5. Valérie

Valérie et moi restâmes figées par le passage éclair de Georges, nous demandant que faire.
- Oh mon dieu ! Qu’allons-nous faire ? soupira Valérie d’un air contrarié.
Je retrouvai mes esprits :
- Ne t’inquiète pas Val. Je vais aller le voir et lui expliquer que c’est moi qui t’ai provoquée répondis-je calmement.
- Cela ne changera rien à ce qu’il va penser. Je ne veux pas qu’il pense que je suis lesbienne ! lâcha-t-elle inquiète.
- Penses-tu que je le sois ? Je suis simplement bisexuelle. J’ai une large préférence pour les hommes, mais avec une belle femme comme toi, je ne résiste pas. Et je ne pense pas qu’il sera choqué de mon attitude. Pour toi, je lui expliquerai.
- Mais que vas-tu lui dire ? répondit-elle toujours inquiète.
- Ça c’est mon secret Val. L’important est qu’il te trouve toujours aussi désirable non ?
- Heu … je ne sais plus quoi penser. J’avoue être un peu perdue par tout ceci. J’ai eu un moment d’égarement.
- Nous sommes des adultes Val. Nous avons tous des envies refoulées et je pense que tu as besoin de les exprimer. En tout cas, sache que moi, je suis partante. A toi de voir mais j’ai très envie de toi. Et si tu es attirée par Georges, il te faudra simplement accepter sa nature.
- Que veux-tu dire ? souffla-t-elle.
- Rien car je ne pense pas que ce soit un problème pour toi puisque tu n’es pas jalouse de moi. Georges envie beaucoup Arthur car il souhaiterait avoir une compagne qui l’aime et qui comme moi, aime aussi se donner à d’autres pour son plaisir à lui. Tu comprends ?
- Oui, j’avais compris Laeti. Tout cela est tellement nouveau pour moi ! reprit-elle, retrouvant un peu de vivacité dans la voix.
- Bon, allez ! Je vais lui apporter le dossier Laplace. Va te rafraîchir un peu avant de reprendre ton poste.
J’apportai à Georges le dossier qu’il avait demandé à Valérie. Je lui expliquai l’enchainement de circonstances qui avaient abouti au spectacle auquel il avait assisté quelques minutes plus tôt.

Georges m’écoutait avec attention, avec une lueur dans le regard que je connaissais bien.
- Et bien ma Laeti ! Je ne sais pas trop quoi penser de Valérie. Je crois qu’il ne faut rien changer à nos habitudes entre elle et moi.
- Oui mais Georges, avoue que tu la trouves très attirante quand même, non ? répondis-je.
- Oui c’est vrai. Je te l’ai dit comme ça, parce qu’on parlait d’elle.
- Je me souviens très bien ce que tu as dit : je la décoincerais bien ! Ce sont tes mots ! Je pense que l’occasion est belle. Si tu veux, je te la prépare ! dis-je en souriant.
- Mmm … je pense qu’elle est trop coincée fit-il.
- Moi je pense au contraire qu’elle peut être une bonne compagne et une très belle salope. Peut-être pas aussi bonne salope que moi, mais je pense qu’avec de la pratique, nous pourrions en faire une salope accomplie et pourquoi pas, ta soumise. C’est un de tes grands fantasmes non ? Au moins peut-être qu’avec elle tu pourrais avoir ce que je te refuse.
- Tu penses qu’elle a des envies de soumission ? me dit-il étonné.
- Je suis une femme mon Georges. Et qui mieux qu’une femme coquine comme moi pour deviner les désirs refoulés d’une autre femme ? Alors ? Tu veux que ta salope t’amène une salope soumise ?
- Bon … OK. Je te laisse faire. Mais dis-lui simplement que je la trouve très attirante mais que tu n’es pas certaine que je franchirais le pas avec elle. Tu me diras quand tu la sentiras prête dit-il posément.
- Tu verras que ça viendra plus vite que tu ne le crois, lançai-je en me levant.
- En tout cas, vous m’avez filé une de ces triques toutes les deux ! Là je n’ai pas le temps, mais tu passeras me voir avant de partir ce soir ?
En guise de réponse, je lui fis un clin d’œil en refermant la porte. En passant devant Valérie, je lui proposai que nous déjeunions ensemble le midi. Elle accepta ma proposition, visiblement impatiente de savoir ce qu’il s’était dit entre Georges et moi.
¤ ¤ ¤
J’avais réservé une table dans une brasserie du centre-ville où nous avions nos habitudes.

- Alors ma Laeti comment cela s’est-il passé avec Georges ? Je ne l’ai pas revu de la matinée et j’avoue que ça m’a bien arrangé ! commença Valérie.
- Je lui ai expliqué que c’est moi qui avais pris l’initiative avec toi et ça ne l’a guère surpris ! dis-je amusée. Il m’a avoué qu’après la suprise de nous voir avoir vu toutes deux ainsi, il était très excité. Il m’a confirmé qu’il te trouvait très désirable mais il a quelques réserves.
- Des réserves ? Tu veux dire par rapport à notre relation professionnelle ? s’inquiéta Valérie.
- Non, très peu sur le plan professionnel car Georges sait faire la part des choses et il est convaincu que toi aussi. Non, en fait ses réserves se portent je crois davantage par rapport à ses attentes et ta capacité ou plutôt ta volonté à y répondre.
- Tu sais bien que je l’admire et que j’ai des sentiments envers lui. Maintenant que je sais qu’il est en train de divorcer, j’avoue que j’aimerais vraiment le conquérir répondit Valérie.
- Il est flatté par ton intérêt pour lui, vraiment Val. Et ce sont ses propres mots. En fait, Georges recherche une femme qui soit tout pour lui : une amie, une confidente, une complice, une maîtresse et plus encore.
- Je pense être à même d’être avec lui toutes ces femmes à la fois. J’en meure d’envie ! dit-elle enthousiaste.
- Je n’en doute pas Val. Mais il recherche plus que cela chez une femme …
Je m’interrompus volontairement attendant qu’elle emprunte le chemin vers lequel je voulais la mener.
- Ma Laeti, je ne comprends pas ce que tu veux dire ! Je suis adulte et tu sais que tu peux me dire les choses clairement dit-elle d’un ton faussement fâché.
- Oui mais c’est assez délicat. Je ne sais pas si je peux dire ce genre de chose répondis-je, prenant un air faussement hésitant.
- Après ce qu’il s’est passé ce matin dans ton bureau, nous n’allons pas faire de manière entre nous tout de même ma Laeti !
- Tu as raison. Mais tu ne m’as pas dit ce que tu aas éprouvé.
Ça t’a plu ? lançai-je.
- Tu n’as pas senti à quel point cela m’a plu ? Même si je ne suis pas lesbienne je sais apprécier les plaisirs avec une femme aussi sexy que toi murmura Valérie, comme si elle craignait d’être entendue. Alors que puis-je faire de plus pour plaire à Georges ?
- Ecoute Val. Es-tu d’accord que l’harmonie sexuelle entre deux êtres est primordiale s’ils veulent que leur relation dure ? demandai-je.
- Oh que oui s’empressa de répondre Valérie. Et j’en sais quelque chose, crois-moi ! C’est pour cela que mon ex et moi avons divorcé. Avec lui, j’étais insatisfaite. J’ai rarement pris du plaisir. Il me sollicitait d’ailleurs très peu. Et pour ce qui est de parler de nos fantasmes, ce genre de conversation était totalement tabou avec lui.
- Ah bon ! fis-je étonnée. Excuse-moi de te dire cela, mais j’aurais plutôt pensé que c’était toi la plus coincée dans ton couple.
- Oh Laeti. Tu n’es pourtant pas du genre à te fier aux apparences. Même si j’ai un stylr un peu BCBG, je le sais, je n’en reste pas moins une femme, qui plus est, insatisfaite.
- Oui tu as raison Val. A moi, tu sais tu peux me parler de tes fantasmes ! Je dois t’avouer que j’adore parler de sexe.
- Rohhh ! Que tu es cochonne ! Ce n’est pas possible. Si j’avais su à quel point tu étais cochonne ! me lança-t-elle en fronçant des sourcils.
- Si tu avais su tu aurais fait quoi ?
- Et bien je me serai certainement plus confiée à toi, comme je le fais en ce moment, petite curieuse.
- Alors, ne t’arrête pas en si bon chemin Val. Dis-moi tout la suppliai-je.
- Non c’est toi qui devais me dire ce que Georges attendait plus encore d’une femme.
- Je te propose un petit jeu de vérité Val : tu me parles de tes désirs intimes et de tes fantasmes préférés, et je te dis si Georges apprécie beaucoup, assez, peu ou pas du tout. Tu es d’accord ?
- Hummm … De toute façon je n’ai guère le choix puisqu’autrement tu ne me diras rien n’est-ce pas ? rétorqua Valérie.

- Oui tu as tout compris ! dis-je en lui faisant un large sourire. Alors je t’écoute Val.
- Bon je me lance alors … Ce que j’aime c’est un homme d’un bon niveau, assez viril et autoritaire. Je veux dire qu’il sait ce qu’il veut et l’obtient par son autorité naturelle plus que par sa patience.
- Tu veux dire un dominateur ?
- Oui c’est cela. Je veux un mâle dominant !
- Un mâle dominant qui soumettrait sa chienne à tous ses fantasmes ? C’est cela ?
- Oui … murmura Valérie. Que vas-tu penser de moi ?
- Je ne te juge pas. Je peux juste te dire que Georges adorerait cela !
- Ah bon ? Tu en es sûre Laeti ?
- Oh que oui ! Je peux te dire que c’est son plus grand désir. Là tu marques un point énorme Val !
- Oh ! J’aimerai tellement être la soumise de cet homme que j’admire tant ! soupira Valérie.
- Et quoi d’autre Val ?
- J’aimerai faire l’amour avec plusieurs hommes dont lui bien sûr !
- Là tu marques encore un point ! souris-je.
- En fait j’aimerai tout ce qu’il me demanderait de faire ! Je ne peux pas mieux dire Laeti !
- Et bien ma chère Val ! Je crois que vous êtes vraiment faits pour vous entendre !
L’heure tournait. Nous nous hâtâmes de terminer le déjeuner. Je promis à Valérie de tout faire auprès de Georges afin que ce soit lui qui prenne l’initiative car elle ne s’en sentait pas capable.
¤ ¤ ¤
Dans l’après-midi, Georges passa à mon bureau. Il referma la porte et s’assit face à moi.
- J’ai vu que tu étais partie déjeuner avec Valérie. Ça c’est bien passé ?
- Oui on a très bien déjeuné. La salade composée que j’ai commandée était délicieuse. Ils avaient mis dans la sauce une espèce d’épices …
- Arrête Laeti ! Ne me fais pas languir petite garce ! Tu lui as parlé de moi ?
- Oui un peu ! On a surtout parlé d’elle Georges !
- Bon et alors ?
- Et alors quoi Georges ?
- Mais bon sang ! Tu arrêtes de faire la garce ! Allez, dis-moi !
- Je te propose mieux mon Georges ! Vers 17h45 je passerai te voir. Débrouille-toi pour être seul. Une bonne démonstration vaut mieux qu’un long discours ! En attendant tu m’excuseras, mais j’ai un patron qui me donne trop de travail ! Je suis débordée !
Georges ne dit rien, se leva et quitta mon bureau. Avant de refermer la porte, il me lança :
- Tu ne perds rien pour attendre petite garce !
- Toi non plus ! dis-je en souriant.
J’étais assez fière de mon effet. J’avais du travail par-dessus la tête mais j’avais l’esprit trop occupé pour arriver à faire quoi que ce soit d’efficace. A 17h40, je quittai mon bureau pour rejoindre Georges et en passant devant le bureau de Valérie, je lui fis un clin d’œil en lui soufflant :
- Tiens-toi prête !
Elle n’eut pas le temps de répondre que j’étais déjà dans le bureau de Georges.
- Alors cher patron, ça va ?
- Oui. Bon alors, tu voulais me montrer quoi ?
- Appelle Valérie, qu’elle nous rejoigne ici.
- Pourquoi ? tu ne veux pas m’expliquer avant ?
- Bon Georges, je t’ai dit une démonstration, pas un discours ! Alors tu l’appelles oui ou non ?
- Hummm … OK …
Il prit son téléphone :
- Oui monsieur ?
- Oui, Valérie, vous pouvez venir s’il vous plaît ?
- J’arrive monsieur.
Georges me fixait d’un air interrogateur. Je soutins son regard comme par défi et histoire aussi de lui montrer que c’était bien moi qui prenait les choses en main.
- Oui monsieur ? Que puis-je pour vous ?
- Euh …
J’interrompis Georges qui semblait un peu déboussolé.
- Ma chère Val, voici la chance de ta vie. Et c’est pareil pour toi Georges. Valérie, enlève ton tailleur et ton chemisier.
- P… Pardon ? Tu pourrais m’expliquer ce …
- Déshabille-toi Val. Georges meurt d’envie de te voir en sous-vêtements ! dis-je d’un ton autoritaire qui ne voulait pas laisser de possibilité à une quelconque hésitation.
Georges ne disait rien, soufflé par mon aplomb.
- Allez Val, enlève ton chemisier et ta jupe !
Et joignant le geste à la parole, je m’approchai de Valérie et commençait à déboutonner son chemisier. Valérie restait figée sans dire mot. Je défis la fermeture éclair de sa jupe. Georges faisait de gros yeux. Il est vrai que Valérie avait la beauté d’une femme de 43 ans. Elle avait des seins sublimes, un 85 ou 90D d’après moi. De gros seins bien mis en valeur par un soutien-gorge à balconnet en dentelle noire, assorti d’une paire de bas noire.
- Tu es vraiment sublime ma Val dis-je en approchant mes lèvres des siennes.
Je goûtai de nouveau ses lèvres pulpeuses et douces. Elle répondit à mon baiser. J’étais excitée. Cette femme m’excitait !
- Ce matin tu me cherchais n’est-ce pas ? demandai-je à Valérie.
Puis sans attendre sa réponse, je poursuivis :
- Tu savais où j’étais n’est-ce pas ? Alors tu vas prendre ma place maintenant.
Je la pris par la main et l’amenait aux pieds de Georges.
- Montre à ton patron comme tu le désires. Montre lui que tu es digne de lui.
Sans dire mot, Valérie s’agenouilla devant le fauteuil de Georges. Georges lui releva le menton de son index avec un sourire satisfait. Elle n’osa le regarder dans les yeux.
- Regarde-moi souffla-t-il.
Elle défit la braguette de son pantalon en soutenant le regard de son patron et commença à caresser l’objet de ses désirs. Puis elle approcha ses lèvres et marqua un temps d’arrêt, surprise par l’absence de poil en cet endroit. Elle releva la tête et murmura :
- Oh j’adore le sexe d’homme totalement épilé.
Elle engloutit tant bien que mal le sexe déjà bien dressé. Elle parvenait avec peine à l’emboucher qu’à moitié mais elle semblait pleine de volonté et l‘enfonçait de plus en plus profondément. Georges commençait à soupirer de plus en plus fort.
- Oh Val ! Si tu savais combien de fois j’ai rêvé d’être dans ta bouche !
- Oh si monsieur savait combien de fois je me suis caressée en rêvant de son sexe !
- Ta bouche est tellement douce. Ouiiiii … continues comme ça … Je vais te faire honneur …
Je n’en pouvais plus de les voir ainsi tous deux. Je m’approchai d’eux et tendis son iphone à Georges. Il comprit de suite ce que j’attendais de lui. Je m’agenouillai à mon tour. Valérie fut surprise lorsque je me mis à laper la queue de Georges pendant qu’elle le suçait maintenant à un rythme plus soutenu. Je l’encourageai :
- Oh ! tu manques un peu de pratique mais tu compenses largement par ta bonne volonté petite salope !
- Mmmmmouiiiii ! je suis une chalope ! Che veux être votre chalope monchieur …
- Oh ! Tu vas être une bonne salope ma Val ! dis-je.
J’avais attrapé sa chevelure brune et imprimait le rythme en appuyant de plus en plus fort. Elle se débattit mais Georges lui maintenait fermement ses bras croisés dans son dos. Elle semblait . Je relevai sa tête pour la laisser reprendre son souffle. Elle bavait comme une chienne, les yeux remplis de larme.
- Tu vas faire jouir Georges jusqu’au bout petite salope dis-je en la forçant de nouveau à emboucher l’énorme engin de Georges.
J’étais presque violente avec Valérie, lui tirant sur ses cheveux et lui appuyant sur la tête de plus en plus vite et de plus en plus fort.
- Putain je vais jouir mes salopes ! Arrrrghhhhh ! Arrrrrghhhhh ! Arrrrrghhhhh !
Valérie tentait de se retirer mais je lui maintenais la tête de mes deux mains. Pour ne pas suffoquer, elle n’avait d’autre choix que d’avaler la semence de Georges. Du sperme coulait par la commissure de ses lèvres et par ses narines. Ses yeux étaient révulsés. Je relâchai la pression mais maintenait son visage à bonne distance de la queue de Georges. J’attrapai sa queue et la masturbait.
- Rrrrrohhhhh saloooooopeeeeee ! cria Georges en éjaculant encore sur le visage de Valérie. Il lui balança 6 ou 7 jets épais qui vinrent s’écraser dans la chevelure brune de Valérie, sur son front, sa joue et sur ses yeux.
J’admirai son œuvre : le visage habituellement plutôt sévère de Valérie laissait place désormais à un beau visage de femme lubrique, totalement méconnaissable tant il était balafré de toutes parts de traces blanchâtres.
- Oh que tu es belle ma Val ! dis-je admirative. Je t’envie … Georges ne m’a jamais honorée de la sorte ! Ne bouge pas, je vais te nettoyer.
Et je me mis à lui lécher le visage tout en aspirant le sperme de Georges qui continuait de filmer.
¤ ¤ ¤

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