Travesti En Soubrette Par Une Matrone Pour Le Banquet Du Rugby (6)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
La serveuse qui mavait donné un coup de pied aux fesses surgit subitement dans la cuisine. Elle avait lair furieuse et se mit à hurler:
Petit salope, je viens de voir le grand Marcel sortir de la cuisine en remettant sa bite en place ! Jétais sûre quil tavait baisée petite pute ! ça fait 6 mois que je le drague sans quil ne succombe et toi tu te pointes avec ton petit cul de trainée et il te baise dans la soirée !
Je ne pouvais nier. Jétais allongé dans un plateau vêtu seulement dun soutien-gorge et de bas sexy, la bite à lair, le corps taché de foutre et avec lanus encore dilaté de mes ébats avec le géant, et dont sécoulait encore du sperme. Oui, en quelque sorte, je venais de la faire cocu, même si Marcel ne mavait pas laissé vraiment le choix ! Je me dis cependant en mon for intérieur que daprès les aveux quil mavait faits quant à ses préférences pour les femmes petites et sveltes avec des membres fins, cette grosse serveuse navait aucune chance avec ses bras comme des poteaux et sa pilosité exubérante quelle ne prenait pas la peine de traiter. Je me gardai bien dexprimer cela à voie haute. Cette brute était déjà assez énervée et elle me faisait suffisamment peur, sans compter que ma partie de jambe en lair avec le colosse mavait épuisé. Elle sapprocha dun pas si lourd quelle faisait trembler le sol. Passant son énorme avant bras sous mon ventre, elle me saisit pour me plaquer dos à elle. Mes jambes daraignée battaient lair une nouvelle fois à 50 cm du sol. Sous la pression, mes viscères reprirent une forme normale et expulsèrent une nouvelle quantité de sperme par mon anus. Mon bel amant mavait vraiment rempli ! La grosse serveuse me maintenait en lair avec un seul bras. Elle mécrasait avec force. Je voyais dans la vitre en face cette petite brune qui agitait des jambes gainées de dentelle bien plus minces que les bras velus de sa tortionnaire, et qui paraissait énormes comparés à ma taille de guêpe.
Alors comme ça, tu aimes te faire prendre par de grosses bites, petites salopes ! Je vais te satisfaire alors
Brutalement, elle enfila le poing de sa main libre dans mon cul. La douleur fût terrible. Je voyais dans la vitre quelle lavait inséré jusquau poignet, et elle forçait pour aller plus loin ! je souffrais le martyr. Je criais, je pleurais, mais lamoureuse éconduite ne lâchait pas prise. La pression quelle exerçait me donnait des nausées, je vomis le foutre que je venais davaler:
Cest ça petite catin, crache tout le sperme que mon Marcel ta donné. Il est à moi de toute façon
Elle retira sa main de mon rectum si violemment quil y eut un plop, comme si on avait ouvert une bouteille de vin. Elle saisit alors mon sexe et mes testicules dans son immense main râpeuse et puissante, et se mit à serrer. Mon entre-jambe paraissait si petit dans la main de lamazone !
Si tu tiens vraiment à te comporter comme une petite pute, je vais tarracher les couilles, tu nen as pas besoin de toutes façons, et elles sont tellement minuscules que je ne vois pas ce que tu peux faire avec.
Elle avait raison. La première et dernière fois que javais essayé davoir une relation avec une femme, cest à peine si elle avait senti mon sexe la pénétrer. Elle mavait donc masturber du bout de ses doigts, comme si elle avait eu peur de mécraser.
Alors quelle était sur le point de mémasculer, son regard se porta sur le plateau souillé du sperme qui sétait écoulé de mon cul. Elle memmena prêt de lui.
Regarde toute cette bonne viande que tu as gâchée ! Elle saisit une poignée de rondelle de saucisson dans sa main et la colla contre mon anus encore encore traumatisé. La viande salée provoqua immédiatement une douleur cuisante sur mon petit trou déchiré. Elle porta ensuite les rondelles à ma bouche et me força à les ingérer. Le goût me révulsa instantanément, dautant plus que jétais végétarien.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!