Chantal Et Le Marché De Nuit

Chantal et le marché de nuit
Très vite dès ma rencontre avec Chantal, qui allait devenir mon épouse adorée, j’ai constaté son attirance pour les hommes de race noire.
Après notre mariage ce penchant s’est manifesté de plus en plus souvent.
Regards appuyés, complicités avec nos amis, sourires rendus à des inconnus rencontrés dans le train, le métro. Tous noirs ! Sans devoir être une addition, cela semblait devenir une dépendance, au point que je me posais des questions sur sa fidélité.
Toutes ces manifestations n’étaient pas sans me plaire car j’aimais que Chantal soit désirée par d’autres hommes que moi.
Cette année là nous étions en vacances dans le midi de la France. Un marché de nuit, très fréquent en été, se déroulait près notre résidence. Nous avons décidé d’y aller. Beaucoup de lumière, de monde et de multiples stands qui proposent des objets plus inutiles que nécessaires. C’était hier soir et les souvenirs sont encore bien nets dans ma mémoire.
Il faisait très chaud et Chantal portait son short blanc-crème de coton, sexy car très court, évasé au niveau des cuisses. Il lui moulait les fesses sans vulgarité. Elle avait accepté de ne pas mettre de culotte en dessous. Pour le haut, un teeshirt orange en lin très fin qu’elle portait sans soutien gorge. Inutile de dire qu’on n’avait aucune difficulté à constater que ses seins étaient nus dessous. Des bretelles laissaient dégagées ses épaules et les échancrures sous les bras laissaient voir le flan blanc de ses seins. Ses jambes nues étaient mises en valeur par des sandales de toile à lacets avec des demi-talons. Elle était superbe et bien des regards se posaient sur elle, détaillant ses formes que l’allure de sa démarche légèrement chaloupée, rendait encore plus sexy. De nature assez réservée, elle avait accepté cette tenue pour me faire plaisir, mais aussi devant le contexte de cette soirée.
Nous sommes arrivés, au détour de notre promenade nocturne, devant le stand d’un africain proposant de multiples produits comme des sacs, des ceintures, de pochettes… Un grand noir nous a tout suite repéré, et sans attendre nous a entrepris dans un accent très marqué.

Il était d’une couleur de peau d’une couleur noire ébène très foncée avec une peau lisse et brillante par endroit. Il avait de grosses lèvres qui découvraient des dents très grandes et blanches. Ses yeux aussi étaient noirs et brillaient au centre de ce visage noir. Il était très beau et sous sa tunique bleu clair, on devenait un corps d’athlète. Chantal le dévorait des yeux.
Tout de suite il a senti qu’il plaisait à ma femme et charmeur, il lui a fait son boniment redoublant de compliments sur sa beauté sexy. Surtout qu’à ce moment de la nuit, une petite fraîcheur faisait pointer ses tétons nus. Chantal était subjuguée et ne le quittait pas des yeux. J’en éprouvais quand même une forte jalousie qui devait rapidement se transformer en excitation.
Je ne sais pas encore pourquoi mais je décidais de m’éloigner pour surveiller ce qui m’apparaissait de plus en plus comme leur flirt.
Revenu une dizaine de minutes après, la situation n’avait pas changé sauf que Chantal riait sans retenue à ce qui ressemblait de plus en plus à une relation de séduction. Sans me manifester, je décidais de surveiller à distance l’évolution de leur comportement. Je me trouvais un poste d’observation pour mater sans me faire repérer.
Chantal ne semblait pas du tout de se préoccuper de mon absence. Sous le charme du grand black, je n’existais plus. Je surveillais le moindre de leurs gestes.
A un moment il leva une main et lui caressa la joue avec douceur. Sa main noire sur la peau blanche de Chantal était du plus bel effet. Ma femme le laissa faire. Sous la tunique, en regard de son sexe une bosse se dessinait clairement, ce qui n’échappa pas longtemps à l’attention de la jeune femme. Il bandait, elle matait !
Elle lui portait un regard de femme séduite, soumise. Je me mis à bander à mon tour. Jalousie et perversion. S’il était beaucoup plus grand qu’elle, il la dominait de sa taille mais également de sa personne.
Soudain, je le vois qui lui prend la main et l’entraîne vers l’arrière de son stand.
Ils disparaissent de ma vue. Je panique, je veux voir, je suis mort de jalousie et d’excitation. Ce regard de Chantal pour son flirt me laissait imaginer le pire.
Je me déplaçais, contournais le stand. Je paniquais car je n’arrivais pas à les voir. Je finis par repérer, pas très loin, un monticule de terre qui pourrait me permettre de voir du dessus. Je m’y précipitais.
Quand je les vis, il lui avait pris le visage de ses deux mains et l’embrassait pleine bouche. La position de leurs têtes ne me laissait aucun doute qu’ils devaient s’embrasser d’un profond baiser, mêlant leurs langues. Le baiser dura plusieurs minutes avant que le noir ne déplace ses mains vers les seins de mon épouse dont les pointes érigées marquaient son excitation. Il s’en saisit entre ses doigts pour les faire rouler et exciter encore plus la femelle. Sa femelle !
Abandonnant la poitrine, ses mains s’emparèrent des fesses pour l’attirer contre lui. Elle devait à cet instant sentir son érection et je devinais son trouble.
Chantal gardait ses mains le long de son corps, passive. On devinait bien qu’elle avait envie de toucher ce corps devant elle, mais qu’elle n’osait pas ! Intimidée. C’est l’homme qui lui prit les poignets pour les attirer contre son ventre, là où la bosse se faisait encore plus grosse. Tout en continuant de l’embrasser il releva sa tunique pour découvrir son sexe enserré dans un slip. Chantal alors avança ses mains et fit sortir cette queue qui m’apparut énorme. Noire, dressée, dure. De ses deux mains elle empoigna cette bite et se mit à la branler contre son ventre, lentement d’abord et de plus en plus vite. A la clarté des lumières elle brillait de ses sécrétions quand les doigts décalottaient son gland. L’homme était également très excité. Leurs bouches restaient soudées. Par moment, elle s’écartait de lui pour contempler la queue de son amant, puis aussitôt elle lui offrait à nouveau sa bouche à baiser. Lui, palpait les fesses au travers de son short.
Ils étaient de profil, ce qui me permettait de bien voir ce qu’ils faisaient. J’étais mort de jalousie, une bile amère jaillit de mon foie et me brûla la bouche. Je bandais tant j’étais également excité. Je ne pus m’empêcher de sortir ma bite et de me faire jouir en matant ma femme me tromper avec un inconnu.
Puis je le vis poser sa main sur sa tête, comme pour une bénédiction. Je la vis se baisser, s’agenouiller devant lui sans la moindre hésitation. Elle acceptait de lui faire une pipe ! Ensuite, elle remua sa tête d’une façon qu’il ne laissait aucun doute sur ce qu’elle était en train de faire. L’homme regardait vers elle, ses mains dans ses cheveux pour la maintenir contre lui. Elle s’appliquait à lui donner du plaisir. Je suivais les mouvements d’avant en arrière de sa tête qui s’activait sur la bite du noir.
Soudain, il leva la tête, regarda le ciel, crispa ses mains sur la chevelure de ma femme pour la maintenir contre son ventre. Il ferma les yeux et je devinais alors qu’il devait éjaculer dedans cette bouche que je connaissais tant, et que maintenue de cette manière, elle n’avait d’autre choix que d’avaler cette semence pour la garder en elle. Je jouis aussi à mon tour.
Repus, il la laissa se relever. Je la vis qui s’essuyait la bouche de sa langue. Il lui sourit et posa un baiser chaste sur ses joues et lui adressa un large sourire de ses dents blanches.
Ils regagnèrent le devant du stand.
Seulement alors Chantal s’inquiéta de mon absence. Tous les deux fouillèrent la foule du regard, à ma recherche. Je restais caché quelques minutes, puis rejoignais le stand. Chantal me sourit gênée. Je remarquais des tâches de foutre sur son teeshirt au niveau de sa poitrine. Elle n’avait sans doutes pas pu tout avaler du jus de son amant. Plus bas à la taille, d’autres souillures devaient provenir du gland qu’elle avait branlé contre elle. Après quelques mots échangés avec son amant du moment, nous avons pris congé, pour reprendre notre ballade, bras dessus, bras dessous comme deux amoureux.

Une folle envie m’obsédait : l’embrasser. Je sentais bien cette odeur de foutre qui se dégageait d’elle. N’y tenant plus, je l’ai prise dans mes bras pour l’embrasser. Son premier geste a été de se refuser. Mais comme j’insistais, elle m’offrit ses lèvres, sans grande conviction. Je sentis le goût du sperme de son amant très fort encore ; je forçais ses lèvres pour y introduire ma langue. Je voulais boire la semence de cet homme qui s’était déversé en elle. Elle résista mollement mais finit par ouvrir sa bouche. Elle haletait, excitée. Cette situation nous excitait tous les deux. Le goût du sperme du black était fort, présent encore dans sa bouche. Je passais consciencieusement ma langue dans les moindres recoins de sa bouche pour récolter tout le jus de son amant. Je continuais jusqu’à la sentir jouir dans mes bras. Je voulais moi aussi avoir en moi cette liqueur de vie, que Chantal avait recueillie à la source de cette bite toute noire. Ce qui était souillure était aussi symbole d’éternité.
Plus tard, je me suis rendu compte que je voulais qu’elle reçoive du sperme en elle, dans son ventre, là où il pourrait la féconder.
Petit à petit ce fut une véritable obsession que je finis par assouvir.

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