Moment Inatendu Au Boulot

Cette histoire c'est passée lorsque j'avais 23 ans.
Pour que tout le monde reste anonyme, les prénoms sont fictifs.
Je venais de me faire engager à la fin de mes études pour mettre au point des machines de production dans une entreprise.

J'étais un des plus jeunes et j'avoue que j'avais du mal à me faire prendre au sérieux par certains employés du même secteur de production que moi.

Tous les lundi matin, nous avions une séance à l'étage dans les bureaux.
Nous partagions nos idées sur la programmation et l'évolution continue des lignes de productions.

Au tour de cette table il y avait que des personnes plus âgés. Plusieurs femmes dont une qui m'attirait du regard particulièrement.
Elle se chargeait de tabler toutes nos séances au propre pour pouvoir évaluer nos statistiques de progression.

Elle s'appelait Marie et avait une 40ène d'année. Toujours bien habillée, elle portait souvent une robe noire ou bleue foncée, des hauts talons et un léger décolleté qui laissait entrevoir des seins plutôt moyen. Ni trop petit ni trop gros bien arrondis.
Elle était assez fine et avait des grosses hanches qui lui faisait un cul superbe (style black).
Ses long cheveux noires et son visage de femme plutôt excitant qui laissait penser qu'elle était portée sur le sexe.
Ses jambes bronzées étaient souvent croisées, se qui me permettait lorsque je me trouvais à côté d'elle, de les contempler.

A chaque séance, je n’arrêtais pas de la regarder. Son stylo dans la bouche et ses lunettes rectangulaire me donnaient des frissons et elle le voyait bien.
Chaque fois que notre regard se croisait, je baissais les yeux sur la table de timidité, et ça la faisait sourire.

Un soir, je travaillais de nuit pour mettre à jour certaines machines. Cela évitait de les stopper pendant leurs productions.
Ce soir là j'ai été surpris de recevoir un coup de fil sur mon téléphone interne de la part de Marie.

-Allô
-Salut Jonathan,
-Salut........(très surpris qu'elle soit encore au boulot)
-J'ai perdu tes fiches et je dois clôturer les rapports pour demain, tu pourrais monter s'il te plaît??
-Oui j'arrive tout de suite.

Aussitôt, je l'ai rejoint dans son bureau à l'étage.
Je l'ai aidée à remplir les lacunes du rapport et nous avons engagé la discussion.
Nous avons un peu parlé de mon arrivée dans l'entreprise, de son expérience de travail etc...
puis elle m'a parlé de ses s, de son mari, qu'elle préférait être au travail plutôt qu'à la maison, car ça ne se passait pas très bien avec son mari.

J'étais vraiment surpris qu'elle me parle de ça.
D’ailleurs elle c'est brusquement excusée quand elle a remarqué que j'étais sans voies.
J'étais tellement intimidé, je ne savais pas quoi penser.
Est-ce qu'elle s’intéressait à moi ? Ou avait elle simplement envie de parler ?

-Excuse moi, je ne sais pas pourquoi je te parle de ça.
-Non ne t'excuse pas, je suis touché de parler de ça.
-Touché ???

J'étais complètement en sueur, je ne savais pas quoi dire, j'étais littéralement sous le charme de cette femme.
Je ne savais plus quoi répondre, et dans le stress qui me gagnait j'ai répondu franchement ce qu'il me passait par la tête.

-Euuuuhhhh..... oui, en fait je suis très gêné.

Le long silence qu'elle à lancé en disait long, il fallait que je me reprenne car elle se posait des questions.

-En fait, Vous me troublez beaucoup.... je......je

elle se mit à sourire.

-Je te trouble ???

Elle avait se regard... Je sentais ma queue se durcir d'excitation.

-Oui, vous êtes très attirante et j'avoue être troublé.

-Merci, ça fait bien longtemps que mon mari ne m'a pas fait de compliments.

Un long silence a suivit.
Elle c'est levée et est venue s’asseoir sur le bord de la table juste à coté de la chaise ou j'étais assis.

-Tu es quelqu'un de très gentil, ça me fait du bien de parler à quelqu'un.

J'avais les mains posées sur la table et la sienne était posée juste à côté presque au contact.
J'ai senti son petit doigt effleurer le mien tout doucement.
Je bouillonnais, mon cœur tapait tellement fort que j'avais l'impression qu'elle pouvait l'entendre.

Elle a pris ma main et m'a relevée de ma chaise. J'étais en face d'elle, ses long cheveux descendaient sur ses épaules et son décolleter laissait entrevoir la ligne de ses seins bien ronds était visible.
J'ai posé mes mains sur ses hanches et nous nous sommes embrassés.
Elle a glissé ses mains sous mon t-shirt pour effleurer mon ventre et mon torse.
J'étais comme un fou, j'avais envie de la serrer fort contre moi mais ma j'étais encore légèrement pris par ma timidité.

J'ai commencé a caresser ses hanches puis rapidement je me suis senti plus à l'aise et j'ai déplacé mes mains tout doucement sur ces belles fesses bien ronde.
Elles étaient très musclée, arrondies et bien fermes.
Sa jambe c'est glissée entre les miennes. Je sentais sa cuisse glisser de haut en bas, effleurant à chaque fois ma queue de plus en plus dur.

Mes baisés sur son cou lui faisaient de l'effet, je sentais sa respiration dans mon oreille.
Je suis descendu tout doucement le long de son corps, mettant une main sur sa poitrine. Je pouvais sentir son téton durcir entre mes doigts.
J'ai délicatement fais descendre la bretelle de sa robe pour faire apparaître ses seins bien serrés par son soutient gorge, puis j'ai dégrafé celui-ci pour faire apparaître sa belle poitrine en forme de pomme. J'étais terriblement excité.
Mes baisés se sont peu à peu transformé en mordillement sur ses tétons, je pouvais entendre des petits gémissements dans mon oreilles pendant qu'elle me mordillait le lobe.

Peu à peu elle a déboutonné mon pantalon et rentré sa main pour caresser ma verge à travers mon caleçon. J'allais exploser, j'ai relevé sa robe et glissé mes doigt sur sa petite culotte déjà légèrement humide d'envie.
J'ai commencé à descendre doucement, tout en baisant avec mes lèvres, son ventre, son nombril, l'intérieur de ses cuisses. Je l'entendais souffler de plus en plus fort. Sa mains c'était posé sur ma tête et elle me caressait les cheveux.
J'ai déplacé l'entrejambe de sa petite culotte humide sur le coté, et j'ai commencé à lécher son clitoris. Je faisais des petits mouvement avec la langue en effleurant légèrement ses lèvres humides.
Ses gémissements se faisaient de plus en plus entendre, tout comme la pression de sa main dans mes cheveux.

J'ai baissé complètement sa petite culotte, et tout en continuant de la lécher, j'ai introduit doucement une phalange dans son vagin. Il était doux et large, j'ai pu lui enfoncer deux doigt facilement, ce qui l'a fait gronder de plaisir. Elle aimait ça, elle murmurait dans ses souffle très saccadé d'excitation :

-continue..... aaaaaaaahhhhh ouiiiiiiiiii.

Je n'en pouvais plus, je sentais ma verge me faire mal.
Je me suis redressé, elle a pris ma main pour mettre mes deux doigt humide dans sa bouche.
Elle les suçait en me regardant avec un regard qui me mettait hors de moi.

Elle s'est levée, agenouillée devant moi et a descendue mon caleçon pour laisser jaillir ma queue prête à exploser, pour commencer à la sucer. D'abord le bout du gland tendrement, jusqu'à la gober entièrement. Elle caressait mes boules en même temps avec une main et me titillait l'anus avec un doigt de l'autre. Jusqu'ici, j'avais toujours été fermé à tout ce qui s'approche de mon anus, mais là... à ma grande surprise j'aimais ça.
N'en pouvant plus de la voir me regarder dans les yeux avec ce regard qui sentait le sexe, je l'ai relevé, pour l’asseoir sur son bureau.

J'ai appuyé mon gland sur sa fente complètement trempé, et elle s'est empressée de saisir ma verge pour la faire rentrer en elle. Cette sensation était incroyable, j'avais déjà fait l'amour auparavant, mais la c'était différent. Je ressentais ce moment, chaque émotions, chaque échanges de touchés, d'odeurs et de sons. J'étais vraiment très excité et je sentais que je n'allais pas tenir longtemps.

Ses mains se sont mises à caresser ses seins bien ferme, elle gémissait. J'avais les mains posées sur ses fesses parfaites qui faisaient des vas et viens.
Elle s'est redressée, a saisie mes fesses pour accélérer le mouvement puis s'est penchée vers l'arrière pour jouir bruyamment. Mon excitation était trop fort, et je n'ai pas pu me retenir plus longtemps, j'ai joui intensément à l'intérieure en même temps.

Nous nous sommes embrassés et rhabillés. Depuis nous sommes très proche au travail, chaque regard croisé provoque un sourire. Nous travaillons toujours ensemble mais depuis nous n'avons pas recouché ensemble.


En attendant je garde ce souvenir extraordinaire avec ma collègue de travail.