Travesti En Soubrette Par Une Matrone Pour Le Banquet Du Rugby (8)
Elle se tourna et je vis alors un dos large et puissant. Elle fléchit ses biceps comme une culturiste et ils ne finissaient pas de grossir. Ses fesses semblaient fermes et toutes en muscle. Ses mollets étaient bien plus gros que mes cuis
ses. Elle se retourna pour me faire face à nouveau et attrapa doucement mais fermement larrière de ma tête dans sa main pour plaquer ma bouche sur son sexe humide. Je commençai à lui lécher son gros clito avec ma petite langue. Du coin
de loeil, jadmirais la scène dans limmense miroir de la salle de bain. Leau et le shampoing avaient nettoyé le sperme séché de la perruque et rendu à nouveau mes cheveux fins et soyeux. Jétais fasciné par la vision dune très jolie
petite brune coupée au carré, mince au point den paraître rachitique, faire un cunilingus à une immense amazone dont le corps était une symphonie de muscles et de puissance. Je voyais mes petites mains et mes bras menus sappuyer sur le
s cuisses aussi dures que du bétons de ma patronne. Son sexe sentait bon et avait un goût sucré. Je me cambrais autant que possible pour offrir ma croupe telle une petite chienne qui cherchait à se faire prendre. Ma langue fine et douce
ne tarda pas à faire jouir la valkyrie dont le jus envahit ma bouche. Elle gémit de sa voie grave et suave. Elle baissa alors son regard sur moi.
Ta langue est si douce ma pucelle ! Tu es si petite ! Mais tu sais bien ty prendre
Dune pression de sa main sur mon crane, elle me força à me redresser jusquà ce que je sois debout et que ma bouche soit à hauteur de son opulente poitrine. Jengloutis un de ses énormes mamelons qui remplit totalement ma bouche. Jentr
epris de le téter et de le stimuler avec ma langue. Lamazone gémissait de plaisir et pressait parfois si fort mon visage contre sa lourde et large mamelle que je ne pouvais plus ni voir ni respirer. Je sentais son téton dressé et durci
de plaisir contre mon palais.
x melons était douce comme du velours. J aurais voulu passer ma vie dans ce doux et chaud écrin de chair qui sentait bon le savon au lait. La matrone libéra ma tête et me regardant de sa hauteur me dit:
A toi de prendre du plaisir maintenant !
Elle saccroupit alors devant moi et posa chacune de ses énormes mains sous mes petites fesses. Elle se releva et me souleva jusquà ce que mon petit sexe soit au niveau de ses superbes seins, tout mon poids reposant dans ses larges paum
es. Elle entreprit alors dagiter mon corps verticalement pour que mon pénis durci coulisse entre les les deux masses volumineuses et fermes. Jétais au paradis ! Je me sentais si faible et si léger dans les bras de cette déesse musclée.
Elle manipulait mon corps et en jouait comme si je nétais pas plus lourd quun foetus de paille quelle aurait agité contre sa titanesque poitrine. Petit à petit, je sentis le bout de ses deux longs et larges majeurs se rapprocher de m
on anus et y pénétrer. A chacun des mouvements, les doigts musclés par des années de labeur senfonçaient un peu plus, dilatant largement ma rondelle encore meurtrie. Je posai mes mains autour de son cou musculeux et sentis ses trapèzes
contractés par leffort. La sensation de plaisir qui montait en moi me poussa à jeter ma tête en arrière telle une femme comblée par un amant bien membré. Je jouis entre les seins de lamazone. Lextase me poussa à gémir de plaisir et rendit mon corps aussi flasque que celui dune poupée de chiffon. Je gardai ma bouche ouverte et ma tête penchée à larrière, prenant plaisir à sentir les phalanges expertes de mon amante à lintérieur de moi. Elle retira ses doigts de mon cul et fit glisser mon bassin puis ma taille et ma cage thoracique dans ses larges paumes de manière à ce quelle puisse me soutenir sous les aisselles.
Laisse moi une place ma puce, il faut que je me lave aussi maintenant.
Elle se pencha pour me saisir par la taille et me soulever. Tout en me maintenant à bout de bras, elle sassit dans la baignoire qui était suffisamment large pour accueillir son imposant fessier. Redressant ses genoux, elle massit alors à califourchon face à elle. Je sentais les poils drus de son pubis contre mes fesses. Mes cuisses daraignée entouraient sa taille et ses seins majestueux pressaient le haut de mon corps contre ses cuisses fermes et dont je sentais les muscles bouger contre mon dos. Elle fit couler leau et me demanda de la laver. Je pris un énorme plaisir à frotter son corps immense. Je jouai avec les masses si lourdes de sa poitrine que je ne pouvais les soulever. Je passais léponge sur ses biceps quelle prenait plaisir à gonfler. Je narrivai pas à en faire le tour de mes deux petites mains ! Elle rit devant mon étonnement:
On voit que tu nas jamais peloté une fille de la campagne mon petit cul. A moi de te laver maintenant
Elle prit léponge et frotta mon petit corps avec, toujours fermement mais agréablement. Elle lava longuement mon petit sexe si bien que je jouis devant tant de sensualité. En me saisissant sous les aisselles, elle se leva et minstalla sur sa hanche gauche. Elle saisit le pommeau de la douche avec sa main droite et rinça nos deux corps nus. Dans la glace embrumée, jadmirais en filigrane une scène qui aurait pu faire la couverture dune pochette de film érotique lesbien: Une belle amazone grande et musclée qui portait sur sa hanche comme si elle ne pesait rien une petite brune sexy au corps longiligne, toutes les deux humides et ruisselantes.
ça y est, ton petit cul est tout propre
Elle saisit une grande serviette dans laquelle elle menveloppa pour me sécher. Mon corps disparut entièrement dans limmense morceau de tissus. Elle me frotta maîtrisant mal sa force et jaurais perdu léquilibre plus dune fois si sa poigne navait pas été aussi ferme. Elle se sécha avec la même serviette et je pris grand plaisir à voir tout ses muscles se contracter et sa poitrine osciller de manière hypnotique à chacun de ses mouvements. Une fois sèche, elle saisit un tube de crème hydratante dont elle senduisit les mains. Pressant à nouveau le tube, elle en extirpa une noix de crème quelle mit sur le majeur et lindex joints de sa main droite.
Tourne toi pour que je soigne ton petit cul ma pucelle
Je me tournai et frémis quand elle menduit copieusement le fion de la crème froide qui atténua instantanément la douleur. Le contact de ses énormes doigts sur mon anus me fit bander à nouveau. Définitivement, ma rondelle était ma zone érogène principale. La matrone colla son avant bras massif contre mon dos et faucha mes jambes au niveau des genoux avec lautre pour me soulever délicatement dans ses bras musclés. Elle me serrait contre sa poitrine nue et je mis machinalement mes bras autour de son cou de taureau. Elle me porta jusquau lit sur lequel elle me posa délicatement.
Il va falloir thabiller à nouveau !
Elle ouvrit le tiroir dune commode et en sortit un string noir. Elle le tenait tendu entre ses longs doigts. On aurait dit un vêtement de poupée dans sa large palme. Elle me le jeta:
Enfile ça sur ton petit cul, je parie que ça va aller à ravir sur tes petites miches
Jenfilai le petit bout de tissus dont la ficelle sinséra entre mes fesses. Effectivement, ça mallait parfaitement. Mon sexe y était bien caché. La ficelle remontait bien sur ma croupe et sublimait ma sensualité féminine. Elle me jeta alors une brassière noire qui était aussi à la bonne taille.
Tu es absolument bandante. Je ne veux plus jamais te voir avec des vêtements dhomme !
Cest alors quelle saisit délicatement mon visage entre le pouce et lindex de sa main droite. Ses doigts massifs donnaient limpression quelle pouvait écraser sans effort ma mâchoire. Sa main était si large que son pouce et son majeur touchaient chacune de mes oreilles. Elle pencha sa tête et se baissa pour membrasser. Malgré les talons, je dûs me mettre sur la pointe des pieds pour atteindre ses lèvres. Sa vaste bouche ouverte se plaqua sur la mienne et sa langue entra avec force dans ma bouche pour caresser la mienne. Je ne mattendais pas à un geste aussi tendre et sensuelle de sa part. Je ne sus comment réagir, dautant plus que personne ne mavait encore embrassé et que je ne savais comment faire. Elle sen aperçut et décollant sa bouche de la mienne, elle me regarda en souriant et me dit:
Cest ton premier baiser ? Laisse moi faire, je vais tapprendre
Elle força à nouveau mon visage tenu par la ferme étreinte de ses doigts à sapprocher du sien et plaqua à nouveau ma bouche sur la sienne. Sa langue caressait la mienne avec tendresse et fermeté. Jimitais son mouvement et elle sembla apprécier. Sa main libre passa sous ma mini jupe pour caresser mes fesses quasi nues et me plaquer contre elle. Elle me pelotait le cul avec une poigne de fer, comme si elle pétrissait une petite miche de pain. Elle semblait beaucoup apprécier mes petites fesses qui tenaient dans ses paumes. Elle sentit alors mon sexe turgescent contre sa cuisse. Arrêtant de membrasser, elle me regarda à nouveau en souriant et me dit:
Je vois que ça ta bien excité. Tu embrasses très bien et tu as un goût sucré ma douce
Je ne métais même pas rendu compte quà force de me peloter de sa grosse main, elle mavait soulevé du sol et mes jambes pendaient le long de ses cuisses musclées. Elle me reposa. Mon coeur battait la chamade et jaurais probablement perdu l'équilibre si sa grosse main navait plus été collé sur mon petit postérieur.
Je te mets une dernière touche de maquillage et tu vas pouvoir y aller. Avec ton teint de poupée de cire, je vais juste mettre un peu de glosse sur tes lèvres.
Sappliquant pour ne pas déborder de mes lèvres fines, elle mappliqua le glosse délicatement. Je me regardai alors dans le miroir et fus impressionné par le sex appeal que me donnait cette nouvelle tenue. Mes jambes prolongées par les talons et gainées de résille paraissaient si fines ! Les bas sarrêtaient à quelques centimètres de la jupe et chacun de mes mouvements dévoilaient subrepticement mes jarretelles. Mon nombril était visible et la peau d'albâtre de ma taille contrastait avec le noir de la jupe. Mes lèvres roses et brillantes surgissaient de mon visage blêmi par cette journée éprouvante, comme un appelle à fellation, une vraie bouche à pipe. Si la finesse de mes traits navaient pas compensé la vulgarité de ma tenue, jaurais vraiment eu lair dune tapineuse. La matrone sadressa à moi.
Tu vas pouvoir rentrer chez toi ma puce.
Me serrant une dernière fois dans ses bras, elle plaqua ma tête contre son énorme poitrine nue. Je profitai une dernière fois de ce contact doux et rassurant. Elle passa un bras dans mon dos et lautre derrière mes genoux et me souleva avec facilité. Elle se tourna vers la glace pour admirer une dernière fois le spectacle de cette immense matrone portant dans ses gros bras ce petit homme aux traits si fins, travesti en prostitué de luxe. Elle me porta alors en direction de la porte dentrée. Je mis mes petites mains sur ses énormes seins et une des siennes vint sous ma jupe au contact de mes fesses. Arrivé devant la porte, elle souleva mon dos pour porter mon visage au niveau du sien et nous nous embrassâmes torridement une dernière fois. Elle me posa alors, ouvrit la porte et me donna une claque sur les fesses pour me faire sortir. Elle claqua la porte pour la refermer.
A suivre...
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