6. Catherine

Sur la route du retour, je repensai à la vidéo que Georges m’avait envoyée en fin d’après-midi. On y voyait une belle femme blonde, certainement dans la quarantaine, à la poitrine généreuse, se faire littéralement défoncer la bouche par la queue de Georges. J’avais été excité de voir ma Laeti diriger cette femme avec autorité et fermeté et lui offrir la semence de Georges sur son visage. Quel bonheur de la voir déglutir à même le visage de cette salope la liqueur de la jouissance de Georges. J’avais hâte de rentrer afin d’avoir des explications de la part de Laeti concernant cette vidéo.
En arrivant, je fus surpris de n’entendre aucun bruit. Je montai à l’étage et entendis le bruit de la douche. Je me faufilai par la porte entrouverte et me déshabillai en deux secondes.
- Ouh !!! Tu m’as fait peur mon chéri. Je ne t’avais pas entendu me dit-elle.
En guise de réponse, je m’accroupis sous le jet pour laper sa petite chatte. Elle releva une jambe comme pour m’encourager à aller plus loin.
- Ohhh !!! Salaud !!! J’suis tellement excitée par cette journée ! Tu vas me faire jouir en un rien de temps ! Ohhhhh !!! Aaaaarrrrrhhhhh ! Salauuuuud !
Elle reprit son souffle.
- Wouwwwww que ça fait du bien. Viens ici, défonce-moi ! me lança-t-elle en s’appuyant à la paroi.
Elle se cambra et m’offrit le spectacle de son superbe petit cul bien tendu et de sa chatte toute lisse.
- Tu la veux ma queue petite salope !
- Ouiiiii ! Viiiiiens ! Prends-moi j’en peux plus ! Défonce la ta salope ! supplia-t-elle. Alleeeeez !
Je m’introduis jusqu’à la garde brutalement, lui arrachant un grognement de surprise.
- Aaaaarrrrrhhhhh ! Salaud ! Espèce de brute !
Je la besognai profondément, lui tenant fermement une hanche et tirant ses cheveux de l’autre main. Je la limai bestialement en soufflant fort.
- Tu aimes la défoncer ta salope ! Hein ? Dis-le que tu aimes me défoncer.
- Ouiiiii ! J’aime défoncer les putes comme toi !
- Ouuuuuhhhhh ! Ouiiiiii ! défonce ta putain !
- Arrrrgggg ! Je vais jouir !
- Non attends ! Tu vas jouir sur ta putain !
Et elle s’agenouilla, ouvrant grand la bouche.

Je me masturbai brièvement et lui offris tout mon jus dans la bouche et sur son visage en hurlant de plaisir.
¤ ¤ ¤
Après nous être apaisés sous la douche, nous descendîmes préparer le dîner. J’ouvris une bouteille de vin que je servis pendant que Laeti s’activait dans la cuisine.
- Alors ma chérie, c’est quoi cette vidéo que Georges m’a envoyée ? demandai-je.
Tout en cuisinant et en sirotant son vin rosé, Laeti m’expliqua en détail la tournure des événements de la journée avec Valérie et Georges.
- Et bien ! soufflai-je. Je n’aurais jamais pensé que Valérie était comme cela ! Tant mieux pour elle et Georges. Ils devraient bien s’entendre ! En tout cas, elle était vraiment superbement maquillée par toi et Georges.
- Oh que oui ! Moi aussi j’ai adoré la voir ainsi, c’était une merveilleuse expérience.
- Tu aimerais qu’on fasse quelque chose avec elle ? demandai-je.
- Nous deux avec elle, ça me paraît compliqué maintenant. Mais avec elle et Georges mmmmm … ouiiiii … j’adorerais mon amour.
Je souris avant de l’embrasser à pleine bouche tout en lui malaxant les fesses.
- Arrête espèce de pervers ! Faut que je finisse la cuisson ! dit-elle faussement fâchée.
- Au fait, Georges m’a envoyé un mail hier soir sur ma messagerie perso et il m’a aussi fait livrer un colis par coursier ce matin.
- Ah bon ! Et il t’écrit quoi ? Et c’est quoi ce colis ?
- Des instructions dis-je du tac au tac.
- Des instructions ? Des instructions pour quoi ?
- Pour son anniversaire. Ou plutôt concernant notre cadeau pour son anniversaire.
- Ah oui ! Il m’en a parlé. Il m’avait dit de voir avec toi pour son cadeau. Alors, il veut quoi ?
Je lui tendis le mail de Georges que j’avais imprimé. Elle le lut en silence :
Bonjour Arthur,
Comme nous en avions discuté au téléphone, tu vas recevoir sans doute demain matin un colis qui vous est destiné à toi et Laeti. Je compte sur toi afin que mes instructions soient respectées !
Dans ce colis, tu trouveras les effets pour ma soirée d’anniversaire qui aura lieu chez Patrick dans deux semaines.

Merci par avance pour votre cadeau !
Amicalement.
Georges.
- Mais où sont les instructions ? Et qu’est-ce qu’il y a dans ce colis ?
- Ah ça, tu le sauras dans deux semaines dis-je en souriant.
- Ah non !!! Tu ne peux pas me faire ça ! Allez, dis-moi ! S’il te plaît mon amour !
- Mais non, je ne peux rien te dire. C’est son cadeau d’anniversaire et pour toi ce sera une surprise. Tu ne peux pas me demander de gâcher le cadeau de ton patron quand même.
- Bon d’accord. On va dîner ?
J’étais surpris qu’elle renonçât aussi vite à assouvir sa curiosité mais elle revint à la charge le soir dans notre lit.
- Alors, tu vas me dire en quoi consiste ma surprise pour l’anniversaire de Georges ? me souffla-t-elle en m’embrassant le cou puis en descendant vers mes tétons, pour finir sur mon sexe.
Elle me suçait par à-coups, m’engloutissant lentement puis ressortant puis m’avalant profondément d’un coup, en sortant sa langue pour me laper les bourses. La garce, elle savait que j’adorais ça et qu’à ce rythme je ne tiendrais pas longtemps. Cinq minutes de ce traitement et j’étais prêt à exploser.
- Alors, tu vas me le dire ou je te laisse en plan ! lâcha-t-elle.
- Oh non ! Espèce de garce. Tu ne vas pas me laisser dans cet état ! suppliai-je.
- Si, sauf si tu parles.
Je me relevai brusquement et ne lui laissant pas le temps de réagir, je me retrouvai derrière elle tentant de la pénétrer en levrette.
- Oh non ! Tu n’auras rien de moi si tu ne me dis rien espèce de salaud ! Tu n’as qu’à te la branler ta grosse queue.
- Tu vas voir espèce de garce si je vais me finir tout seul !
Je lui attrapai les bras, les croisai dans son dos et les maintins fermement d’une main, tandis que de l’autre sous son ventre, je lui maintenais la croupe relevée pour la pénétrer.
- Non ! Arrête espèce de salaud ! Non ! Arrête ! cria-t-elle
- Tu n’avais qu’à pas m’exciter espèce de salope.
Je la pénétrai violemment et profondément.

- Nooooooooooooooon … Noooooooooon … Ououououpfffff !!! Salauuuuud !
Désormais, je la limai en changeant de rythme, comme elle aime. Je pouvais bien la pénétrer car elle était extrêmement cambrée du fait de ses bras croisés dans son dos, moi appuyant fermement dessus et l’autre main lui tirant les cheveux.
- Oooooohhhhh salauuuuuuud noooooon je vais jouir !!! Je suis une saloooooooope !
- Roooooh ouiiii ma salope tu vas aussi me faire jouiiiiiiiirrrrrrr aussi !
Et j’explosais dans au fond de sa matrice, lui envoyant d’épais jets de sperme qu’elle aimait tant.
- Arrrrrhhhhhhhhh ! Salauuuuud … je jouiiiiiiiiiiis …
Je relâchai ma prise. Elle s’effondra sur le côté en soufflant et mis une main à son sexe. Elle en préleva ma semence qu’elle mit à sa bouche en me regardant comme une vraie chienne.
- Salaud ! Tu m’as fait jouir si fort !
- Fallait pas me chercher mon amour !
- Je t’aime Arthur. Je t’aime tellement. Et puis votre secret, gardez-le … j’attendrai de découvrir dans deux semaines !
Et nous nous enlaçâmes dans un baiser langoureux avant de nous endormir doucement.
¤ ¤ ¤
Les deux semaines qui suivirent nous laissèrent peu de temps pour des ébats sexuels débridés. Laeti était très prise par la préparation de son salon parisien et l’accueil de la nouvelle apprentie dont elle était la tutrice. Elle avait pris un peu de distance vis-à-vis de Georges afin de le laisser dans son intimité avec Valérie. Mais elle se tenait au courant quand même au travers des échanges coquins qu’elle avait avec Valérie. Pour ma part, j’avais énormément travaillé sur le projet de rachat d’une entreprise concurrente que mon PDG convoitait depuis des mois. La situation financière de cette entreprise ne permettait plus d’assurer l’avenir à une cinquantaine d’employés et la patronne, qui avait hérité de son père cette belle entreprise suite au décès de ses parents dans un accident de voiture, s’était résolue à la vendre.
Le seul problème – et de taille pour elle - était que son entreprise avait tellement de dettes et une activité en déclin continu, qu’elle ne trouvait aucun acheteur. Mon patron avait dans l’idée de la racheter pour un euro symbolique en espérant que le tribunal de commerce accepterait notre plan de reprise conditionné à l’annulation du passif. La seule chance que nous avions d’aboutir à cette opération selon nos conditions, était que la propriétaire de cette entreprise était très amie avec le président du tribunal de commerce. Dans la semaine je devais rencontrer la patronne pour affiner les dernières modalités de reprises et surtout m’assurer qu’elle avait fait ce qu’il fallait pour rallier un avis favorable du tribunal. Je me présentai enfin à cet entretien avec Madame Besnard.
- Bonjour mademoiselle dis-je, m’adressant à l’hôtesse d’accueil. Je suis Arthur D. de la société G. J’ai rendez-vous avec madame Besnard.
- Oui monsieur D. Patientez je vous prie, je vais vous annoncer.
L’hôtesse d’accueil me regardait en souriant tout en m’annonçant à sa patronne.
- Oui Catherine, c’est Cécile. Votre rendez-vous est arrivé. Monsieur, veuillez me suivre, je vous conduis au bureau de Catherine.
Je suivis l’hôtesse qui montait les escaliers lentement en se dandinant sur ses hauts talons. J’aperçus des bas auto-fixants et un string noir. Elle s’arrêta devant une porte et frappa. Je fus surpris par la jeune intonation de la voix, m’attendant à une femme plus âgée.
- Oui entrez.
L’hôtesse m’ouvrit la porte, m’invitant à entrer. Elle me laissait peu de place pour passer, aussi j’entrai un peu de travers et effleurai ses seins de mon bras.
- Oh, excusez-moi mademoiselle.
- Je vous en prie me dit-elle en me souriant.
L’hôtesse pris congé.
- Bonjour Madame Besnard, je suis Arthur D, envoyé par monsieur Pascal C.
- Oui, je vous attendais. Installez-vous, je vais vous faire servir un café.
- Merci madame.
- Appelez-moi Catherine je vous prie. Madame, ça me vieillit !
En effet, je me trouvai face à une femme d’une trentaine d’années. Vêtue d’une jupe bleue marine et de talons aiguilles, elle portait un chemisier blanc assez transparent qui laissait entrevoir un soutien-gorge de même couleur soutenant une paire de seins superbes – j’aurais parié un 90C voire D. Elle avait une allure très élancée et fine. Derrière ses fines lunettes, un regard bleu très profond me fixait droit dans les yeux. Ses lèvres pulpeuses étaient une invitation au baiser. Bref, c’était une très belle jeune femme qui si elle n’avait pas hérité des qualités d’entrepreneur de son père, avait en tout cas tous les atouts physiques qu’elle savait visiblement mettre en valeur. Je fus interrompu dans ma réflexion par l’entrée de l’hôtesse deux cafés.
- Merci Cécile dit Catherine. Vous pouvez nous laisser.
L’hôtesse quitta la pièce en me souriant et en me regardant avec insistance.
- Merci de votre accueil madame.
- Arthur, je vous saurai gré de m’appeler Catherine me dit-elle en souriant. Madame ça attendra quelques années !
- Oui, excusez-moi. Hum. Si vous voulez bien, on va commencer.
Catherine m’écoutait avec attention. Elle ne cessait de m’adresser des sourires à chaque fois que je demandais son approbation. Elle me semblait très détendue pour une personne qui allait être amenée à céder son entreprise pour un euro. Elle m’expliqua à la fin de mon exposé que du côté du tribunal de commerce, il n’y aurait aucun souci. Elle m’affirma s’être personnellement assuré auprès de son ami président que tout serait validé selon nos demandes. De son côté, elle ne risquait rien d’un point de vue personnel et financier me dit-elle. C’était sans doute ce qui expliquait son détachement par rapport à la situation délicate de son entreprise. Nous assurions la pérennité des emplois et elle ne perdait rien à titre personnel. Tout le monde y trouvait son compte à part nos créanciers et quelques fournisseurs. Au bout de deux heures d’échange nous avions bouclé le dossier. Tout semblait prêt. J’allai pour prendre congé lorsque Catherine me dit :
- Oh ! il est déjà 13 heures. Je vous invite à déjeuner Arthur.
- Euh ! Non je vous remercie beaucoup. Mais je ne voudrai pas r.
- Je vous le propose sincèrement. Ça me ferait très plaisir.
- Hum. D’accord Catherine, mais c’est moi qui vous invite. Je ne peux accepter d’être invité par une femme.
- Oh ! Vous avez de l’éducation en plus ! me dit-elle en souriant.
En plus ? Qu’entendait-elle par En plus ? me dis-je en la suivant jusqu’au parking.
- C’est à 10 minutes. Une bonne table où j’ai mes habitudes. Je vous conduis ?
Nous montâmes dans sa BMW X3. En s’asseyant sur son siège, sa jupe était remontée sur le haut de ses cuisses, laissant apparaître ses magnifiques jambes mises en valeur par ses bas. En conduisant, elle écartait légèrement ses cuisses, faisant remonter davantage sa jupe. Derrière mes lunettes de soleil, je n’en manquais pas une miette, m’apercevant qu’elle portait des porte-jarretelles. Cependant, je ne pouvais voir si elle portait un string. Tout en conduisant, elle tournait son visage vers moi en m’adressant de grands sourires. Il était clair que cette très belle femme cherchait à me séduire. Mais dans quel but ? Elle n’avait rien à attendre de moi quant à notre affaire. Nous arrivâmes enfin au restaurant situé dans un cadre très provençal. Le maître de table nous salua et nous conduisit à une table dans une salle en retrait de la salle principale. Nous étions d’ailleurs seuls dans la pièce. Sans nous questionner, il nous apporta deux flûtes de champagne.
- Euh. Je vous remercie monsieur, mais je prendrai juste un verre d’eau dis-je au serveur.
- Oh Arthur ! Nous allons fêter notre affaire qui finalement se présente très bien pour tout le monde. Vous n’allez pas me laisser boire seule quand même me dit-elle en souriant.
- J’évite de boire au déjeuner. Mais je ferai une entorse à ma discipline et vais vous accompagner Catherine.
- Appelez-moi Cathy. Alors, depuis quand travaillez-vous avec Pascal C ?
- Cela fait bientôt cinq ans. Et vous Catherine, qu’allez-vous faire après la vente de votre société ?
Elle m’expliqua alors qu’elle avait fait ce qu’elle pouvait pour maintenir l’entreprise à flots mais avoua qu’elle n’était pas du tout intéressée par le monde des affaires. Ce qui la passionnait c’était les voyages et la découverte de nouveaux horizons. Elle m’expliqua qu’elle n’avait pas besoin de travailler pour vivre et qu’elle se donnait un peu de vacances avant de décider de ses futures occupations.
- Êtes-vous marié Arthur ?
- Euh … je vis avec ma compagne depuis douze ans.
- Et bien ! C’est rare de nos jours un couple qui dure. Moi, je n’ai pas encore trouvé chaussure à mon pied comme on dit. J’imagine que votre femme doit être ravissante et heureuse avec vous.
- Euh … oui Laeti est une très belle femme, tout comme vous d’ailleurs et j’espère qu’elle est heureuse avec moi oui … en tout cas, je le suis avec elle.
- Merci pour le compliment Arthur. Je vous trouve aussi très séduisant !
En disant cela, elle avait glissé un pied dans mon entrejambes me caressant le sexe à travers le tissu de mon pantalon. Je contrôlai ma surprise et ne dis rien. Elle me sourit tout en me fixant droit dans les yeux.
- Hummmmm … Laeti ne doit pas s’ennuyer avec ce que je sens par ici ! me dit-elle en passant sa langue sur sa lèvre supérieure.
En effet, je commençais à bander fort et Catherine le sentait.
- Excusez-moi Cathy, je ne veux surtout pas que vous vous mépreniez mais j’aime ma femme.
- Oui j’en suis certaine Arthur. Mais il n’y a aucun mal à se faire du bien non ?
- Je veux dire que je ne tromperai pas ma femme. Vous êtes diablement séduisante et vous le savez. Je vous trouve très désirable mais cela va trop vite. Ma femme et moi sommes très libres sur le plan sexuel et cela nous évite de nous tromper l’un l’autre. Aussi, si vous souhaitez que nous ayons une relation quelconque, je le ferai avec l’accord de Laeti. J’espère ne pas vous offenser en vous parlant si directement.
- Oh que non Arthur ! Au contraire, j’aime les gens directs et sincères. Et je comprends aussi mieux pourquoi vous vous aimez tant vous et Laeti. Je vous propose une chose : appelez-là tout de suite et passez-la moi s’il vous plaît.
- Non je ne peux pas faire ça. Je vous en prie Cathy, restons-en là. Je vous tiendrai informée de la suite éventuelle.
- Ha ha ha ! Vous n’êtes plus au travail Arthur et je ne suis pas une de vos clientes ou collaboratrices ! Si vous êtes si libres sexuellement avec Laeti, en quoi cela vous dérangerait-il de l’appeler et de me la passer ?
J’étais à court d’argument. Tout en parlant, elle avait continué sa caresse et ma queue me faisait mal, à l’étroit dans mon boxer. Catherine me fixait toujours du regard et semblait attendre une réponse favorable à son insistance.
- Bon je vais l’appeler, au point où nous en sommes de notre conversation !
Je pris mon téléphone et appelai Laeti. Elle décrocha au bout de deux sonneries.
- Bonjour mon amour dit-elle. Ça va ?
- Bonjour ma chérie. Oui ça va. Je suis au restaurant avec Catherine, tu sais la patronne de l’entreprise que nous allons reprendre.
- Oui tu m’en avais parlé. J’espère que vous déjeunez bien.
- Hum … écoute on n’en est qu’à l’apéritif. Hum … elle souhaite te parler, tu veux bien ?
- Euh … oui, mais pourquoi ?
- Euh … vois cela avec elle si tu veux bien. Je te la passe.
Je tendais mon téléphone à Catherine.
- Oui bonjour Laeti. Je m’appelle Catherine Besnard mais appelez-moi Cathy. Nous avons terminé notre rendez-vous et j’ai souhaité inviter votre galant homme à déjeuner. Nous avons bien discuté de nous et j’ai tenté de séduire votre homme mais il refuse de vous tromper. Je sais que ma démarche est singulière, mais j’aimerais beaucoup, avec votre accord, faire l’amour avec votre homme.
- … Euh … c’est une blague ou quoi ? dit Laeti
- Non pas du tout Laeti. Je trouve Arthur très très attirant et il m’a confié que vous étiez des personnes très libres. Aussi, je tente ma chance en quelque sorte et il me semble que sa seule réserve, ce soit vous !
- … Euh … vous pouvez me repasser Arthur s’il vous plaît ?
- Oui bien sûr je vous le repasse. Et excusez-moi du dérangement Laeti. J’espère que vous accepterez. Au revoir fit Catherine en me tendant l’appareil.
- Oui ma chérie …
- Et bien mon salaud ! T’as pas perdu ta matinée toi ! Alors tu veux la baiser cette Cathy ? Elle est comment ?
- Euh … difficile de te répondre, je suis à table avec elle …
- Oui je comprends … Envoyez-moi des photos ou mieux, une petite vidéo d’accord ? me dit-elle. Et donne-moi son numéro de téléphone, je vais lui donner mon accord par SMS, d’accord ?
- OK ma chérie.
Et m’adressant à Catherine :
- Laeti souhaiterait vous donner sa réponse par texto. Vous pouvez me communiquer votre numéro ?
Catherine me tendit une carte et je communiquai le numéro à Laeti.
- Je te laisse ma chérie. Je t’aime.
- Je t’aime aussi mon salaud d’amour ! me dit-elle en raccrochant.
Pendant ma conversation, Catherine nous avait fait servir une deuxième coupe de cet excellent champagne.
- Alors ? me dit Catherine, elle est d’accord ?
- Euh … pas tout à fait. J’ai oublié de vous préciser qu’à chaque fois qu’elle ou moi coquinons, nous envoyons à l’autre la vidéo ou les photos … Et puis c’est elle qui décide. Elle va vous envoyer un SMS, enfin si elle est d’accord.
- Pas de problème pour la vidéo ou les photos si elle est d’accord. Je vous dois bien cela à vous deux.
Le portable de Catherine vibra sur la table alors que le serveur nous apportait l’entrée. Elle le prit et sourit en me montrant l’écran :
- Oh ! C’est Laeti. Excusez-moi Arthur.
Et elle lut le message :
SMS de Laeti : Cathy si tu veux baiser mon homme, envoie-moi d’abord une photo de toi.
Catherine se leva et s’excusa, m’invitant à ne pas l’attendre pour entamer l’entrée. Elle se dirigea vers les toilettes.
SMS de Cathy : Voici la photo. Suis-je assez bien pour ton homme ?
SMS de Laeti : Tu as un très beau visage Cathy. Tes lèvres sont sublimes. Envoie-moi photo de ta chatte.
MMS de Cathy : Voili voilou …
SMS de Laeti : Mmm … très belle chatte. En plus Arthur adore les chattes toutes lisses ! Tu vas avoir la chance de te la faire bouffer par un expert !
SMS de Cathy : Dois-je considérer cela comme ton accord ?
SMS de Laeti : Oui. Enlève ton string et donne-le à Arthur. Et j’attends sa vidéo.
SMS de Cathy : Oui, il m’en a parlé. Je suis d’accord. Je t’embrasse Laeti.
SMS de Laeti : Tu m’embrasses où ?
SMS de Cathy : Sur ta petite chatte toute lisse petite cochonne.
SMS de Laeti : Cochonne ? LOL. Non je suis une salope, tout comme toi et Arthur adore les salopes.
SMS De Cathy : LOL ! Merci
Catherine revint des toilettes avec un sourire triomphant pendant que je lisais un SMS de Laeti :
SMS de Laeti : Mon amour, tu as très bon goût. Cathy est superbe. Baise la bien cette salope. Je t’aime
- Je n’ai pas très faim tout compte fait, dit Catherine
- Euh … à vrai dire, moi non plus.
- On y va ? dit Catherine en laissant choir son string sur mes cuisses. Cadeau pour ta Laeti me chuchota-t-elle à l’oreille.
Je me levai et allai payer avant de remonter en voiture.
- J’habite à cinq minutes. Allons chez moi. Tu veux bien conduire Arthur ?
- Euh oui bien sûr.
Une fois à bord du véhicule, elle mit le guidage GPS en marche lui indiquant une adresse qui devait être son domicile.
- Voilà ! Tu n’as plus qu’à suivre le GPS.
Je démarrai à peine qu’elle tendit une main pour défaire ma braguette et se pencha pour commencer de lécher mon gland.
- Wouw ! Quelle queue tu as Arthur ! Laeti ne doit pas s’ennuyer avec ça ! Mmmmm
Elle m’emboucha et commença des va et vient profonds sur ma colonne dressée. Il m’était difficile de conduire. Heureusement, nous arrivâmes. A peine garé, je la pris par les cheveux, amenant ses lèvres aux miennes et lui roulant une pelle profonde et baveuse. Elle m’invita à l’intérieur et nous nous enlaçâmes dans le hall d’entrée. Elle défit ma ceinture, j’arrachai sa jupe. Nous étions surexcités. Nos vêtements volèrent.
- Non garde tes bas ! dis-je
Elle s’agenouilla pour m’engloutir comme une affamée. Elle n’en était visiblement pas à sa première gorge profonde. Et même si elle ne parvenait pas à m’engloutir profondément, elle se débrouillait fort bien. Elle stoppa sa fellation pour me tendre son téléphone.
- Tiens, vas-y, filme pour ta salope.
Je posai son téléphone à même le sol et l’invitait à s’accroupir au-dessus de moi. Elle m’engloutit de nouveau tandis que je commençai à lui lécher doucement la chatte et l’anus. Elle grognait de plaisir. J’introduis un doigt dans son petit trou et deux autres dans sa chatte tout en tournoyant le bout de ma langue sur son clito tout gonflé. Le traitement ne tarda pas à donner son effet et dans un feulement profond elle jouit une première fois. Sa cyprine m’inondait les lèvres et le menton. Je me redressai, l’invitant à rester accroupie. Je la pris par derrière d’un coup sec. Elle hurla de surprise et de douleur et ses soupirs devinrent bientôt des râles de plaisir. Je la besognais depuis cinq minutes lorsqu’elle se cambra et hurla tout son plaisir, son superbe cul relevé.
- Fesse moi, fesse ta salope, fesse ta salope !
Je continuai de la besogner profondément en la fessant. Elle hurlait encore comme une furie.
- Allonge-toi Arthur. Je veux venir sur toi !
Elle m’enjamba et descendis lentement sur ma queue dressée en poussant une râle de plaisir. Elle commença à danser sur ma queue en grognant.
- Oh putain que t’es gros ! Ta queue est monstrueuse !
Elle allait et venait de plus en plus vite, se penchant pour frotter son clito sur mon pubis. Je lui malaxai les seins durement quand elle me prit les mains pour les amener à son cou.
- Putain je vais encore jouir ! Serre-moi le cou !
J’enserrai son cou de mes deux mains tandis qu’elle dansait telle une diablesse sur ma queue.
- Ohhhhhh ! Ohhhhh ! Mmmmppppppfffff ! Je jouiiiiiiiiiiiis ! Ahhhhhhh ! Arrrrggggghhhhh !
Elle s’écroula sur mon torse, secouée par des spasmes. Elle reprit lentement ses esprits.
- Wouwwwww ! Quel baiseur tu es Arthur ! Tu m’as trop fait jouir !
Je la retournai sans sortir d’elle et la mis sur son dos. Je relevai ses jambes pour les amener à mes épaules et commençai de la limer lentement, puis de plus en plus profondément en accélérant le mouvement. Elle couinait et miaulait comme une chatte en chaleur. Je me retirai d’un coup et m’agenouillait au-dessus de son visage. Elle comprit et ouvrit grand la bouche en tirant sa langue. Je lui déchargeai neuf ou dix fois dans sa bouche et sur son visage en hurlant de plaisir. Elle était méconnaissable, complètement défigurée par les traits de sperme. Elle me nettoya la queue pour ne pas perdre une goutte. J’attrapai son téléphone et filmai son visage. J’arrêtai l’enregistrement.
Elle se redressa et m’embrassa à pleine bouche. Nos salives mêlés de sa cyprine et de mon sperme donnaient à notre baiser une saveur étrange. Elle m’invita enfin à la suivre à la salle de bain où je la baisai encore sous le jet d’eau.
¤ ¤ ¤
Nous retournâmes à son bureau où je récupérai ma voiture. Elle m’embrasse discrètement en me promettant d’envoyer la vidéo à Laeti.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!