La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode 309)
Suite de l'épisode 306 - La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans -
Le Marquis Edouard dEvans vient de se retourner vers sa ravissante Aurore, dont les yeux sont emplis de bonheur et de dévotion, pour lui prendre la main en lui proposant daller enfin ouvrir son cadeau. Tout Grand Maître quIL est, le Marquis en na pas moins lil pétillant de désir et de curiosité, comme le sont les s à Noël, à lidée de découvrir ce qui se cache dans le paquet quIL a aperçu et qui contient le présent choisi par Sa très belle Marquise, qui est et reste Sa favorite de toutes les soumises du Noble Dominant. Walter le Majordome, dont lil est aguerri à devancer les moindres attentes de Celui quil sert si fidèlement depuis de si nombreuses années, sapproche du Châtelain et cest avec la délicatesse dun domestique avéré quil lui exprime :
- Monsieur le Marquis, si Vous voulez me le permettre, je vais faire avancer et disposer le paquet cadeau de Madame la Marquise pour que Vous puissiez louvrir et en découvrir le contenu.
Dun claquement de doigt, le Majordome fait signe aux deux esclaves qui, telles des colonnes humaines immobiles, étaient restés debout de part et dautre de la table desserte quils avaient déplacée et sur laquelle se trouve toujours le fameux colis empaqueté dans un papier scintillant bleu avec un grand nud doré, et une inscription dessinée à la main en relief sur lequel on peut lire distinctement « A mon Amour de Maître » signée « Marquise Aurore dEvans ». Les deux statues, toutes recouvertes dargent pour la soirée comme lensemble des esclaves mâles du cheptel, saniment enfin sur ce simple geste du doigt, sapprochent, sinclinent respectueusement devant Monsieur le Marquis dEvans et comprennent au doigt pointé de Walter qui leur désigne le sol, quelles doivent se mettre sans tarder à genoux devant le Châtelain. Walter du bout de sa cravache rectifie la position pour les forcer à se courber à quatre pattes, tête rentrée entre les épaules et le dos droit, jambes écartées ce qui fait saillir leur belle croupe toujours pluguée, laissant dépasser le cabochon portant les Armoiries de la Noble Famille Evans.
- Viens par-là, toi, la chienne ! Tu feras un très bon plateau pour supporter le cadeau. Ces deux espèces de gros chiens bâtards ne sont pas à la hauteur, ni à la bonne hauteur et je ne veux pas poser un sublime paquet sur leurs couennes endurcies par les coups et leur dur labeur quotidien dans les jardins du Château.
Walter att Thaïs par les cheveux et les tirant à lui, il loblige à grimper sur le dos des deux esclaves mâles, distants de plus de 50 cm, sur lesquels elle se retrouve pratiquement allongée perpendiculairement, face contre terre, sa tête et ses pieds dépassant de chaque côté dans le vide, tout comme la partie médiane de son corps qui se trouve entre les deux chiens esclaves à quatre pattes qui na rien pour la supporter. La position est instable et Thaïs craint de tomber surtout que Walter vient de lui attr les mains pour les rabattre derrière la nuque, attachées ensemble et reliées à son collier de soumise. Il la obligé à baisser la tête pour regarder vers le sol et sapprochant de son oreille, dun ton glacial, il ajoute.
- Reste immobile, le dos très droit, chienne. On dirait un truc mou qui ploie sous son propre poids et non une vraie table humaine posée sur deux chiens tréteaux. Contracte tes muscles surtout au milieu, au niveau des abdominaux pour rester bien rigide tout le temps quil faudra. Je nose imaginer que tu aurais laffront de laisser tomber le superbe cadeau pour Monsieur le Marquis dEvans que je vais poser sur ton dos. Alors soit forte pour assumer ton rôle de table de salon.
Sous le regard amusé du Noble, Walter donne plusieurs petits coups du bout de sa cravache sur le ventre de Thaïs, pour lui faire comprendre quelle doit se redresser au maximum, tendre ses muscles pour devenir aussi dure quune planche.
- Ainsi donc, Ma très belle Aurore, ceci est ton cadeau. Je veux bien le recevoir de ta part, car jaime tout particulièrement les attentions délicates de toutes Mes soumises, les tiennes en particulier, parce que cela me touche toujours par-delà la dévotion et lAmour que tu me portes, ainsi que tous ceux qui sont sous mon joug.
La Marquise Aurore dEvans aurait bien aimé que son Maître ouvre lui-même le paquet pour pouvoir justement voir son visage émerveillé, mais IL en a décidé autrement et elle nose surtout pas Le contredire. Elle sapproche alors du paquet cadeau quelle défait comme on laurait fait dune fleur que lon effeuille, commençant par le nud à ouvrir, puis le papier scintillant bleu. A lintérieur, se trouve un papier de soie bleue en plusieurs épaisseurs quelle entrouvre également feuille à feuille, très sensuellement pour laisser enfin apparaître le contenu. Au départ, le Marquis dEvans naperçoit quune planche de bois, car les fins papiers demballage entourent encore lobjet quIL découvre peu à peu en sapprochant encore plus. Il sagit dun grand et très épais livre à couverture de bois verni flanqué de magnifiques dorures ciselées et papier épais de parchemin, avec une bande reliure faite en cuir de qualité, qui ressemble à un de ces grimoires du Moyen-Age. La fermeture est composée de deux grandes barres de métal assombri et qui viennent se rabattre sur le beau bois en haut et en bas et qui sont ensuite terminées par un anneau ciselé lui aussi, anneau en demi-arc de cercle dans lequel passe en les traversant une sorte de grande goupille de fer forgé. Au centre, entourée par du vitrail multicolore, serti dans lépaisseur du bois, se trouve une peinture faite sur verre dune femme nue, si belle quon pourrait croire une Venus antique. Le nom du « Marquis dEvans » est écrit en lettres dOr légèrement gravées dans le bois qui a été ensuite doré à la feuille et il est surmonté dune couronne de Marquisat qui a été estampillée dans le bois lui-même. Elle est plaquée or garnie de cabochons ovales et trapèzes en pierres dures dopale bleue et de lapis lazuli. Cette couronne est surmontée de trois fleurons et entre se trouvent six perles fines blanches disposées en tierce.
Le Marquis sapproche de lobjet, précieux déjà rien que par sa remarquable couverture. IL est surtout intrigué de découvrir ce qui se trouve à lintérieur. Jetant un il brillant de bonheur sur celle qui se tient à Ses côtés et qui sest écartée pour le laisser approcher, IL défait la fermeture qui ressemble presque à un loquet de serrure à lancienne, très symbolique au demeurant pour cette uvre mythologique qui raconte les servitudes de la belle Hélène devenue éta amnésique, par la Volonté des Dieux pour la punir de sa trop grande beauté et de la guerre de Troie qui survint par sa faute. La première page à lintérieur reprend le titre de louvrage en lettres dor calligraphiées, des enluminures à volutes bleues et or qui bordent la page, et la mention calligraphiée « Ouvrage écrit par Monsieur le Marquis Edouard dEvans ». Les textes écrits par le Châtelain ont été imprimés sur des papiers légèrement teintés puis collés au centre de chaque page parchemin de droite. Ils sont entourés dun liseré plus sombre, rehaussé de doré et assorti aux 12 couleurs de papier, qui au fil des 12 servitudes change de coloris en suivant le déroulé de larc-en-ciel et de lhistoire. Toutes les pages de gauche sont également de vrais trésors en soi, car elles sont décorées dimages, de dessins, de peintures, de gravure, de mises en formes diverses, faisant de cet ouvrage un véritable livre illustré savamment. Le Marquis intrigué fait défiler les pages avec beaucoup de précaution comme sIL avait manié les pages de la première bible imprimée par Gutenberg. IL saperçoit que les dernières pages sont encore vierges (et pour cause puisque le texte est toujours encore en cours de rédaction). IL sourit chaleureusement et tend le bras pour prendre la main de la Marquise Aurore dEvans quil porte à sa bouche afin dy déposer un tendre baiser.
- Cest un merveilleux cadeau. Je suis vraiment très touché et très ému de savoir que tu aimes tant mes textes, au point que tu aies voulu les mettre dans un si précieux écrin pareil
(et sur un ton plus plaisantin, IL ajoute)
mais il me semble que je nai que la moitié de mon cadeau aujourdhui
les dernières pages sont encore vierges ! Est-ce à dire quil va me falloir me mettre sans tarder à mon écritoire si je veux que tu puisses terminer ton ouvrage ? Et moi le mien !
- Mon Amour de Maître, je nai pas voulu attendre que Vous ayez terminé la rédaction de Votre merveilleux récit pour Vous offrir ce cadeau. Il est bien dans mon intention de le remplir jusquau bout mais Votre anniversaire tombait en ce jour, et je ne voulais pas en différer la surprise. Je suis si contente de voir que mon idée vous satisfait.
- Oui, cela me plait vraiment beaucoup. Dailleurs, tu ne peux pas savoir à quel point, je trouve ce cadeau absolument merveilleux, une véritable reconnaissance de mon uvre littéraire
Et le Noble la regarde avec des yeux tendres tout en prenant à nouveau la main de Sa Marquise quIL pose maintenant sur Sa poitrine à lendroit du cur, comme sIL voulait quelle en ressente les battements. Tout en lui faisant un baiser sur ses douces lèvres, il rajoute sur un ton amoureux :
- Je passerai la fin de la nuit dans tes bras avec toi. Et nous feuillèterons aussi ensemble ce magnifique grimoire dans notre chambre car jai vraiment envie de découvrir chacune des pages que tu as su créer pour illustrer mon récit. Et puis, ce livre est fragile et précieux à mes yeux. Je ne vais donc louvrir ici car je ne voudrais pas prendre le risque quil soit abimé pendant cette soirée qui sannonce plus chaude et coulante, nuit promettant de nombreux ébats orgiaques que je ne veux surtout pas manquer, pas plus quun peu dexcitation perverse et D/s qui me mettra en forme pour le reste de la nuit entre tes bras exquis, dans notre lit nuptial et que jai hâte de retrouver
Mais pour linstant, Je me dois avant tout à Mes invités pour ce soir.
Le Marquis se retournant aperçoit alors, Philippe, Son fidèle second sur le plan professionnel, qui est revenu dans la pièce, ses fesses soignées gardent encore la trace des piqures daiguilles qui servaient de support aux bougies, mais visiblement son postérieur a lair de sêtre bien remis de sa petite transformation momentanée en hérisson flambant. Il sapproche de celui qui est son Maître tout autant que son PDG et sincline respectueusement pour attr la main du Noble sur laquelle il dépose un baiser en signe dallégeance totale sans cesse renouvelée.
- Ah ! Te voilà toi. Bien remis de tes émotions brûlantes ? Tu étais très beau en gâteau danniversaire humain garni de bougies que jai dû éteindre de ma Noble lance à incendie. Je suppose que lidée de tutiliser dans cette petite mise en scène vient de ce cher Walter qui a toujours beaucoup dimagination pour ce genre de petits délices qui Me ravissent. Je dois avouer que cela Me fait plaisir que tu sois là, sauf que Je regrette un peu que tu naies pas songé à prévenir « ton patron » que tu quittais ton poste cet après-midi pour une soirée privée. Mais Je pense quIL te pardonnera assez aisément cette omission volontaire pour la bonne cause et lobligation de garder le secret pour Lui faire une surprise
mais cest bien le seul secret que Je te tolère, soit-en certain. Nous parlerons boulot demain si tu le veux bien. A propos, as-tu fait bonne route ?
- Oui Maître Vénéré, merci beaucoup. Je suis à Votre entière disposition dès demain pour le travail et dès à présent pour la soirée. Disposez de moi à Votre convenance. Je suis toujours lun de Vos plus fidèles esclaves soucieux de Vous satisfaire en tous points, pour Votre bon plaisir avant tout.
- Je le sais et Je ten sais gré. Mais tes fesses ont suffisamment pris pour la soirée. Bien au contraire, Je voudrais que tu puisses goûter à satiété pendant quelques heures à certains petits plaisirs de mâle, car tu me sers très loyalement depuis des années et Jaime aussi pouvoir récompenser ceux qui me sont fidèles et dévoués. Cest une des prérogatives du Maître mais aussi une de ses obligations de Dominant que de pouvoir à la fois punir sévèrement quand il le faut et tout autant gratifier ce qui se doit de lêtre.
Le Châtelain sapproche de Philippe qui spontanément baisse la tête, car il a gardé une grande déférence quil continue à exprimer envers celui pour lequel il travaille au quotidien, ayant même parfois du mal à ne pas sincliner dans certaines réunions professionnelles en présence détrangers tant cela est dans sa nature profonde. Le Marquis att la cage de chasteté qui enserre le sexe de son ancien soumis dont il avait été paré comme pour lensemble des esclaves mâles décorés et contraints pour la soirée, jusquà ce que le Maître des lieux ou un des Dominants invités décide quil en serait autrement. Le PDG et Maître, usant du pouvoir quIL détient sur celui qui reste Son fidèle esclave avant dêtre Son second, ouvre la petite parure en acier et la retire, laissant sortir à lair libre une petite queue toute rabougrie davoir été maintenue comprimée.
- Garde encore un peu ton plug entre les fesses, cela devrait augmenter ton plaisir. Et puis Je suis sûr que la belle Thaïs que nous avons à portée de mains et de queues, saura bien te rendre une forme plus acceptable sans tarder. Elle ne doit pas demander mieux, si Jen juge par lhumidité que Je vois poindre entre ses cuisses.
Le Marquis se positionne entre les jambes de Sa soumise quIL écarte largement pour pouvoir se glisser au plus près. Thaïs manque de tomber car elle est en équilibre précaire sur le dos des deux esclaves mâles qui nont toujours pas bougé dun pouce, position dautant plus instable quelle a toujours les mains liées dans la nuque ce qui lempêche de sen servir de balancier pour garder léquilibre ou se rattr. Elle supporte aussi toujours le plateau en verre mais sans le grimoire et son emballage qui ont été mis à labri par la Marquise elle-même et ceci par pure précaution sous le regard approbateur de son Maître. Un claquement de doigts suffit pour faire disparaître aussi le plateau de verre du dos de Thaïs quand le Noble a immédiatement attrapé Thaïs avant quelle ne tombe, la remettant daplomb. Sans plus attendre, IL dégrafe sa braguette pour laisser sortir un vit déjà gonflé et dur, tant IL est mentalement et physiquement excité par la vue de sa chienne offerte à Son bon plaisir, mais aussi les premiers claquements de fouets et autres bruits de cravaches qui ont déjà envahi le donjon, auxquels se mêlent les nombreux soupirs empreints de douleur et de douceur qui montent de partout dans la salle. Dun signe de la main, IL a invité Philippe à sapprocher du visage de Thaïs. :
- Ma belle chienne, je veux que tu redonnes un peu de vigueur à ce cher Philippe et aussi du plaisir. Je pense quil la bien mérité pour ce soir de pouvoir éjaculer et surtout se vider les couilles qui doivent être bien pleines. Dailleurs, Je pense que tu dois lui être reconnaissante car cest lui qui a dirigé ta société la première semaine où tu étais venue au château pour ton dressage. Cest une manière comme une autre de lui dire merci, ce que tu nas pas encore vraiment fait de cette manière-là. Et puis, Je dois dire que Jaime bien savoir que pendant que Je vais tenculer, un autre sur Mes ordres te baise la bouche de concert et que tu peux te sentir encore plus possédée par Moi directement et indirectement.
Thaïs ouvre la bouche sans attendre prête à accueillir le sexe de Philippe, mais elle saperçoit vite en ouvrant les yeux et en relevant un peu la tête que celui-ci est encore minuscule davoir été maintenu encagé depuis, elle ne saurait dire combien de temps. Elle tend donc sa langue pour commencer à le lécher de part en part, cherchant à faire gonfler la hampe et à décalotter le gland. Cest à ce moment-là que dans son arrière-train, elle sent le sexe dur de son Maître qui senfonce inexorablement dans son petit trou, dun geste lent mais continu, forçant sa rondelle au passage de la Divine verge quIL introduit jusquà venir en butée avec ses couilles contre les fesses et la chatte dégoulinante de Thaïs qui nattendait que dêtre pénétrée et qui est très heureuse que ce soit par son Maître en cette belle occasion exceptionnelle. Lexcitation dêtre prise et baisée par Celui quelle Vénère plus que tout la fait redoubler dattentions sensuelles et buccales pour la queue de Philippe, et ceci dautant plus quelle sait quelle est sous le regard attentif et possessif de son Maître, qui vient de commencer de lents va et vient dans le fondement écartelé de la soumise qui soffre sans pudeur aux assauts de son Dominant, Mâle pénétrant et conquérant. Elle vient de prendre en bouche le phallus de Philippe, enfin digne de ce nom car suite aux soins buccaux de la belle, sa nouille rabougrie est vite devenue une tige gonflée, durcie et bien raidie, qui de son côté aussi a entrepris de la labourer de puissants coups de queue revigorée, qui viennent en butée sur le fond de sa gorge
(A suivre
)
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