6. Catherine
Sur la route du retour, je repensai à la vidéo que Georges mavait envoyée en fin daprès-midi. On y voyait une belle femme blonde, certainement dans la quarantaine, à la poitrine généreuse, se faire littéralement défoncer la bouche par la queue de Georges. Javais été excité de voir ma Laeti diriger cette femme avec autorité et fermeté et lui offrir la semence de Georges sur son visage. Quel bonheur de la voir déglutir à même le visage de cette salope la liqueur de la jouissance de Georges. Javais hâte de rentrer afin davoir des explications de la part de Laeti concernant cette vidéo.
En arrivant, je fus surpris de nentendre aucun bruit. Je montai à létage et entendis le bruit de la douche. Je me faufilai par la porte entrouverte et me déshabillai en deux secondes.
- Ouh !!! Tu mas fait peur mon chéri. Je ne tavais pas entendu me dit-elle.
En guise de réponse, je maccroupis sous le jet pour laper sa petite chatte. Elle releva une jambe comme pour mencourager à aller plus loin.
- Ohhh !!! Salaud !!! Jsuis tellement excitée par cette journée ! Tu vas me faire jouir en un rien de temps ! Ohhhhh !!! Aaaaarrrrrhhhhh ! Salauuuuud !
Elle reprit son souffle.
- Wouwwwww que ça fait du bien. Viens ici, défonce-moi ! me lança-t-elle en sappuyant à la paroi.
Elle se cambra et moffrit le spectacle de son superbe petit cul bien tendu et de sa chatte toute lisse.
- Tu la veux ma queue petite salope !
- Ouiiiii ! Viiiiiens ! Prends-moi jen peux plus ! Défonce la ta salope ! supplia-t-elle. Alleeeeez !
Je mintroduis jusquà la garde brutalement, lui arrachant un grognement de surprise.
- Aaaaarrrrrhhhhh ! Salaud ! Espèce de brute !
Je la besognai profondément, lui tenant fermement une hanche et tirant ses cheveux de lautre main. Je la limai bestialement en soufflant fort.
- Tu aimes la défoncer ta salope ! Hein ? Dis-le que tu aimes me défoncer.
- Ouiiiii ! Jaime défoncer les putes comme toi !
- Ouuuuuhhhhh ! Ouiiiiii ! défonce ta putain !
- Arrrrgggg ! Je vais jouir !
- Non attends ! Tu vas jouir sur ta putain !
Et elle sagenouilla, ouvrant grand la bouche.
¤ ¤ ¤
Après nous être apaisés sous la douche, nous descendîmes préparer le dîner. Jouvris une bouteille de vin que je servis pendant que Laeti sactivait dans la cuisine.
- Alors ma chérie, cest quoi cette vidéo que Georges ma envoyée ? demandai-je.
Tout en cuisinant et en sirotant son vin rosé, Laeti mexpliqua en détail la tournure des événements de la journée avec Valérie et Georges.
- Et bien ! soufflai-je. Je naurais jamais pensé que Valérie était comme cela ! Tant mieux pour elle et Georges. Ils devraient bien sentendre ! En tout cas, elle était vraiment superbement maquillée par toi et Georges.
- Oh que oui ! Moi aussi jai adoré la voir ainsi, cétait une merveilleuse expérience.
- Tu aimerais quon fasse quelque chose avec elle ? demandai-je.
- Nous deux avec elle, ça me paraît compliqué maintenant. Mais avec elle et Georges mmmmm
ouiiiii
jadorerais mon amour.
Je souris avant de lembrasser à pleine bouche tout en lui malaxant les fesses.
- Arrête espèce de pervers ! Faut que je finisse la cuisson ! dit-elle faussement fâchée.
- Au fait, Georges ma envoyé un mail hier soir sur ma messagerie perso et il ma aussi fait livrer un colis par coursier ce matin.
- Ah bon ! Et il técrit quoi ? Et cest quoi ce colis ?
- Des instructions dis-je du tac au tac.
- Des instructions ? Des instructions pour quoi ?
- Pour son anniversaire. Ou plutôt concernant notre cadeau pour son anniversaire.
- Ah oui ! Il men a parlé. Il mavait dit de voir avec toi pour son cadeau. Alors, il veut quoi ?
Je lui tendis le mail de Georges que javais imprimé. Elle le lut en silence :
Bonjour Arthur,
Comme nous en avions discuté au téléphone, tu vas recevoir sans doute demain matin un colis qui vous est destiné à toi et Laeti. Je compte sur toi afin que mes instructions soient respectées !
Dans ce colis, tu trouveras les effets pour ma soirée danniversaire qui aura lieu chez Patrick dans deux semaines.
Merci par avance pour votre cadeau !
Amicalement.
Georges.
- Mais où sont les instructions ? Et quest-ce quil y a dans ce colis ?
- Ah ça, tu le sauras dans deux semaines dis-je en souriant.
- Ah non !!! Tu ne peux pas me faire ça ! Allez, dis-moi ! Sil te plaît mon amour !
- Mais non, je ne peux rien te dire. Cest son cadeau danniversaire et pour toi ce sera une surprise. Tu ne peux pas me demander de gâcher le cadeau de ton patron quand même.
- Bon daccord. On va dîner ?
Jétais surpris quelle renonçât aussi vite à assouvir sa curiosité mais elle revint à la charge le soir dans notre lit.
- Alors, tu vas me dire en quoi consiste ma surprise pour lanniversaire de Georges ? me souffla-t-elle en membrassant le cou puis en descendant vers mes tétons, pour finir sur mon sexe.
Elle me suçait par à-coups, mengloutissant lentement puis ressortant puis mavalant profondément dun coup, en sortant sa langue pour me laper les bourses. La garce, elle savait que jadorais ça et quà ce rythme je ne tiendrais pas longtemps. Cinq minutes de ce traitement et jétais prêt à exploser.
- Alors, tu vas me le dire ou je te laisse en plan ! lâcha-t-elle.
- Oh non ! Espèce de garce. Tu ne vas pas me laisser dans cet état ! suppliai-je.
- Si, sauf si tu parles.
Je me relevai brusquement et ne lui laissant pas le temps de réagir, je me retrouvai derrière elle tentant de la pénétrer en levrette.
- Oh non ! Tu nauras rien de moi si tu ne me dis rien espèce de salaud ! Tu nas quà te la branler ta grosse queue.
- Tu vas voir espèce de garce si je vais me finir tout seul !
Je lui attrapai les bras, les croisai dans son dos et les maintins fermement dune main, tandis que de lautre sous son ventre, je lui maintenais la croupe relevée pour la pénétrer.
- Non ! Arrête espèce de salaud ! Non ! Arrête ! cria-t-elle
- Tu navais quà pas mexciter espèce de salope.
Je la pénétrai violemment et profondément.
- Nooooooooooooooon
Noooooooooon
Ououououpfffff !!! Salauuuuud !
Désormais, je la limai en changeant de rythme, comme elle aime. Je pouvais bien la pénétrer car elle était extrêmement cambrée du fait de ses bras croisés dans son dos, moi appuyant fermement dessus et lautre main lui tirant les cheveux.
- Oooooohhhhh salauuuuuuud noooooon je vais jouir !!! Je suis une saloooooooope !
- Roooooh ouiiii ma salope tu vas aussi me faire jouiiiiiiiirrrrrrr aussi !
Et jexplosais dans au fond de sa matrice, lui envoyant dépais jets de sperme quelle aimait tant.
- Arrrrrhhhhhhhhh ! Salauuuuud
je jouiiiiiiiiiiis
Je relâchai ma prise. Elle seffondra sur le côté en soufflant et mis une main à son sexe. Elle en préleva ma semence quelle mit à sa bouche en me regardant comme une vraie chienne.
- Salaud ! Tu mas fait jouir si fort !
- Fallait pas me chercher mon amour !
- Je taime Arthur. Je taime tellement. Et puis votre secret, gardez-le
jattendrai de découvrir dans deux semaines !
Et nous nous enlaçâmes dans un baiser langoureux avant de nous endormir doucement.
¤ ¤ ¤
Les deux semaines qui suivirent nous laissèrent peu de temps pour des ébats sexuels débridés. Laeti était très prise par la préparation de son salon parisien et laccueil de la nouvelle apprentie dont elle était la tutrice. Elle avait pris un peu de distance vis-à-vis de Georges afin de le laisser dans son intimité avec Valérie. Mais elle se tenait au courant quand même au travers des échanges coquins quelle avait avec Valérie. Pour ma part, javais énormément travaillé sur le projet de rachat dune entreprise concurrente que mon PDG convoitait depuis des mois. La situation financière de cette entreprise ne permettait plus dassurer lavenir à une cinquantaine demployés et la patronne, qui avait hérité de son père cette belle entreprise suite au décès de ses parents dans un accident de voiture, sétait résolue à la vendre.
- Bonjour mademoiselle dis-je, madressant à lhôtesse daccueil. Je suis Arthur D. de la société G. Jai rendez-vous avec madame Besnard.
- Oui monsieur D. Patientez je vous prie, je vais vous annoncer.
Lhôtesse daccueil me regardait en souriant tout en mannonçant à sa patronne.
- Oui Catherine, cest Cécile. Votre rendez-vous est arrivé. Monsieur, veuillez me suivre, je vous conduis au bureau de Catherine.
Je suivis lhôtesse qui montait les escaliers lentement en se dandinant sur ses hauts talons. Japerçus des bas auto-fixants et un string noir. Elle sarrêta devant une porte et frappa. Je fus surpris par la jeune intonation de la voix, mattendant à une femme plus âgée.
- Oui entrez.
Lhôtesse mouvrit la porte, minvitant à entrer. Elle me laissait peu de place pour passer, aussi jentrai un peu de travers et effleurai ses seins de mon bras.
- Oh, excusez-moi mademoiselle.
- Je vous en prie me dit-elle en me souriant.
Lhôtesse pris congé.
- Bonjour Madame Besnard, je suis Arthur D, envoyé par monsieur Pascal C.
- Oui, je vous attendais. Installez-vous, je vais vous faire servir un café.
- Merci madame.
- Appelez-moi Catherine je vous prie. Madame, ça me vieillit !
En effet, je me trouvai face à une femme dune trentaine dannées. Vêtue dune jupe bleue marine et de talons aiguilles, elle portait un chemisier blanc assez transparent qui laissait entrevoir un soutien-gorge de même couleur soutenant une paire de seins superbes jaurais parié un 90C voire D. Elle avait une allure très élancée et fine. Derrière ses fines lunettes, un regard bleu très profond me fixait droit dans les yeux. Ses lèvres pulpeuses étaient une invitation au baiser. Bref, cétait une très belle jeune femme qui si elle navait pas hérité des qualités dentrepreneur de son père, avait en tout cas tous les atouts physiques quelle savait visiblement mettre en valeur. Je fus interrompu dans ma réflexion par lentrée de lhôtesse deux cafés.
- Merci Cécile dit Catherine. Vous pouvez nous laisser.
Lhôtesse quitta la pièce en me souriant et en me regardant avec insistance.
- Merci de votre accueil madame.
- Arthur, je vous saurai gré de mappeler Catherine me dit-elle en souriant. Madame ça attendra quelques années !
- Oui, excusez-moi. Hum. Si vous voulez bien, on va commencer.
Catherine mécoutait avec attention. Elle ne cessait de madresser des sourires à chaque fois que je demandais son approbation. Elle me semblait très détendue pour une personne qui allait être amenée à céder son entreprise pour un euro. Elle mexpliqua à la fin de mon exposé que du côté du tribunal de commerce, il ny aurait aucun souci. Elle maffirma sêtre personnellement assuré auprès de son ami président que tout serait validé selon nos demandes. De son côté, elle ne risquait rien dun point de vue personnel et financier me dit-elle. Cétait sans doute ce qui expliquait son détachement par rapport à la situation délicate de son entreprise. Nous assurions la pérennité des emplois et elle ne perdait rien à titre personnel. Tout le monde y trouvait son compte à part nos créanciers et quelques fournisseurs. Au bout de deux heures déchange nous avions bouclé le dossier. Tout semblait prêt. Jallai pour prendre congé lorsque Catherine me dit :
- Oh ! il est déjà 13 heures. Je vous invite à déjeuner Arthur.
- Euh ! Non je vous remercie beaucoup. Mais je ne voudrai pas r.
- Je vous le propose sincèrement. Ça me ferait très plaisir.
- Hum. Daccord Catherine, mais cest moi qui vous invite. Je ne peux accepter dêtre invité par une femme.
- Oh ! Vous avez de léducation en plus ! me dit-elle en souriant.
En plus ? Quentendait-elle par En plus ? me dis-je en la suivant jusquau parking.
- Cest à 10 minutes. Une bonne table où jai mes habitudes. Je vous conduis ?
Nous montâmes dans sa BMW X3. En sasseyant sur son siège, sa jupe était remontée sur le haut de ses cuisses, laissant apparaître ses magnifiques jambes mises en valeur par ses bas. En conduisant, elle écartait légèrement ses cuisses, faisant remonter davantage sa jupe. Derrière mes lunettes de soleil, je nen manquais pas une miette, mapercevant quelle portait des porte-jarretelles. Cependant, je ne pouvais voir si elle portait un string. Tout en conduisant, elle tournait son visage vers moi en madressant de grands sourires. Il était clair que cette très belle femme cherchait à me séduire. Mais dans quel but ? Elle navait rien à attendre de moi quant à notre affaire. Nous arrivâmes enfin au restaurant situé dans un cadre très provençal. Le maître de table nous salua et nous conduisit à une table dans une salle en retrait de la salle principale. Nous étions dailleurs seuls dans la pièce. Sans nous questionner, il nous apporta deux flûtes de champagne.
- Euh. Je vous remercie monsieur, mais je prendrai juste un verre deau dis-je au serveur.
- Oh Arthur ! Nous allons fêter notre affaire qui finalement se présente très bien pour tout le monde. Vous nallez pas me laisser boire seule quand même me dit-elle en souriant.
- Jévite de boire au déjeuner. Mais je ferai une entorse à ma discipline et vais vous accompagner Catherine.
- Appelez-moi Cathy. Alors, depuis quand travaillez-vous avec Pascal C ?
- Cela fait bientôt cinq ans. Et vous Catherine, quallez-vous faire après la vente de votre société ?
Elle mexpliqua alors quelle avait fait ce quelle pouvait pour maintenir lentreprise à flots mais avoua quelle nétait pas du tout intéressée par le monde des affaires. Ce qui la passionnait cétait les voyages et la découverte de nouveaux horizons. Elle mexpliqua quelle navait pas besoin de travailler pour vivre et quelle se donnait un peu de vacances avant de décider de ses futures occupations.
- Êtes-vous marié Arthur ?
- Euh
je vis avec ma compagne depuis douze ans.
- Et bien ! Cest rare de nos jours un couple qui dure. Moi, je nai pas encore trouvé chaussure à mon pied comme on dit. Jimagine que votre femme doit être ravissante et heureuse avec vous.
- Euh
oui Laeti est une très belle femme, tout comme vous dailleurs et jespère quelle est heureuse avec moi oui
en tout cas, je le suis avec elle.
- Merci pour le compliment Arthur. Je vous trouve aussi très séduisant !
En disant cela, elle avait glissé un pied dans mon entrejambes me caressant le sexe à travers le tissu de mon pantalon. Je contrôlai ma surprise et ne dis rien. Elle me sourit tout en me fixant droit dans les yeux.
- Hummmmm
Laeti ne doit pas sennuyer avec ce que je sens par ici ! me dit-elle en passant sa langue sur sa lèvre supérieure.
En effet, je commençais à bander fort et Catherine le sentait.
- Excusez-moi Cathy, je ne veux surtout pas que vous vous mépreniez mais jaime ma femme.
- Oui jen suis certaine Arthur. Mais il ny a aucun mal à se faire du bien non ?
- Je veux dire que je ne tromperai pas ma femme. Vous êtes diablement séduisante et vous le savez. Je vous trouve très désirable mais cela va trop vite. Ma femme et moi sommes très libres sur le plan sexuel et cela nous évite de nous tromper lun lautre. Aussi, si vous souhaitez que nous ayons une relation quelconque, je le ferai avec laccord de Laeti. Jespère ne pas vous offenser en vous parlant si directement.
- Oh que non Arthur ! Au contraire, jaime les gens directs et sincères. Et je comprends aussi mieux pourquoi vous vous aimez tant vous et Laeti. Je vous propose une chose : appelez-là tout de suite et passez-la moi sil vous plaît.
- Non je ne peux pas faire ça. Je vous en prie Cathy, restons-en là. Je vous tiendrai informée de la suite éventuelle.
- Ha ha ha ! Vous nêtes plus au travail Arthur et je ne suis pas une de vos clientes ou collaboratrices ! Si vous êtes si libres sexuellement avec Laeti, en quoi cela vous dérangerait-il de lappeler et de me la passer ?
Jétais à court dargument. Tout en parlant, elle avait continué sa caresse et ma queue me faisait mal, à létroit dans mon boxer. Catherine me fixait toujours du regard et semblait attendre une réponse favorable à son insistance.
- Bon je vais lappeler, au point où nous en sommes de notre conversation !
Je pris mon téléphone et appelai Laeti. Elle décrocha au bout de deux sonneries.
- Bonjour mon amour dit-elle. Ça va ?
- Bonjour ma chérie. Oui ça va. Je suis au restaurant avec Catherine, tu sais la patronne de lentreprise que nous allons reprendre.
- Oui tu men avais parlé. Jespère que vous déjeunez bien.
- Hum
écoute on nen est quà lapéritif. Hum
elle souhaite te parler, tu veux bien ?
- Euh
oui, mais pourquoi ?
- Euh
vois cela avec elle si tu veux bien. Je te la passe.
Je tendais mon téléphone à Catherine.
- Oui bonjour Laeti. Je mappelle Catherine Besnard mais appelez-moi Cathy. Nous avons terminé notre rendez-vous et jai souhaité inviter votre galant homme à déjeuner. Nous avons bien discuté de nous et jai tenté de séduire votre homme mais il refuse de vous tromper. Je sais que ma démarche est singulière, mais jaimerais beaucoup, avec votre accord, faire lamour avec votre homme.
-
Euh
cest une blague ou quoi ? dit Laeti
- Non pas du tout Laeti. Je trouve Arthur très très attirant et il ma confié que vous étiez des personnes très libres. Aussi, je tente ma chance en quelque sorte et il me semble que sa seule réserve, ce soit vous !
-
Euh
vous pouvez me repasser Arthur sil vous plaît ?
- Oui bien sûr je vous le repasse. Et excusez-moi du dérangement Laeti. Jespère que vous accepterez. Au revoir fit Catherine en me tendant lappareil.
- Oui ma chérie
- Et bien mon salaud ! Tas pas perdu ta matinée toi ! Alors tu veux la baiser cette Cathy ? Elle est comment ?
- Euh
difficile de te répondre, je suis à table avec elle
- Oui je comprends
Envoyez-moi des photos ou mieux, une petite vidéo daccord ? me dit-elle. Et donne-moi son numéro de téléphone, je vais lui donner mon accord par SMS, daccord ?
- OK ma chérie.
Et madressant à Catherine :
- Laeti souhaiterait vous donner sa réponse par texto. Vous pouvez me communiquer votre numéro ?
Catherine me tendit une carte et je communiquai le numéro à Laeti.
- Je te laisse ma chérie. Je taime.
- Je taime aussi mon salaud damour ! me dit-elle en raccrochant.
Pendant ma conversation, Catherine nous avait fait servir une deuxième coupe de cet excellent champagne.
- Alors ? me dit Catherine, elle est daccord ?
- Euh
pas tout à fait. Jai oublié de vous préciser quà chaque fois quelle ou moi coquinons, nous envoyons à lautre la vidéo ou les photos
Et puis cest elle qui décide. Elle va vous envoyer un SMS, enfin si elle est daccord.
- Pas de problème pour la vidéo ou les photos si elle est daccord. Je vous dois bien cela à vous deux.
Le portable de Catherine vibra sur la table alors que le serveur nous apportait lentrée. Elle le prit et sourit en me montrant lécran :
- Oh ! Cest Laeti. Excusez-moi Arthur.
Et elle lut le message :
SMS de Laeti : Cathy si tu veux baiser mon homme, envoie-moi dabord une photo de toi.
Catherine se leva et sexcusa, minvitant à ne pas lattendre pour entamer lentrée. Elle se dirigea vers les toilettes.
SMS de Cathy : Voici la photo. Suis-je assez bien pour ton homme ?
SMS de Laeti : Tu as un très beau visage Cathy. Tes lèvres sont sublimes. Envoie-moi photo de ta chatte.
MMS de Cathy : Voili voilou
SMS de Laeti : Mmm
très belle chatte. En plus Arthur adore les chattes toutes lisses ! Tu vas avoir la chance de te la faire bouffer par un expert !
SMS de Cathy : Dois-je considérer cela comme ton accord ?
SMS de Laeti : Oui. Enlève ton string et donne-le à Arthur. Et jattends sa vidéo.
SMS de Cathy : Oui, il men a parlé. Je suis daccord. Je tembrasse Laeti.
SMS de Laeti : Tu membrasses où ?
SMS de Cathy : Sur ta petite chatte toute lisse petite cochonne.
SMS de Laeti : Cochonne ? LOL. Non je suis une salope, tout comme toi et Arthur adore les salopes.
SMS De Cathy : LOL ! Merci
Catherine revint des toilettes avec un sourire triomphant pendant que je lisais un SMS de Laeti :
SMS de Laeti : Mon amour, tu as très bon goût. Cathy est superbe. Baise la bien cette salope. Je taime
- Je nai pas très faim tout compte fait, dit Catherine
- Euh
à vrai dire, moi non plus.
- On y va ? dit Catherine en laissant choir son string sur mes cuisses. Cadeau pour ta Laeti me chuchota-t-elle à loreille.
Je me levai et allai payer avant de remonter en voiture.
- Jhabite à cinq minutes. Allons chez moi. Tu veux bien conduire Arthur ?
- Euh oui bien sûr.
Une fois à bord du véhicule, elle mit le guidage GPS en marche lui indiquant une adresse qui devait être son domicile.
- Voilà ! Tu nas plus quà suivre le GPS.
Je démarrai à peine quelle tendit une main pour défaire ma braguette et se pencha pour commencer de lécher mon gland.
- Wouw ! Quelle queue tu as Arthur ! Laeti ne doit pas sennuyer avec ça ! Mmmmm
Elle memboucha et commença des va et vient profonds sur ma colonne dressée. Il métait difficile de conduire. Heureusement, nous arrivâmes. A peine garé, je la pris par les cheveux, amenant ses lèvres aux miennes et lui roulant une pelle profonde et baveuse. Elle minvita à lintérieur et nous nous enlaçâmes dans le hall dentrée. Elle défit ma ceinture, jarrachai sa jupe. Nous étions surexcités. Nos vêtements volèrent.
- Non garde tes bas ! dis-je
Elle sagenouilla pour mengloutir comme une affamée. Elle nen était visiblement pas à sa première gorge profonde. Et même si elle ne parvenait pas à mengloutir profondément, elle se débrouillait fort bien. Elle stoppa sa fellation pour me tendre son téléphone.
- Tiens, vas-y, filme pour ta salope.
Je posai son téléphone à même le sol et linvitait à saccroupir au-dessus de moi. Elle mengloutit de nouveau tandis que je commençai à lui lécher doucement la chatte et lanus. Elle grognait de plaisir. Jintroduis un doigt dans son petit trou et deux autres dans sa chatte tout en tournoyant le bout de ma langue sur son clito tout gonflé. Le traitement ne tarda pas à donner son effet et dans un feulement profond elle jouit une première fois. Sa cyprine minondait les lèvres et le menton. Je me redressai, linvitant à rester accroupie. Je la pris par derrière dun coup sec. Elle hurla de surprise et de douleur et ses soupirs devinrent bientôt des râles de plaisir. Je la besognais depuis cinq minutes lorsquelle se cambra et hurla tout son plaisir, son superbe cul relevé.
- Fesse moi, fesse ta salope, fesse ta salope !
Je continuai de la besogner profondément en la fessant. Elle hurlait encore comme une furie.
- Allonge-toi Arthur. Je veux venir sur toi !
Elle menjamba et descendis lentement sur ma queue dressée en poussant une râle de plaisir. Elle commença à danser sur ma queue en grognant.
- Oh putain que tes gros ! Ta queue est monstrueuse !
Elle allait et venait de plus en plus vite, se penchant pour frotter son clito sur mon pubis. Je lui malaxai les seins durement quand elle me prit les mains pour les amener à son cou.
- Putain je vais encore jouir ! Serre-moi le cou !
Jenserrai son cou de mes deux mains tandis quelle dansait telle une diablesse sur ma queue.
- Ohhhhhh ! Ohhhhh ! Mmmmppppppfffff ! Je jouiiiiiiiiiiiis ! Ahhhhhhh ! Arrrrggggghhhhh !
Elle sécroula sur mon torse, secouée par des spasmes. Elle reprit lentement ses esprits.
- Wouwwwww ! Quel baiseur tu es Arthur ! Tu mas trop fait jouir !
Je la retournai sans sortir delle et la mis sur son dos. Je relevai ses jambes pour les amener à mes épaules et commençai de la limer lentement, puis de plus en plus profondément en accélérant le mouvement. Elle couinait et miaulait comme une chatte en chaleur. Je me retirai dun coup et magenouillait au-dessus de son visage. Elle comprit et ouvrit grand la bouche en tirant sa langue. Je lui déchargeai neuf ou dix fois dans sa bouche et sur son visage en hurlant de plaisir. Elle était méconnaissable, complètement défigurée par les traits de sperme. Elle me nettoya la queue pour ne pas perdre une goutte. Jattrapai son téléphone et filmai son visage. Jarrêtai lenregistrement.
Elle se redressa et membrassa à pleine bouche. Nos salives mêlés de sa cyprine et de mon sperme donnaient à notre baiser une saveur étrange. Elle minvita enfin à la suivre à la salle de bain où je la baisai encore sous le jet deau.
¤ ¤ ¤
Nous retournâmes à son bureau où je récupérai ma voiture. Elle membrasse discrètement en me promettant denvoyer la vidéo à Laeti.
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