Les 12 Servitudes D'Hélène (Épisode 36)

Les 12 servitudes d'Hélène : êta, du Grand prince au pauvre mendiant –

Des jours et des jours durant, le Grand Prince Hésiode Mircea tél un obsédé du sexe baisa et baisa encore cette femelle métamorphosée en ce qu’êta est en réalité, une perfection de la beauté même absolument parfaite ! Nul dans le palais, n'osait venir importuner le couple dont les corps ne se détachaient que pour se nourrir et boire un peu de vin, reprendre quelques forces dans un sommeil commun de quelques heures et se lancer encore et encore dans de nouveaux ébats... C'est donc Elle, cette pure beauté qu'Il avait su percevoir sous l'ignoble aspect d'une vieillarde édentée... Libérée de la malédiction qui lui avait été imposée par la Reine des Nymphes, elle s'était révélée une irréelle beauté, oui la plus belle, la plus parfaite des femelles qui eut jamais foulé les marbres de Son Palais. Jamais il n'avait senti chez une esclave une telle passion pour les choses du sexe. Celle-ci, sous le doux masque d'une pure jeune femme, se révélait être la plus expérimentée et la plus perverse des hétaïres ! Lui qui était persuadé d'avoir déjà expérimenté tout ce que le corps d'une femme pouvait Lui offrir, il se sentait comme emporté par une tornade charnelle... Lui qui avait usé et abusé de tant de femmes, les avait pénétrées, possédées, les avait pliées à Tous Ses Désirs sans égards ni ménagement, voilà qu'il était dépassé par ce qu'il vivait… Car êta avait évolué au fil des épreuves qu'elle affrontait. L'esclave docile et naïve avait d'abord cédé la place à une putain malléable puis à la courtisane la plus expérimentée qui soit...

Elle était désormais une femme à la science consommée et aux appétits inextinguibles ! Elle chevauchait fréquemment ce Grand Prince qui avait su percevoir en elle la beauté et les charmes que dissimulaient une trompeuse apparence. Leurs ébats l'avaient libérée du bracelet maudit qui lui avait été imposé... Elle l'en remerciait en se livrant à Lui, en Lui offrant extase et multiples jouissances.

Mais la belle se lassait déjà. Le Grand Prince, trop habitué à être flatté et comblé en toutes circonstances, n'était pour elle qu'un amant plutôt maladroit. Certes, la taille de son engin, sa virilité évidente, l'ardeur qu'il mettait à la saillir lui permettaient de jouir assez souvent, mais sans toutefois atteindre l'extase dont elle rêvait depuis toujours et dont, elle en était désormais convaincue elle avait un jour connu la sensation... dans ce passé qui lui était encore fermé, dans cette mémoire à laquelle elle n'avait plus accès... La belle esclave blonde payait donc sa dette au Grand Prince en lui offrant ces longues journées de débauche... Elle le faisait profiter de tant de choses auxquelles elle avait été initiée lors de son périple, prenant plaisir à voir cet homme si puissant s'abandonner totalement, se montrant même prêt à la supplier afin qu'encore elle lui cède en minaudant l'accès à sa bouche, sa chatte ou son cul et jouisse bruyamment de ses assauts parfois maladroits mais toujours fort hardis...

Et puis, vint le jour où elle en eut assez. Trop monotone ! Le Prince manquait singulièrement d'imagination et leurs ébats commençaient à lasser l'esclave habituée à des plaisirs si multiples... Hésiode Mircea dormait profondément, épuisé par de longues heures de sexe débridé. êta le regardait, un peu lasse mais avec un feu mystique qui lui dévorait le bas ventre, une excitation Divine qu’elle ne contrôlait pas. Elle avait envie de sexe, de sexe et encore de sexe ! Hésiode ne pouvait plus la contenter, aussi tout simplement décida-t-elle de quitter le palais. Elle se leva sans un mot, couvrit un peu son corps d'un drap de soie qui lui faisait comme une courte toge et sortit de la vaste salle toute de marbre brillant qui abritait leurs ébats depuis tant de jours. Jamais la blonde esclave n'eut pensé qu'il serait si facile de s'éloigner. Elle avait presque espéré que des gardes lui opposeraient quelque question. Que peut-être elle serait contrainte d'user de ses charmes pour les séduire et obtenir qu'ils ferment les yeux sur son départ.
Elle se sentait emplie du désir de contenter tout un corps de garde ! Elle avait envie d'être bousculée, possédée, traitée comme une chose et de sentir des hommes pénétrer en elle, investir sans ménagement ses orifices, de se sentir plus que baisée comme être besognée, violée, sauvagement et puissamment par ce qu’on appelle de nos jours une tournante. Elle même rougissait de ses pensées. Etait-elle donc devenue tellement dépendante du sexe et de la perversion ? Le désir lui vrillait le ventre, elle sentait comme des éclairs entre ses cuisses, avide de subir tous les outrages. On l'avait dressée à satisfaire tous les désirs, même les plus lubriques... Et désormais elle comprenait que telle était sa nature profonde. Elle était née pour le plaisir, pour le sexe, pour la débauche... Elle désirait ardemment découvrir de nouvelles pratiques, savourer les délices de l'humiliation, de l'avilissement et de la possession à outrage…

Se glissant furtivement dans les vastes couloirs du palais, elle finit par atteindre une sortie sans avoir rencontré le moindre obstacle, à son grand étonnement. C'était comme si le palais avait été totalement déserté... Débouchant par l'arrière de l'immense palais dans une ruelle, elle s'y engagea, entendant dans son dos comme un grand murmure, comme une foule en colère...Tandis que êta prenait le large en sillonnant les ruelles étroites environnant ce côté du palais, c'était une foule compacte qui s'était présentée devant le grand escalier royal... Sur ordre du capitaine, les gardes regroupés en haut des marches, prêts à charger la populace, avaient finalement relevés leurs lances menaçantes, cédant le passage à la foule qui investissait maintenant le bâtiment. Se faisant accompagner de quelques gardes, le capitaine se rendit alors jusqu'aux appartements princiers, où Hésiode Mircea somnolait encore. C'est d'un coup de pied que le capitaine tira le Grand Prince de son profond sommeil. En maugréant, le souverain leva les yeux et se redressa en dardant sur son fidèle compagnon un regard ensommeillé et courroucé.


- Quel est ce brouhaha !? Et que fais-tu là ? (puis, tournant la tête en tous sens) ... Où est elle !? Où est ma chienne ?... Je veux encore jouir de son corps et de ses talents ! J'ordonne qu'elle soit là, tout de suite !...
- Tu n'ordonnes plus rien, prince, lui rétorqua le capitaine en tirant sa courte épée du fourreau, sous le regard décontenancé de son souverain. Le capitaine continuait : - Depuis des jours et des jours, tu ne t'es plus préoccupé de rien. Tu n'as même pas daigné accorder une réponse aux messages écrits que je te faisais porter. Tu t'es totalement désintéressé de ton royaume et de ton peuple ...!

Le Grand Prince fixait l'épée pointée sur sa poitrine nue, abasourdi tandis que le capitaine poursuivait :

- Il a bien fallu régler les affaires courantes... Répondre aux questions des gouverneurs, diriger le pays, prendre des responsabilités... On y prend vite goût, tu sais, prince. Alors (il appuie doucement la pointe de sa lame contre la poitrine du prince, faisant apparaître une goutte écarlate) je me suis dit, au fond, puisque j'en suis capable, pourquoi ne pas continuer ? Tout de monde semble être avec moi, ta dictature et ta débauche ont exaspéré le peuple qui me soutient… Ils m’ont écouté quand j’ai galvanisé le peuple contre toi, ça m’a été si facile… Tu n’es pas aimé de ton peuple …tu ne l’as jamais été d’ailleurs… tu es bien seul désormais… tes colistiers ont tous été emprisonnés…

Le Grand Prince restait muet, les yeux hagards :

- Mais … Je... Et…où est-elle ?

Le capitaine releva son arme et gifla à la volée le tyran qu'il servait depuis tant d'années :

- Suffit ! Elle, encore elle ! Toujours elle ! Je ne sais pas où elle est, et si je le savais, je la ferai jeter dans un gouffre !
- Tu... tu ne comprends pas ! Tu ne peux pas comprendre ce qu’elle est…

Le Grand Prince, hagard, se tournait déjà, quand les lances des gardes se pointèrent sur sa poitrine.
Le capitaine le rattrapa, lui posant une main sur l'épaule. Hésiode Mircea se tourna brusquement :

- Ne me touche pas ! Je suis ton Grand Prince et je veux que tu la retrou...

Une nouvelle gifle plus appuyée le fit taire :

- C'est toi qui ne comprends pas. Tu n'es plus rien, (nouvelle gifle marquant le visage du prince) ... Tu n'es plus le Grand Prince... Ce matin, nous avons composé un Conseil et avons désigné ton cousin de sang royal. Il a invité la foule à investir le palais et à s'emparer de toutes les esclaves encore présentes... Il va instaurer un vrai gouvernement, en finir avec la débauche et la luxure qui ont pris trop de place dans le royaume...

Du bout de son épée, le capitaine pointa le sexe mou de Hésiode

- Pour toi, nous avons d'autres projets. Gardes !

Immédiatement, deux gardes se saisirent du prince détrôné et le poussèrent sans ménagement tandis que le souverain déchu se débattait, criait à la trahison à tue-tête en vociférant des insultes obscènes. Les gardes le menant nu de par les couloirs du palais, suivant le trajet du capitaine arrivèrent dans la salle du trône, où un petit homme avait pris place au sommet. Autour de lui, des gardes et tous les hommes importants du palais. Quelques uns étaient enchaînés et virent avec effroi leur Prince jeté nu aux pieds du trône... Sur un geste de celui qui avait usurpé sa place, des gardes levèrent leurs fouets de cuir tressé et les coups s'abattirent sur le corps nu de celui qui, la veille encore, était le maître incontesté. Hésiode Mircea se recroquevillait sous les lanières qui le flagellaient, geignant, son corps zébré par les coups qui pleuvaient impitoyablement.

- Suffit ! ordonna le nouveau Prince, Hésiode mon cousin, tu m'as toujours laissé à l'écart, méprisé sans doute à cause de mon corps malingre que tu jugeais indigne de se tenir à tes côtés... Mais pour certains, le corps ne fait pas tout, la tête compte aussi. C'est pour l'avoir oublié que te voici en si vile posture... Nous sommes de la même famille, je n'ai pas envie de te faire , les Dieux pourraient en prendre courroux. En revanche, il est nécessaire de te punir pour avoir mis l'unité de notre Nation en danger en contraignant le peuple à la luxure... Le fouet n'était qu'une façon de te réveiller, maintenant, tu vas payer en subissant ce que tu as fait subir à ton peuple... Tu ressentiras ainsi ce que c’est que d’être avili sans le vouloir...

Sur un geste, entra dans la salle un véritable colosse, entièrement nu, exhibant un énorme sexe déjà dressé, comme un mât de chair tendue, veinée de bleu... Il s'arrêta à côté d'Hésiode... Le nouveau souverain applaudit...

- Voilà ! Pour commencer tu vas donc être puni par là où tu as fauté ! Mon colosse que j'ai acheté à Rhodes va t'enculer longuement devant tous... Et puis, toi ainsi que tes complices d'orgies, tous ces petits seigneurs corrompus, vous serez livrés à la foule. j'ai donné des ordres, on ne vous fera pas de... mal... enfin... je veux dire par là que votre vie sera préservée, quant au reste, cela dépendra des désirs et des appétits de sexe de ce peuple que tu as si longtemps négligé et asservi, lança le nouveau Prince.

Sur un geste du nouveau chef, le colosse de Rhodes se saisissait d'Hésiode et le soulevant, l'empalait d'un coup sec sur son énorme verge, s'enfonçant dans le princier fondement sans égard pour celui qu'il avait été. Le cri que poussa Hésiode se répandit dans tout le palais, annonçant au peuple que bientôt, on lui offrirait de quoi s'amuser à son tour...

Tandis que le destin d'Hésiode Mircea prenait tournure, êta était déjà parvenue dans les faubourgs de la cité, ne comprenant toujours pas pourquoi les rues étaient si désespérément vides. Mais au fond, peu lui importait, l'essentiel était de s'éloigner, de quitter cette cité pour de nouveaux horizons et de nouvelles expériences ! Sur le bord de la route, un mendiant borgne, aux guenilles sales et déchirées tendait sa sébile. Il n'avait auprès de lui qu'un bâton noueux et une vieille lanterne. êta s'approcha et l'interpella :

- Dit-moi, comment se nomme cette cité d'où je viens ?
L'homme rit...
- Tu en sors et tu ignores le nom ?
- C'est ainsi, j'étais seulement curieuse, mais si tu ne veux pas répondre...
L'homme se redressa, il semblait finalement plutôt robuste malgré son triste état
- Tout doux, la belle ! La Cité se nomme Calchis. Et si j'en crois les rumeurs, il s'y passe de drôles de choses en ce moment…
- Merci répondit-elle simplement …

êta s'apprêtait à poursuivre sa route. Mais elle stoppa net et se retourna vers le mendiant qui reprenait sa position assise sur le bord du chemin

- Dit-moi l'homme, depuis quand n'as-tu pas possédé une femme ?

L'homme reste muet face à une demande aussi directe qu'inattendue. Il observait la pure beauté de cette jeune femme aux cheveux blonds cascadant sur ses épaules, à peine couverte d'un court drapé qui laissait voir la fine musculature de ses cuisses, le galbe parfait des jambes, deux petits pieds délicieux... Il était muet, mais son corps parlait pour lui. Sous ses guenilles se formait une bosse à un endroit précis que êta guettait avidement et dont la position ne laissait aucun doute sur ce qu'il ressentait... êta s'approcha à nouveau de lui... et laissa tomber au sol le linge qui la couvrait si mal, apparaissant aux yeux de l'homme, aussi nue qu'au premier jour, ses seins lourds et fermes aux tétons déjà durcis, la taille fine, les hanches aux formes généreuses, son sexe dont une épilation précise laissait voir les chairs roses et fraîches …

- Tu me veux ? demanda-telle le plus naturellement du monde

Le mendiant se redressa, il n'y avait pas besoin de réponse, la manifestation physique de son désir étant bien visible. Jamais une proposition de s’accoupler ne s’était présentée ainsi à lui et jamais elle se représenterait ! êta vint se coller à lui, glissant ses mains entre les cuisses de l'homme pour se saisir de la verge qui se tendait et se révéla d'une taille fort honorable. L'homme se laissait faire, comme hypnotisé par cette femme sublime qui s'emparait ainsi de lui...

- Ne dis rien, lui souffla-t-elle à l'oreille...

Elle le fit chuter sur le sol, mais il ne sentit presque pas la morsure des petits cailloux du chemin sur son dos qui lui importait peu... Car déjà êta dégageait le sexe dressé des tissus et s'empalait dessus. Elle le chevauchait avec une époustouflante ardeur. Après des mois d'errance et de tristes masturbations, le mendiant était sidéré de ce qu'il vivait. Il osait à peine remercier les Dieux d'avoir placé sur sa route cette fabuleuse créature qui allait et venait autour de son pénis érigé comme un mat. Elle ahanait, s'agitait, s'ouvrait à lui avec ardeur et il se retenait comme il pouvait, de peur qu'avec sa jouissance ne disparaisse cette merveilleuse apparition. La blonde esclave appréciait que ce moment dure encore le plus longtemps possible. Elle savourait ce sexe si dur sur lequel elle s'acharnait avec une liberté toute neuve. Elle râlait, gémissait, jusqu'au cri primal qu'elle libéra lorsqu'elle atteignit enfin l'orgasme. Elle se sépara alors du corps sur lequel elle s'était empalée, appréciant de voir que l'homme bandait encore. Sans hésitation, elle se mit alors à quatre pattes avec la plus parfaite impudeur

- Vient, jeta la femelle, vient et prend mon cul, maintenant ! lança-t-elle avec force.

Abasourdi et très excité, le mendiant borgne ne se le fit pas répéter. Son seul œil voyant brillait exprimant ainsi tout son désir de mâle, alors il vint derrière elle et poussa son sexe toujours aussi tendu contre la rosette de la femelle constamment en chaleur, poussa et entra en elle d'un coup sec. Il émit un long gémissement, puis commença à la bourrer sans ménagement. Elle gémissait plus fort encore, le suppliant de pousser aussi fort et aussi loin qu'il le pourrait. êta ressentait un plaisir inouï à se faire ainsi enculer par cet inconnu. Après des jours et des jours d'ennui sous les assauts du Grand Prince, elle découvrait le plus pur plaisir sous les coups de boutoir de ce pauvre hère qui n'avait sans doute plus connu de femme depuis si longtemps ! L'homme s'appliquait à la bourrer aussi profondément qu'il le pouvait, faisant durer le plaisir en ne quittant pas des yeux cette si généreuse croupe qui s'offrait à lui sans limites. L'esclave gémissait de plaisir, son visage enfoui dans la terre du chemin, ses genoux blessés par les cailloux, ses seins frottant contre le sol à chaque coup de bite dans son cul... Mais elle ne ressentait rien d'autre que le plaisir brûlant de se faire ainsi posséder, besogner sur le bord d'une route, juste parce qu'elle en avait éprouvé l'envie. Régulièrement, il lui claquait les fesses d'une main sèche et ferme. Elle tressautait légèrement sous ces coups qui la ravissaient. Elle adorait qu'on lui cingle ainsi la croupe tandis qu'on l'enculait...

Cette fois l'homme ne put se retenir plus longtemps et ils jouirent ensemble, tandis qu'il se retirait brusquement, inondant la croupe et le dos d'êta d'un flot épais et abondant de semence si longtemps retenue. Epuisé, l'homme ressentit le besoin de s'asseoir à l'ombre d'un arbre tandis que la sublime blonde êta demeurait recroquevillée sur le sol, respirant lentement, emplie et sereine... De longues minutes plus tard, elle se relevait enfin.

- Merci, dit-elle simplement au mendiant en ramassant le tissu dont elle s'était vêtue.

Le mendiant n'en revenait pas de ce qu'il venait de vivre, de la bonne fortune que les Dieux lui avaient offert.

- Comment t'appelles-tu ? demanda êta
- Mon nom ? Je doute qu'il te dise quelque chose, Diogène...
- Eh bien Diogène, je n'oublierai pas les bienfaits de ta queue, lui dit êta …

Tout en se drapant à nouveau dans ce bout d'étoffe qui ne la couvrait que bien légèrement. Elle se tenait au-dessus de lui, joignant son ombre à celle de l'olivier auquel il était adossé.

- Je ne t'oublierai pas non plus, la belle. Je professe souvent qu'il ne faut s'attacher à rien ni à personne... Mais j'avoue que j'aurai bien du mal à ne pas regretter ton si beau cul et tes seins si généreux....

Il lui fit un signe de la main qu'elle lui rendit :

- C'est bien, je poursuis ma route et te rends ton soleil, lui dit-elle.

Se sentant délicieusement légère, êta suivait la route dont une borne ancienne plantée au bord de la route poudreuse indiquait, en lettres gravées dans la pierre, qu'elle menait à Thèbes. Cette Cité ou une autre, êta s'en souciait fort peu... Thèbes, la fameuse Cité… sera-t-elle le lieu de ses prochaines aventures … ?

(A suivre…)

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!