Leslie Ch09

Leslie CH09 – Changements, une semaine en Camargue
Dans la manade avec Elsa et ses amies anglaises, puis…

Après qu’Elsa nous ai quitté pour aller se changer, avec Laure nous nous retrouvons pour nous préparer nous aussi, et très rapidement nous descendons au salon pour retrouver nos trois amies.
La soirée se passe très tranquillement et nous dinons en échangeant sur nos premiers moments d’intimité et ce que nous pourrions faire le lendemain, nos amies ont regagné leurs chambres pour aller se coucher, le voyage et la journée les ayant fatigués.
Nous sommes restées un moment avec Laure dans le salon, et juste avant de monter nous coucher, nous avons reçu un coup de téléphone de Michel qui nous annonçait son arrivée avec Jacques, le jeudi en début de soirée.
Nous nous sommes couchées, mais le sommeil ne venait pas…
Laure était bien excitée par les moments de l’après-midi, et elle me demanda de la soulager, alors nous fîmes l’amour tendrement avec une complicité extrême, et nous sommes endormies dans les bras l’une de l’autre.

Le lendemain, mercredi, nous avons déjeuné ensemble sur la terrasse et sans s’être donné le mot nous étions toutes les cinq seins nus et avec juste un string ou une petite culotte pour masquer nos intimités.
Peach et Chely paraissaient en pleine forme et n’arrêtaient pas de blaguer et de nous faire rire, elles paraissaient avec Elsa très complices et l’on pouvait sentir une grande amitié complice entre ces trois femmes.
Le petit déjeuner terminé, elles partirent visiter les environs en nous annonçant qu’elles ne seraient pas de retour avant la fin de la journée, Elsa en profita d’ailleurs pour nous lancer :
- Les filles ne faites pas trop de folies de vos corps ! Restez en pleine forme pour notre retour…

Nous avons avec Laure, passée la journée au bord de la piscine à nous faire bronzées entièrement nues, nous profitions de ces instants de calme en conversant sur l’arrivée de Chris et Val, nous demandant si la propriété allait leur plaire, nous étions à cet instant, heureuses.


Nos amies sont revenues en fin d’après-midi, les bars chargées de paquets, Elsa nous dit :
- Nous avons fait des achats ! Ce soir apéro dinatoire et petite collation au bord de la piscine, Puis partie de jambes en l’air ! Ça vous va ?
- Présenté ainsi, dit Laure, comment refuser.
Aussitôt l’apéritif fut servi, champagne accompagné de petits fours salés et mezzés, un vrai régal, avec Laure nous étions nues quand nos amies sont revenues et pour l’apéritif elles s’étaient mises nues elles aussi, l’ambiance était chaude, Laure était entourée de Peach et Chely qui commençaient à la caresser sans se cacher, tandis qu’Elsa s’occupait de moi en me caressant le sexe.
Bientôt, les trois filles se sont gouiner en se léchant mutuellement et en se doigtant les parties intimes, leurs gémissements prouvaient qu’elles se donnaient du plaisir.
Elsa s’est mise à me sucer et je dois bien avouer que j’en tirais beaucoup de plaisir, elle me suçait divinement bien…

Nous avons continué la soirée, en grignotant suivant nos envies, mais surtout en se donnant beaucoup de plaisir…
Nos jeux de caresses et de léchage durèrent fort longtemps, les filles toujours ensemble et Elsa avec moi, nous avons fait un soixante-neuf d’anthologie et j’avoue avoir apprécié le goût de la chatte d’Elsa, la nuit tombée et le froid nous enveloppant nous ont contraint d’arrêter pour rentrer dans la maison et sans un mot nous avons regagné nos chambres.
Laure ne vit aucun inconvénient qu’Elsa vienne avec moi, trop heureuse de passer la nuit entre Peach et Chely…
Il ne nous fallut pas longtemps avec Elsa pour entendre des gémissements venant de la chambre des trois filles, qui devaient se donner du plaisir, mais trop occupés à notre plaisir, nous avons continué nos ébats.
Après s’être embrassées longuement, Elsa se positionna sur le lit, et me regardant de ses yeux plein de désir, elle me dit :
- Viens ! Prends-moi !

Je me suis mise sur elle, et constatais qu’elle était trempée, son pubis taillé en ticket de métro était ruisselant de désir, elle a ouvert les jambes et s’est offerte.

Je l’ai pénétré, doucement, glissant dans son humidité intime, c’était chaud et elle a feuler en gémissant doucement, le bonheur se lisait sur son visage et à cet instant plus rien ne comptait pour elle que mon membre qui glissait en elle, cherchant à aller le plus loin et la rendre heureuse.
Doucement avec tendresse je lui ai fait l’amour, comme à une jeune fille que l’on prend pour sa première fois, Elsa était radieuse par le plaisir qu’elle prenait, elle a nouée ses jambes autour de moi au niveau de ma taille pour me donner la cadence des pénétrations.
De plus en plus, jouant avec ses jambes, elle a imprimé la cadence et à accélérer, jusqu’au moment où ouvrant la bouche elle s’est mise à jouir, inondant mon sexe de sa jouissance, mais sans qu’aucun ne sorte de sa gorge…

Elsa venait de jouir, d’un orgasme hors du commun, elle s’était abandonnée dans une confiance totale et maintenant reposait tétanisée de plaisir, offerte. J’ai passé mes mains sous ses fesses tout en continuant lentement mes va et vient, Elsa repartait vers le plaisir et me demandait de sa voix douce :
- Arrête chérie, je n’en peux plus, tu vas me faire mourir !
Continuant afin de l’emmener vers l’au-delà, j’ai osé aller chercher son petit anneau plissé, mais quand mon doigt à toucher sa rosette, Elsa s’est crispée en disant :
- Non chérie ! Pas par-là !
Etonnée, je la regardais, elle cette femme si belle, apparemment sans tabous et qui aimait le sexe, mais elle m’expliqua qu’un mauvais souvenir d’enfance la bloquait et qu’elle avait toujours refusé de se faire sodomiser…
- T’inquiètes pas, je respecterais tes désirs, dis-je pour la rassurer.
J’ai ôté mes mains de dessous ses fesses et comme pour me prouver sa confiance elle s’est offerte à moi en levrette, dans cette position elle a jouit encore deux fois avant que je ne me déverse en elle, et nous écrouler sur le lit anéanties de plaisir.
Plus aucun bruit ne troublait le calme de la demeure et nous nous sommes endormies enlacées tendrement.


Le lendemain, jeudi, nous avions toutes une dôle de tête, celle des lendemains d’une nuit bien remplie, mais personne ne demanda quoi que ce soit, chacune respectueuse mais certaine que le plaisir avait été au rendez-vous.
A la fin du petit déjeuner, nous décidons d’aller piquer une tête dans la piscine, avant de s’habiller pour aller faire un tour à Nîmes et manger le midi.
C’est tout naturellement que nous nous sommes retrouvées toutes les cinq nues avant de plonger dans l’eau claire, après quelques longueurs dans le bassin, alors que je reprenais mon souffle accrochée à l’échelle, Peach est venue me rejoindre pour se coller à moi en me disant :
- Leslie, tu me plais et je trouve ton sexe vraiment beau !
Collée contre moi elle prit mon sexe dans sa main et commença à le caresser doucement, cette caresse ne manqua pas de mettre le feu en moi et de bander en un rien de temps.
Le sourire aux lèvres, Peach me dit :
- Je vois que je ne te laisse pas indifférente, tu as envie de moi ?
- Oui, dis-je.
Elle posa ses lèvres sur les miennes et sa langue se mêla à la mienne avant qu’elle n’ajoute :
- Alors montres-moi comment tu as envie de moi !
En disant cela, elle a passé ses jambes autour de ma taille et de fait sa vulve s’est retrouvée à la hauteur de mon sexe bandé, il ne me fallait plus que de donner un coup de reins pour la pénétrer complètement…
D’un coup de reins, j’ai enfoncé mon membre en elle, lui tirant un cri de démence, qui ne manqua pas d’attirer l’attention des autres femmes. Elle était embrochée, moi le dos contre l’échelle et elle s’accrochant aux montants, c’est elle qui en s’aidant de sa prise à fait les mouvements pour se pénétrer, rapidement nous avons jouit ensemble et se détachant, elle me dit à l’oreille :
- C’était trop bon, ce soir si tu le veux, nous continuerons et je t’offrirais encore plus…
Dans leur coin, Laure et Elsa ne s’étaient pas ennuyées, elle avait fait connaissance et à les regarder, elles devaient avoir pris un pied terrible, restée seule Chely nous invectiva en disant :
- Alors on me laisse seule, la masturbation a du bon, mais ça ne vaut pas des doigts étrangers !
- T’inquiètes, lui dit Elsa, ton tour viendra…

Nous avons ainsi traîné toute la journée au bord de la piscine en prenant, suivant nos envies des collations que nous avions commandées et que le traiteur avait livrées en fin de matinée, nous alternions ainsi grignotages, baignades, détente au soleil et aussi des caresses intimes suivant nos désirs et nos humeurs, mais je dois dire que nos trois amies étaient insatiables…

A suivre…

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