La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode 307)
Suite de l'épisode N°304 - L'histoire de Thaïs et son Maître Vénéré
Thaïs reprend ses caresses, suivant lordre impératif du Majordome qui la regarde faire, alors quil vient de lui annoncer clairement :
- Qui ta dit que tu avais le droit de tarrêter ? Tu croyais peut-être que je ne le verrais pas ! Tu tarrêteras quand je le dirai, pas avant, pas après. Cest clair ! Et surtout pas dorgasme, petite chienne !
En essayant tant bien que mal de maitriser la montée du plaisir et la survenance dun orgasme non autorisé qui lui vaudrait immédiatement une punition, la soumise se concentre pour rendre son geste plus mécanique, bien que sensuel, lui permettant de rester juste en deçà de la jouissance, mais sans pour autant sinterrompre de se caresser sa chatte dégoulinante de cyprine et son bouton de roses turgescent, de peur de se voir à nouveau rabrouer à juste titre par Walter. Dans la nuit de son bandeau, elle a de plus en plus de mal sur le plan physique à résister à ses instincts primaires, à son envie sexuelle daller plus loin et son désir de senvoler vers lextase. Ce contrôle par lesprit et la pensée quelle impose à son corps est dautant plus éprouvant quelle est sollicitée par sa propre main, actionnée par sa volonté assumée à obéir à un ordre quelle a reçu du Majordome, et quelle exécute parce quil vient indirectement de son Maître Vénéré qui, en Son absence, a remis Sa soumise entre les mains de Son domestique, lui exigeant de lui obéir en tout point. Cest donc dans un vrai chaos intérieur et paradoxal quelle continue à simposer des caresses qui la font à la fois presque chavirer de plaisir et pour autant soupirer de difficultés à résister, surtout que le Majordome na pas lair de vouloir lui permettre de mettre fin à ce petit jeu qui de délices se transforme aussi peu à peu en supplice de peur de ne pas résister et tenir plus longtemps. Thaïs se mord la lèvre pour ne pas gémir de plaisirs, mais au point dexcitation où elle est rendu chaque geste devient encore plus sensuel et plus dur à maintenir.
- Stop !
la chienne ! Retire ta main !
Cest dans un vrai état second que Thaïs sexécute, contente à la fois de pouvoir arrêter le geste qui devenait presque insupportable la forçant à maîtriser un orgasme quelle ne pouvait plus contenir, mais si désemparée de se trouver ainsi abandonnée, terriblement excitée, et nayant pas eu le droit pour autant de laisser sa jouissance enfin éclater. De manière presque instinctive, ses yeux se sont remplis de larmes du trop plein démotions, qui coulent par-dessous le bandeau, mais elle résiste sans rien dire, sachant très bien que ses plaisirs sont entre les mains de Son Maître Vénéré et de celui qui le substitue pour lheure et quils ne sont plus liés à ses propres désirs ou à sa seule volonté. La soumise na pas bougé dun pouce à part sa main quelle a retiré de sa chatte, la laissant pendre nonchalante sur le côté. Moins de 5 secondes plus tard, le Majordome, lui att les deux mains les remontant bras tendus au dessus de la tête. Il passe les anneaux de ses bracelets dans un mousqueton relié à une chaîne qui est accrochée dans le mur, la forçant à sarc-bouter encore plus vers larrière, ce qui fait remonter sa poitrine. Puis dun geste appuyé sur les deux genoux, il les écarte au maximum, ce qui a pour effet dentrouvrir encore plus la chatte béante de Thaïs qui ne sait toujours pas ce que lon attend delle et se laisse faire docile, manipulée comme si elle nétait quune simple poupée de chiffon, se sentant totalement exposée, ouverte et indécente.
- Ce que tu dois retenir de cette leçon, cest que ta jouissance doit être maitrisée à tout moment, quelle ne tappartient plus, quelle sera là seulement quand tu y seras autorisée, mais que ton conditionnement à être pour ton Maître la soumise quIL espère que tu deviennes entre Ses mains au terme de ton dressage entre ces murs, fera que tu jouiras au seul son de sa voix, un claquement de doigts, un claquement de mains, un simple « maintenant » qui te donnera le droit de jouir, avec ou sans caresses ni besoin de longs préliminaires de toutes sortes, simplement un bon apprentissage pour que ton corps qui sera maintenue en permanence en état dexcitation puisse répondre à toute exigence
Thaïs écoute sans mot dire les paroles de Walter, sentant toujours le feu qui dévore son bas-ventre, tant elle est restée frustrée de ces caresses interrompues.
- Mais cest que tu es une vraie chienne en chaleur ! Regarde-moi çà ! tu as la chatte trempée qui sent le sexe à plein nez ! Je pense que tu aimerais bien une bonne et grosse queue pour te soulager mais tu ne mérites sûrement pas la mienne
Tu es ici pour être punie et aussi dressée, parce que ce matin tu as osé me bousculer en me rentrant dedans au lieu de tarrêter au bon moment. Ecarte encore plus les cuisses que je me régale du spectacle de te voir ainsi ouverte, offerte, humide, à ta place de chienne lubrique qui nest là que pour obéir et pour se plier au bon plaisir de celui qui la dirige
Ce que je vois, cest quau moins question masturbation, tu tarrêtes plus promptement que lorsque tu marches. Et pourtant jaurais tellement aimé tentendre me supplier de te laisser jouir quand je tai donné lordre de stopper.
- Pardonnez-moi, Monsieur Walter ! Est-ce un ordre auquel je dois me plier ? Ce que je ferai si Vous lexigez et men donnez lordre ou est-ce simplement un regret que vous exprimez de ce qui ne sest pas passé comme vous laviez imaginé. Pourriez-vous mindiquez ce que je dois faire, car en toute humilité, je nai pas réussi à comprendre ce que vous attendiez de moi.
- Ce que jattends de toi ? Cest très simple ! Dabord que tu te taises tant que je ne te donne pas la parole !
Ce nest pas une gifle qui sabat sur la joue de Thaïs cette fois, mais la lourde main du Majordome qui est venue carrément sabattre sur ses parties intimes heurtant le pubis tout autant que la chatte. Thaïs a sursauté de tout son corps et na pu sempêcher démettre un cri bien plus de surprise que de douleur, malgré limpact cuisant sur son sexe. Elle a souvent reçu des fessées sur son postérieur, mais jamais directement sur sa chatte, qui est dautant plus sensible quelle est restée particulièrement excitée et sevrée dorgasme.
- Ce que jattends de toi ? Cest encore simple ! Cest que tu ouvres grand les cuisses chaque fois que tu en reçois lordre !
Thaïs reçois en même temps trois nouvelles frappes assez fortes sur son intimité, et elle se rend compte quelle ressent un plaisir certain à ce traitement qui titille ses zones érogènes beaucoup plus que la douceur supportable.
- Ce que jattends de toi ? Cest que tu obéisses au doigt et à lil, à ton Maître, Monsieur le Marquis dEvans, et en Son absence et à Sa demande envers moi de le remplacer, à mes ordres par substitution.
Walter a commencé à taper modérément de manière presque ininterrompue sur les grandes lèvres suintantes de Thaïs qui sent à nouveau le plaisir la prendre et la faire remonter sur la crête avec une immense envie de jouir. Elle sinterroge au fond delle pour savoir si elle doit tenter de résister jusquà ce quelle reçoive une autorisation expresse davoir un orgasme ou si elle devrait, comme il la suggéré juste avant, se mettre à supplier le Majordome qui vient de lui dire quil aurait aimé lentendre le faire. Quel dilemme pour Thaïs de ne pas savoir quoi faire et de ne pas avoir eu droit à une réponse plus claire de la part de Walter qui visiblement teste ses réactions, sentant très bien que les petits soupirs que Thaïs expriment chaque fois que sa lourde main claque sèchement sur le sexe de la soumise sont devenus de vrais sons de plaisirs, à peine contenus. Il la mène encore au bord de la vague de plaisirs et sinterrompt aussi brusquement quil avait commencé, terminant juste par :
- Ah, Ah, Ah
Te voilà bien avancée maintenant ! Tu as compris cette fois ! Ou tu penses que je dois recommencer encore et encore, pour que tu comprennes mieux ce que jattends de toi
..
Dans la tête de Thaïs, cest encore le chaos. Elle ne sait quoi répondre et quoi faire. Sa vulnérabilité, son abdication totale, sa position indécente, sa sensualité exacerbée, rendent son excitation encore plus forte, prête à la faire chavirer à chaque instant.
- Maintenant (sécrie t-il tandis que, dune main, il promène ses larges doigts dans la caverne humide de Thaïs et sur toute la zone clitoridienne, mais que, de lautre main, il sest mis à la frapper modérément, mais vivement, sur les cuisses et les entrecuisses à pleine main largement ouverte).
Maintenant,
. Maintenant
. encore
. et encore
. et encore
. (dit-il tout en continuant à donner de sérieuses tapes sur les cuisses intérieures et les jambes ouvertes de la soumise qui est prise de puissantes convulsions dans un orgasme foudroyant qui séternise en de longues râles de plaisirs)
Les larmes de Thaïs coulent, car cest lémotion intense qui a pris le dessus. Son corps est en proie à des spasmes qui la secouent pendant encore longtemps après que Walter se soit éloigné retirant ses deux mains du corps alangui de la soumise dont il ny a pas que les larmes de ses yeux qui ont coulé. Sa fontaine a inondé carrément les mains de Walter mais aussi le sofa dessous, sortant par jets saccadés presque à chaque frappe quelle recevait.
- Je ne tavais pas demandé de me laver les mains au passage. Mais je dois avouer que cest surprenant de te voir ainsi pisser de mouille quand tu jouis ! La prochaine fois, je te mettrai une coupelle sous les fesses pour récupérer le liquide, cela évitera que tu tâches partout, petite pisseuse de chienne fontaine...
Thaïs reprend à peine son souffle et émerge de cet autre monde sensuel dans lequel elle a été entrainée. Elle naime pas vraiment quand Walter la traite de pisseuse, mais elle préfère ne pas y prêter attention, car elle est plutôt heureuse du plaisir quelle a pu prendre, reconnaissant avec quel doigté il lui fut prodigué, pour un orgasme qui démarra sur le simple ordre de Walter et dura
, dura aussi longtemps que le Majordome en eut décidé ainsi. Au risque de se faire reprendre et de recevoir en retour une gifle pour avoir osé ouvrir la bouche, Thaïs se lance quand même avec un :
- Merci, Monsieur Walter, Merci, merci.
- Oui, tu as raison de me remercier. Tu dois me remercier chaque fois que je te permets de prendre du plaisir, mais aussi chaque fois que je ne te le permets pas parce que cela fait partie de ton dressage et que je passe de mon temps pour te formater suivant les ordres et le bon plaisir de ton Maître Vénéré. Et tu dois bien sûr me remercier chaque fois que je suis obligé de te châtier parce que tu as fauté et que tu dois être punie avec sévérité et sans indulgence pour pouvoir te permettre de taméliorer.
Walter avance sa main trempée de la bouche de Thaïs, tandis que de lautre main il lui ôte son bandeau et détache ses mains lui rendant la vue et une liberté, très relatives puisquelle reste sans bouger et garde les yeux baissés.
- Il est bon que tu puisses voir de près la main que tu baises, car cest celle qui donne du plaisir tout autant que celle qui punit. Cependant dans ce geste, ce nest pas ma main que tu dois voir, mais celle de ton unique Maître, que je substitue pour linstant.
Thaïs garde le regard baissé pour ne pas croiser celui du Majordome qui se tient juste au-dessus delle, droit et rigide avec sa grande carrure. Délicatement, comme si elle sapprochait dun objet précieux, la soumise prend la main, tendue dans sa direction, avec beaucoup de tendresse et de respect. Elle dépose un baiser sur le dessus de la main, et puis encore un autre, et un autre
et plein dautres encore en signe de remerciements multiples. Cest Walter qui interrompt ses gestes, rapprochant sa main trempée des lèvres de Thaïs.
- Lèche maintenant la chienne, lèche la main que tu as trempée. Et tâche de bien lécher car il est temps de partir, mon repas doit être prêt, et jai faim après tant deffort. Cest très fatigant de bien dresser une chienne, il faut que tu en aies conscience.
Thaïs voudrait bien par compassion que le Majordome puisse aussi penser que cest bien plus fatiguant dêtre une chienne qui doit être dressée et à qui il ne laisse pas une seule seconde de répit, car à peine le temps de reprendre son souffle, Walter att la laisse qui pend au cou de lesclave-soumise pour quitter la salle de gym qui se trouve au sous-sol, en ayant juste précisé :
- Debout ! Tu me suis sur tes jambes, car tu as assez marché à quatre pattes pour aujourdhui et « qui veut aller loin ménage sa monture » dit le proverbe, donc pour ton premier jour de dressage entre ces murs, cela reste suffisant, surtout que Monsieur le Marquis dEvans en partant ma bien recommandé de prendre soin de toi. Mais tu nen es pas tout à fait quitte pour ta punition, je te garde avec moi pour la soirée et la nuit, tu ne rejoindras pas ton cachot, mais tu vas avoir droit de te restaurer et de te reposer, sois sans crainte...
Thaïs ne craint presque plus rien. Elle est dans un tel état de fatigue quelle suit de manière presque inconsciente, tel un automate, les pas de Walter, ne rêvant plus que dun moment de répit au terme de cette première journée au Château qui lui semble avoir duré plusieurs jours tant il y a eu de moments intenses, émouvants et éprouvants. A peine sont-ils sortis de la salle de gym que Thaïs, qui marche en gardant la tête baissée, très heureuse de ne pas avoir à se déplacer à quatre pattes car ses genoux sont encore meurtris du long passage éprouvant sur le tapis roulant qui était rugueux, aperçoit des pieds qui marchent juste à côté des siens dun même pas. Il lui semble reconnaître les pieds et les mollets du chien-esclave e6942 MDE, quelle avait suivi assez longtemps le matin même pour pouvoir simprégner de leurs formes et leurs tailles. Aucun mot na été échangé, car au Château, quand les ordres sont donnés, il ny a pas besoin den dire plus. Lesclave a été prévenu par Walter via le réseau interne de téléphone qui est installé dans chaque pièce et qui permet au Majordome, et également au Châtelain quand il en a besoin, de joindre, soit la salle de surveillance du Château qui est équipée de caméras, soit tout autre pièce dans laquelle il peut faire passer ses consignes aux autres membres du personnel et donner ses ordres indirectement à tous les esclaves qui sont souvent sous la surveillance dun acolyte. e6942 MDE savait donc quil devait impérativement rejoindre le Majordome à cet endroit-là pour telle heure et depuis fort longtemps, sans se soucier du temps qui passe, il attend devant la porte à genoux sans bouger. Il sest levé dun simple geste du doigt de Walter qui ne lui a adressé, ni un regard, ni un mot, comme la misérable et insignifiante chose quil reste aux yeux du domestique. Il suit tout aussi docilement que Thaïs sans se poser la moindre question sur la destination et sur ce qui va se passer, se doutant quil recevra bien en temps voulu les consignes adéquates
(A suivre
)
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