Punition Pour Adultère
Ma femme est une vrai salope. Depuis plus de 3 ans que nous baisons, elle n'en a jamais assez. Toujours en chaleur, toujours humide sa chatte n'est repue qu'après de long coît.
Il faut dire qu'elle vraiment bandante. 1,73 m, de longues jambes fines. 52 kg. Brune un carré plongeant qui lui donne une tête de tigresses. Des gros seins ronds 85E qui sont parfaits pour jouer avec, la taille fine et un p'tit 36 de fesses qui lui donne une allure de bombe atomique. Il ne oasse pas une journée sans qu'un mec vienne la draguer ouvertement à son travail.
J'ai du m'absenter quelques jours et lorsque je suis rentré en fin de soiree au domicile conjugal, la maison était vide. Mon épouse partait le matin de mon arrivée se reposer chez ses parents.
"J'ai besoin de souffler, je suis exténuée" m'avait elle dit sans plus de détails.
Sur le moment je m'étais dis que cela était dû au boulot mais j'ai vite compris qu'il en était autrement.
Lorsque je suis allé me coucher le soir, j'ai tout de suite remarqué de nombreuses tâches sur le drap de notre lit. En regardant de plus près j'ai compris qu'il s' agissait de grandes tâches blanchâtre ainsi que des tâches de spermes. Il y en avait partout, de chaque côté et certaines étaient encore humide.
Ma salope de femme s' était fait baisé comme une pute pendant mon absence. La dernière fois devait avoir eu lieu ce matin.
et pour me rappeler mon absence, elle avait laissé le drap souillé sous mes yeux.
J'ai donc attendu patiemment sous retour, sans jamais lui en toucher un mot par téléphone, s'imaginant tous sortes de scénarios possible.
Lors de son retour après je l'accueili dans l'allée devant notre maison l'embrassant et l'enlassant chaleureusement, son absence m'avait énormément manquée.
Devant la porte d'entrée je lui glissa à l'oreille
-" rentre quelqu'un t'attends"
Je vis sur son visage une expression d'étonnement entre la crainte et la culpabilité.
J'avais, durant son absence appelé son Maître en lui racontant ma découverte et sa réponse fut sans équivoque à ses affront volontaire : la punition par le fouet et le repenti.
Ma femme a un Maître qui vient la remettre dans le droit chemin de sa condition de petite chienne soumise quand Madame a des ardeurs de petite princesse en rute.
Lorsqu'elle franchie la porte elle reconnu immédiatement son Maitre et ses yeux se baisserent vers le sol. Plusieurs Séances de soumission lui revinrent en mémoire.
Le Maître lui passa son collier de chienne autour du cou, signe de soumission et lui fixa sa laisse en cuir rouge sans même la saluer.
- A genoux ! Lui ordonna t'il
- Déshabille toi entièrement et ne garde que ton string.
Du bout des lèvres elle répondit oui et un premier coup de fouet s' abbatit sur ses fesses.
- Oui qui salope ? cria le Maître. Des semaines sans le voir lui avait fait perdre certains réflexes et j'étais heureux que cette petite séance vienne rectifier cette insubordination.
Les lanières de cuir frappèrent les magnifiques fesses de mon épouse dessignant 4 traits rouges.
La réponse fut immédiate : un "Oui Maître" jaillit aussitôt de sa bouche.
Elle se positionna, nue , à genoux au pied de son Maître dans le hall et attendit ses ordres.
Lorsqu'il l'a senti enfin prête à écouter il lui ordonna de monter les escaliers vers la chambre.
Tête baissée, à quatre pattes elle gravit lentement les 20 marches qui reliaient l'entrée au palier du 1er étage.
Il l'a fit entrer dans notre chambre où j'avais étendu par terre le drap de l'adultère.
Elle comprit tout de suite la raison de la visite du Maître.
Se faire baiser comme une catain sous mes yeux cela ne me dérange pas. Au contraire j'adore me branler en la regardant se faire prendre dans toutes positions, sucer toutes les bites qui traînent et venir ensuite me finir dans sa bouche.
Mais là, se faire baiser en mon absence, dans notre lit, cela méritait une punition.
Il commença par lui faire renifler le drap, lui appuyant sur sa tête avec son pied à l'endroit des tâches les plus grosses. Le cul en l'air, elle humait les parfums de baise où se mêlait foutres, cyprine, sueurs.
- Reconnais tu ses ordeurs chienne ?
- Oui Maître , c'est du sperme d'homme
-.Celui de ton Homme ?
- Non Maître
Un second coup de fouet claqua sur ses fesses.
Il l'a tira par le coup, la fit se mettre debout. Il lui ligota les mains et la suspendit à un crochet fixé dans une poutre, touchant uniquement le sol par la pointe des pieds.
Nue, ses seins énormes tendues vers le Maitre, elle commençà à gémir.
Il lui introduit dans un vagin un vribromasseur qu'il mit sur position vibrante, cela atténuera sa souffrance. Retenu par sa culotte, il ne pouvait pas tomber dans cette chatte déjà trempée.
- Combien de mecs t'on baiser ici ? Lui demande t'il
- Je ne sais pas......1 je crois
A nouveau un coup de fouet vint claquer sur ses fesses.
- Tu ments catain ! cria t'il
Pour la punir de ce mensonge il lui fixa sur le téton droit une pince qui lui fit hurler de douleur.
Un coup de fouet sur le sein gauche lui rappella de se taire et de souffrir en silence.
-Tais toi ! lui ordonna t'il. Ne répond qu'à mes questions
- 2 mecs ?
- Oui Maître dit elle d'une voix presque inaudible.
Un autre coup de fouet vint percuter ses fesses.
- 3 mecs ?
- Oui Maître.
A nouveau les tresses de cuir la récompensérent de sa réponse.
- 4 mecs ?
- Oui Maître.
Même sanction. Ses fesses commencaient à rougir sous les lanières de cuir.
- 5 mecs ?
-Oui Maître dit elle d'une voix au bord des sanglots.
- 6 mecs ?
- Non Maître dit elle d'une voix suppliante.
Derrière la porte je bouillais en moi. 5 mecs étaient venus baiser ma femme pendant mon absence. 5 types qui ont dû la défoncer, la prendre dans tous les sens en se vidant les couilles sur ses seins, dans sa chatte, dans sa bouche.
Mais 5 mecs s' en était trop pour moi. Ecoutant ses moindres aveux, mon coeur se serrait.
Je connaissais la question suivante et je ne voulais pas l'entendre. Mais mon désir de voyeurisme étaiy plus fort.
Après un long silence son Maître le demanda :
- As tu joui ?
Ma femme repondit timidement après une hésitation
- Oui Maître
Mon coeur se serra de plus de plus fort. Je ne voulais pas le croire. Se faire démonter peut passer mais jouir, avec un orgasme, avoir plusieurs orgasmes avec d'autre homme me rendit fou.
- Quelle pute ma femme me dis-je tout bas.
Les tâches de mouille imprégnée sur le drap confirmaient ses dires
La réaction du Maitre fut terrible.
A travers la porte s' entendit des plaintes
- Pitié Maître pitié... pitie implora t'elle
Il lui attrapa une jambe, la ligota au niveau de la cheville.
Suspendue par les bras à un crochet seule sa jambe droite touchait à peine le sol.
Sa jambe gauche, maintenant ficellée était levée vers le ciel, la mettant en position de grand écart.
Un violent coup de fouet vint lui arracher un sanglot, en étouffant un cri.
un perle sang coulant sur son cul rougeâtre.
Il lui enleva son god mit 3 doigts dans chatte sans ménagement et commençà à la branler si fort qu'elle ne tarda pas à jouir.
-Allez putain, joui ! Balance tout sur ton drap, salit le, t'es qu'une dégeuleuse
Des giclées sortirent de la chatte de mon épouse vuennant inonder le drap. Véritable femme fontaine elle continua à déverser sa jouissance pendant que son Maitre accélérait ses mouvements dans son bas ventre. J'attendais à travers la porte le bruit de clapotis de sa chatte mélés à des gémissements de plaisir.
J'avais envie de rentrer, de la décrocher, de la serrer dans mes bras. Mais je ne pouvais pas laisser passer l'affront de cette petite suceuse de bite qui s'était fait prendre des coups de bite toute la semaine en hurlant de plaisir.
Puis les bruits cessèrent, le calme était revenu.
A présent j'entendais sa voix lui dire
- Merci Maître, merci mon Maître. Je ne suis qu'une salope, un traînée, je mérite ta punition. Merci mon Maître.
Ma queue était dure à m'en faire mal mon gland rouge et gonflé par l'excitation de sa voix. Je la sortis pour me branler, l'imaginait derrière cette porte, le regard baissé vers le sol, les jambes écartées, ses lèvres grandes ouvertes d'où devait couler de la mouille bien chaude.
Ma jouissance fut rapide et j'éjacula de longues slaves de sperme brûlantes sur la porte.
Je l'entendis la détacher. Sans un mot il la coucha sur le lit, allongée sur le ventre et lui remit son vibro en marche dans sa chatte enflammé.
Puis il ouvrit la porte et me dis que c'était bon.
Je la découvris entièrement nue, les jambes et bras ecartées, épuisées.
Certains de ses membres étaient entaillés par les cordes. Son cul d'habitude si blanc était marqué au fer rouge par les coups répétés qu'elle avait encaissée sans broncher.
Je la regardais longtemps, elle était belle, elle était désirable. Je pris de l'huile et commençà par lui caresser les fesses puis le dos. Son corps se détendit.
Je m'allongea sur elle, montant et remontant sur son dos.
Une nouvelle érection apparu aussitôt. Bien dure, bien raide j'introduit ma queur en douceur dans son anus. Son effort mes couilles touchèrent rapidement sa chattte.
Je sentais à travers son cul le god qui continuait de vibrer. La double pénétration est sa position favorite, elle aime être bien remplie, savoir qu'on s' occupe bien d'elle.
Planté tout au fond de son cul, je lui pris les 2 mains. Je la regardait dans les yeux pendant que ma queue continua de lui limer sn anus.
Je la vis jouir, une larme coulant à nouveau sur sa joue. Je balança une giclée de foutre au fond de ses entrailles qu'elle garda en elle toute la nuit.
Enlassés lui sur l'autre nous nous endormîmes , heureux de nous être retrouvés.
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