Je Partage Ma Vie Avec Une Femme
Ma vie de lycéenne était calme, très calme. Juste après le bac jai un coup de foudre : mon grand amour. Il avait 25 ans.
Jhabitais dans une ville universitaire, je devais aller faire des études de droit en vue de devenir notaire. Louis semblait être létudiant amateur, changeant de branche sans cesse. Peut mimportait : il était beau gosse. Il ma branchée un soir au cour dune soirée entre copains. Jétais un peu cruche, je me laissais embarquer dans une histoire sans fin.
Il me chauffait tellement que je me suis donné à lui, chez moi en plus. Javais envie de lui de sa queue, de sa bouche, de sa langue. Il ne ma pas déshabillée : il aurait été trop lent. Il ma embrassée debout, je me serrais contre lui. Je sentais sa queue contre moi grossir sans cesse. Je la voulais nimporte où.
Je nétais plus verge depuis longtemps, je connaissais le plaisir pour me masturber souvent. Je me suis arrangée pour que sa pine dure soit contre ma fente. Je sentais le corps de sa bite contre mon sexe. Ses couilles juste en haut de mes cuisses, Je nen demandais pas plus. Jallais et venais pour mon seul plaisir. Louis sest dégagé réussissait à poser son gland sur la chatte. Mon sexe sécartait pour le laisser me perforer. Il entrait très lentement. Ses mains écartaient mes fesses. Mon pubis était contre le sien. Je sentais ses poils contre moi. Cétait excitant pour nous deux.
Il rompait le charme en jouissant avant moi. Je le gardais en moi pendant quil débandait. Quand il sortait sa pine toute ridée, je le reprenais cette fois dans la bouche. Le gout bizarre de son sperme me mettait encore plus en demande. Jétais à genoux devant lui humiliée de cette position. Je caressais un peu les couilles, cherchait bien plus loin pour lexciter ou tenter de le faire. Je gardais précieusement la bite dans la bouche, ma langue la léchant à peine. Mes mains trouvaient le trésor que je cherchais : lanus. Il me semblait tout mignon, fripé comme il était.
Finalement notre première fois était fantastique. Nous sommes restés couchés, moi, lui tenant la queue, lui me caressant les seins. Notre relation a duré plusieurs mois ; même si de temps en temps nous passions une heure ensemble, comme de vieux amants.
Ma vie sexuelle continuait comme je le voulais. Jaime les expériences diverses. Mes études passaient avant tout : jen avais pour 6 ans minimum. Mes soirée préférées étaient le samedi. La première fois que je cherchais un amant jallais bêtement dans un bar. Je trouvais rapidement un homme assez quelconque qui voulait de moi. Il passait ses mains partout sur mon corps, devant tout le monde. Il mexcitait en me dégoutant et de moi et de lui. Je savais que je descendais vers la déchéance. Il me faisait du bien en me branlant. Je le laissais faire jusquà lorgasme. Je sortais sa bite qui bandait, je lai vite branlé, juste pour le faire jouir. Je suis partie honteuse.
A la suite de cette mésaventure, jen parlais à une copine de cours.
Elle ma gentiment déshabillée, en a fait autant. Quel corps que le sien. Une sculpture dune déesse antique. Un corps fait pour lamour. Malgré moi mes mains sont sur elles. Je caresse ses seins, ses fesses, son ventre. Je suis devenue folle. Ses mains en font autant sur moi. Je me laisse faire en étant excitée au possible, plus quavec un garçon. Cest bon ses caresses entre filles, jen veux encore. Je suis comme une chatte que le maître caresser qui en redemande sans cesse. Je dois faire comme elle en ronronnant. Mon dos est contre elle, ses mains sont sur moi, descendent vers les seins, les enveloppent en les caressant. Elle réussi mieux que moi. Et une main, la droite descend vers la chatte. Je sens son bras sur ma poitrine, sa paume conte le pubis. Un doigt puis un second commencent une danse infernale dans la moule. Ce nest pas une masturbation cest un caresse prolongée qui fait du bien, beaucoup de bien, tellement de bien que je jouis comme jamais. Jai des mouvements incontrôlables du pubis.
Je voudrais lui rendre ce quelle ma fait. Je suis en face delle ma main sur sa taille. Je la descends doucement vers son bas ventre. Elle le tend vers moi. Je trouve sa chatte mouillée. Mes doigts filent vers son entrée, puis remontent en peu vers le clitoris. Je trouve un haricot assez gros bien bandé. Sa main est encore sur moi. Nous nous branlons avant quelle jouisse.
Elle ne demande rien quand elle enjambe ma tête. Jai sa moule presque contre ma bouche. Je la veux aussi. Je lèche son abricot. Il est bon, juteux à souhait, juteux dune mouille de jaime qui me remplit la bouche. Jimite ce quelle me fait en touchant lanus. Le sien est là proche de ma langue. Je ly pose délicatement comme si javais peur de lui faire mal. Iai mis deux doigts dans le trou principal et la langue dans le petit. Elle est heureuse je crois quand elle gémit avant de jouir dun long jet de cyprine. Jen ai partout sur ma figure. Cest bon au point que je lèche ce quil y a autour de mes lèvres et ramasse avec mes doigts ce que je ne peux laper. Depuis, je sais quil faut que ma bouche reste contre son sexe au moment de son orgasme. Je ne peux pas jouir comme elle en lâchant mas jouissance.
Nous vivons ensemble, nos études terminées. Nous devons être prudentes dans nos relations personnelles. Que penseraient les clients avec deux adeptes de Lesbos ?
Finalement ma vie est banale* sinon que je la partage avec une femme.
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