Collection Le Marin. Le Marin Sur Les Quais De Seine (2/3)
Jai réveillé le marin de son sommeil pour quil vous raconte ce qui lui est arrivé fin mai 1969 lors dune permission.
Je me promène sur les quais de Seine le long des bouquinistes admirant le magnifique paysage de Paris au mois de mai.
Je cherche aussi des livres de cul vendu sous le manteau qui va me permettre de faire le barbot sur lescorteur Vauquelin.
Ce bateau que je vais retrouver après deux ans autour du monde avec laviso Victor Schoelcher accompagnant le porte-hélicoptère Jeanne darc.
Schoelcher, lhomme ayant fait abolir lesclavage en France.
Je cherche des livres, mais aussi un coup à tirer.
Je sais, je suis trivial, mais à mon âge, jai le temps de mattacher et ce que je cherche cest à séduire afin de me vider les couilles dans une chatte poilue et dégoulinante de cyprine.
Je pense lavoir trouvée auprès dune jeune femme de 17 ans certainement originaires de lautre côté de la Méditerranée, voire des côtes africaines donnant sur latlantique.
Hélas, malgré son jeune âge, elle est enceinte.
Je vais pour passer ma route, mais elle engage la conversation.
Elle me dit être chaude comme la braise et après être aller dans un café de lautre côté des quais, elle me tire par la main pour me conduire dans la chambre dun hôtel voisin.
Je viens de sucer ses seins, buvant du lait prévu pour la naissance de son .
Étrange sensation, car cest un goût un peu étrange, loin de celui du goût de nos vaches normandes.
En faisant attention à son gros ventre, je laide à sassoir sur le lit et ma bouche rejoignant son sexe, bavant denvie.
Viens prend moi, je veux que tu éteignes ce feu qui brûle au plus profond de moi et que mon mari refuse déteindre.
Ce quune femme veut, je le veux.
Surtout que ma maman ma toujours appris de respecter les gens, surtout les femmes.
Maman était une femme dexpérience, même si je pense que toute sa vie elle a été fidèle à mon père.
Si elle la trompée, cétait discrètement et je lui en suis reconnaissante.
Jai aidé Fatima à sassoir sur le lit, je laide à monter dessus.
Elle écarte ses cuisses, me laissant le temps dadmirer lintégralité de sa chatte.
Dire que dans quelques semaines, son mari pourra voir la tête de son bébé sortant du même endroit où il avait mis sa queue pour décharger ses spermatozoïdes.
Je la veux, je mavance pour la pénétrer comme jai pénétré de nombreuses femmes à travers le monde.
Certes, il est dit quun marin à une femme dans chaque port, cest vrai, mais la plupart cétaient des putes payées trois francs six sous.
Jai baisé une jeune américaine de 21 ans à Houston, jeune fille de bonne famille, mais là cest une autre histoire que le marin vous racontera un de ces jours.
Je suis sur elle, à bout de bras pour éviter de lui appuyer sur le ventre.
Je la pénètre de quelques centimètres.
Je vais faire mal au bébé.
Je tombe sur le côté.
Attends, tu vas me prendre par-derrière.
Les femmes dans mon pays font comme ça.
Jétais jeune en ce temps-là, jaurais pu penser quelle voulait que je lencule.
Par chance, une autre histoire dans mes tours du monde dans la zone rouge dAcapulco, men dissuade.
Acapulco là où des hommes ont le courage de plonger dans une minuscule gorge de trente cinq mètres de haut.
Un exemple vous est donné sur la photo en profile de Chris71 sur le site HDS.
Là encore, je vous réserve la primeur dans une autre histoire de ce qui nous est arrivé.
Fatima avec mon aide se met à quatre pattes, jignorais que lon disait en levrette.
Sexuellement les jeunes nous apprenions sur le tas.
En levrette donc, jen profite pour lui bouffer la chatte qui dégouline denvie.
Je la saisis par ses hanches, je pénètre, on dirait que le bouche dun dragon maspire au fur et à mesure que jentre au plus près de son bébé.
Une glace placée judicieusement là, certainement pour que les mateurs prennent leur pied, me renvoie limage du couple improbable que nous formons.
Certains à bord après quelques jours de mer entre deux escales denviron quinze jours déliraient sur les femmes quils souhaitaient baiser.
Les bonnes surs, les femmes mariées, certains, des vierges, mais aucun, des femmes enceintes.
Fatima à quatre pattes, ses seins prenant tous leur placent dans le tableau en tombant tellement ils ont pris du volume.
Les grosses aréoles presque noires terminées par ces tétines que jai eu plaisir à sucer dès le début pour en extraire ce lait dont je vois couler une goutte sur le droit.
Son ventre, tendu vu sa position, pourrait me rebuter, mais au contraire, il me stimule.
Je sais au plus profond de moi que cette image de notre couple éphémère serait la seule fois de ma vie que jaurais le plaisir de le voir.
En quelques coups bien assénés, je dois éteindre le feu qui est en elle, remplaçant les flammes qui auraient pu sortir de sa bouche par des cris de plaisir.
De lautre côté du quai, les bouquinistes et mes promeneurs doivent entendre que jai réussi à rendre heureuse que mon mari délaissait.
Jai faim, jai toujours faim depuis que jai vu que jétais enceinte.
Merci Christian, ça restera entre nous.
Nous sommes dans la baignoire quand elle me dit ça.
Ça fait trois fois que je la prends, le temps passant, la nuit commence à tomber.
La dernière fois avant notre bain, elle ma sucé comme les salopes le font dans les livres qui tournent entre nous à bord et que je recherchais dans ma balade.
Cest elle qui ma allongé pour venir sempaler sur ma bite bandant de nouveau malgré les deux premiers coups ou son bébé a dû ressentir les vibrations de mes jets de sperme.
Je sors de leau, je me sèche, la chambre est déjà assez dévastée.
Pourrions-nous avoir de quoi manger ?
Oui, des sandwichs se seraient parfaits avec une bière et un thé.
Jambon beurre ?
Oui, cest parfait.
De la salle de bain, jentends.
Pas de cochon, du fromage.
Des années plus tard jai compris quelle était musulmane alors quen 1969, nous ignorions pour le cochon.
Cest au matin que, ce qui aurait pu être une cata sest produit.
Je venais de la prendre en levrette.
Nous savions quil fallait nous séparer, mais nous repoussions le moment.
Christian, je perds les eaux, il y en a plein le lit.
Comme, réveille, on fait plus sympa, mais là !
Quand elle me prend la main semblant vouloir que nous restions soudés.
Mon premier réflexe, cest de mhabiller et de filer comme un mal propre.
Mais léducation de maman me revient à lesprit, toujours affronter les choses en face, fuir est minable.
Oui, la réception, appelez les secours...
Juste le temps de recouvrir Fatima du drap, et de remettre col, vareuse et pantalon à pont et direction lhôpital le plus proche.
Je récupère mon bachi toujours sur sa tête, même dans la baignoire.
Je lui tiens la main quand elle crie aussi fort quau moment où ma queue la faisait jouir.
Là cest moins banal quand la sache femme propose au papa de couper le cordon.
Et pour finir elle me place mon fils dans mes bras.
La totalité de ce que le mari de ma petite amie aurait dû vivre à la naissance de son fils.
Je suis comme un con quand je vois Fatima parler à loreille de linfirmière près delle.
Elle opine de la tête, me prend me bébé avec un joli sourire et quitte le local daccouchement.
Tu as fait appeler ton mari !
Pourtant, tu étais à presque trois mois daccoucher, ton fils est loin dêtre un prématuré !
Javais peur que tu refuses de me faire lamour, mon fils à 15 jours davance, jétais enceinte de huit mois et demi.
Je crois que notre histoire se termine là, félicitation au papa et longue vie à vous deux.
Cest ainsi que se termine mon histoire avec Fatima, je rentre chez moi, ma perm se termine et je rejoins lescorteur Vauquelin à Brest à la flotte de latlantique.
Terminé, pas entièrement.
Je viens de finir mon quart à la machine, rappelons que je suis mécanicien.
Je suis dans le poste où nous pouvons lire et jouer aux cartes quand je vois le journal le Parisien sur la table.
Le Parisien, journal portant bien son nom à Brest, cest intrigant, bien que plusieurs copains restent dans ma région.
Surtout une photo suivi dun article.
« La princesse héritière du ... a accouché dans un petit dispensaire de Paris en tout incognito...
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