Olga, Elodie Et Philippe-13- Brunch Dominical

AVERTISSEMENT

Ce texte, écrit à quatre mains par ElodieParis et Olga T, est la suite des chapitres parus depuis le 14 octobre 2020 sur HDS.

Ce récit érotique est fictif, mais s’inspire du vécu des protagonistes. Voici un nouvel épisode de ce travail en commun. D’autres suivront.

Bonne lecture et merci pour vos commentaires!

RESUME DES EPISODES PRECEDENTS

Une jeune doctorante timide de 25 ans, Elodie, est invitée à venir s’entraîner à présenter son mémoire par Philippe, haut-fonctionnaire, qui est un des spécialistes du sujet de la thèse. Une fois sur place, Olga, la maîtresse de maison, hypersexuelle en manque, prend la jeune étudiante en charge, sous les yeux de son mari candauliste expérimenté.

Olga réussit de main de maître à faire surmonter à Elodie ses peurs et ses complexes. Le couple découvre sa connaissance surprenante des choses du sexe. L’étudiante qui se laissait faire comme une jeune inexpérimentée dévoile son vrai visage de petite salope.

Olga invite la gamine à rester le week-end où s'enchaînent des parties de plaisir de plus en plus intenses. Olga n’autorise pas Elodie à faire l’amour avec SON mari Philippe mais leurs désirs respectifs montent inexorablement.
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Philippe se réveilla quand la petite quitta ses bras pour s’arracher à la chaleur du plaid dans lequel ils s’étaient “coucougnés” depuis des heures, sans se parler. Elodie n’était pas une grande bavarde et s’exprimait mieux en ne disant rien mais en faisant deviner les choses. Elle se sentait tout simplement protégée par cet homme et cette intimité silencieuse avait fait son bonheur. Elle suçait son pouce régulièrement quand elle était seule mais avait osé le faire pour la première fois de sa vie en présence d’un homme.

Philippe, en regardant cette gamine d’apparence frêle et fragile, se rappela pourtant l’avoir vue défoncer sauvagement Olga avec un gode ceinture énorme, avant d’enchainer sur un fist anal.

Elle s’était ainsi vengée d’Olga qui, assez injustement il est vrai, l’avait refusé à lui. Il faut dire que son épouse avait un peu promis la chose à Elodie, avant de se raviser.

Suite à cette sodomie magistrale, Olga, épuisée, endolorie par ce qu’elle avait subi, s’était endormie et Elodie avait voulu absolument quitter la chambre. Philippe l’avait prise par la main et ils avaient été se réfugier sur le canapé du salon. Ils n’avaient pas fait l’amour et étaient juste restés blottis l’un contre l’autre et s’étaient rendormis à leur tour.

Philippe regarda la petite ouvrir les rideaux et voilages, prenant tout son temps pour exposer sa nudité, sans problèmes, à tous les voisins. Comme toute étudiante douée, Elodie apprenait vite les leçons. Elle n’avait plus honte de s’exhiber et, au contraire, cherchait à savoir si le voyeur de la veille était à son poste d’observation.

Ce qu'elle avait fait le matin même, aux dépens d’Olga, aurait pu être une sorte de transmission de flambeau, car elle avait imposé sa loi à l’hypersexuelle dominatrice. Olga avait pourtant des fragilités terribles, recherchant toujours l’aval de Philippe dans des moments cruciaux pour elle. La belle quadra, en apparence si sure d’elle, se transformait alors en femme terriblement soumise, sous le joug de la virulence de ses amants qui la défonçaient.

Elodie se rendit à la cuisine et fit comme à la maison, se sentant un peu comme chez elle. Elle se mit aux fourneaux, son petit ventre criait famine. Elle ouvrit le frigo, les placards, le congélateur de ce couple étonnant. Il était presque treize heures et Elodie avait envie de manger des plats d’enfance, ceux qui réveillent les émotions. Elle voulait partager cela avec Philippe, lui offrir un peu de son intimité, de son pays, de son éducation, de son passé. Elle se lança dans la confection improvisée d’un brunch Catalan.

Elle avait trouvé tout ce qu’il fallait pour préparer une “escalivada”.
Elle fit cuire très lentement au four, dans de l’huile d’olive, aubergines, poivrons jaunes et rouges, courgettes, oignons, échalotes, tomates, gousse d’ail en chemise. En fin de cuisson, elle rajouta amoureusement de la fleur de sel, du poivre, quelques feuilles de basilic frais avec du vinaigre de Xérès. Elodie sourit, en trouvant de l’huile d'olive “vierge” dans le frigo d’Olga. En parallèle, Elodie avait réchauffé au four du pain surgelé puis l’avait découpé en tranches fines pour sa recette de “pa amb tomàquet”, une véritable institution régionale: on tartine un pain de tomate en l'accompagnant de charcuterie qu’elle trouva dans le frigo et d’une boîte de filet de sardine. Elle avait utilisé deux steaks hachés pour sa recette de “boles de picolat”. Originaire de la partie nord de la Catalogne, cette recette est faite à base de haricots, d’olives, de tomates, d’ail et de persil, finement découpés et assemblés en boulettes. Elodie se disait qu’Olga aimerait probablement manger des “boules” de viande et les sucer avant de les croquer.

L’hypersexuelle, de son côté, s’était rendormie dans le bain chaud et c’est l’odeur des bons petits plats qui la réveilla. Elle déboula en cuisine, seulement vêtue du peignoir des amants de passage, en marchant toujours un peu comme un canard. Olga fut ravie de trouver les rideaux ouverts, le voisin-voyeur, queue en main et Elodie nue, dressant la table comme une petite cuisinière, femme de service et soubrette.

Philippe, magistral, était emmitouflé dans le plaid sur le canapé, se régalant de regarder faire Elodie, en bon candauliste qu’il était. En cuisinant, la petite se penchait dans les tiroirs pour lui offrir une vue sur son petit cul. Ses petits seins, aux tétons pointés, frétillaient, ses hanches ondulaient. C’était un petit spectacle érotique délicieux, qui le faisait bander.

Olga fit un signe de tête interrogatif en direction d’Elodie, pour demander, sans parler, à Philippe s’ils avaient fait l’amour.
Philippe comprit la requête et fit non de la tête. Un grand sourire, empli de fierté, éclaira le visage d’Olga. Elle s’approcha de la jeune fille pour lui faire un petit bisou, essayant de deviner si elle pouvait quand même déceler une quelconque odeur de sperme. Pour en avoir le cœur net, Olga embrassa Elodie, lui roula une pelle mais ne trouva pas ce qu'elle cherchait, le goût de la queue de son mari.

- Tu es vraiment une petite salope de m’avoir défoncé ainsi.

Elodie pensa qu’en fait Olga avait adoré, mais n’en dit rien. Elle était radieuse d’avoir compris cela mais son regard bleu de tueuse ne cachait pas à quel point elle en voulait encore à Olga de lui avoir refusé son mari et d’être revenue sur ses promesses suggestives. La gamine cependant n’avait pas pris d’initiative contre sa volonté et semblait attendre sa décision finale. D’autres pouffiasses auraient abusé de la situation, mais Elodie était respectueuse, énervée certes, mais droite dans ses bottes d’intégrité.

Olga plongea un doigt dans l’escalivada et huma l’odeur des boulettes bien dorées et cuites à point.

- A table! J’ai une faim de loup.

Olga laissa tomber au sol son peignoir, Philippe son plaid, et c’est nus que tous les trois prirent place à table, sous le regard du voyeur de voisin. Philippe avait pris soin de lancer une superbe piste de lecture de piano, avec des mélodies douces et apaisantes. Tout le monde avait faim et ils se régalèrent de ce brunch improvisé et finirent tous les plats, dans un silence qu’Elodie aimait tant. Les mélodies du piano parlaient pour eux.

Comme toute la nourriture, qu’elle avait préparée, avait été consommée, Elodie repartit en cuisine. Elle avait vu des flans dans le frigo. Elle demanda à Philippe s’il avait un petit chalumeau pour improviser une “crema catalana”. Cela consistait à brûler du sucre roux sur le flan pour en faire une crème brûlée improvisée. Olga regarda Philippe et Elodie rire tous les deux en cuisine, en manquant de se brûler en allumant la flamme.
Elle les trouva mignons et complices, regrettant son comportement égoïste et son refus de partager son homme, après bien des promesses engageantes de sa part.

Olga s’échappa brièvement à la salle de bains et en revint, cachant des choses à l’angle de la bibliothèque, avec visiblement une idée en tête.

Une fois ce dessert fort simple et malin ingurgité, Philippe servit des cafés, avec un mini verre de cognac de l’année de naissance d’Elodie. Tout le monde trinqua en communion, Elodie manqua de pleurer, juste en sentant l’odeur du cognac. Elle y trempa ses lèvres, puis décida de boire tout d’un seul coup sec, un peu comme à la russe, mais sans jeter le verre par terre derrière elle. Il y avait une belle harmonie fraternelle dans l’air. A peine les verres posés sur la table, les yeux noirs d’Olga glacèrent l’ambiance.

- Mon Philippe, je te laisse exceptionnellement sodomiser la petite, là, sur la table. Mais je ne veux pas que vous fassiez l’amour. Juste une sodomie pour que tu me venges de ce que cette petite salope m’a fait subir ce matin.

L’ambiance passa du chaud au froid. Olga savait y faire pour retourner les situations. Le regard de Philippe trouva celui d’Elodie dans la seconde et ils restèrent ainsi en fusion. Ils avaient envie l’un de l’autre depuis longtemps. L’autorisation qu’ils attendaient tous les deux venait enfin de tomber, même si ce n’était pas exactement celle qu’ils attendaient.

- Lève toi ma chérie et toi aussi mon amour

Elodie obéit et resta droite une longue minute. Elle savait qu’Olga savait. Sa machine à cyprine, contre laquelle elle luttait depuis qu’elle était ado, s’était mise inexorablement en marche. Des petites gouttes allaient se former entre ses cuisses, perler et rapidement couler le long de ses cuisses. Elodie se sentait perdue, trahie par son corps. Même si le regard protecteur de Philippe l’aidait, voir sa queue lentement se lever et bander ne l’aidait absolument pas.

- Regardez-vous tous les deux comme vous êtes pathétiques, l’une mouillant, l’autre bandant. On dirait deux gamins amoureux platoniques. Mais c’est niquer que je veux vous voir faire. Pose tes mains sur la table, petite et penche-toi pour te faire enculer. Et toi mon chéri, viens donc te mettre derrière elle pour la prendre.

Les deux obéirent comme des automates, ne réalisant pas encore d’avoir enfin obtenu l’accord d’Olga. Ils sentaient qu’elle pouvait changer d’avis à tout moment. Son ton, sous des airs affirmatifs, semblait empli de doutes. Olga posa sur la table sous les yeux d’Elodie ce qu’elle avait été cherché discrètement dans son tiroir à plaisir de la salle de bain: du lubrifiant et les pinces à seins. Elodie déglutit en les voyant, sachant bien l’effet électrifiant qu’ils avaient sur elle. Olga voulait se venger en lui donnant le mal qu’elle avait reçu avec le gode ceinture et le fist anal.

- Tiens, tu connais les pinces à seins, petite salope?

Le regard étincelant d’Elodie la trahissait et ses tétons se gonflèrent à bloc, ne laissant plus de place au doute. Ne sachant mentir, elle hochait imperceptiblement la tête.

- Tu es une ingénue de première, je ne devrais plus être surprise par ta fragilité apparente qui trompe bien son monde.

Olga fit couler du lubrifiant entre les petites fesses de l’étudiante, pas si sage que cela. La froideur du gel et la proximité de l’acte la firent frissonner.

Philippe était positionné juste derrière Elodie et regarda le lubrifiant épais couler lentement dans la raie des fesses et se rapprocher de ce petit trou serré qu’il allait prendre. Il était fasciné par l’idée de posséder enfin cette petite, tant désirée, ce qu’il avait attendu si longtemps. Face à lui, de l’autre côté de la cour, le voyeur avait sa queue en main et ne manquait rien de l’action. Son instinct ne l’avait pas trompé: il s’en passait toujours de belles dans cet appartement!

Pas contente d’avoir été trompée une fois de plus par l’étudiante, Olga posa sans ménagement la première pince. Elodie se tordit de douleur et lâcha un cri apeuré. Mais le mal se changea très vite en bien et sa grimace fit place à un petit sourire qui dévoila toute l’envie qu’elle cachait si bien tout au fond d’elle. Elodie portait régulièrement des pinces à seins lorsqu’elle se caressait. Mais la présence de ce couple et cette situation très particulière décupla son plaisir.

Olga mit la seconde pince et admira Elodie se cambrer sous l’effet de la douleur. Olga se délectait d’autant plus de ce jeu vicieux qu’elle constatait le plaisir qu’y prenait Elodie. Une petite chaîne en métal réunissait les deux pinces à seins, favorisant un contact électrique entre les deux tétons. La pression était tellement forte qu’Elodie ne sentait plus le bout de ses seins. Une douleur vive irradiait sa poitrine. L’étudiante avait l’impression que son cœur était au bout de ses tétons.

- Tu as bien caché ton jeu, petite garce, je l’ai constaté à mes dépens ce matin. En fait tu es vraiment une bonne salope, qui aime les pratiques extrêmes! La sodomie t’ira très bien et ne semble pas te faire bien peur.

Le sourire d’Elodie la trahit une fois de plus. Olga, avec le recul, se rappelait des indices qui auraient dû l’alerter sur la vraie nature d’Elodie. En réalité, ce n’était pas une étudiante timide, mais bien une petite salope qui sommeillait en elle. Les signes étaient nombreux, comme sa connaissance technique des fists ou encore le plaisir qu’elle avait eu quand Olga lui avait donné une bonne fessée. Non, décidément, cette petite, fort expérimentée, n’était pas innocente!

Elodie ne répondait pas, son visage exprimait un mélange étonnant de douleur et de plaisir.

- Branle ton clito, petite garce, ça t’apaisera. Le meilleur est à venir.

Elodie ne parlait pas, ses yeux étaient clos, elle était ailleurs. Tout ce qu’elle pouvait émettre était de petits gémissements:

- Hmm, hmm

Elodie avait l’impression que le bout de ses seins allait exploser, sentant ses battements de cœur dans la jugulaire de sa tempe. Elodie n’était pas femme à crier, elle préférait gémir de jouissance, une sorte de râle de douleur. Les caresses de son clito l’apaisèrent.

- Je vais te laisser les pinces pendant que mon homme va enfin t’enculer, comme tu en as tant envie!

Elodie se pencha davantage sur la table. Elle attendait cette sodomie tant désirée.

- Cette petite salope mériterait que tu l’encules à sec, mon chéri. Je dirai même qu’elle en a très envie!

Elodie dandinait imperceptiblement du cul, envoyant un message subliminal à Philippe.

- Ma chérie, je ne suis pas d’accord avec toi. Ce n’est pas une petite salope, c’est une Princesse, ma Princesse. Je ne veux pas qu’elle ait mal. Je veux qu'elle ait du plaisir. Je veux lui donner du plaisir.

Olga s’enragea:

- Tu ne comprends pas sa vraie nature, mon amour. Elle t’a ensorcelée depuis le début avec ses petits seins à la Birkin, son écartement entre les cuisses, ses éjaculations féminines de fille fontaine et son petit cul qui te fait fantasmer. Encule-la, je te jure qu’elle ne demande que cela!

Olga déroula un préservatif sur la queue de son chéri et s’installa confortablement sur le canapé pour les mater. Olga avait choisi l’emplacement où ils étaient pour que cela soit aussi parfait pour le voisin, il n’allait pas en rater une miette quand Philippe en mettrait plein le cul à la petite! Ayant laissé carte blanche à son époux, Olga commença à se branler le clito et à enfoncer ses doigts dans son vagin.

Philippe voulait en savoir plus, son index se chargea en lubrifiant et s’enfonça dans le fondement d’Elodie. Il commença à doigter l’anus de la jeune étudiante. Les gémissements d’Elodie commençaient à emplir la pièce. Philippe se dit qu’Olga devait avoir raison. Le petit trou de sa Birkin n’était pas si serré qu’il en avait l’air. Soit elle se faisait régulièrement prendre par là, soit, soit elle devait utiliser des godes pour se travailler l’anus.

Philippe n’hésita pas. Le majeur rejoignit l’index et, de ses deux doigts, il enculait sans ménagement Elodie. Avec sa main gauche, Philippe branlait le clito d’Elodie, ses doigts fouillaient sa petite chatte serrée et trempée, alors que la machine à cyprine de la petite étudiante montait en puissance. Elodie était au paradis, dans un état second. Elle savait que sa résistance ne durerait pas, qu’un tsunami allait jaillir de son vagin. Elle s’offrait à cet homme, il fallait qu’il la prenne. Maintenant!

Olga, qui se branlait frénétiquement, connaissant bien désormais la jeune fille, vint à son secours. Il fallait que Philippe accélère.

- Mon chéri, tu ne vois pas qu’elle n’en peut plus! Enfile-la, elle n’attend que ça! Tu verras, chaton, MON mari est un expert pour la sodomie. Il a la dimension idéale, il va t’envoyer en l’air!

Philippe avait une formidable érection. Par précaution plus que par nécessité, il enduisit sa verge de lubrifiant, prêt à pénétrer Elodie. Son petit cul le fascinait, il aurait eu envie de prendre Elodie par devant, en levrette et de jouir dans son vagin. Mais, connaissant son épouse, Philippe ne voulait pas brusquer les choses. Il fallait que tout se passe avec son assentiment.

Il avait possédé la chaude gorge d’Elodie, il avait droit désormais à son petit cul. Il avait envie de plus et la petite aussi, mais Philippe savait que cela se ferait, que la voie était désormais ouverte.

Avec élégance, ne voulant pas profiter de la situation, Philippe voulait s’assurer que c’est ce que voulait Elodie, qu’il avait son consentement

- Tu en as envie, Elodie? Dis-moi ce que tu veux, Princesse!

Dieu que l’élégance de cet homme était craquante. Sa queue était bien positionnée à l’entrée de son anus, fière et dure. Elodie d’un mouvement de bassin happa la queue en elle, pour lui faire franchir la barrière de son petit anneau. Ce fut pour elle une délivrance de savoir enfin son Philippe posséder son anus. Une première giclée éjaculatoire s’échappa du sexe de la petite. Elle n’avait pas pu se retenir plus longtemps.

Protecteur, Philippe, qui sentait que son gland avait passé le cap le plus difficile, avait peur de faire mal à cette jeune fille si fragile.

- Ca va, Elodie, je ne te fais pas mal?

Elle secoua la tête pour dire non, ses halètements la trahissaient. Elle attrapa la chaîne entre les pinces à sein et tira dessus pour meurtrir un peu plus ses tétons. Deux éjaculations féminines de plus s’échappèrent de son sexe.

Voyant cela, Olga se déchaîna sur son clito, ses seins, son vagin. Elle interpella Philippe pour qu’il y aille à fond. Il n’était plus question de ménager l’étudiante. Olga savait ce que celle-ci voulait et, en poussant son mari à abandonner ses scrupules, à se comporter en mâle dominant, Olga savait qu'elle exprimait ce qu’Elodie voulait, sans oser le dire:

- Tu attends quoi pour lui casser son petit cul? C’est ça qu’elle veut! Encule-la à fond!

Les éjaculations d’Elodie, les paroles d’Olga levèrent les dernières hésitations de Philippe pour qu’il renonce à ses inhibitions. C’était un coït anal qu’il pratiquait désormais sur Elodie, rentrant en elle au plus profond, jusqu’à la garde. Il voulait que cela dure, pour qu'elle enchaîne les orgasmes.

En bonne petite salope Elodie ondula du bassin pour que Philippe la prenne de plus en plus profond, à chacun de ses allers retours, haletant de plus en plus fort, chaque fois qu’il arrivait en butée. La diablesse retira sur la chaîne pour triturer ses tétons et inonder un peu plus le parquet.

Philippe n’en pouvait plus et alla fesser la jeune diablesse qui ne demandait que cela.

- Prends-ça, ma Princesse sodomite, lâcha-t-il en arrivant en butée

La fessée gagna en intensité jusqu’à ce qu’elle soit enfin sans ménagement aucun, comme Elodie adorait et était venue chercher. Son incroyable Philippe la possédait enfin, superbement, sublimement.

- Dieu que tu es bonne à enculer, mon petit Ange

Philippe attrapa les cheveux d’Elodie et tira sa tête en arrière d’un coup sec. Elle en gicla de plaisir. Cet homme était plein de contrastes délicieux, à la fois gentil, respectueux, élégant et, en même temps, il la sodomisait, la fessait et lui tirait les cheveux sans ménagement, l’obligeant à se cambrer à l'extrême. La main ferme de Philippe prit possession de son cou et de sa respiration. Elle en gicla de nouveau.

Philippe fit redresser Elodie, sans interrompre sa sodomie. Ainsi il la prenait debout, bien face à la fenêtre, pour que le voisin voyeur en bénéficie au maximum. Il profita de cette position pour tirer lui-même sur la chaîne de la pince à seins, envoyant une décharge électrique aux tétons rouge sang de la petite.

La résistance des amants avait ses limites. Elodie, qui accompagnait la sodomie en branlant son clito et en se pénétrant avec ses doigts, sentait qu’elle ne pouvait plus contrôler ce qui était inévitable, son ultime jouissance de femme-fontaine.

Une fois de plus, ce fut Olga, en position de candauliste, qui donna le signal du plaisir au trio, en jouissant bruyamment sous la masturbation violente qu'elle s’infligeait depuis de nombreuses minutes. Elodie réussit à coordonner son plaisir final avec l’éjaculation de Philippe, qui se contracta dans son plaisir final, au plus profond de l’anus de sa Princesse, serrant le cou d'Elodie comme pour l’.

L’étudiante, brisée par le plaisir et l’émotion, fesses aussi roses que ses joues, qui avait abondamment inondé le sol, s’effondra sur la table, Philippe la tenant avec beaucoup de tendresse dans ses bras.

Olga se leva et rejoignit le couple. Elle avait trouvé cet acte magnifique et était fière d’avoir permis cela, d’avoir encouragé Elodie à s’assumer, d’avoir permis à Philippe de faire ce dont il rêvait depuis un moment avec la jeune étudiante.

Olga se dirigea vers les amants et donna un baiser langoureux à son mari, puis à la petite.

- Alors chaton, tu as aimé ça? D’ici la fin du week-end, tu pourras peut-être encore profiter de MON mari! Mais c’est moi qui décide. Tu comprends, petite salope sodomite?

Olga tira la sur la chaînette pour meurtrir les petits tétons de l’étudiante et appuyer ses propos. Le regard bleu d’Elodie était brouillé de honte et de plaisir. Dieu que ce week-end initiatique la faisait avancer dans sa petite vie. Il lui semblait, en vraie championne, enchaîner les obstacles comme dans une course de haies, elle qui était tout sauf sportive.

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