Travesti En Soubrette Par Une Matrone Pour Le Banquet Du Rugby (9)

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Je me retrouvais seul dehors. Il devait être 21H et la nuit était tombée. C’était une froide soirée d’octobre et un vent glacial qui annonçait l’automne passait sous ma jupe pour geler mes petites fesses que la ficelle du string ne protégeait pas beaucoup. J’étais arrivé ce matin en temps que jeune homme bien que frêle et chétif, et je me retrouvais ce soir habillé en péripatéticienne contre ma volonté par une maîtresse dont la force ne m’avait laissé aucune chance de me défendre. J’étais passé de mains d’hommes en mains de femmes. On m’avait sodomisé, fessé, traité comme une poupée gonflable, violenté, étouffé. Mon petit corps avait navigué de bras en bras, soulevé et porté comme s’il n’était pas plus lourd qu’une plume. Je me sentais cependant très serein, très en accord avec moi même. Je venais de découvrir et de satisfaire mes désirs les plus profonds…Je pris soudain conscience de ma situation ! Je me retrouvais à devoir prendre le bus habillé comme une allumeuse pour rentrer à la cité universitaire ! Je crois que j’avais autant peur d’être reconnu que d’être abusé à nouveau tellement je ressemblais à une strip-teaseuse, mais cette idée m’excitait tellement ! Je me mis à courir aussi vite que mes talons et mes petites jambes me le permettaient pour ne pas rater le dernier bus. A mi parcourt, je me figeais, croyant avoir écouté quelque chose et me sentant observé. Je me mis à nouveau à courir pour atteindre la lumière sécurisante de l’abri bus. Cette campagne était déserte et je n’avais aucune idée du temps que j’allais devoir attendre, vu que les horaires avaient été arrachés. Je m’assis sur le banc en croisant mes jambes pour me protéger du froid. Une voiture arriva à vive allure et pila au niveau de l’arrêt quand le conducteur vit la petite salope qui y attendait. Un type louche ayant la cinquantaine sortit un bras velu et sa tête à moustache ringarde de la fenêtre de sa portière et me demanda:
“C’est combien la pipe ?”
Je me tus et détournai mon regard sur le sol, espérant qu’il abandonne.


“C’est combien la pipe petite salope ? Tu vas pas me faire croire que tu t’es habillée comme ça si c’est pas pour sucer des bites ou te faire enculer ?”
Je restai dans mon mutisme.
Il redémarra en trombe me jetant au visage de nouvelles insultes que le bruit du moteur couvrit. Je n’arrivais pas à faire cesser mes tremblements. Cette journée dans l’auberge m’avait montré à quel point j’étais faible et vulnérable, ce dont je n’avais pas autant conscience jusqu’à présent, m’étant bien gardé d’affronter toute situation périlleuse. Je vis alors deux silhouettes arriver dans la pénombre. C’était deux hommes qui devaient être un peu plus jeunes que moi. L’un était noir et très grand, probablement dans les deux mètres. Il portait une casquette et un survêtement type basketteur. Même pour quelqu’un de sa taille, ses mains m’ont paru tout de suite immenses. L’autre était plus petit, dans les 1m80. Il était cependant très carré et en sur-poids. Lui aussi portait une casquette et un survêtement. Quand il entra dans la lumière de l’abri, je vis que son visage était couvert d'acnés. Ses traits étaient grossiers et son regard bovin dégageait quelque chose de bestial. Il me faisait sentir comme une petite souris qu’un ours voulait dévorer. Ils discutaient à bâton rompu avec un fort accent de cité HLM, mais quand leurs regards se posèrent sur moi, ils cessèrent instantanément. Le plus gros prit la parole:
“Regarde moi ça Abden ! C’est la première fois que je vois une pute venir tapiner dans ce coin paumé !”
“J’hallucine comment elle est trop bonne ! J’adore comment elle est sapée ! Elle fait un peu rachitique mais j’aime bien ce genre de crevette, sauf qu’avec celle là, même la tête est bonne manger”
Ils se mirent à rire de leur vanne calamiteuse et vinrent s’asseoir de part et d’autre sur le banc.
“Regarde moi les petites cuisses qu’elle a !”
Le grand noir enserrait ma jambe dans sa main gauche qui en faisait allégrement le tour. Je regardai ses immenses doigts de mes yeux exorbités.

“Je crois qu’elle est entrain d’halluciner sur tes putains de grandes paluches. Elle doit aimer se faire peloter son petit cul par des blacks bien membrés !”
Le grand noir me présenta alors sa main libre ouverte face à moi et me proposa de placer la mienne dessus, ce que je fis. Je n’en revenais pas ! Mes doigts ne dépassaient pas de sa paume. J’avais l’impression d’être une poupée avec laquelle il voulait jouer.
“Tu as vu les mains qu’il a ! Et tu sais ce qu’ on dit des hommes avec de grandes mains...”
Mon regard se porta machinalement sur l’entre-jambe du géant africain. Grave erreur de ma part !
“Et ! t’as vu ce qu’elle matte cette petite salope ? Elle a l’air d’aimer la bite !!”
Le sexe démesuré du grand noir tendait la toile du survêtement qui était au bord de la rupture. Il passa alors sa main dans l’encolure de son pantalon et en sortit l’énorme chose. Elle était du calibre de celle de Marcel, d’un noir luisant dans la lumière scintillante du néon. Elle pointait vers le ciel bien au delà du nombril du géant de deux mètres.
“Branle moi petite pute !”
Je saisis le pénis démesuré et commençai à le gratifier d’un mouvement de va et vient. Il était dur comme du bois et chaud comme de la braise. Ma petite main devait faire la moitié de la circonférence de ce chibre titanesque. Le compère à tendance obèse voulut profiter de la fête également. Il sortit lui aussi son sexe turgescent. Bien que de moindre longueur, c’est ça largeur qui m’impressionna. Je le saisis et me rendis compte qu’il était bien plus gros que celui du noir ! Je m’échinai à satisfaire ces deux jeunes brutes, de peur que leurs membres gargantuesques ne finissent dans mon petit fondement. Mes bras commençaient à fatiguer d’astiquer ces deux chibres colossaux. L’obèse pris la parole:
“Tes mains sont beaucoup trop petites pour me satisfaire !! Suce moi donc”
Il saisit ma tête de ses doigts boudinés pour porter ma bouche rose brillante au niveau de son sexe.
Il avait une poigne de fer ! Je dûs engloutir de force sa bite colossale. Pas le moindre recoin de ma bouche n’était occupé par son gland. Mes lèvres étaient si dilatées que je sentais qu’elles allaient rompre. Penché de cette manière, ils aperçurent la ficelle du string qui soulignait gracieusement ma croupe.
“Cette pute a un string. J’adore !!”
Me donnant une claque sur les fesses, le colosse obèse m’ordonna de le sucer. Je me mis donc à donner de la tête sur son pain de sucre. Au fil des mouvements, mes lèvres prirent suffisamment de souplesse pour coulisser plus facilement. Mes mâchoires me faisaient cependant horriblement mal. Dans cette position, mes bras étaient trop courts pour masturber en même temps le grand noir. Se sentant léser, il saisit ma taille de guêpe dans ses immenses battoirs et me souleva pour me mettre à genoux sur le banc. Maintenu fermement par la poigne de l’obèse, ma tête resta en place sur sa bite. Une fois à genoux, le colosse d’ébène releva ma jupe et colla son gland contre mon anus. D’un puissant coup de rein, il me pénétra. Je sentis son pénis jusqu’au plus profond moi. La douleur avait détourné mon attention de la fellation que je pratiquais. Je fus rappelé à l’ordre d’une bonne claque sur l’arrière de la tête. Le grand noir me besognait l’arrière train avec vigueur si bien que ses coups de boutoir suffisaient à faire coulisser ma bouche sur le sexe de son acolyte. Je m’échinais cependant à m’appliquer sur cette fellation pour en finir au plus vite. Au bout d’un temps qui me parut interminable, l’obèse se mit à raller. Il posa sa main sur l’arrière de mon crane pour maintenir son sexe dans ma bouche. Je sentis alors de grosses giclés de son jus visqueux couler dans ma gorge. Quand il eut fini d’apprécier son orgasme, il arracha ma tête de sa bite et regarda mon visage blême dont les lèvres étaient recouvertes de sperme. Le grand noir ne tarda pas à venir. Il extirpa son engin de mon anus et pendant que l’obèse maintenait ma tête, il se masturba et fit gicler tout son foutre sur mon beau visage.
D'innombrables giclés recouvrirent tout le haut de mon corps. Me tenant par les cheveux, le colosse blanc m’embrassa sauvagement. Sa bouche était si grande que j’ai cru qu’il allait me dévorer. Sa barbe naissante et râpeuse griffait mon visage imberbe. Sa langue n’en finissait pas de balayer ma bouche. Son haleine était si chargée que j’en avais des hauts le coeur. Quand il se retira de ma bouche, son visage arborait un rictus diabolique. Le grand noir approcha son pénis de mes lèvres et m’obligea à le lécher pour le nettoyer.
“ça va. Tu es une belle petite salope. On s’est bien vidé les couilles, mais on en n’a pas fini avec toi. C’est pas si souvent qu’on a l’occasion de baiser avec un petit canon comme toi. Pour trouver une gonzesse qui fasse moins de 100kg dans le coin, c’est mission impossible. Alors toi et ton cul minuscule, on va pas passer à coté !”
L’obèse me souleva alors par la taille et me posa dos au banc. C’est au moment où il tentait d’insérer son énorme vérin dans mon anus délicat qu’une voix que je connaissais se fit entendre:
“Laisser le tranquille !”
C’était mon voisin de cité universitaire ! Sa large et haute silhouette se dessinait dans la lumière du réverbère en face. Mes deux ravisseurs regardèrent le nouvel arrivant les yeux chargés de haine. Le grand noir s’approcha pour lui régler son compte pendant que l’obèse essayait tant bien que mal de me pénétrer. Quand il fut à distance suffisante, mon voisin lui décocha un coup de pied si puissant sur le plexus que le grand noir s’écroula inanimé sur le sol. L’obèse voyant cette scène cessa de tenter de m’empaler et me plaqua dos à lui en serrant ma gorge avec son énorme avant bras. Mes pieds battaient l’air à plus de 50 cm du sol.
“N’approche pas, ou je lui casse son petit cou comme un brin de paille !”
Le gros lard marchait en arrière tout en me portant et quand il estima s’être assez éloigné, il me laissa tomber par terre et partit en courant.


Je tentai de reprendre mon souffle, les fesses sur le goudron. Je passai ma main sur mon visage pour dégager l’épaisse couche de sperme qui m’empêchait de voir distinctement. Bertrand, mon voisin, s’approcha de moi. Il me regardait de toute sa hauteur et souriait de manière inquiétante:
“Alors petite tapette, on aime se travestir en putain pour se faire sodomiser et sucer des bites ?”

C’est probablement sa présence que j’avais senti dans la cour de l’auberge. Cette brute avait dû se délecter de toute la scène avec les lascars, caché dans l’obscurité. C’était trop pour moi, je m’évanouis d’épuisement.

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