Travesti En Soubrette Par Une Matrone Pour Le Banquet Du Rugby (7)

Je revins à moi quand je sentis que mon corps se déplaçait sans que mes jambes ne bougent. Je ne savais plus où j’étais, quelle heure il était et ce que je faisais là. J’avais la tête en bas et sentais que mon ventre et mon bassin reposaient sur quelque chose de large et massif. Quand j’ouvris les yeux, mon regard tomba sur un fessier féminin de large dimension que mouvait des cuisses et des mollets massivement musclés. Je me rendis alors compte qu’une femme de fort gabarit me portait sur une de ses épaules. Je sentais d’ailleurs sa large main sur mes fesses nues pour me maintenir en place… Mes fesses étaient nues ? Mais pourquoi me trouvais je ainsi porté sur l’ épaule d’une femme ? Je sentais aussi que mes jambes étaient vêtues de...bas ? Quelque chose m’entourait la poitrine et je sentais des bretelles sur mes épaules ? Un soutien-gorge ?? C’est là que tout revint à ma mémoire: l’auberge, la matrone qui m’avait travesti, les sous-vêtements en dentelle, les bas, les fessées, les humiliations publiques, les rugbyman, le géant qui abusa de moi, les cascades de sperme et la serveuse jalouse qui voulait me ! Pris de panique que je sois encore à sa merci, je me redressai rapidement en m’appuyant sur l’ épaule musclée qui me portait. J’entendis alors la voie de la matrone qui me rassura:


“Calme toi ma puce, tu es en sécurité. Je t’ai sauvée juste avant que Germaine ne t’ étouffe. Quand je suis entrée dans la cuisine, je l’ai vue de dos entrain de serrer quelque chose contre elle. Tu es si mince que tu étais entièrement cachée pas sa carrure. Je lui ai demandé si tout allait bien et elle m’a répondu oui d’un ton étrange. Quand j’ai vu que ta petite culotte traînait par terre et connaissant les antécédents violents de cette fille, j’ai tout de suite eu peur pour toi. Si elle avait décidé d’en finir avec toi, tu n’étais pas de taille à lutter. Je me suis donc précipité vers elle. Quand elle vit qu’elle était démasquée, elle te saisit à bras le corps et te lança sur moi avant de fuir.

J’ai pu rattr ton petit corps inanimé de justesse avant que tu ne t’écrases contre le mur. Elle y avait mis tellement de force que tout tes os auraient pu se briser. Je t’ai ensuite chargée délicatement sur mon épaule et je t’emmenais dans une chambre pour te soigner.


Je fus rassuré. La matrone me fit glisser vers l’avant pour que mes fesses reposent sur son puissant avant bras et qu’elle puisse me voir. Elle marchait comme si je ne pesais rien. Je nous vis dans un miroir du long couloir. La différence de taille était énorme. Mes jambes maigres paraissaient minuscules contre ses biceps. Je ne parle même pas de mes bras ! Ils avaient l’air 10 fois plus petits ! Ma taille était si fine qu’elle était plus petite qu’une des cuisses de mon héroïne. Je me sentais si petit et si faible, vêtu seulement de lingerie féminine en fine dentelle, sans culotte même, dans les bras de cette géante. Je mis ma tête contre son épaule puissante et me laissai bercer le long du trajet. Elle mis sa main libre dans le dos pour me caresser.


Nous arrivâmes dans la chambre où elle me posa délicatement sur un immense lit king size. De ses gros doigts, elle retira mes bas, dégrafa mon soutien-gorge et me laissa juste la perruque.


“Tu as besoin d’une bonne douche. Marcel ne t’a pas loupé ! Ce n’est pas la première fois qu’il me recouvre une serveuse de sperme. Il les choisit toujours dans ce format, petites et minces comme toi. Autant te dire que Germaine n’a aucune chance avec ses 110 kg. ça ne m’est pas venu à l’esprit qu’il pourrait se satisfaire avec une tafiole comme toi. Ce n’est pas si surprenant. Avec ces sous-vêtements et ce maquillage, tu es sûrement la plus féminine de toutes les serveuses qui sont passées dans cette auberge.”


Je buvais ses paroles. J’appréciais de plus en plus d’être considéré comme une tapette ultra féminine. J’en oubliais presque ce petit bout de chair que j’avais entre les jambes et qui était bien la seule chose de masculine chez moi, même s’il était si petit qu’on pouvait le prendre pour un clitoris un peu développé.
La matrone souleva mon corps nu par la taille et m’emmena à la salle de bain pour me poser dans la baignoire. Elle fit couler une eau juste tiède et se mit à genoux. Elle savonna tout mon petit corps avec un gros de savon de Marseille. Elle essayait d’être douce, mais c’est difficile d’adapter sa force quand vous faîtes 120kg et que vous devez manipuler une puce d’à peine 50kg comme moi. Ses frottements rudes me secouaient donc. Ce n’était pas si désagréable, je prenais de plus en plus de plaisir à me sentir léger. Elle se servit de sa large paume pour me frotter. Elle insista sur mon anus qui avait bien besoin d’être lavé, souillé par le foutre et la charcuterie. Elle insista aussi sur mon petit sexe qui ne tarda pas à durcir. Me voyant aussi excité, elle se releva et enleva sa robe. Je fus surpris ! Moi qui m’attendais à voir les formes disgracieuses d’une aubergiste qui ne faisait plus attention à elle depuis longtemps, je vis au contraire une femme à qui des années de travaux de force avaient donné une silhouette rendue gracieuse par des muscles massifs et puissants. A chacun de ses mouvements, je voyais ses biceps se gonfler, les muscles de ses cuisses rouler sous sa peau et ses mollets se galber. Elle était superbe ! Elle dégrafa son soutien-gorge pour libérer des énormes seins qui se tenaient encore très bien pour son âge, probablement parce qu’ils étaient soutenus par des muscles pectoraux puissants. Elle enleva sa grosse culotte en coton. Son ventre était plat et parfois, je pouvais voir ses abdominaux se dessiner. Son sexe était épilé comme il fallait. Je restai bouche bée devant ce spectacle. La matrone se rendit compte de mon étonnement.


“On dirait que tu aimes ce que tu vois ?”
“Oui ! Vous êtes superbe ! Tellement musclée ! Tellement plus que moi !”
“C’est sûr ! Tu es bien chétif. On voit que tu n’as pas l’habitude de faire travailler tes muscles. Je vais te faire découvrir ce qu’est une vraie femme de la campagne ma chérie.
..”


A suivre….

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