Histoire D'Un Grimpeur - Présentation L'Étalon (01)

Les personnages (sauf les prénoms), les détails sur moi (sauf le prénom) ainsi qu’une grande partie de l’histoire sont vrais.

Plus que quelques centimètres... Les gouttes de sueur continuent de perler sur mon front et sur mon torse, faisant briller les muscles bandés dans l'effort. Un dernier sursaut me permet d'atteindre la dernière prise du mur.

Étudiant à Londres, je viens tout les deux jours m'épuiser sur le plus grand mur d'Escalade de Grande-Bretagne et cinq ans d'entraînement m'ont permis de développer une carrure massive sans être exagérée, de larges épaules et des bras aussi larges et puissants que mes cuisses, entourant une ceinture abdominale ciselée à faire pâlir les mannequins d'Abercrombie & Fitch (selon les dires d'une de mes victimes). En descendant je jette un œil du côté des vestiaires et des toilettes, je me demande combien de jeunes loups j'ai fait hurler sous les coups de ma queue dans ces lieux...

Je m'appelle Alex, j'ai 18 ans, je suis gay depuis toujours et cool avec ça. Loin d'être un amant câlin, je relève plus du chasseur en treillis, ma puberté précoce ma offert une pilosité faciale forte qui me permet de faire bien plus que mon âge. Avec mes cheveux taillés en brosse, mes yeux métalliques et ma barbe de trois jours surmontant des muscles puissants, j'ai vite découvert le milieu du hard (fouets, cuir et fisting au programme) et commencé ma carrière de chasseur.

J'ai été initié à tout cela très tôt par le Coach d'Escalade dès mes débuts au centre. Il avait la vingtaine, des cheveux blonds très courts, des yeux bleus et un physique de dieu Viking. Toutes les filles bavaient en le regardant à l'effort sur le mur, il faut dire que c'était un vrai spectacle de voir cette énorme bosse prometteuse mise en valeur par le baudrier mais ce qui m'intéressait à cet âge déjà, c'était ce magnifique cul, rond et musclé, d'ailleurs, je me suis porté volontaire le plus souvent possible pour être son assureur (personne au sol qui contrôle la corde) afin de pouvoir admirer ces deux lobes charnus danser devant mes yeux au départ de la voie.



Un soir en rentrant chez moi après l'entraînement, je me rendis compte que j'avais oublié mes clés au centre et, même si on avait fait la fermeture, je décidais d'y retourner quand même car mes parents étaient en voyage (j'aurais du dormir devant la porte). Les portes était fermée sans surprise mais je connaissais une autre entrée que le Coach oubliait toujours de fermer. Le bâtiment était plongé dans le noir mais après plusieurs virages dans les couloirs, j'aperçut un filet de lumière sous une porte, celle amenant aux vestiaires. Bizarrement, on pouvais entendre des bruits indescriptibles qui venaient de plus loin, en entrant ceux-ci furent plus précis, quelqu'un se faisait plaisir ici.. Le coach devait être en train de choper une admiratrice mais le problème était que je devais quand même récupérer mes clés. En écoutant plus attentivement, je me rendis compte qu'il manquait les gémissements caractéristiques des femmes et je décidais d'y jeter un coup d'œil, occasion unique d'observer ce rare spécimen d'être humain en plein coït. De quoi me taper une petite branlette.

J'ouvrais légèrement la porte battante et manquais de pousser un cri, c'était pas une admiratrice quelconque mais Paul, un autre élève d’un an mon aîné, la tête collée au banc, son petit cul musclé comme suspendu en l'air, seulement retenu par la langue experte du Coach, travaillant l'anus offert de l'adolescent dont les gémissement traduisent le plaisir qu'il l'irradie à ce moment. Le Coach écarte les deux globes musclés avec ses mains puissante et calleuses, faisant ressortir les veines palpitantes entourant des bras ciselés pendant que sa large langue pénètre un Paul qui gémit, la tête rejetée en arrière, à chaque aller-retours du barreau humide.

Les grimpeurs doivent souvent faire tenir tout leur poids sur quelques doigts ce qui fait que ceux-ci sont beaucoup plus épais que la normale au niveau des articulations. Une fois suffisamment dilaté, c'est directement trois de ces doigts durs et épais qui forcent le fondement de Paul sous ses hurlements de douleur , il essaie d'abord de se dégager, mais fermement bloqué par la poigne de fer de l'autre main du Coach, il cesse peu à peu de lutter et se laisse aller face à la bête qu'était devenu le Coach.
Tout en eux transpirait la virilité et la puissance sexuelle, tout leur muscles semblaient à l'étroit dans les habits de sport moulant chaque détails de ces deux corps parfait. Paul, ramené à la réalité, plongea son regard de feu dans celui de son maître et, lui aussi physiquement bien doté, réussi à plaquer le Coach contre le mur des vestiaires, ils s'arrachèrent les vêtement trempés de sueur et commencèrent une lutte en jockstrap sur le sol glacé, frappant du poing les pectoraux massifs de l'autre, enserrant avec leur bras immenses les abdominaux de l'adversaire pour essayer le renverser. Le Coach pris le dessus, il s'assit sur Paul et entreprit de lui retirer son jockstrap avant de lui fourrer le bout de tissu humide et odorant dans la gorge. La bite à l'air et bandant comme un taureau, celui-ci rassembla ses forces pour faire chuter le Coach et effec la même opération. Une fois libérée de sa prison, la verge, le monstre pris toute son ampleur, j'étais impressionné par la longueur et la largeur du pilier de chair, je croyais être le seul à avoir un tel membre et, comme chez moi, il arrivait déjà à mi-cuisse sans être complètement bandé. Je sais maintenant que le Coach est monté avec un magnifique 23cm sur 6cm de diamètre, ce qui est moins que la mienne à 18 ans qui s'étend sur 25cm et 6,5cm de diamètre avec un gland encore plus large près à faire hurler le plus expérimenté des passifs.

Les vestiaires sentaient maintenant la testostérone, les deux jeunes mâles en rut brillant de transpiration étaient l'un sur l'autre mais le Coach dominait clairement Paul et c'est sans ménagement qu'il lui enfonçât l'énorme barreau de chair entre les lèvres qui continua son périple jusqu'à buter au fond de la gorge de Paul alors qu'il avait à peine la moitié du dard dans la bouche. Sans demander son avis, le Coach saisit la tête du jeune mâle et poussa jusqu'à ce que les lèvres charnues rencontrent ses poils pubiens, il poussa un râle semblable à un grognement pendant que Paul s'étouffait, il retira sa bite d'un coup pour brutalement s'y renfoncer en faisant rentrer la totalité du membre sans problème, il recommença plusieurs fois laissant à peine le temps d'une inspiration à Paul jusqu'à que celui-ci s'effondre de tout le poids de ses muscles sur le sol de la pièce.


Il reprit vite ses esprits et se releva pour faire face au Coach, lui signifiant qu'il allait devoir aller beaucoup plus loin pour le vaincre. L'un en face de l'autre, la tension sexuelle était énorme, les deux membres dressés se croisaient tandis qu'ils se regardaient avec défi pendant de longues secondes. Le Coach plaqua soudainement sa bouche contre celle de Paul qui répondit avec la même fougue dans une de ces pelles baveuses et viriles. Pecs contre pecs, malaxant d'abord le large dos de sa victime, les mains du Coach descendaient avec assurance vers l'anus aussi accueillant et mouillé qu'il l'avait laissé, faisant à nouveau rentrer plusieurs doigts, écartant le trou à deux mains, conduisant Paul à se plaquer encore plus fort contre le Viking qui le possédait.

La queue du Coach semblait prête à exploser, il souleva Paul comme un fétu de paille et le posa sans douceur sur le banc des vestiaires, écarta ses jambes et, pris d'une pulsion de testostérone, plantât son énorme dard en un violent coup de rein dans ce magnifique cul musclé par le l’entraînement et, comme pour la gorge profonde, c’est sans attendre une seconde de plus qu’il entreprit des allers retours plus violents les uns que les autres, se déchaînant complètement contre Paul qui s'agrippait au fesses en béton de son amant pour mieux l'amener en lui. On entendait plus que des hurlements, des gémissements, des grognements et le claquement des couilles du Coach contre la peau rousse de l’athlète dans les vestiaires.

Le pilonnage dura une heure, alternant toutes les positions imaginables pour que Paul sente bien les 23 cm du Coach jusque dans son ventre mais aucun des deux athlètes n’était près à y mettre fin. En plus de lui défoncer les sphincters, le Coach se mit à frapper les ados de Paul qui répliquait par des coups aux pecs, les muscles rougissaient sous le traitement infligé, ils se tordaient les tétons à les arracher mais tout cela ne fit que décupler le plaisir. Dans un dernier râle, le Coach mis toute sa puissance pour s’enfoncer au plus profond de son élève et lâcher ce qui sembla être une quantité phénoménale de foutre qui est venu s’écouler du trou béant laissé par le monstre turgescent.
Comme pour le récompenser, il est venu sucer la queue de Paul qui semblait prête à exploser jusqu’à qu’un orgasme le terrasse. Gardant le précieux sperme dans sa bouche, ils le partagèrent dans une dernière pelle virile avant de se diriger vers les douches.

Il était 2h du matin, j’avais récupéré mes clés mais un volcan bouillonnait dans mon bas-ventre, je devais à tout prix posséder ce dieu Nordique.

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