..Un Bien Agréable Salaire..
Je ne devais rester qu'une journée et de ce fait je n'avais emporté aucun vêtement de rechange.
J'étais initialement venu chez ma marraine, une quinquagénaire blonde et svelte, pour l'aider à repeindre le plafond de son couloir. Une petite surface qui ne devait pas me prendre plus de quatre ou cinq heures.
J'arrivai donc, ainsi que nous en étions convenus, peu avant treize heures, et j'acceptai volontiers la tasse de café que ma marraine me proposait.
Elle était en compagnie d'un couple avec lequel elle venait de déjeuner.
Désireux de me mettre rapidement au travail, je bus mon café à la hâte, et du haut de la maladresse de mes dix neuf ans, je renversai la carafe de vin en me levant.
J'étais trempé.
« tu as des vêtements de rechange ?
-j'ai juste ma tenue de travail
-vas te changer dans la salle de bains et mets tes affaires dans la machine je vais m'en occuper »
Dans la petite pièce feutrée de moquette, je retirai ma chemise et mon pantalon et constatai que mon slip était lui aussi, bien imprégné. Je l'ôtai donc également et mis le tout dans la machine à laver. Comble de malchance je m'aperçus que j'avais oublié mon « Marcel » de travailleur, et c'est torse nu et en short noir que je réapparaissais.
« et bien dis doc, tu n'auras pas trop chaud pour travailler. L'escabeau et la peinture sont sur la terrasse »
Je récupérais le matériel nécessaire et je grimpais sur l'escabeau pour commencer à nettoyer le plafond. Ma marraine, suivie du couple, passa devant moi pour aller s'installer plus confortablement dans le salon.
Je travaillais depuis environ vingt minutes lorsque, je ne sus pourquoi, je perdis léquilibre et manquai de tomber.
« fais attention Bernard. Tu as le vertige ?
-non, enfin je ne crois pas
-attends je vais t'aider »
Ma marraine se leva et vint tenir l'escabeau tandis que je tentais d'atteindre un endroit plus élevé.
« y'a encore plein de traces noires là haut »
Effectivement, j'avais mal nettoyé et je dus recommencer mes acrobaties. Cette fois ma marraine me tint par les fesses, et outre le fait qu'elle me tenait bien, je trouvai cela fort agréable et la réaction physiologique fut quasi immédiate : je bandai
Alors que je reprenais une position plus conventionnelle sur l'escabeau, elle retirait ses mains de mes fesses mais gardait l'une d'elle en contact avec ma cuisse. Innocemment je continuai à nettoyer le plafond et me retrouvai à essuyer le même endroit durant de longues minutes. Je m'apprêtai finalement à descendre de l'escabeau, pour le déplacer, lorsque je sentis sa main commencer à me caresser la cuisse de haut en bas, puis doucement, en remontant, elle se glissa sous mon short.
Ma marraine resta un long moment à me caresser les fesses et moi, confus et satisfait, je n'osai pas bouger.
Lentement je sentis la main se déplacer. Elle passa sur ma hanche, glissa sur l'aine puis vint offrir un nid à mes bourses tendues. Bientôt l'autre main s'aventura, à son tour, jusqu'à ma queue raide, puis, alors que je me préparais à me délecter des caresses à venir, ma marraine fit glisser mon short jusqu'à mes chevilles puis m'en débarrassa.
J'étais maintenant totalement nu, et un mouvement me fit porter les yeux en direction du salon. L'amie de ma marraine me regardait avec un sourire de contentement.
Je ne savais pas quelle attitude adopter....et je ne débandais pas !
« tu pourrais continuer à travailler, non ? »
Sur ces mots ma marraine rejoignit sa copine et je les entendis parler à voix basse et de petits rires.
Je parvins, après moult effort à me concentrer sur mon travail et mon sexe perdit de la vigueur
« ah non, pas comme ça »
A ces mots je tournai la tête.
Ma marraine approchait à grands pas. Elle saisit ma queue flapie et lui redonna l'ampleur qu'elle souhaitait
« voilà, on travaille au garde à vous. La prochaine fois c'est toi qui t'y colle, Elodie »
Je sus bien vite ce que cette dernière phrase signifiait car lorsque ma queue eut tendance à « donner du mou », la copine de ma marraine s'approcha pour apprécier la constance de ma virilité. C'était une petite femme boulotte qui avait des doigts de fée.
A tour de rôle les deux femmes me maintinrent ainsi en érection tout au long de mon travail. Celui-ci achevé, je rangeai le matériel.
« non laisse l'escabeau en place »
Je ne comprenais pas pourquoi ma marraine voulait garder l'escabeau au milieu du passage, mais je ne cherchais pas plus loin et récupérais mon short en sursautant
« non, laisse ce short tranquille et monte sur l'escabeau »
Ma marraine venait de s'exprimer d'une voix ferme et forte, et je ne trouvai pas la force de désobéir. Je montai donc sur l'escabeau
« la quatrième marche »
...la quatrième marche..
« mets toi face à nous »
Les ordres tombaient, péremptoires, et c'était autant de frissons sur ma peau. Je me positionnais comme exigé, en présentant une solide érection, et j'entendis la voix d'Elodie.
« elle est plus grosse que tout à l'heure, non ?
-je ne crois pas, mais vas voir, tu me diras »
Elodie s'approcha
« je crois qu'il peut mieux faire »
Sur ces mots elle saisit ma queue, décalotta le gland, et commença à me masturber
« dis moi si elle est bonne »
Elodie sourit puis elle passa la langue sur la chair rose.
« non, pas tellement
-menteuse »
Elodie commença à me sucer doucement, et quand j'approchai les mains pour toucher sa poitrine elle se recula
« non »
je n'insistai pas et je la laissai s'activer.
Je n'avais pas entendu ma marraine approcher
« laisse m'en un peu »
A son tour elle saisit ma bite, la branla puis la prit en bouche. Elle me pompa délicieusement mais sa technique et ses jeux de langue étaient sans commune mesure avec ceux de son amie qui, « reprenant le manche » m'amena bientôt près de la jouissance
« non, attends Elodie, je veux le voir éjaculer »
Elodie se retira et ma marraine me branla vigoureusement jusqu'à ce que je libère un flot de sperme sur son corsage. Elle continua doucement à jouer avec ma queue puis je vis Elodie pencher la tête pour passer la langue sur mon gland
« j'aime bien nettoyer après »
Les deux femmes abandonnèrent mon membre qui persistait à conserver sa vigueur
« et bien, quelle santé, ça serait dommage de ne pas en profiter
-totalement d'accord »
Les deux femmes me prirent chacune par un poignet et m'entrainèrent vers le salon. Là, de concert, elles commencèrent à se déshabiller et je les détaillai avec curiosité.
Elodie avait des seins de petit volume en forme de poire. Sa chatte était auréolée d'une fine toison blonde. Quant à ma marraine, je m'y pris à deux fois pour la regarder, tant j'étais gêné
« tu peux me regarder, tu sais, y'a pas de honte »
Je posai donc les yeux sur son corps dalbâtre. Elle avait une fine silhouette, les hanches bien dessinées et ses fesses, rebondies, étaient celles d'une femme de trente ans. Seule sa poitrine accusait le poids des ans : des seins lourds et tombants que venait réveiller, d'un rose violacé, de larges aréoles.
Ensemble elles avancèrent vers moi.
Ensemble elles me saisirent chacune une main pour la porter sur un sein. Je caressai doucement leurs mamelons qui se dressèrent fièrement, puis Elodie se hissa sur la pointe des pieds pour m'offrir sa langue.
Tandis que je répondais à son baiser, ma marraine passa derrière moi et je sentis son corps se coller au mien. Elle saisit ma queue, toujours en érection, et me caressa doucement.
Elodie abandonna ma bouche, puis les deux femmes m'allongèrent sur le dos, au centre du salon. Après m'avoir copieusement palpé les couilles, Elodie s'allongea sur moi et s'empala d'un coup. Ses mouvements étaient délicieux. Elle savait comment bouger pour varier les pressions sur mon membre, et je n'osai intervenir de peur de rompre le charme.
Un mouvement me fit tourner la tête. A un mètre de moi ma marraine se faisait baiser par l'homme auquel je n'avais, jusque là, prêté aucune attention. Je l'entendis jouir bruyamment tandis que je libérai ma semence dans le ventre d'Elodie. Cette dernière se releva presque aussitôt, et je restai sur le sol à côté de ma marraine.
« Il y avait plus de cinq ans que j'avais envie de lui. Alors j'ai profité de ta présence pour donner un coup de pouce au destin. Tu m'en veux ?
-non, marraine »
J'aurais pu aussi bien répondre « merci marraine » tant l'après midi avait été agréable....
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