Travesti En Soubrette Par Une Matrone Pour Le Banquet Du Rugby (10)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Je ne dûs rester inconscient que quelques secondes. Je repris mes esprits juste à temps pour voir la grande main de Bertrand sabaisser jusquà moi pour saisir ma gorge et me soulever dos à lui. Cette brute métranglait ! Je maccrochai à son poignet pour réduire la pression de mon poids mais sans grande efficacité. Sa paluche était si large quelle faisait le tour de mon cou de cygne. Je gigotai pendu par une seule de ses mains. Celle quil avait de libre vint instantanément sous ma jupe pour tâter mes fesses.
ça fait si longtemps que je rêvais de toucher ces deux petits joyaux ! Elles sont comme je my attendais, douces et moelleuses. A la manière dont tu te dandinais quand tu passais devant moi, je savais que tu avais envie dun gars costaud comme moi
Mes mouvements navaient que peu deffet et il ny avait aucune chance que je néchappe à sa force colossale. Je me résignai donc à rester immobile, à la merci du cerveau lubrique de mon tortionnaire.
Cest bien ma belle. Tu tes calmée. Quest ce que tu es légère ! Cest à peine si je sens ton poids.
Sa main pétrissait mes miches avec force. Sa paume calleuse irritait mes fesses douces. Ses doigts sinsinuèrent entre mes fesses pour caresser ma rondelle, puis la pénétrer. Jétais à nouveau sodomisé contre ma volonté. Je sentais son entre jambe grossir contre mon dos. Il était monté comme une âne ! Il me reposa alors pour que mes pieds touchent le sol, tout en me maintenant par la gorge. Il sortit une boule de chiffon de sa poche et me força à ouvrir la bouche pour linsérer. Je ne pouvais plus ni parler ni crier. Il relâcha son étreinte pour disposer de ses deux mains. Je nessayai même pas de menfuir, il maurait vite rattrapé de toutes façons. Jentendis le bruit très reconnaissable dun rouleau de ruban adhésif que lon déroule puis que lon déchire, et immédiatement après ils me bâillonna de la large bande quil venait de découper.
Tu es vraiment une belle petite salope. Je navais jamais vu un cul aussi petit. Je vais prendre grand plaisir à le défoncer
Tout en me portant, il se dirigea vers sa voiture qui était garée un peu plus loin. Cétait un break tout neuf avec des vitres fumées. Dun appui sur la télécommande, la porte arrière souvrit. Il me jeta à lintérieur. Ma chute fut amortie par ce qui semblait être un matelas. Bertrand me regardait alors gigoter comme une verre dans son coffre quil avait aménagé en baisodrome. Il enleva sa chemise pour dévoiler un torse velu et musclé. Il se débarrassa ensuite de son pantalon. Son sexe jaillissait hors de son caleçon. Je ne métais pas trompé, il était monté comme un étalon. Jallais encore souffrir le martyr quand cette brute jouerait avec ma rondelle. Il saisit mes chevilles dans une de ses mains et de lautre il arracha ladhésif. Mes jambes étaient alors libres de sécarter pour lui faciliter la tache. Il sallongea sur moi et me pénétra sauvagement sans aucune préparation. J hurlais en silence et ce malade avait lair de se satisfaire de la douleur quexprimait mon regard. Son sexe nen finissait pas daller plus profond. Il secouait mes entrailles. Une fois ma rondelle suffisamment dilatée, il commença son mouvement de va et vient sauvage. Tout mon petit corps était secoué par les coups de bassin de la grosse brute.
Je fus réveiller par une puissante lumière qui envahit le coffre quand Bertrand louvrit. Jétais dans une sorte de garage. Dune main, il saisit mes chevilles pour me tirer vers lui. Il plaça ensuite une main sous mes genoux et lautre dans mon dos. Il me souleva sans quaucune marque deffort napparaisse sur son visage. Seuls ses énormes biceps se gonflèrent. Larrière de mes deux genoux tenait dans sa palme. Sa main immense couvrait la largeur de mon dos. Il me plaquait contre son torse puissant. Je sentais parfois ses énormes pectoraux se contracter. Il ne disait pas un mot. Je me rendis compte alors que nous étions dans les locaux du club de rugby. Plus Bertrand avançait, plus lair se faisait chaud et moite. Nous approchions des douches ! Jentendais des homme parler fort et rire. Nous arrivâmes devant une porte en verre fumée derrière laquelle je voyais de larges et hautes silhouettes bouger. Bertrand donna un coup de pieds à la porte pour louvrir et me porta à lintérieur. Cest avec stupeur que je vis léquipe de rugby au complet ! Ils étaient tous sous les douches, totalement nus. Ils étaient encore plus impressionnants ! Les dessins de leurs muscles massifs étaient bien visibles sur leurs corps humides. Même flacide, leur sexe était tous de dimension titanesque.
Regardez ce que nous amène Bertrand, cest la petite salope de lauberge qui sest pris une fessée !
Bertrand me souleva alors contre lui pour exposer mes fesses.
Et oui, cest bien ce petit cul !
Quand il me remit dans une position où je pouvais voir les colosses, je vis que la vision de mes petites fesse les avaient tous bien excités ! Leur sexe démesuré pointait tous vers le ciel.
Elle est vraiment superbe. ça nous change des cageots que lon trouve par ici
Jai jamais vu un cul aussi petit et aussi bien dessiné
Jai trop envie de la baiser !
Bertrand me jeta alors dans la mêlée. J'atterris dans un tapis de mains puissantes qui eurent tôt fait de me déshabiller totalement. Les frêles morceaux de tissus navaient pas résisté bien longtemps ! Ma bouche alla de sexe en sexe. Mon corps fut porter et soulever sans presque jamais toucher le sol. Mon cul fut honoré par leur chibre immense toute la nuit. Ils me laissèrent au petit matin totalement nu et englué dans une flaque de sperme, les mains toujours attachées. La femme de ménage me trouva ainsi endormi et cétait...Germaine. Elle toisait de sa hauteur mon corps plus mince que jamais. Lexpression de son visage ne laissait pas de doute : Jallais payer pour ma nuit de luxure !
FIN
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