voiture et vient galamment ouvrir la portière de la conductrice.
- Bonjour Odile, jespère que vous allez bien. Montez dans ma voiture, nous allons aller déjeuner dans un endroit charmant et discret.
Odile, monte dans la BMW dEdmond, qui reprend lautoroute des « deux mers », il sort à léchangeur de Langon pour se diriger vers lautre rive en passant sur le pont routier qui supporte aussi le chemin de fer. Remontant la Garonne vers Saint-Macaire, Edmond dirige sa voiture vers le centre médiéval de cette ville en tournant à droite sur le cours Gambetta, puis lAllée de Tourny dans la continuité ; prenant à droite la rue du Canton, il arrive à la rue de lÉglise au croisement de la rue Carnot. Là, une bâtisse du XVIe siècle abrite lhôtel restaurant « Les Feuilles dAcanthe ».
Ce petit hôtel de charme de douze chambres, allie l'harmonie du passé et du présent, en plein cur de la cité médiévale de Saint-Macaire, fief du vignoble bordelais. La demeure moyenâgeuse accueille ses hôtes dans une ambiance chaleureuse de vieilles pierres, de sols en terre cuite et de meubles en chêne vieilli. Une petite piscine couverte équipée de jacuzzi occupe la lumineuse cour intérieure et se révèle être un lieu de détente parfait. Dans le patio fleuri, on peut déguster une cuisine vive et gourmande confectionnée par un chef du cru, à partir des meilleurs produits du terroir.
Edmond et Odile sinstallent dans le patio, à labri des plantes exotiques et des murs de pierre anciens. Ils se restaurent des excellents plats régionaux qui leur sont proposés, notamment, ils découvrent et partagent « la Montgolfière de Homard et Saint-Jacques au Grand Marnier » ; lorsque la pâte feuilletée est ouverte, sa dégustation est un pur délice.
À aucun moment, Edmond ne fait allusion à ce pourquoi ils se rencontrent aujourdhui.
À la fin du repas, Edmond propose à Odile de se rendre dans un endroit discret pour pouvoir parler en dehors doreilles indiscrètes du problème qui les préoccupent aujourdhui. Pour cela, il a réservé une suite dans létablissement, afin de ne pas être dérangé durant leur entretien. Odile, est tellement anxieuse et paniquée par ce quil peut advenir des photographies dont elle est menacée, quelle ne songe même pas quelle va se retrouver seule dans une chambre dhôtel avec son compagnon.
Elle le suit, comme une automate dans la chambre qui se révèle être une suite de plus de soixante mètres carrés, comprenant un grand lit à baldaquin avec moustiquaire, un coin salon avec un canapé en L, une table ronde avec trois chaises, une commode, un dressing séparé, etc. À cela sajoute une salle de bains très confortable et bien décorée, où trône un jacuzzi très moderne, alors que la chambre comporte uniquement des meubles anciens régionaux. Edmond lui demande de prendre place sur le canapé, alors quil dispose une chaise en face delle. Sasseyant, il prend ses deux mains dans les siennes et la regardant avec insistance, il lui dit.
- Ma chère Odile, demain, je vais devoir annoncer au maître-chanteur si jai lintention de lui remettre cinquante mille euros ou non. Quen pensez-vous ?
- Vous savez Edmond, je ne peux disposer dune telle somme. Dix mille euros tout au plus. Il me faudra en parler à mon mari et je serai déshonorée à jamais. Je suis complètement désespérée. Dites-moi ce que je dois faire. Je suis prête à tout.
- Étant célibataire, je ne me sens pas concerné par ce chantage. Néanmoins, je peux débloquer la somme de cinquante mille euros et les consacrer à payer ce malandrin. Mais lorsque vous dites que vous êtes prête à tout, quentendez-vous par là ?
Odile devient tout-à-coup silencieuse. Elle nose imaginer ce à quoi doit songer Edmond pour éponger la somme astronomique que demande le maître-chanteur. Elle ose affronter son regard. Celui-ci est limpide, ses yeux dansent, amusés, ainsi que son sourire franchement éclatant, mais, pas vraiment rassurant. Odile comprend quelle est prise au piège. Ou le scandale éclate, sa réputation irrémédiablement ternie dans son entourage, dans son couple et sa famille, et même dans son emploi, menacé, car lentreprise pour laquelle elle travaille est très conservatrice. Ou alors, elle suppute quil va falloir accorder ses faveurs à cet homme vieillissant de plus de soixante ans. Cest vrai quelle a été attirée par lui, mais en tout bien tout honneur. En ami, non en amant.
- Je
Je
. Je ne sais que vous répondre Edmond. Je
Je vous suis reconnaissante de bien vouloir me tirer dembarras.
Edmond se lève alors et il vient sasseoir à côté de la trop belle Odile. Passant un bras autour de ses épaules, sans la brusquer, il prend son visage délicatement entre ses deux mains, puis, il lui baise le front, le nez, tout en douceur. Odile sent sa tension se relâcher soudainement et elle sécroule en pleurs contre lépaule de lhomme qui peut lui sauver la vie. Elle ne songe même plus à son infortune, ni à son mari quelle va tromper ; à présent, elle en est convaincue. LorsquEdmond, dégrafe son corsage, elle na même pas le geste de répulsion naturel quelle devrait avoir. Comme un animal à labattoir, elle le laisse écarter les pans de son corsage, se retrouvant en soutien-gorge devant lhomme qui pétrit sa poitrine au travers du tissu soyeux en satin. Edmond lui prend ses lèvres et elle sabandonne, répondant timidement à la langue qui fouille bientôt sa bouche. La tension depuis plusieurs jours, accentuée depuis les heures précédentes a été tellement forte, quelle se laisse aller à embrasser lhomme, qui est en partie responsable de tout ce qui lui arrive.
Lorsque lhomme, fait sauter lagrafe du rempart qui protège sa gorge, elle à dabord un geste de résistance, se recroquevillant sous lattouchement ferme de ses mamelons ; puis, cédant sous la pression impérative de lhomme, elle se laisse manipuler les seins quil empoigne, malaxe, embrasse, suce et mordille les tétons, enflammant ses sens comme cela ne lui est jamais arrivée.
À suivre
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