Les Deux Jumelles, Soeurs De Ma Belle-Fille...
Quelqu'un m'a demandé si ..les deux jumelles... j'ai... ben ...lisez...!
17 ans depuis si peu de temps. Et si jolies. Comme des ados en pleine forme, sportives qui pratiquent la natation en compétition, et aux traits si fins.
Ce sont les soeurs de Nathalie, ma belle-fille. Même taille de guêpe, seins déjà bien tentants, des jambes parfaites.
Et le fait quelles soient jumelles, je vous assure que cest vraiment très stimulant.
En plus, du genre câlines et innocentes, elles sont facilement accolées à moi quand je parais. Jai la cote, multipliant les petites offrandes, les paroles gentilles, je jouis dune adorable aura.
Lautre jour par exemple, les deux sont venues sasseoir sur les accoudoirs du fauteuil, me montrant des photos. Déjà vêtues de courtes robes qui ont vite laissé dépasser des petites culottes, cétait à celle qui se pencherait le plus, javais des jolis seins sous le nez, une odeur de jeune fille, des rires, bref, cétait un délice et un supplice de tantale. Impossible quelles naient pas vu mes regards chavirés sur leurs décolletés. Impossible que linnocence aille jusquà ne pas comprendre que leurs jeunes corps, leur fraîcheur, me rendaient dingue.
Mais dans la maison pleine de nos deux familles
pff
Il y avait aussi la piscine, jeux, corps collés dans mon dos ou même de face, ces deux naïades glissaient sous leau, je sentais leurs corps et leurs mains un peu partout sauf au plus essentiel des endroits.
Ce jour-là, lune des deux semblait encore plus accrochée à mes basques. Elle parlait peu, ne riait plus mais me souriait presque tendrement. Ma main dans son dos pour lattirer à moi ne sentait aucune résistance, deux ou trois fois jeu ainsi le plaisir de sentir ma gazelle se plaquer, ses jambes autour de ma jambe. Quel moment de fièvre paradisiaque !
Et frustrant !
Tard le soir, je passais de la salle de bains à ma chambre et croisais Marion en nuisette minimaliste.
Immédiatement, le souvenir de sa grande sur Nathalie, ma belle-fille, me vint... quels souvenirs et que je vous ai raconté.
Dans ce couloir, arrêtés lun en face de lautre, elle, sans rien sous la nuisette, moi en boxer, dont le contenu grandissait à vue dil
Je mapprochais à la toucher.
Elle leva ses beaux yeux vers moi, ma main glissa dans son dos, jusquà ces fesses effleurées, son mouvement vers moi la colla un instant sur mon sexe ; mes lèvres sur sa joue, si près de ses lèvres
et qui ne se décollaient plus
Quelques secondes dune intensité incroyable.
Une envie de la soulever et de la porter sur son lit, de profiter de ce jeune corps, de cette bouche boudeuse à la chair fragile, de dévorer cette jeune fille, de lui montrer tout ce quun homme peut lui apporter de plaisir
Et puis je réussis à mécarter, poursuivre mon chemin, elle navait pas bougé.
Me retournant, le contre-jour de la lumière du couloir me montrait ses hanches graciles, ses jambes parfaites, cet espace en haut des cuisses et cette immobilité qui me disait clairement : oui, jai senti ton désir contre mon ventre, oui je suis prête à tout, oui jai envie moi aussi
.
Jai pas pu résister, et dans ce couloir ou elle a commencé à séloigner de moi, je suis retourné en arrière, jai caressé son ventre, remonté mes mains sur ses seins, elle sest plaquée en arrière et son dos collé à moi, ma main est descendue jusquà son ventre, caressant, frôlant, parvenant en haut de ses jambes
sur ce pubis que je me contentais de caresser de la paume, caressé tout ce corps, appuyant mon sexe contre ses fesses
.
Une minute, deux ? Cétait merveilleux
Pas un mot mais une émotion partagée.
Un bruit et je filais, la laissant au milieu de ce couloir
ses petits pas qui foncent vers sa chambre.
Quest ce que jai fait ??? Ben tas craqué bonhomme !!!
Une heure que je dors pas
Lenvie de cette petite ne me lâche pas.
Elle dort, si belle.
La nuisette au niveau du ventre, ses jambes, ses cuisses, la fourche de ses jambes
.
Tout mapparaît dans la pénombre.
Jentre.
Si belle, oui. Un visage dange, un corps de jeune femme. Je ne peux mempêcher de comparer avec sa sur aînée. Et aussi de me dire que la famille (leur mère, sa sur) sont tellement avides de sexe quand elles sont lancées
Elle se tourne, je ne respire plus
Ses jambes souvrent, elle gémit doucement, elle doit rêver. De moi ???
Je veux juste humer, renifler cette jeune foufoune.
Et je repars, promis, juré!!
Mon nez est à quelques petits centimètres, je nose respirer de peur de la réveiller.
Délicates, subtiles fragrances. Mon envie est à son paroxysme. Je vais repartir quand
le ventre se soulève et que la petite chatte vient se coller à mon nez ! je lève les yeux, Marion me regarde, les yeux grand ouverts. Et elle lève son bassin à nouveau.
Et je craque et dépose un petit baiser là.
Juste le goût au bout de mes lèvres. Comment fais-je pour méloigner de cette vulve si attirante ? Jy parviens ! Ma bouche va chercher sur ses lèvres la récompense de cet acte héroïque.
Elle mentoure le cou de ses bras, me donne sa bouche sans façon, une langue fraîche vient chercher la mienne. Je suis sur elle, mon corps la recouvre, notre baiser est fougueux, passionné, je veux satisfaire cette bouche qui quémande.
- Je vais chercher ma sur me murmure-t-elle.
Devant mes yeux affolés elle continue
- On partage tout. Elle sait pour tout à lheure. Attends. Tinquiète
Je nai pas bougé et sa sur et elle sont là, plus désirables lune que lautre !
Et les deux veulent ma bouche et jembrasse les deux.
Leurs langues dans ma bouche cherchant ma langue. Et je caresse les deux.
Mais je ne peux pas rester. Cest impossible
. Je murmure que demain on se débrouillera pour être seuls.
Chacune de mes mains caresse un minou et jembrasse deux bouches aux lèvres si tendres.
Et puis je bas en retraite, je ressors de la salle de bain quand je croise le papa, qui me sourit.
Ouf, il a rien entendu.
Je vous parle du lendemain ?
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