Je Ne Connaisais Pas D'Homme
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Jai toujours vécu entourée de femmes. Je ne me souviens quà peine du garçon qui était avec moi en primaire. Je crois quil était brun. Jai suivi une longue scolarité dans des écoles privées de filles. Je navais que des amies dont lune un soir ma appris des choses que seules les filles connaissent. Cétait agréablement bon. Le soir quand la surveillante nous quittait nous nous rejoignons dans un lit. Le sien ou le mien. Nous nous caressions doucement entre les cuisses. Cétait défendu, donc meilleur. Nous commencions à nous embrasser comme dans les films. Cétait bizarre au début sa langue dans ma bouche. Ensuite je trouvais ça excitant, au point de le réclamer pendant des moments de la récréation.
Un dimanche après midi nous arrivions, un coup de chance à nous isoler complètement. Je restais son esclave : elle passait sa main sous la robe duniforme, trouvait ce quil fallait. A travers la culotte elle arrivait sur le sexe. Je me sentais mouiller. Ses doigts ont commencé à caresser. Cétait délicieux. Elle a totalement relevé la robe, passé sa tête sur mes cuisses, embrassé le minou. Pour la première fois je sentais une langue sur moi. Je me souviens encore davoir avancé mon pubis. Et cet orgasme puissant qui me faisait tout oublier. Il a fallut attendre le soir pour que je lui rende ce quelle mavait donné. Son odeur me donnais envie de la lécher. Ce nétait pas le vice qui me poussait, cétait une force supérieure. Je sais que cette fois, pour mon premier cunnilingus je lai presque mordu. Cétait aussi bon pour elle que pour moi. Ah, lécher une fille dans ce quelle a de plus secret !
Pendant des vacances, chez moi jai connue des épisodes dans ma vie plus relevés. Cétait dans le hangar de lexploitation sur la paille, une nuit. Nous regardions le ciel quand un étroite filante est passé. Le vu était que nous passions une nuit agréable. Cest moi qui la prenais dans mes bras à son grand étonnement.
Pendant toutes les vacances nous avons continué à nous aimer ainsi en cachette de ma mère ? Qui sait elle naurait rien dit
. Des fois dans la journée nous partions dans les près nous faire du bien sur lherbe. Jaimais sentir sa main sur ma chatte, jaimais sentir le plaisir arriver. Cétait presque aussi bon que le plaisir lui-même. Jaimais sentir mon odeur après sur elle, sur ses lèvres. Un soir elle a voulu entrer sa main dans le vagin. Je nai permis que deux doigts. Elle ma doigté longuement, ma faire jouir une ou deux fois. Jai eu envie cette fois là dune queue en moi. Cétait la première fois que je sentais ce besoin. Elle a calmé mon désir en mettant deux doigts dans le cul. Elle ma fait un peu mal et finalement elle ma faite jouir. Cétait bien meilleur que sa langue seule.
Jai pu trouver du travail en ville, dans une agence de location. Jétais un peu perdue au début. Il fallait que je mette les sexes en ordre. Une femme est une femme, un homme un homme avec une queue. Une queue. La première que je voyais était celle dun employé de ma boite. Il pissait contre un mur, la secouait pour faire tomber la dernière goutte de pipi. Je me demandais comment un si petit outil pouvait donner du plaisir. Nous étions seuls au bureau quand je lui ai posé la question. Il ma regardé étrangement. Il a ouvert sa braguette, sorti sa bite pour que je la vois bien. Elle était déjà plus grosse que la première fois. Elle a grossi encore. Je comprenais ce que bander voulait dire. Jai voulu la lui toucher. Il me la tendu.
Je me suis levée, jai fermé lagence, les rideaux baissés. Je savais quil allait se passer quelque chose dimportant pour moi. Je me suis déshabillée devant lui. Il sest mis aussi nu que moi. Je ne voyais que sa queue. Elle me semblait trop grosse. Il ma faite assoir sur le bout des fesses sur mon bureau. Il est venu presque contre moi, ma fait écarter les jambes, pour se mettre au milieu. Son pieu est venu sue ma chatte. Jai eu peur, comme toutes les femmes, je pense, la première fois. Je me suis accrochée à son cou, nous nous regardions dans les yeux. Il ma demandé si cétait la première fois. Jai dis que oui, comme une folle. Javais mal partout, même sur les seins. Il est venu trop vite dans le con. Jai eu mal, je serrais les dents pour ne pas montrer ma douleur.
Jai senti enfin le plaisir dêtre baisée par une bite. Cétait meilleur quavec une fille. Disons différent. Il a voulu me la mettre au cul. Jai accepté. La sodomie doit être mon truc, jai joui autour de sa queue.
Il était mon, premier. Pas mon dernier. Je suis devenue une folle du sexe. Il suffit quun type me plaise pour que je me donne à lui. Jai découvert dernièrement les plaisirs partagés. Jai trouvé les doubles pénétrations. Je ne sais comment men passer.
Je vais essayer.
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