Nu Devant Ma Belle Soeur...Et Plus Si Affinités!
« Quelle belle journée ! Et si on allait piquer une tête chez ma sur ? »
Fan de « trempette » je ne pouvais qu'acquiescer
« volontiers
-je l'appelle »
Moins d'une demi-heure plus tard nous disposions nos serviettes aux abords de la piscine.
Eliane est une septuagénaire divorcée , mince et très brune. D'un caractère taciturne, elle peut cependant se montrer d'une compagnie agréable. Ce fut le cas ce jour là.
Carole, mon épouse, s'allongea langoureusement pour tenter de prendre un peu de couleur.
Elle était bandante dans son maillot fluo.
Nous discutions depuis un bon moment quand soudain les deux surs se levèrent
« vous ne vous baignez pas ?
-si, bien sûr, voyons, mais Eliane veut me montrer ses nouveaux maillots »
Sur ces mots, elles disparurent dans la maison.
Ne les voyant pas revenir, je décidai d'entrer dans l'eau. Elle était agréable, et je fis plusieurs longueurs avant de grimper sur un matelas qui flottait.
« elle est bonne ?
-excellente »
je regardai ma belle sur qui venait de m'adresser la parole. Elle portait un maillot deux pièces, de couleur prune, qui mettait en valeur sa silhouette, et notamment son opulente poitrine qui me sembla, aujourd'hui encore, bien aguichante.
J'ai toujours eu envie de voir ses seins, mais je n'y suis jamais parvenu.
Je la regardais tandis qu'elle s'allongeait puis je replongeai dans l'eau salvatrice pour cacher mon érection.
Je fis encore deux longueurs puis je fus rejoint par Eliane qui glissa dans l'eau à mes côtés.
Je la suivis quand elle décida de sortir.
« tu ne te baignes pas ma chérie ?
-pas tout de suite
-viens, ça va te faire du bien »
Je sortis, m'approchai de Carole et je la tirai par le bras pour la faire entrer lentement dans l'eau. Il lui fallait toujours du temps pour s'immerger, mais elle finit par s'élancer avec plaisir.
Elle nétait pas arrivée au bout du bassin lorsque son portable sonna
« tu peux répondre Eliane ? »
Carole se hissa sur le bord
« c'est la clinique, une urgence, je crois
-merci.
Et voilà ! Son boulot venait encore jouer les trouble-fête.
« n'épouse jamais un anesthésiste Eliane »
Ma belle sur éclata de rire tandis que je sortais de l'eau et commençais à me sécher.
« tu peux rester mon chéri, c'est l'histoire d'une heure ou deux »
Rester seul avec Eliane me parut plutôt plaisant, mais je jouai quand même le mari attentionné.
« tu ne veux pas que je t'accompagne ?
-mais non, voyons, attendez moi sagement, je me baignerai à mon retour »
Je l'embrassai sur les lèvres puis je la regardai s'éloigner.
Eliane se leva.
« Attends, je vais t'ouvrir le portail ».
Toutes deux disparurent de ma vue, et c'est alors que me vint une idée saugrenue.
Après m'être assuré que Carole était bien partie, je revins au bord de la piscine où je retirai mon maillot avant de le dissimuler sous ma serviette.
J'étais dans l'eau quand Eliane vint s'asseoir sur le bord du bassin, plongeant ses pieds dans l'onde.
Bavarde, elle commença à discourir sur les désagréments du métier de sa sur, puis elle poursuivit en évoquant de nombreuses anecdotes sur sa vie d'infirmière instrumentaliste.
Durant tout ce temps je folâtrais à quelques mètres d'elle.
Avait-elle pu voir que j'étais nu ? Pas sûr !
Eliane est une passionnée et elle est souvent tellement concentrée, qu'elle se « déconnecte » de ce qui l'entoure.
Il me vint alors une furieuse envie de lui montrer mon anatomie et je partis dans une brasse très coulée. J'ignorais si elle me regardait, mais c'était bon de l'imaginer. Parvenu au bout du bassin, je vis qu'Eliane était maintenant assise sur un fauteuil de plage.
Le spectacle lui aurait-il déplu ? Etait-elle simplement gênée ? Espérait-elle en voir plus ?
Ces questions m'interpellèrent un moment pendant ma nage de retour, puis je décidai que la dernière était la bonne.
Je m'accrochai au bord du bassin, face à elle, et je tentai de relancer la conversation.
« tu ne te baignes pas ?
-dans un moment, j'ai envie de finir mon livre »
Aie ! Ca partait mal. Me serais-je fourvoyé ?
« qu'est-ce que tu lis ?
Un polar, j'aime bien »
Je tentai de lancer « une perche »
« un polar ? Je pensais que tu préférais la littérature érotique
-pourquoi dis-tu ça ? »
Me voilà piégé. J'y suis allé un peu trop fort. Comment rattr le coup ?
« remarque , ça m'arrive aussi, de temps en temps »
Ouf, elle venait de me sauver.
Je profitai de sa réplique pour prendre un air innocent, et je me hissai sur le bord. J'étais à deux mètres d'elle, dans le plus simple appareil. Elle resta plongée dans sa lecture et je décidai de me sécher en me faisant la promesse que si elle n'avait pas levé les yeux sur moi d'ici cinq minutes je remettrai mon maillot...et tant pis pour elle !
Moins de cinq minutes plus tard, la chaleur du soleil commença à redonner de la vigueur à ma virilité, et je vis mon sexe se dresser lentement.
Compte-tenu de l'attitude d'Eliane, qui me paraissait gênée, ou pire, indifférente, devais-je masquer mon érection ?
C'est ce que je m'apprêtais à faire en descendant ma serviette
« oh non, ne fais pas ça »
je levai les yeux sur ma belle sur. Elle affichait un sourire radieux
« ça fait au moins dix ans que je n'ai pas vu ça. Tu as une très belle queue. J'avais presque oublié combien il pouvait être agréable de voir un homme nu »
Ca alors ! J'étais éberlué. Je n'aurais jamais imaginé entendre de telles paroles de sa part.
Eliane !
Et moi qui la croyais gênée !
« quelque chose ne va pas ?
-Non, non, tout va bien
-caresse-toi »
Avais-je mal entendu ?
« pardon ?
-j'aimerais bien te regarder pendant que tu te caresses »
je ne me fis pas prier. Je dirigeai mes yeux sur sa poitrine et je commençai à me masturber.
« approche-toi »
J'obéis immédiatement et je laissai bien volontiers ma belle sur s'occuper, seule, de ma bite.
« tu as de belles boules, bien pleines, j'ai envie de te les vider »
Ce n'est pas moi qui allait m'y opposer.
« c'est si bon de toucher une queue bien dure »
Dois-je comprendre qu'elle avait l'habitude d'en tripoter une molle ?
Soudain elle me tira par mon appendice. Je fis deux pas vers elle
« je pense que tu n'as rien contre une petite pipe »
C'est pas croyable ! Ce n'est pas Eliane qui parle...c'est Belzébuth qui c'est approprié son corps !
« non, bien sûr que non ».
J'aurais pu me dispenser de répondre, mais bon, la situation était tellement inattendue que mes réactions devaient l'être aussi.
Elle joua de la langue sur mon gland, pompa, avala ma queue tout entière en ponctuant régulièrement de quelques mots
« elle est bonne, et ça fait si longtemps que je n'ai pas sucé comme ça »
Chante beau merle ! Moi, je crois que pour sucer comme ça, tu dois le faire souvent, ou alors c'est que tu as une excellente mémoire !
Bien sûr, cette constatation ne passa pas la barrière de mes lèvres. Je n'allai pas me montrer désobligeant envers une si bonne suceuse.
Je ne fus pas long à laisser échapper quelques râles significatifs mais je ne pus me retirer avant de jouir : Eliane venait de me saisir fermement par les fesses pour mempêcher de bouger, si bien que j'éjaculai dans sa bouche. Elle m'immobilisa quelques minutes encore, puis je pus me retirer.
Eliane me sourit
« merci
-non, merci à toi
-je veux dire, merci de m'avoir laissé faire »
C'était ahurissant. Ma belle sur tenait des propos ahurissants.
Elle me remerciait à présent de lui avoir permis de me faire une pipe !
Je poursuivis la salve des congratulations
« tout le plaisir était pour moi
-oh non, tu ne peux pas savoir combien j'ai attendu ce moment, combien j'avais envie de voir un homme bander, de retrouver les sensations de son sexe dur dans ma main, et la douceur de son gland dans ma bouche »
Je rêve ! Belzébuth sors de ce corps !
Opportuniste, je décidai de profiter de la présence satanique
« j'ai envie de te voir nue
-vraiment ? Tu sais j'ai un corps de vieille »
A d'autres !
Eliane se leva, fit glisser son slip le long de ses cuisses brunes, dévoilant une chatte rasée, puis elle dégrafa son soutien gorge et libéra ses seins en forme d'obus.
« tu les a fait refaire ?
-non pourquoi ? Touche si tu veux »
Tu parles que je veux. Ca fait si longtemps que j'en rêve !
Ses seins étaient fermes mais authentiques. Je pris un malin plaisir à jouer avec les mamelons qui durcirent rapidement.
Je sentis bientôt la respiration d'Eliane s'accélérer. Elle appréciait.
« tète les »
Je m'exécutai avec envie et plaisir, arrachant de petits cris à ma belle sur qui venait de se saisir de ma queue pour lui redonner, sans difficulté, de la vigueur.
A mon tour j'entrepris de me rapprocher de son intimité et je glissai la main entre ses cuisses.
Je sentis son désir couler sur mes doigts.
J'avais envie de goûter cette chatte offerte.
Je soulevai la jambe gauche d'Eliane et lui posai le pied sur le bord du relax ; je m'assis alors sur le sol et glissai ma tête entre les jambes ouvertes.
Ses lèvres avaient un délicieux goût d'abstinence, et chaque contact de ma langue sur son bouton d'amour, déclenchait une salve de petits cris aigus.
Je prenais un plaisir non dissimulé à entendre ma belle sur s'abandonner.
J'étais décidé à la faire crier de plus en plus fort. J'allais la faire jouir en la léchant, certain qu'elle en avait envie, quand soudain :
« non arrête, pas comme ça, baise moi ! »
Belzébuth était toujours là.
Mon érection aussi.
Délicatement, j'allongeai ma belle sur sur le sol. Elle me sembla un peu dans les « vapes ». Elle replia les jambes, m'ouvrant le passage, et je m'introduisis d'un grand coup de reins.
« oh oui, vas-y baise moi fort »
Comme il serait imprudent de déplaire à Belzébuth, je limai Eliane à grands coups de boutoirs, ce dont je nétais pas vraiment coutumier avec Claire.
Fautif, je chassai immédiatement ce prénom de ma tête pour me concentrer. Je sentis ma belle sur « monter dans les tours » en silence, si bien que je la crus exorcisée par ma queue.
« c'est bon, plus fort, défonce moi, défonce moi la chatte »
.Mais non, Satan était toujours là.
« t'arrête pas, t'arrête pas je vais jouir »
Avec encore quelques introductions profondes, j'obtins un flot de cris perçants puis le corps d'Eliane fut pris de tremblements : il se souleva, resta en l'air quelques secondes et retomba.
J'étais toujours en elle. Je n'avais pas joui.
Je bougeai le bassin plusieurs fois mais Eliane resta immobile. Je me penchai sur son visage et je compris qu'elle s'était évanouie.
Je la giflai et elle revint à elle en me souriant
« tu as joui ?
Non »
Elle se mit à onduler des fesses bassin et je m'accordai bien vite avec elle.
Je continuai avec de puissants va et vient durant quelques minutes
« tu n'arrives pas à jouir ?
-Non
-tu veux me sodomiser ? »
Elle lut sans difficulté la réponse dans mes yeux et tandis que je me retirai, elle se positionna à quatre pattes et se pencha en avant. Je plaçai ma queue, suffisamment humide, sur l'orifice convoité et je m'introduisis délicatement. Elle était étroite, et la pression en était délicieuse. Je le lui dis
« pour moi aussi c'est bon, je te sens bien »
Encouragé, je me laissai aller à varier la profondeur, la vitesse, obtenant de savoureux cris lorsque je ressortais et m'enfonçais d'un coup
« c'est bon, c'est bon, j'ai toujours aimé ça »
Puisque cela nous contentait tous les deux je m'en donnai à cur joie, pour la grande satisfaction de Belzébuth qui était toujours de la partie
« vas y encule moi à fond, je veux que tu jouisses dans mes fesses »
Pour ne pas désobéir, j'éjaculai promptement dès le souhait exprimé, et j'entendis de petits cris aigus se joindre à mes râles. Avait -elle eu un nouvel orgasme ou avait-elle simulé pour me contenter ?
Je pris la licence de l'interroger
« tu m'as fait jouir deux fois merveilleusement. J'ai adoré te sentir en moi mais tu sais il n'y aura pas de prochaine fois. Tu peux comprendre aisément pourquoi »
Je comprenais surtout que le diable était retourné chez lui.
Ma belle sur avait, en se rhabillant, remis le masque du quotidien, l'image de la femme sage et taciturne qu'elle offrait depuis tant d'années.
Et pourtant, pourtant...je me pris à rêver que Belzébuth reviendrait un jour...
Au bord de la piscine ou ailleurs....
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