Ma Petite Culotte
« Que va-t-elle inventer pour justifier l'absence de ce petit bout de tissu » (voir : un dépucelage raté)
Daniel me pelotait le cul tout en saluant le départ de la famille de son autre main.
« Tu sais que je t'aime toi. Ton déjeuner était parfait, le gigot/flageolets un régal » il s'arrêta soudain , quelque chose ne collait pas. Aïe ! A travers le tissu il ne sentait pas cet obstacle qu'était ma culotte. D'un coup il releva ma robe et mon fessier lui apparu dans toute sa splendeur. J'étais sans culotte, donc les miches à l'air.
« C'est bien ce dont je me doutais, habitué comme je suis à te peloter le derche, la sensation n'est pas comme d'habitude. Comment se fait ce que tu sois cul nu ? Ce matin tu portais la culotte blanche avec de petits rubans noirs du plus bel effet si je me souviens bien, j'en bandais presque»
« Ben , j'ai tellement ri à table et le champagne aidant, ma vessie n'a pas résister et quelques gouttes m'ont échappé. Pas grand chose, mais j'étais si mal à l'aise que j'ai profité du moment où j'allais à la cuisine pour la poser. Je n'ai pas voulu remonter dans la chambre pour me changer nos invités se seraient douté de quelque chose, voilà tout ».
« Et tu l'as laissé dans la cuisine, ça fait désordre ».
« Non, je l'ai jetée subrepticement dans la panière à linge sale de la salle de bain »
« Donc, elle y est toujours, je vais la chercher, tu sais que j'adore humer tes petites culottes portées, j'aime ton odeur intime »
« Mets plutôt ton nez directement entre mes fesses, elles sont à ta portée, ce sera directement du producteur au consommateur »
Il fallait absolument que je le retienne, sachant très bien qu'il ne trouverait rien dans la panière. En l'incitant à me bouffer le cul, il aura vite oublié cette histoire de cache sexe.
Grave erreur, il tenait à voir ce que je ne portais plus.
« T'es sûr que tu la mise là » me cria-t-il de la salle de bain « il y plein de choses au sale mais pas ce que je cherche »
« Tu trouves jamais rien, attends j'arrive » je lui réponds hypocritement.
« Je dirais bien que tu l'as donnée à ton amant mais c'est impossible nous sommes restés ensemble toute la journée. Le seul moment ou je t'ai laissé, c'est pour aller jouer aux boules et tu étais avec les neveux, si tu avais un amant il n'aurait pas pu entrer à ce moment. La petite culotte s'est évaporée comme par enchantement ; ta pisse n'est tout de même pas acide au point de diluer un slip..... Je ne vois qu'une explication, un de tes neveux a subtilisé l'objet. »
« Tu n'y penses pas, voler les dessous de leur tante !!! »
« Depuis que tu t'ai mise à poil devant eux pour leur montrer comment était faite une belle femme (voir : la leçon de conduite) il doivent se branler en pensant à toi ; je me demande d'ailleurs si c'était une si bonne idée que ça. Le contenu, c'est à dire tes miches ne leurs suffisaient plus ils leurs fallait le contenant ta culotte- comme ça ils ont l'odeur en plus ; Ils doivent se régaler. La prochaine fois que je les rencontre je leur dis de te resti un bien qui ne leur appartient pas. »
« T'en fais une histoire pour un bout de tissu, laisse les donc tranquilles si ça peut les amuser, tu n'as jamais piqué de sous vêtements féminin quand tu étais jeune ? »
« Si, mais ils séchaient sur le fil à linge des voisins, je fantasmais sur l'opulente poitrine de la voisine. J'avais même bricolé un système pour voir sous ses jupes et je me suis pris une bonne raclée. J'avais mis un miroir au bout de mon sac de sport que je glissais discrètement sous elle, comme ça »
Joignant le geste à la parole il me colle entre les cuisses un petit miroir qui traînait sur le lavabo. A la vue de mon cul nu en contre plongée dans le miroir son sang ne fit qu'un tour.
«Il a raison, voir sous les jupes des filles c'est excitant. Là je vois ta fente, ta raie des fesses, écarte un peu plus pour mieux distingué, et puis non retrousse toi je vais te violer tout de suite là sur la table à repasser».
« T'as pas un peu sur le champ à midi, t'es saoul oui , tu n'arrives même pas à sortir ta queue ».
Il se démenais, faillit tomber en levant la jambe pour se débarrasser du pantalon, il titubait. Je le regardais en riant. Il allait me violer, tu parles.
« Tu vas me violer que tu dis, t'as vu tu ne bandes même pas, l'alcool n'est pas toujours aphrodisiaque tu sais, tu ferais mieux d'aller t'allonger un moment »
« Je suis encore assez lucide pour voir qu' en effet je ne suis pas au mieux de ma forme mais tu ne perds rien pour attendre, il faudra bien que tu y passes ».
Là dessus partant en titubant, il lâche un pet gigantesque .
«Ça va pas, non »
« Ce sont les flageolets qui font leur effet, ça donne des flatulence les fayots. Tu ne pètes sans doute jamais toi. Ah ! Oui c'est vrai les femmes ne lâchent jamais de caisses ou alors discrètement. Vaut mieux se lâcher devant tout le monde, qu'être malade tout seul »
« Tu vas pas me faire une thèse sur le pouvoir gazeux des haricots, vas t'allonger ».
Et il repart en pétant de plus bel.
Moi aussi j'avais mal au ventre, les haricots faisaient leur effet mais pour l'instant impossible de me soulager, mes intestins grouillaient mais c'est tout, les gaz n'étaient pas arrivés à destination.
Je me mis donc en devoir de ranger la vaisselle de midi et de vaquer à quelques tâches ménagères pour m'éviter de penser à mon mal au ventre.
Et si je lui faisait une surprise à mon petit mari ?
Simplement vêtue d'une courte nuisette avec bas, porte jarretelles et chaussures à talons (genre fille de mauvaise vie) j'entrais dans la chambre ou dormait Daniel. Il était à poil sur le lit, respirant très fort. Sa bite n'était pas au repos mais pas non plus complètement tendue, à qui pouvait il rêver ?
Je m'approchais doucement et posant mon cul sur sa figure je lui envois en pleine face un pet sifflant,tonitruant.
« Qu'est ce que c'est, qu'est ce » sursauta-t-il en reprenant ses esprits. « Oh le beau cul poilu, mais ma parole je les connais ces fesses, ce sont celles de ma femme. Pour un réveil en fanfare, c'est un réveil en fanfare, je vois ou plutôt je sens que les haricots font leur petit effet. Viens là que je te bouffe l'oignon »
Ni une ni deux je grimpe sur le lit avec mes chaussures à talons comme dans les films pornos et me place en 69, le postérieur bien en face de sa figure et ma bouche à hauteur de sa queue bandée à souhait. Et nous voilà partis dans un exercice de succion mutuelle. C'était bon mais mon plaisir était gâché par ce mal au bide persistant, je n'aurais jamais dû reprendre des flageolets avec le gigot. Emportée par l'élan du plaisir je sentis soudain une onde dans mes entrailles, les gaz arrivaient à destination de la sortie. Je n'allais tout de même pas gâcher l'instant présent pour me soulager, d'autant que lui avait entreprit de me faire une feuille de rose on ne peut plus réussie. De sa langue enroulée en cornet il avait réussi à me sonder l'anus, c'était sublime mais il fallait que je me lâche.
« Mon amour, tu m'excuseras mais il faut que je me soulage maintenant, j'ai trop mal au ventre, alors retire ta langue que je pète » aussitôt dit, aussitôt fait, mon trou du cul à peine libéré je lâche une caisse, un pet libérateur énorme, sonore, vibrant qui n'en finissait plus.
Nous sommes partis tous les deux d'un fou rire clair et franc .
« Ah enfin de l'air frais, je commençais à m' » s'exclama-t-il.
« T'appelle ça de l'air frais, je sais pas ce qu'il te faut, ça ne doit pas sentir la rose ? »
« J'aime quand tu me pètes au nez, ça pimente nos relations »
« Tu aimes ça eh bien tiens en voilà un autre en direct de la productrice » lui dis je en lui en voyant un autre gaz puant.
« Tu peux pas savoir ce que ça fait du bien de pouvoir péter sans retenue et sans honte.
« Tu ne vas pas me faire, non plus, une théorie sur les flatulences, reprenons les chose ou nous les avions laissées d'autant que cet intermède a redonné de la vigueur à cette chose que tu avais en bouche tout à l'heure ».
« Tu vas voir, je vais te violer » lui dis je en venant m'accroupir sur son sexe. J'étais bien emmanchée mais voilà à plus de quarante ans, sur un lit avec des chaussures à talons, l'équilibre n'est plus ce qu'il était et j'avais mal aux cuisses et aux genoux à manuvrer de haut en bas. Je me positionnais donc à genoux tout en enserrant sa queue, le derrière face à lui. Il n'avait rien à faire, je dirigeais les opérations et ça avait l'air de lui convenir. Il avait la vision de mon gros popotin montant et descendant le long de sa virilité et il ne s'en plaignait pas.
« Tourne toi vers moi que je vois l'autre face de ta personnalité » me dit-il
Je repris donc la même position à genoux mais dans l'autre sens. Là je me laissais tomber, bien caler et ne bougeais plus.
« Est ce que tu imagines ta sur et le beau frère dans la même position, D'ailleurs tu les vois faisant l'amour, je préfère ne pas y penser. Sorti du « missionnaire » et encore tu crois qu'ils ont de l'imagination sur ces choses là ? »
« Faut se méfier de l'eau qui dort, c'est pas parce qu'ils n'abordent jamais le sujet qu'ils n'ont pas des pratiques olé olé. Peut être qu'il sodomise sa femme le beau frère ».
« Je vois pas ta sur se faire enculer par quelqu'un, elle est bien trop coincée » lui dis je
« En parlant sodomie et enculage, ça te dis pas si j'allais faire une intrusion par là ? »
« Monsieur voudrait me prendre par derrière, mais c'est moi qui ai la direction des opérations, n'oublie pas. L'idée n'est pas si mauvaise après tout, ça me dégagera peut être de tous les miasmes que je sens en moi »
« Tu crois que ça marchera à sec ou on lubrifie ? »
« Pas besoin de lubrifiant, je mouille déjà bien assez et puis avec tous ces gaz mon trou n'est pas vraiment refermé. Bouge pas reste comme ça je m'occupe de tout, je t'ai bien dis que je te violerais »
Me levant sensiblement pour dégager son braquemart, passant mon bras en arrière j'attrapais celui ci et le présentais à l'entrée de mon anus entrouvert. Nous nous sommes ainsi retrouvé comme tout à l'heure mais pas par le même orifice.
Lui restait impassible, moi je n'ai pas pu. Sentant cette chose dans mon rectum, il fallait que je bouge, j'étais comme assise sur une fourmilière. Je me démenais comme une folle, toute à mon plaisir, j'avais cependant un sentiment de honte de tromper un si gentil mari avec mon neveu Steve qui me fait mal avec son braquemart trop long et je ne parle pas du curé qui lui me détruit complétement la rondelle. Là avec Daniel sa bite est totalement adaptée à mon trou de balle comme si ils étaient fait l'un pour l'autre.
Et ce qui devait arriver arriva, il déchargea sans un mot une quantité qui me sembla impressionnante de sperme emplissant ainsi mon boyau culier. La sensation de sentir ces grandes giclées de foutre en moi, je partais en extase bruyante et m'abattis sur lui dégageant ainsi sa bite de mon petit trou.
«Ton fion doit être dans un drôle d'état après cette escalade ? »
« Tu veux voir » je lui dis en me retournant pour lui présenter mes fesses.
En position face à fesses, je pousse pour qu'il constate par lui même les dégâts. Ce que je n'avais pas prévu c'est que mon trou n'étant pas encore complètement refermé et que les haricots faisant toujours leur effet, je lui envois, sans m'en rendre compte, un pet accompagné du produit de sa jouissance. Cela n'en finissait plus de faire des prouts, des bulles, des frrttts impossible à contrôler, je n'étais visiblement plus maîtresse de mon cul. Un sentiment de honte m'envahit -que va-t-il penser- vite dissipé tellement il riait.
« A te voir te lâcher ainsi, sans pudeur, ça me donnerai presque envie de remettre le couvert, mais il vas falloir attendre un peu, les batteries sont à plat »
Nous nous sommes endormis l'un contre l'autre sans même nous laver ( les draps s'en souviendront).
Le lendemain, tard dans la matinée, c'est la sonnerie du téléphone qui nous réveilla .
« Allô »bafouillais je
« C'est qui, c'est qui ? »
« Ta sur qui me demande si nous avons bien digéré. Eux on peiné a s'endormir tellement ils étaient ballonnés, elle pense que ce sont les haricots »
« Dis lui qu'ils avaient qu'à faire comme nous, péter sans contrainte plutôt que de se retenir sournoisement, ça aurait dégagé tous leurs orifices »
« Je ne vais quand même pas lui dire ça, elle va rougir. Elle ajoute- tu ne devineras jamais ce que j'ai trouvé dans la poche du pantalon de Steve avant de le laver : eh bien : une petite culotte de femme, tu te rends compte ! ! ! »
« Demande lui si ça ne serait pas une petite culotte blanche avec des rubans noirs par hasard, tu sais celle que tu portais hier matin »
Trop tard elle a raccroché.
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