Ma Première Expérience Sado-Maso
Samedi après-midi, jai reçu un courriel par le biais de ce blog. Le message disait ceci : es-tu aussi horny que tu le laisses paraître? Jaimerais bien te voir en action. Si intéressé, texte moi au numéro suivant (
) Vous comprendrez que je ninscrirai pas le numéro de cellulaire. Intrigué, je répondis aussitôt en lui textant quil navait quà minviter chez lui pour le savoir. Sans attendre trop longtemps, mon cellulaire vibra avec, comme message, une adresse à Laval. Je dois avouer que je trouvais ça un peu bizarre mais jai toujours été attiré par ce genre daventure où lon ne sait pas ce qui se passera. Et sil mavait donné son adresse, ça ne devait pas être dangereux. Donc, à vingt heures, je montai dans ma voiture et me rendis là où on mattendait.
Je croyais devoir me retrouver en ville mais la maison se situait plutôt à lextérieur du milieu urbain, soit sur une sorte de route non éclairée et où les maisons ne savoisinaient pas vraiment. Mais par chance, javais donné ladresse à une amie, par pure précaution. Dans ma jeunesse, je my serais jeté tête première mais sans doute quen vieillissant, on devient plus peureux. Mais tout de même, ça mexcitait de me rendre dans cet endroit inconnu et surtout, nayant jamais vu le mec en question. Je ne connaissais rien de lui; pas même son âge, son look. Tout ce que je savais, cétait quil voulait me mettre à lépreuve et je lui montrerais quune baise ne me faisait pas peur. Jarrivai enfin, empruntant une petite route de terre qui menait à une maison ancestrale, toute faite de pierres de champs. Il y avait des bâtiments tout autour mais la noirceur mempêchait de constater leur raison dêtre. Je me stationnai donc devant la maison et descendit de ma voiture pour gravir lescalier qui menait à la porte dentrée. Sans même sonner, cette dernière souvrit, me laissant voir un homme dune soixantaine dannée. Il nétait pas vraiment mon genre mais lorsquil me sourit en mincitant à entrer, je le trouvai charmant.
- Je te suis depuis un moment sur ton blog et je dois avouer que les vidéos que tu y mets sont assez explicites sur ta façon de vivre ta sexualité.
- Ce qui veut dire?
- Tu ne sembles pas avoir beaucoup de tabou et tu donnes réellement limpression dadorer le cul sous toutes ses formes.
- Il faut sentendre, lui dis-je pour linformer que certaines choses pouvaient tout de même me dégoûter. Je ne suis nullement scatophile ou zoophile. Je ne te touche pas à cela.
- Ne tinquiète pas, moi non plus.
Jen fus soulagé cependant, quelque chose me disait que ce mec attendait quelque chose en particulier mais je ne parvenais pas à le cerner tout à fait. Je commençais légèrement à me poser de sérieuses questions sur son compte. Pourquoi insistait-il sur le fait que je lui paraissais quelquun de spécial quant à ma sexualité? Je lui posai donc la question franchement et il rit, tout simplement, avant de me réponse : « Je sais que tu aimes te faire fourrer sans condom car tu lécris ouvertement sur ton blog et que tu apprécies les orgies et par tes albums, je vois bien que je ne suis pas ton genre dhomme.
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Il était beau comme un dieu, dans la mi-vingtaine, vêtu dun simple boxer qui laissait entrevoir une queue déjà bien dure. Le vieux voulait donc que je me fasse baiser par ce black pendant quil nous regarderait, sans doute en se crossant. Et je dois avouer que je navais rien contre, ne résistant nullement lorsque les bras musclés mincita à me lever. Lentement, il déboutonna ma chemise, me caressant le torse de ses grosses mains noires tandis quil se plaçait derrière moi, me susurrant à loreille : « Tu sens ma bite contre ton cul. Tu aimerais que je te lenfonce bien profondément entre les fesses? Je suis certain que tu rêves déjà de la sentir senfoncer dans ton cul bien ouvert, disait-il en me tripotant le sexe par-dessus mon jeans. Et en plus, je te le remplirai de mon foutre chaud et gluant, à moins que tu préfères le manger ». Je croyais que ma bite allait exploser tellement elle avait pris de lampleur et jespérais que le black allait la délivrer de mon jeans mais non, il continuait à me caresser et je sentais sa respiration haletante derrière moi, sa bouche collée contre mon oreille.
Assad Hassad Neto
« Ça te plait? me demanda le vieux. Je me souviens que sur lun des vidéos sur ton blog, tu as dit que tu aimais les arabes ». Je ne savais plus où donner de la tête. Il sapprocha de moi. Il nétait vêtu que dun jeans, pieds et torse nus. Doucement, il colla ses lèvres contre les miennes et ouvrit sa bouche pour me donner sa langue tout en me caressant le torse. « Tripote-lui la queue, dit le black en sapprochant de nous deux. Fais la lui exploser dans son jeans ». Je compris alors que larabe était, lui aussi, au service du black. Ce dernier nous dirigerait tout au long de la baise et maintenant, je me plaisais réellement à me savoir là, avec cet arabe qui membrassait toujours à pleine bouche. « Attache-le à la croix ». Sans rouspéter, je me laissai conduire au fond de la pièce, me retrouvant les poignets et les chevilles bien attachés aux anneaux de fer, les bras et jambes écartés. Le black sapprocha de moi et me pinça les mamelons, provoquant une souffrance qui me fit grimacer. Larabe, lui, sagenouilla devant moi et se mit à me manger la queue par-dessus mon jeans. Tout ce que je voulais, cétait quil libère ma bite qui se trouvait plutôt serrée et qui me provoquait une petite douleur. Soudain, le black me cracha au visage avant de me gifler. Il sortit sa queue de son boxer et obligea larabe à le sucer. De voir cette énorme queue bien bandée ne maidait pas à perdre mon érection et le bruit que laissait entendre larabe montrait bien que cette bite senfonçait dans le fond de sa gorge. Le chanceux; jaurais préféré me retrouver là, à genoux, à sucer le black au lieu dêtre attaché à cette croix. Soudain, larabe se vit pousser, tombant sur le côté, restant là sans bouger. Sans nul doute était-il habitué, lui, à cela car il semblait attendre les ordres du black. Ce dernier marcha vers la table et prit les pinces à mamelon. Je me doutais quelles étaient pour moi et je ne me trompai pas. Curieusement, ça me plut. Je trouvais la douleur excitante, quoi quelle ne fût pas à lextrême. « Allume la chandelle la beurette », ordonna le black. Le mec se leva et empoigna une grosse chandelle placée sur une tablette. Il lalluma et, sachant parfaitement quoi en faire, vint vers moi. Je me souvenais assez bien, pour lavoir déjà fait, que ça pouvait être désagréable mais avais-je le choix? Je regardais la chandelle qui commençait à couler et larabe me la colla sur le torse, la penchant lentement. Je sentis aussitôt une brûlure et je ne sais pas pourquoi, mon regard se pointa sur le vieux qui se masturbait en regardant le spectacle. Il me sourit, rien de plus. « Donne-moi cette chandelle et va chercher lautre pédale, avisa le black à larabe qui sexécuta aussitôt. Ouvre la bouche, me dit-il. Allez, fais ce que je te dis ». Il navait tout de même pas lintention de laisser couler la chandelle dans ma bouche? Je refusai, trouvant cela un peu moins drôle. De sa large main, il mouvrit la bouche et me cracha à lintérieur. Il se mit à rire et me giflant à nouveau. « Et puis cette queue, elle est en forme à ce que je peux voir, dit-il en me caressant le jeans. Je vois que tu aimes bien être attaché à cette croix. Ça texcite dêtre là, sans pouvoir bouger. Tu aimerais que je sorte ta belle bite de ton jeans? poursuivait-il en laissant couler la cire chaude sur mon corps. Je te trouve trop sexy dans ton jeans, surtout que je sais que tu nas rien en dessous. Tu es une vraie salope mais ne crains rien, tu vas en avoir pour ton plaisir. Regarde qui arrive ». Je navais jamais vu cela de vie. Larabe revenait avec un autre mec, un blanc cette fois-ci. Il était tout aussi musclé que les deux autres mais sa queue était dune taille gigantesque; longue et très épaisse. Un brise cul comme on dit souvent.
Dan Darlington
« Et puis, tu crois que ta rosette sera capable de souvrir devant un tel machin? » Je ne dis rien, regardant larabe se débarrasser de son jeans. Il sagenouilla devant moi et se mit, encore une fois, à me manger la queue par-dessus mon jeans tandis que lautre mec, approchant un escabeau, le plaça devant moi avant dy monter. Son énorme queue se trouvait devant moi et il se mit à men donner des coups au visage avant de me forcer à ouvrir la bouche. Dun seul coup, il me lenfonça au fond de la gorge, me forçant à toute la prendre en me tenant le derrière de la tête. Par chance, jétais habitué au deep-throat mais je devais avouer que ma gorge navait encore jamais goûté à une aussi grosse bite. Mais cétait bon, super bon même, surtout que larabe avait déboutonné mon jeans pour engloutir ma bite dans sa bouche. « Cest assez la pédale, descends de là, ordonna le black en lui claquant le cul. Et toi la beurette, lève-toi et détache-le ». Tous deux sexécutèrent aussitôt et je me retrouvai libre, du moins le croyais-je. Le black me prit par le cou et me poussa vers le carcan en bois. Je me retrouvai la tête et les mains coincés, penché par en avant. « Déshabillez-le » Larabe menleva mon jeans et mes bas et je me retrouvai nu, le cul bien en évidence. Le black se plaça devant moi et, sortant sa queue de son boxer, me la rentra dans la bouche. Je me mis à le sucer avidement. « Tu aimes ça ma salope. Tu laimes ma bite de black ma chienne en chaleur. Prends-la au complet », dit-il en balançant son bassin davant en arrière. Mets-en que jaimais ça jusquà ce que je sente une brûlure au niveau du dos, juste après avoir entendu un claquement. Le mec à grosse queue me fouettait et je capotais. De me savoir à la merci de ces mecs me rendait fou de plaisir et je rêvais quau moment où lénorme bite menfoncerait la roulette. Depuis que je lavais eu dans la bouche, je limaginais me fourrer à fond et à grands coups brusques mais pour linstant, ce mec me rouait de coups de fouet sur le dos et sur les fesses. Le black se recula pour laisser place à larabe qui se pencha devant moi, me présentant son cul quil me colla au visage. Je sortis ma langue et le mangeai avec appétit, laissant entendre de petits cris chaque fois que le fouet me touchait la peau. Et le black se débarrassa de son boxer avant de prendre sa queue en main pour lenfouir au complet dans le cul de larabe. Je voyais cette bite noire entrer et sortir de ce cul bombé et musclé et jentendais lenculé se lamenter de plaisir. Et le black la sortit et me la rentra à nouveau dans la bouche. Je pouvais goûter lintérieur du cul de larabe et cétait bon. Il recommença à le fourrer et ainsi de suite pendant que lautre continuait à me fouetter. Jétais au comble de lextase. Si quelquun mavait touché la queue, jaurais explosé sur le champ. De voir ce black enculer larabe avec tant de fougue. Dentendre larabe gémir à haute voix. Et maintenant, je sentais que lautre mec glissait sa queue entre mes fesses. Jamais je navais été aussi excité (désolé pour les potes qui mont baisé). Et soudain, je sentis quelque chose de froid entre mes fesses. Je sus aussitôt que le mec me plaçait un spéculum anal. Je navais encore eu affaire à cela. Je sentais mon troufignon qui souvrait de plus en plus et si le mec persistait, je craignais den souffrir un peu mais non, il engagea un super gode dans mon trou, le faisant glisser lentement mais sûrement. Je le sentais senfoncer et se retirer et je savais que ce nétait pas un minuscule jouet. Pendant ce temps, le black persistait à creuser le cul de larabe pour ensuite me lenfourner dans la bouche. Je ne pensais même plus au vieux tellement javais du plaisir, me demandant pourquoi javais toujours eu des tabous face au sado-maso. Je prenais un réel plaisir à me laisser conduire et surtout, à navoir aucune maîtrise de la situation. Il y avait trois supers mecs musclés qui pouvaient faire de moi ce quils désiraient et moi, jaimais ça au max; un black, un arabe et un blanc à queue gigantesque. Que pouvais-je demander de mieux? « Ok, cest le temps de faire plaisir à monsieur Poirier », dit le black en quittant le cul de larabe. Je savais maintenant le nom du vieux et si le black lappelait par monsieur, ce nétait pas un ami. On me libéra du carcan et on mobligea à me coucher sur la table. Je navais pas vu les lanières de cuir et je me retrouvai, sur le dos, pendant quon mattachait les poignets et quon relevait mes jambes avant de lier mes chevilles à des cordes provenant du plafond. Jétais en position pour me faire fourrer à fond. Le black monta sur la table et sassied sur mon torse. Je remarquai quil nétait plus aussi bandé et compris très vite pourquoi en sentant sa pisse me couler dessus. Les deux autres le rejoignirent et, eux aussi, se mirent à me pisser dessus, larabe mouvrant la bouche pour que je boive son urine chaude et salée. Ça goûtait bon et la moiteur que ça provoquait sur mon corps me rendait, encore une fois, fou de plaisir. Le black quitta la table et se plaça exactement à la bonne place pour menfoncer sa queue dans le cul mais non, il continua à me pisser dessus mais cette fois-ci, entre les fesses. Larabe mobligea à prendre sa queue en bouche tandis quil continuait à pisser mais cette fois-ci, directement dans ma gorge. Lautre mec, lui, sétait mis à pisser sur la tête de larabe, lurine dégoulinant le long de son visage. Et enfin, je sentis une vraie queue sintroduire en moi. Le black prenait un malin plaisir à me fourrer à grands coups en me traitant de salope et de chienne qui nattendait que dêtre labourer par un vrai mec. « Tu aimes ça salope. Tu aimes que ma queue te défonce la rosette. Tu aimes savoir quun black te fourre sans capote. Tu aimes sentir gigoter ma bite dans ton troufignon de salope. Dis-le que tu aimes ça ». Aussitôt, je laissai entendre, entremêlé de mes gémissements, que jadorais sentir une queue de black dans mon cul de blanc. Larabe, répondant au geste du black, le rejoignit et prit sa place. Maintenant, je capotais de sentir une queue darabe me labourer et il savait y faire, croyez-moi. Et lautre mec, avec sa grosse queue, me remplissait la bouche et je me demandais quand il rejoindrait les autres. Et soudain, il prit place sur ma queue et se lenfonça dans le cul, opérant un mouvement de haut en bas. Ses mouvements prirent une telle ampleur que javais peur de jouir et je ne le voulais nullement. Javais trop de plaisir pour en finir aussitôt. Soudain, jentendis le vieux : « Ok, cest le temps du grand coup ». Que voulait-il dire par là? Larabe se retira de moi et lautre mec se releva et quitta la table. On me détacha et je me levai pendant que le black se couchait, à son tour, sur la table. « Allez, embarque ma chienne ne chaleur. Je vais te montrer ce que cest que dêtre fourrer par des vrais mecs ». Je grimpai et pris place sur sa queue qui senfonça immédiatement au complet. Je compris ce quétais le grand coup quand je sentis une autre queue sintroduire en moi. Et ce nétait pas nimporte laquelle mais celle du blanc; la gigantesque queue en pleine érection tentait de se frayer un chemin dans mon trou de balle alors quil y avait déjà une queue en mouvement. Et par magie, elle entra, glissant lentement pour se retrouver au complet, bien profonde, opérant un mouvement de va-et-vient en glissant sur la bite du black. Je dois avouer quau début, je grimaçai mais le plaisir fit en sorte quaprès seulement quelques secondes, jen aurais pris une troisième. Et le pauvre arabe lui, que faisait-il pendant ce temps? Ses gémissements me firent croire que le vieux lenculait. Sans doute voulait-il jouir en lui pendant quil me regardait me faire fourrer par ces deux bêtes musclées. Avec un geste assez féroce, le black me rapprocha la tête de la sienne et me cracha au visage avant de membrasser à pleine bouche. Jentendais la respiration haletante du mec derrière moi qui menfonçait sa large queue à grands coups brusques. « Petit salope, me dit le black en me giflant, tu jouis comme jamais. Pas capable de te contenter dune queue, il ten faut deux dans le cul en même temps. Vous êtes satisfait monsieur Guy? Maintenant tu espères quon te remplisse de notre foutre? Tu ne penses quà sentir la chaleur de notre yaourt glisser le long de ton cul et bien voilà, profites-en », dit-il en jouissant en moi et oui, je sentis le liquide couler en moi et je lentendis crier son plaisir en laissant entendre des jurons. Il se retira et lautre mec accéléra ses mouvements pour, lui aussi, me remplir le panier de son foutre chaud et gluant en me criant dans les oreilles. Il se retira à son tour et, croyant que cétait terminé, larabe prit place derrière moi et me pina fortement pour jouir en moi. Il recula et, croyant encore une fois que cétait terminé, je me retrouvai, cette fois-ci, avec la queue du vieux dans le cul. Il nétait pas venu dans larabe comme je le croyais et en quelques coups, il gicla, lui aussi, son sperme en moi. Quatre mecs venaient de menculer pour me remplir; cétait génial. Du sperme coulait entre mes fesses et, de sa langue, larabe me lécha le tout. Par de petites contractions de lanus, je lui en donnai encore plus et à la vitesse à laquelle il gobait tout, je sus quil adorait cela. Je me débarrassai complètement de tout ce yaourt qui se retrouva dans la bouche de larabe qui, disons-le, savait opérer avec sa langue. Je me retournai, me couchant sur le dos et aussitôt, larabe se mit à me sucer. Je vous jure que ce mec était un vrai délice avec sa langue et je lui remplis la bouche de mon foutre quil avala complètement, nettoyant ma queue en profondeur. Sans mot dire, il quitta la pièce, suivit du mec à grosse queue, me laissant seul avec le black et le vieux. « Et bien, je vois que tu ne mens pas sur ton blog. Tu es une vraie salope de première classe », me dit le vieux en quittant, lui aussi, la cave. Resté seul avec le black, jentrepris denfiler mon jeans mais il marrêta. « Laisse-moi te regarder encore un peu. Tu sais que tu un superbe mec pour ton âge. Tu aimerais faire équipe avec moi? » Je le regardai en fronçant les sourcils et il comprit que je ne captais pas tout à fait ses paroles. « Tu pourrais, comme moi, faire ce genre de clients. Tu pognerais à fond ». Je me mis à rire et le remerciai de ses compliments. « Je ne crois pas quà lâge que je suis rendu, quil est temps de changer de carrière », lui répondis-je. « On pourrait tout de même se revoir, gratuitement je veux dire ». Et pourquoi pas? Je lui laissai mon numéro de cellulaire et enfila mon jeans avant de monter rejoindre le vieux qui, je vous le jure, était couché dans son lit et dormait profondément.
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