La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode 310)

Suite de l'épisode précédent N°309 - La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans -

Retenant tant bien que mal des hauts le cœur quand la verge de Philippe vient titiller sa glotte, Thaïs sent monter le plaisir en elle dans une ondée de bien-être et de frémissement qui la traverse de part en part sous ce double assaut viril. Elle sait pourtant qu’elle ne doit pas jouir, n’ayant reçu aucune autorisation express, mais prise par les deux côtés à la fois à grands coups de bites, elle n’arrive plus à se concentrer pour se retenir, chacun des deux hommes la pourfendant totalement de la manière la plus sauvagement animale qui soit. C’est au moment même où elle allait finir par céder qu’elle entend les sourds râles mâles de ceux qui se répandent en elle pratiquement en même temps, la remplissant de longs jets de sperme chaud. Thaïs déglutit le plus vite possible pour ne pas se trouver étouffée par la masse de semence qui est venue remplir sa bouche. Cet intermède jouissif a fait retomber la tension sexuelle qui la ravageait et elle est relativement contente de ne pas avoir céder à son propre plaisir, ce qui lui aurait valu une punition largement méritée, car son Maître, le Marquis d’Evans n’accepte en aucun cas qu’elle puisse avoir un orgasme non autorisé, se réservant le droit et le plaisir de les laisser surgir à l’instant même où IL le décide expressément… Le Marquis d’Evans passe sa main longuement pour caresser la croupe de sa chienne docile qu’il vient d’ensemencer et IL att au passage la laisse du premier esclave qu’IL a à sa portée.

- Lèche, chien, le cul de cette femelle, elle est remplie de Ma Noble semence qui est précieuse et qui ne doit pas être gâchée et quand tu auras bien tout bu, tu lui lécheras la chatte qu’elle a une fois de plus toute trempée.
- Oui, Maître (répond l’esclave mâle qui s’incline et s’agenouille sans attendre entre les cuisses de Thaïs, trop content de pouvoir boire du précieux nectar du Maître car il n’a pas si souvent l’occasion de pouvoir s’en délecter)
- Quant à toi Ma belle Thaïs, tu vas me nettoyer maintenant.

Il n’est pas question que je range Ma Divine Queue toute gluante dans cet état-là. Elle est encore toute poisseuse de la jouissance que j’ai prise entre tes fesses si accueillante. Je suis très content de voir que tu n’as pas joui sans Mon ordre car j’aurai bien été attristé de devoir te punir le soir de Mon anniversaire, mais chaque chose en son temps, et je n’ai pas oublié ce que je t’ai promis … Il te faudra juste attendre que je sois à nouveau en forme pour pouvoir boire à Ma source. D’ailleurs, j’ai envie de te faire découvrir certains objets D/s que tu n’as jamais dû tester et que j’aperçois dans ce donjon provisoire, qui a été aménagé au mieux par ce cher Walter.

Le Marquis d’Evans siffle l’esclave chien dont le museau s’était perdu dans l’intimité humide de Thaïs prenant grand plaisir à la nettoyer et à lui lécher les lèvres intimes parfumées de ses odeurs de chienne en chaleur.

- C’est bon comme cela. Tu t’es assez désaltéré. Dégage tes pattes de là, le chien …

Le Châtelain att la laisse de sa chienne Thaïs, lui détache les mains et l’aide à se redresser pour qu’elle puisse enfin descendre sans tomber des deux tréteaux humains, à qui IL donne pour terminer deux petites fessées, presque affectueuses tenant plus de la caresse, sur la croupe de ceux qui sont restés à quatre pattes bien sagement immobiles pendant un long moment, leur nouille encagée.

- Très bien, Vous pouvez vous relever tous les deux et aller vous dégourdir les mains, les jambes et le corps pendant une demi-heure. Vous l’avez mérité, car ma plantureuse Thaïs devait quand même vous peser à la longue, surtout lorsque je me suis acharnée dessus pour la sodomiser tandis que mon fidèle second pouvait se vider au fond de sa gorge.
- Merci Maître… (suivi d’un autre « Merci, Maître » qui résonne presque en écho)
- Quand à toi, Philippe, tu as quartier libre pour la soirée. Tu peux profiter de Mes esclaves si tu le souhaites de la manière qui pourrait te plaire… Y’a-t-il l’un ou l’une d’entre eux qui te tenterait plus qu’un autre ? C’est Mon anniversaire, mais J’aimerai aussi profiter de cette occasion pour te remercier à mon tour de ta dévotion sans failles et sans bornes.

- Monsieur le Marquis d’Evans, Maître, Vous êtes trop bon et si généreux pour celui qui ne désire vivre que pour Vous servir. Je n’ose rien répondre à Votre proposition car je ne voudrais pas Vous déplaire et Vous privez de l’un de Vos esclaves pour la nuitée.
- Alors, c’est Moi qui vais choisir pour toi celui ou celle que Je vais t’offrir. Je sais que lorsque tu viens dans Mes bureaux, bien que Je n’ai jamais vu le moindre geste déplacé ou malveillant qui M’aurait déplu, tu regardes souvent avec des yeux et un sourire qui ne trompent pas mon assistante personnelle Emeline. Malheureusement pour toi, pour ce soir, Je l’ai remise entre les mains de David, mon compagnon, car elle nous a fait une vraie démonstration de son talent d’artiste en poupée automate. Tu aurais aimé la voir ainsi, je suppose, n’ayant sur la peau qu’un peu de peinture qui ne cachait rien de ses superbes parties intimes et de sa poitrine ferme.

Philippe, baisse la tête se sentant rougir de honte. Il est vrai qu’il apprécie particulièrement l’assistante personnelle de celui qui reste son Grand Patron, le Président Directeur Général de l’Entreprise, de la holding et de toutes les filiales indirectement. Mais jamais, au grand jamais, il ne pourrait porter son dévolu sur celle qui appartient avant tout à Celui à qui il a voué sa vie et il ne peut que s’obliger à refouler les sentiments qu’il ressent presque malgré lui. Il se sent gêné d’avoir été percé à jour une fois de plus par l’œil perspicace et futé du Marquis et de risquer d’avoir mérité ses foudres.

- Ne rougit pas comme une gamine. Je ne t’en veux pas d’avoir aussi des désirs d’Homme. Je sais très bien que tu respectes plus que tout, tout ce qui M’appartient, autant Mes biens matériels que Mes « biens humains » et que Je n’ai rien à craindre de toi.
- Maître, je peux Vous l’assurer sans mentir. Vous n’avez et n’aurez jamais rien à craindre de moi. Je préférerai mourir sur le champ plutôt que de faillir au lien qui m’attache à Vous et de manquer au serment d’allégeance total que je Vous ai prêté et qui est ma seul raison de vivre à chaque instant.

- Bien … Alors, voyons qui vais-je choisir ? … Voyons, voyons ? (Le Marquis réfléchit tout en regardant son cheptel étalé devant ses yeux dans la grande salle) … Pour la soirée, Je vais te choisir ma douce Laétitia. C’est l’une de Mes dernières acquisitions, elle travaille comme secrétaire dans l’Entreprise et a tout de suite souhaité se remettre entre Mes mains pour parfaire sa formation de secrétaire tout autant que de soumise qui sommeillait en elle. J’ai vu qu’elle était parmi nous pour cette soirée… Walter a bien fait de ne pas la remettre encore entre les mains de l’un ou l’une de Mes Invités, car elle reste très novice, bien que très désireuse et motivée de Me satisfaire et de ne pas Me déplaire. J’aimerai bien que tu lui fasses découvrir le côté très D/s de cette belle demeure et que tu puisses également découvrir tous ses trésors intimes qu’elle cache dans son corps et dans sa nature profondément soumise, mais encore en total devenir qui ne demande qu’à se laisser formater.

Le Marquis fait signe à Walter pour lui demander d’aller chercher au fond de la salle et de ramener Laétitia, qui quelques secondes plus tard, à peine arrivée devant le Châtelain spontanément s’agenouille et baisse la tête :

- Bonjour, Ma douce soumise Laétitia MDE, je vois que tu prends vite les habitudes de la maison. Je pense que les fastes de cette somptueuse soirée doivent te changer de tes papiers et tes dossiers que tu manipules à l’Entreprise… Je suppose que tu connais Philippe, mon fidèle second.
- Bonjour Maître Vénéré… Oui, Maître, bien que je n’ai jamais eu l’occasion de le croiser au détour d’un couloir des bureaux dans nos tenues respectives.
- N’oublie pas que le secret le plus absolu sur tout ce que tu pourras voir et vivre dans cette Noble Demeure est de mise en dehors de ces lieux et que la moindre entorse te vaudrait un licenciement immédiat, car je ne pourrai supporter que tu trahisses la confiance que j’ai mise en toi… Pour ce soir, je te remets entre les mains de mon second qui va te faire découvrir les lieux et quelques petits délices, je l’espère.
Obéis lui en tout point comme s’il s’agissait de Moi, et quelque soit ce qui pourrait se passer ce soir, n’oublie pas que dès demain, il restera à tes yeux uniquement le second du Président Directeur Général et que rien de cette soirée ne devra transparaître vis-à-vis de tes collègues de travail et des cadres de l’Entreprise.
- Oui, Maître Vénéré. Je suis trop heureuse et consciente du privilège de compter parmi Vos chiennes et Ma dévotion est totale. Je suis Votre soumise et je me conformerai à Vos exigences pour ne pas Vous déplaire, reprenant ma place d’une banale secrétaire dès demain matin au sein des bureaux.

Le Marquis att la main de Philippe qu’IL dirige sur le bas-ventre de Laétitia, l’incitant à forcer son intimité féminine sans aucune gêne.

- Alors dis-moi un peu si elle est mouillée cette petite chienne que je t’offre pour la soirée. Si ce n’est pas le cas, tâche de la faire suinter au plus vite. Mais je ne me fais aucun souci, je suis certain qu’elle est déjà fort excitée par le simple fait d’être devant son Maître qui daigne lui adresser la parole.

Le Châtelain ayant lâché la main inquisitrice de son second, IL termine par quelques fessées appuyées sur la croupe de Laétitia, qui a chaque battement qu’elle reçoit sur son postérieur, voit ses fesses avancer sous la force de la main ferme qui vient la frapper et son sexe venir encore plus en butée sur la main de Philippe. Elle est très excitée de toutes ces attentions sensuelles et ne tarde pas à sentir son bas-ventre qui déjà est bien humidifié s’intensifier en excitation sous les mouvements de plus en plus précis et profonds de Philippe qui a fini par laisser ses doigts se frayer un vrai chemin à l’intérieur de sa chatte de plus en plus béante et accueillante.

Sans plus un mot pour les deux qu’IL laisse à la découverte de nouveaux plaisirs charnels partagés, le Marquis d’Evans tire à nouveau sur la laisse de Thaïs pour lui montrer qu’IL n’a pas oublié qu’elle était là à Ses pieds, à quatre pattes comme toute bonne chienne soumise qui se respecte. Le Châtelain s’avance d’une allure digne avec prestance, saluant au passage les Invités qu’IL croise, qui ont tous profité de l’occasion pour s’adonner à leurs plaisirs D/s favoris dans une orgie déjà bien engagée car on suce, on baise, on encule, on fouette, on fesse un peu de tous les côtés...

- Cher Marquis, Vos soirées comme toujours sont spectaculaires et un vrai délice dont je raffole. Je suis heureux d’avoir pu être à Vos côtés pour fêter Votre anniversaire.
- Mon cher ami, Master DD, vous savez très bien que je vous apprécie aussi. Je vois que vous maniez toujours aussi bien le fouet à la perfection. Mon esclave vous donne-t-il totalement satisfaction, car je trouve que l’on entend beaucoup trop ses cris et gémissements.
- Oui tout à fait, soyez sans crainte. Dans le cas contraire, je saurai bien trouver le moyen de le faire plier à mes exigences, mais je dois avouer que j’aime entendre les cris que mes coups font naître, que ce soit sur la peau de mon soumis que je ne ménage pas beaucoup, mais qui est tellement masochiste qu’il en redemande sans cesse, que sur celui que vous avez mis à ma disposition pour la soirée. Voir ces chairs tendres qui peu à peu se colorent de zébrures, laissant l’empreinte de mon passage et de mon pouvoir est un plaisir dont je ne me lasserai jamais.
- Alors, très cher, amusez-vous bien mais songez à ménager votre bras car la soirée ne fait que commencer (ajoute le Marquis avec un petit sourire malicieux dans le regard)… et surtout buvez et mangez à volonté entre multiples plaisirs D/s… Mes serveuses-esclaves sont là pour vous servir à boire et à manger comme pour se faire ‘’maltraiter’’ leur corps à souhait …

Le Marquis d’Evans se retourne vers Thaïs dont IL att le menton.

- Tiens regarde un peu la belle. Tu vas voir un beau spectacle qui devrait te faire frémir. Je me demande si je ne devrais pas te confier pendant quelques heures aux bons soins de mon cher ami, Master DD, dont la renommée dans le maniement de cet instrument fétiche n’est plus à faire. Il est considéré comme un des meilleurs fouetteurs dans notre communauté. Tu aimerais peut-être après tout sentir la morsure du fouet sur ta tendre peau ?
- Maître Vénéré. Je suis Votre soumise-esclave et mon corps, tout comme mon esprit, Vous appartiennent. Vous pouvez en disposer à Votre convenance. J’aimerai tout ce que Vous m’imposerez que j’endurerai par Vénération et Amour D/s de Vous qui êtes Celui à qui j’ai donné ma vie, tout autant que mes plaisirs et mes déplaisirs, et cela pour Votre seul bon plaisir. C’est toujours entre Vos mains que Votre esclave se sentira la plus heureuse, mais c’est à Vous et Vous seul de décider ce que Vous exigez de moi.

Thaïs est sincère dans sa dévotion et elle accepterait de bonne grâce ce que lui imposerait son Maître à qui elle ne pourrait refuser quoique ce soit, mais au fond d’elle, elle craint fort de ne pas être à la hauteur et de ne pas supporter physiquement les coups si puissants que ce dernier Dominant semble apprécier pour son plus grand plaisir, avec une pointe de sadisme non dissimulée. C’est donc avec une grande frayeur qu’elle regarde la scène, bien qu’elle se sente également fort excitée à l’idée de pouvoir être un jour fouettée par son Maître et de découvrir encore plus cet instant où la douleur est dépassée pour devenir un délice suprême.

Pendant ce temps-là, Master DD reprend en main son fouet single-tail qu’il fait cingler à trois reprises fendant l’air d’un grand coup qui siffle, et ceci dans un ample mouvement du bras quasi millimétré, donnant au geste une élégance démoniaque et surréaliste, tel un dresseur de fauves. Ce sifflement du fouet fait sursauter tout autant l’esclave du Marquis d’Evans attaché sur la croix de Saint-André, face au grand X, que son propre esclave agenouillé juste derrière à qui il a ordonné pendant tout le temps de cette séance de fouettage de lécher l’anus de celui qui subit les coups ajustés du Maître grand expert en maniement de cet instrument, qui est capable de laisser s’abattre la lanière du fouet à l’endroit précis qu’il vise, ce qui n’est pas quand même sans causer quelques frayeurs à l’esclave agenouillé qui voyant le cuir lui passer parfois au-dessus de la tête ou si près des oreilles, craint de recevoir un coup mal placé qui s’avérerait dangereux et de nature à le blesser de manière définitive. Mais Master DD est très adroit et ne rate jamais sa cible et ce sont les épaules, le dos et les fesses des deux chiens mâles que vise le Maître qui prend plaisir à varier l’endroit où il porte ses coups ainsi que l’intensité de la frappe, pour augmenter encore l’effet de surprise et les cris de chacun des deux, dont il est bien difficile maintenant de savoir si seule la douleur y est présente et non largement une plus grande part de plaisirs de cet anulingus donné et reçu par la même occasion. Le Marquis d’Evans profite de la scène qui s’offre à lui et à sa chienne Thaïs pour lui passer la main entre les cuisses afin de s’assurer de l’intense effet du spectacle sur l’intimité de la belle.

- A ce que je vois Ma belle, les coups de fouet t’excitent grandement. Je vais y songer sérieusement même si tu dois le regretter, car Ma cravache te semblera bien douce à côté. Pour l’instant lèche ta mouille qui a sali ma main. Tu es vraiment une chienne en chaleur insatiable, mais j’ai une petite idée qui va calmer ton entrecuisse.

Thaïs, regarde son Maître un instant tandis qu’IL lui att le menton pour lui soulever le visage. Son regard profond est empli de tant de sentiments qui la traversent, contradictoirement ou complémentairement, desquels ressort avant tout une profonde et vraie Vénération. Elle offre un sourire radieux à son Maitre, empreint de son envie de le satisfaire en tous points et sa crainte de le décevoir pour quelque raison que ce soit. Le Marquis d’Evans reprend sa marche vers le centre de la pièce et s’arrête au pied d’un appareil en bois formé de deux planches obliques qui pourrait servir de trépied, une sorte de V inversé.

- Voilà, c’est ce que j’ai choisi pour toi pour cette soirée. Je suppose que tu n’es jamais monté dessus ce genre d’équipement. Cela s’appelle un « berceau de Judas » ou encore un « âne espagnol ».
- Oui, Maître. Vous supposez juste.
- Alors, tu vas l’essayer sans tarder…

(A suivre …)

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